« L'effort par lequel toute chose tend à persévérer dans son être n'est rien de plus que l'essence actuelle de cette chose. »
Spinoza — Éthique III, Proposition VII
Heu, c'est l'avis de l'avocate des "zadistes", c'est-à-dire des manifestants.
Vous savez, les avocats, ce sont ces personnes qui trouvent toutes les raisons possibles et inimaginables pour déculpabiliser leurs clients : "Certes mon client à tuer sa victime de 140 couteaux, après l'avoir violée et torturée, mais, il regrette vraiment son geste et depuis qu'il est en prison il comprend le mal qu'il a fait à cette pauvre jeune femme. Et, comme pour ses 4 précédentes victimes, il est vraiment affligé. Je pense qu'il devrait être acquitté".
En gros un témoignage on ne peut plus crédible.
Au nom du pèze, du fisc et du St Estephe
Au nom du fric, on baisse son froc...
Ouais, et puis elle a dû faire des faux certificats médicaux pour que sa cliente ait l'air d'avoir perdu l'usage de sa main, graisser la patte des médecins... Peut-être même que ses clients son imaginaires !
Et puis c'est vrai qu'entre Hollande, Valls, Cazeneuve, on avait eu jusque là des témoignages sans aucun parti pris.
Moi j'ai aimé ça...
Oh là là, ah ben alors, hein?Outre les violences physiques, il y a les insultes connotées socialement : «Marginaux», «bobos assistés» etc.
Sérieusement, je n'arrive pas à respecter nos révolutionnaires modernes. Il y a deux générations, ils allaient en Espagne, ou en Chine, faire la révolution, parfois y mourir, même. Il y a une génération, ils lâchaient leurs études et allaient en usine, définitivement, ou retournaient à la nature, sans aides, allocs, ou téléphone. Et leurs leaders donnaient l'exemple (Marchais dans son pavillon de banlieue, ou Krasucki l'ancien ouvrier), et reversaient le gros de leurs revenus au Parti.
Aujourd'hui, on a des leaders que l'argent ne semble pas trop complexer (du petit pied à terre de Thierry Lepaon à l'exemplarité relative du leadership d'EELV), et une base qui profite du système la semaine et crie sa révolte le week-end, dans une saine ambiance baboss et boulons, en s'attaquant à de vrais enjeux de société (un petit barrage dans une zone reculée, un stade de foot, un aéroport, voire des champs de patates menacés par l'urbanisation... http://zad.nadir.org/spip.php?article1894). On a les causes qu'on mérite...
Comme dit Rod, il y a un problème moral. Pas dans la société en général, où la morale se porte plutôt bien merci (de l'islamisme, à l'écologie en passant par les traditionnalistes et nationalistes de tout poil), mais à gauche, et en particulier dans ces milieux "révolutionnaires", dont chacun reconnaissait autrefois qu'ils avaient le courage de leurs idées. Ca, c'était avant, maintenant, on a des post ados à la recherche d'une cause à défendre.
Et tout cela se voit dans les urnes : ça nous fait une Eva Joly (pas la plus illégitime des vertes) à 2%, un Mélenchon qui peine à exister, un NPA qui ne sert plus guère que de repoussoir pour justifier le "vote utile" à gauche, lequel vote utile aboutit au président le plus falot de la cinquième, et au premier ministre de gauche le plus à droite possible...
Francois
C'est l'image que tu as à travers le prisme déformé des médias.Aujourd'hui, on a des leaders que l'argent ne semble pas trop complexer (du petit pied à terre de Thierry Lepaon à l'exemplarité relative du leadership d'EELV), et une base qui profite du système la semaine et crie sa révolte le week-end, dans une saine ambiance baboss et boulons, en s'attaquant à de vrais enjeux de société (un petit barrage dans une zone reculée, un stade de foot, un aéroport, voire des champs de patates menacés par l'urbanisation... http://zad.nadir.org/spip.php?article1894). On a les causes qu'on mérite...
