La "logique" morbide des tueurs islamiques qui adorent se suicider même si ce n'est que pour zigouiller quelques civils, musulmans de surcroît, sur un marché, n'a d'égale que celles des gogos gauchos et leur "repentance" infinie qui ont introduit un nouveau pêché originel : être français ou, tout au moins, de culture occidentale. Donc je propose le remplacement de la formule "vivre ensemble" qui, de toute évidence, n'est pas possible, par "mourir ensemble" puisque c'est ce que les deux catégories sociologiques précitées désirent.
Mais ce qui est réjouissant, tout au moins pour moi, c'est que la jeunesse a voté FN plus que les autres catégories d'âge aux régionales. Catégorie que j'avais pourtant en piètre estime. Je vous ai développé précédemment que le FN ne m'enthousiasme nullement, mais que je lui reconnais un point capital que n'ont aucun autre groupe politique : ils ne veulent pas crever ou être asservis dans la dhimitude. Pourtant ce n'est pas faute de les avoir conditionné depuis l'enfance, les jeunes, avec leurs profs trotskistes de l'éducnat.
Je profite de ce post pour rectifier des fantasmes historiques sur mai 68, en particulier ce qu'a écrit Eric Zemour puisque j'ai vécu activement cette période et que je fus même parmi ceux qui, sans présager de la suite, ont déclenché l'agitation qui s'en est suivie. Les "gauchistes"(1) de l'époque, dont je fus, et qui n'avaient rien à voir avec les zozos d'aujourd'hui, n'avaient aucune sympathie pro immigrés et crachaient sur toutes les religions. D'ailleurs le problème ne se posait pas à l'époque. Il n'y avait que des travailleurs immigrés. Nous leur demandions juste de ne pas être des "briseurs de grève" et de ne pas saboter le mouvement social qui était en marche. Je peux dire, qu'à ce niveau, ils ont été très corrects. Beaucoup, d'ailleurs, ont profité de leur séjour en France pour se désintoxiquer de l'islam.
(1) l'expression "gauchisme", péjorative et en référence à l'opuscule "La maladie infantile du communisme" de Lénine, fut employée par le Parti Communiste de l'époque dont les caciques étaient vautrés dans la collaboration de classe et ne supportaient pas que, au nom du marxisme dont ils se voulaient les seuls dépositaires, d'autres réfutent ladite collaboration et viennent chambouler le triste consensus social de l'époque. "L'ennui", avait écrit Pierre Vianson-Ponté, dans un éditorial célèbre du Monde juste avant les événements. A cet éditorial a répondu le graffiti, non moins célèbre, "Quand les gens s'aperçoivent qu'ils s'ennuient, ils cessent de s'ennuyer".
Partager