Peut-être que sur le terrain l'ambiance est tout à fait différente.
Peut-être qu'il y a des extrémistes, style anti-fa, idiot utile au système qui sont uniquement là pour foutre la merde ?
Sans doute ne voyons nous pas les militants sincères qui se battent pour une bonne cause ?
Avez-vous déjà vu un reportage d' AIL (Agence Info Libre) ? Quand ils vont sur le terrain ils ne se contentent pas de faire un reportage de 3min.
Vous avez droit à une emission complète d'une heure où ils prennent le temps d'interwiever les personnes.
Et bizarrement vous voyez des choses que vous ne voyez nulle part, vous apprenez les vrais faux direct de BFM, etc.
Nous nous faisons manipuler, c'est la raison pour laquelle il ne faut plus lire, ecouter et regarder les médias mainstream.
C'est juste du bon gros délire de réac à la "c'était mieux avant". C'est beau de réécrire l'histoire et d'inverser effets et causes. Mais bon, vus le nombre de +1 c'est ce qu'attend le lecteur moyen je suppose Et puis, on sent que tu avais un besoin refoulé un peu trop longtemps de te défouler à nouveau contre la "gauche"...
Comme à droite donc, sauf qu'au lieu de manifester contre un barrage ou un aéroport, on manifeste contre le mariage pour tous ou l'adoption pour les homo, alors que cela ne nous concerne même pas, c'est sur que c'est mieux...
D'ailleurs on est tellement plus fort à droite, que quand on s'ennui, on retourne manifester contre des trucs déjà légiférés, tu m'excuseras, je ne vois pas trop la différence avec ces zadistes qui occupent un barrage voté et approuvé depuis plusieurs mois.
Ben non, c'est pas comme à droite. Le mariage et la famille, c'est quelque chose de central. C'est pour cela que les défenseurs du mariage pour tous le voulaient, et pas une union civile, c'est aussi pour cela que les opposants se sont sentis attaqués dans leur mode de vie, et ont manifesté contre (le fait qu'ils ne soient pas concernés n'a rien à voir : la plupart des gens qui manifestent contre les expulsions de sans papiers on t des papiers, cela ne rend pas leur démarche ridicule).
Sivens, c'est un épiphénomène, un truc qui n'est pas forcément anti-écologique, et qui de toutes façon n'a à peu près aucun impact, qu'on le construise ou pas. En faire une grande cause ou un symbole de la lutte contre le capitalisme, c'est un peu ridicule, et je pense que c'est ce décalage qui fait que l'extrême gauche est parfaitement inaudible (ce qui était mon propos).
Et c'est précisément ce qui fait que la révolte actuelle contre le système bénéficie beaucoup au FN qui se développe vite, pas mal à Londres et aux autres destinations à la mode, qui recrutent plus facilement, également aux religions diverses, mais très peu à la gauche de la gauche.
Et pour GPPro, je ne crois pas que c'était pas mieux avant: mourir connement à 20 ans dans telle ou telle lutte étrangère, ou bousiller sa vie parce qu'on est l'idiot utile de telle ou telle idéologie du moment (parce que pour avoir été ado dans une région où il y avait beaucoup de retours à la terre, je peux te dire qu'il y avait BEAUCOUP de casse), ce n'est pas "mieux". En fait, c'est mieux aujourd'hui pour nos révolutionnaires, qui courent beaucoup moins de risques qu'avant (même si les évènements récents prouvent que le risque existe), mais cela a aussi pour effet de décrédibiliser leur combat, et de rendre peu compréhensible leur cause.
Francois
Meuh non... C'était la droite dans la rue contre le gouvernement, c'est tout.
On avait nos bons hypocrites de droite, main dans la main, qui parlaient de la fin de la civilisation, pendant que nos bons hypocrites de gauche, au gouvernement, main dans la main, défendaient le MPT comme un des progrès du siècle.
Et dire que ça a quasiment monopolisé les médias pendant des mois.
http://www.traducteur-sms.com/ On ne sait jamais quand il va servir, donc il faut toujours le garder sous la main
Outre le fait que cela soit central, c'est surtout pour avoir les mêmes droits que les hétéros et qu'on arrête de les cataloguer comme "différents".
Pour l'exemple des sans-papiers, tu aurais du dire que ceux qui manifestent contre les expulsions ne sont pas eux-mêmes menacés d'être expulsés, cela aurait été plus proche.
Mais pour moi, la différence est la justement : quelqu'un qui manifeste contre l'expulsion des sans-papiers, se bat pour quelque chose qui ne le concerne pas, soit, mais qui permettrait d'éviter à des gens d'être encore plus dans la mouise.
Quelqu'un qui manifeste contre le mariage pour tous, le fait, pour continuer de stigmatiser des gens qu'il considère différent, alors que contrairement à ce que tu dis, cela n'attaque en rien du tout son mode de vie (le mariage pour tous n'empêche en rien les hétéros de continuer à vivre / se marier / divorcer comme avant la loi).
D'un coté, tu as des gens pas concerné qui essaient d'aider leur prochain sans penser à eux mêmes et de l'autre, des gens pas concerné qui font chier leur prochain, en ne pensant qu'à eux mêmes.
N'ayant pas encore lu un quelconque rapport, sur le but premier (à part fournir de la flotte à une cinquantaine d'agriculteur, il me semble avoir lu ici) et les effets secondaires sur la faune et la flore locale du dit barrage, je ne conteste pas ça, sur le fond, c'est vrai, quoi que l'inaudibilité est bien plus profonde que cette histoire de barrage
Mais pour recroiser avec ta phrase suivante sur le FN, je dirais que d'un côté, on a ces gens qui ont peut-être des causes perdues, mais qui se bougent un minimum, et qui ont certaines causes pas forcément si incongrues que cela, et de l'autre, on a des gens qui attendent sans rien faire, en attendant d'avoir le pouvoir. Je ne sais pas ce qui est le mieux, mais c'est sûr qu'en ne faisant rien, on ne risque pas de passer pour un con, ils ont raison de la jouer comme cela pour le moment, mais un jour, ils seront bien obliger de se bouger, et ils n'auront pas intérêt à se louper, sinon on verra qu'ils sont tout aussi mauvais que les autres.
Et personnellement, je préfère des gens qui essaient, quitte à se vautrer (voir même quitte à sa vautrer plus souvent qu'ils ne réussissent comme en ce moment ), que des gens qui se contentent de pointer du doigts ces "casseroles" sans jamais rien proposer ni faire de concret et qui ne feront probablement pas mieux le jour venu.
C'est un peu comme avec les propositions de l'UPR sur les grands thèmes sociétaux, "on a pas d'avis, on fera des référendums", alors ok, au moins comme ça, ils ne risquent pas de dire une connerie, et ne divisent pas leurs électeurs, mais pour moi, c'est prendre une partie de ces électeurs pour des cons justement, car ils seront bien obligé de choisir à un moment ou un autre.
En ce moment à Versailles t'as des élus (des élus punaise, pas le pékin lambda qui manifeste) qui demandent à ce qu'en plus du casier judiciaire l'orientation sexuelle des éducateurs soit contrôlée.Envoyé par Zirak
Je ne suis vraiment pas d'accord avec ton analyse. D'autant plus que j'ai passé la soirée hier avec des gars de 'no border' et j'y vois maintenant beaucoup plus clair.
Par exemple, tu parles de résultats dans les urnes, mais alors quelle leçon tirer des derniers résultats de l'UMP et du Modem?
Ensuite, vous aimez bien considérer ces jeunes indignés (dont certains sont révolutionnaires mais je ne crois pas que ce soit la majorité) comme des "bobos" ou des jeunes ado en manque de sensations fortes. La réalité est nettement moins homogène. Pour fréquenter certains de ces gens-là (notamment les 'no border'), ainsi que les divers témoignages qu'on peut lire par-ci par-là de temps en temps, ces "mouvements" sont très hétérogènes. Le noyau dur est composé de jeunes qui n'ont pas trouvé leur place dans cette société, qui survivent d'un façon ou d'une autre, la plupart sont nomades et vivent réellement leurs engagements.
En tant que bon conservateur qui se respecte et qui doit à tout prix, par peur panique de dissonance cognitive, discréditer ceux qui veulent faire changer les choses, tu passes à côté de beaucoup de choses. Certes il manque un leadership à gauche de la gauche. Certes il manque une vision. Certes, ces mouvements contestataires sont dans la résistance et non dans la progression (l'inverse serait suicidaire au vu du rapport de forces, en particulier en ce qui concerne l'opinion). Mais ce contexte fait que justement, les quelques uns qui ont le courage de tenter quelque chose méritent le respect.
En fait, ce que vous ne voyez pas, vous les bourgeois conservateurs, c'est que vos politiques néolibérales ont engendré une génération dont une partie non négligeable a été mécaniquement exclue de la société. La plupart des jeunes contestataires (que vous préférez, par fainéantise, considérer comme des bobos) sont en fait cette partie de la dernière génération qui n'est pas parvenue à se faire sa place dans votre Babylone. Ce sont des jeunes qui n'ont vraiment aucun espoir de vivre dignement, et ça c'est nouveau. Il y a ne serait-ce que 30 ans, ont pouvait espérer, en se sortant les doigts, d'arriver à surnager. C'est aujourd'hui juste impossible pour beaucoup de cette nouvelle génération.
Du coup, ce qui se passe, c'est que beaucoup choisissent des modes de vies radicalement différent, comme le nomadisme par exemple, ou le squat. Ce mouvement a commencé, comme par hasard, à l'époque des "free parties", c'est à dire à l'époque où Thatcher était au sommet de sa puissance. Aujourd'hui ces modes de vies alternatifs commencent à être organisés. Par exemple, dans la plupart des grandes villes européennes, si tu veux ouvrir un squat, il existe tout un tas de réseaux qui t'aideront à le faire, les mairies sont de plus en plus habituées à gérer ces choses-là, et il existe tout un tas de jurisprudences. Ce que je veux dire, c'est que ces pratiques (squat, nomadisme, etc.) sont réellement et concrètement une tendance lourde.
Et ceci explique les nouvelles formes de contestation, et le choix de sites comme NDDL ou Sivens, ainsi que le principe de ZAD (dans le reste de l'Europe on parle plutôt de ZAT; zone d'autonomie temporaire): ce sont des endroits où ces gens-là peuvent s'installer et y vivre tout en participant à ce qu'ils considèrent comme de la résistance. Et c'est également la raison pour laquelle les autorités interviennent le plus vite possible, et avec une amplitude qui peut paraitre disproportionnée, lorsqu'une ZAD (ou une ZAT, parce que c'est le même problème partout en Europe) est en train de se mettre en place, c'est qu'ils ont peur que les 'squatters' aient le temps de s'organiser et qu'il se créée, comme à NDDL, de véritables villages. Ils sont très organisés, et souvent ils parviennent à faire en sorte que la loi soit de leur côté. Donc au plus on laisse du temps à une ZAT de s'organiser, au plus il sera compliqué de les déloger, y compris, et souvent même surtout, à cause de problèmes légaux.
Donc pour finir mon exposé, il faut prendre conscience que ce qui est en train de se passer, et qui est un résultat de 30/40 ans de cette politique dite néolibérale, c'est qu'une partie non négligeable de la population est exclue, de fait, des processus de production, de consommation, et par conséquent, de socialisation. Et manque de bol, ces gens-là préfèrent résister et essayer de survivre, plutôt que de se laisser mourir.
« L'effort par lequel toute chose tend à persévérer dans son être n'est rien de plus que l'essence actuelle de cette chose. »
Spinoza — Éthique III, Proposition VII
Puritanisme, le retour.
C'est un peu comme pour "l'arbre de Noël" place Vendôme. J'ai entendu quelqu'un à la radio, qui disait que les gens confondaient "pudeur" et "pudibonderie".
Je pense qu'on vit une époque de retour en arrière, où la religion (re)prend le dessus sur la société, et on voit les puritains-catholiques revenir en force. Ça rejoint assez l'idée de François ou r0d (je les confond tout les deux ! ) qui parlait de crise morale. On le voit assez bien avec ces 2 manifestations, en fait. D'un coté on a les bourgeois, cathos, puritains qui manifestent pour leurs valeurs, et donc se mobilisent contre le mariage gay, et de l'autre, les bourgeois de bohème (ceux de François) qui se mobilisent et manifestent pour l’environnement, l'écologie, ... (l'écologie comme une religion, un dogme).
Les deux groupes ont en communs qu'ils trainent avec eux des groupuscules violents, d'extrême droite pour les premiers et d'extrême gauche pour les seconds, dont le seul but (le même pour les deux) est de casser (du flic, de la vitrine, des bagnoles, ...).
Pour moi, ce sont deux choses importantes qui n'annoncent rien de bon. Le sociétal est en train de prendre le dessus sur le social ou l'économie, dans la tête des gens. Comme s'il y avait un renoncement général face à la crise, et à l'incompétence des politiques de tout bord.
Tout le monde tape sur Hollande, et je pense qu'il a sa part de responsabilité, mais pour moi, c'est du 50/50 avec Sarkozy. Ces deux présidents ont en commun d'avoir déçus très profondément, et de la même manière. Et ce sont plus les "affaires", le sentiment de "tous pourris", qui provoquent ces secousses sociétales, que la crise de l'euro ou le chômage.
J. Attali disait l'autre soir sur une émission de tv, qu'il fallait une grosse secousse politique pour que la France, même s'il n'a pas franchement parlé du FN, je pense que dans son esprit, il est nécessaire de passer par la case FN pour pouvoir changer la classe politique. Alors, perso, j'aime pas trop le bonhomme, mais on peut effectivement être tenté de le croire. La question qui reste, c'est : "est-ce que la classe politique est encore capable de tirer les leçons de quelque chose, même de Marine à l'Élysée ?"
Au nom du pèze, du fisc et du St Estephe
Au nom du fric, on baisse son froc...
Il y a 15 ans de cela je vivais à Montpellier. Il y avait beaucoup de jeunes à érer, nombreux étaient ceux qui avaient des chiens. Il m'arrivait de discuter avec eux et deux choses m'ont marquées. Les chiens ne servent pas seulement à les protéger, ils leurs apportent de la chaleur pour dormir. La deuxième chose c'est que certains choisissent de quitter leur famille, non pas qu'ils soient en rupture ou en conflit mais les rentrées d'argent sont insuffisantes pour pouvoir assumer dignement l'ensemble du foyer. Cette personne avec qui j'avais parlé m'a clairement dit qu'elle se sacrifier pour son petit frêre. Ce qu'elle trouvait injuste c'est qu'au final des immigrés clandestins pouvaient bénéficier d'aides et de conforts auquel il n'avait pas accès alors même qu'il était né en France.La plupart des jeunes contestataires sont en fait cette partie de la dernière génération qui n'est pas parvenue à se faire sa place dans votre Babylone.
15 ans ont passés depuis, qu'est devenue cette personne ? Un quadra, sans doute mais que feront-ils tous ces jeunes de 25 ans dans 15 ans. Parce que dans 15 ans ils auront toujours 25 ans mais ce ne seront plus les mêmes.
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