Bon ok, il faut regarder dans quels formations il y a le plus d'abandons et de redoublements.
Là où c'est le plus difficile, c'est où il y a beaucoup de candidats et peu de place.
Genre fac de médecine, ou tout ce qui est avec concours, vu que les places sont limitées.
Il y a des prépas super difficile aussi.
Après il y a des sujets technique qui ne parlent pas à tout le monde.
Mais le Master Informatique je ne crois pas ce que soit le plus difficile.
En plus c'est trop cool, parce qu'il y a beaucoup de pratique, donc c'est tout de suite plus concret.
Après pour avoir un Master il suffit d'avoir 10 de moyenne (en gros).
Il y a peut être une règle "Si t'as moins de 8 dans un module, tu ne valides pas ton semestre et tu dois le refaire pour le valider".
Ouais bof, parfois c'est juste de la récitation.
On t'apprends à utiliser des outils et tu dois les ré-appliquer sur un autre problème.
"plus intelligent" ça ne veut pas forcément dire grand chose.
Alors ça c'est totalement faux.
Contrairement à un concours, un diplôme ne te garanti pas un job.
Des BAC+5 qui se retrouvent au RSA et qui sont contraint de finir dans un job sans formation ça existe.
Loïc, 28 ans, un Français au RSA
«Tu sors de tes études, tu proposes ton énergie, et personne n’en veut»Sourire aux lèvres, poignée de main énergique, Loïc, 28 ans, est heureux de partager son expérience. Le tableau qu’il dresse est pourtant sévère. Après son master en droit des affaires comparé, en 2012, il a enchaîné dix-huit mois de stage. Et depuis, plus rien. « Enfin si : des centaines de candidatures envoyées tous les jours, très peu de réponses. Le découragement vient vite », explique-t-il. Selon l’Agence pour l’emploi des cadres, un tiers des jeunes diplômés français (bac + 5 et plus) cherchent encore un emploi un an après la fin de leur cursus. Loïc, Suresnois, en fait partie.
=====Plus que jamais en France, le diplôme est considéré comme un atout essentiel pour l’insertion professionnelle. Seuls 11 % de ceux qui en possèdent un pointent au chômage cinq ans après leur entrée sur le marché du travail, alors que 40 % des jeunes non diplômés sont sans emploi. Ces 11 % représentent néanmoins un chiffre très élevé : «Ce sont des centaines de milliers de jeunes qui, au sortir de longues études qui ont nécessité des sacrifices importants, peinent à trouver un poste en adéquation avec leur diplôme», relève Camille Peugny, sociologue à Paris-VIII. «Un diplômé de l’enseignement supérieur sur quatre ou cinq peut être considéré comme déclassé sur son premier emploi.» Précarité, temps partiels, faibles revenus, boulots alimentaires, chômage à répétition ou emploi sans rapport avec les compétences sont le lot de nombre de diplômés du supérieur.
On peut retrouver l'équivalent des cours que donnent les professeurs, dans des livres ou sur internet.
À l'école on voit plein de choses qui ne serviront pas forcément dans le monde du travail (après c'est cool pour la culture générale).
On voit tellement de choses que c'est impossible de trouver un travail qui nous demande de toutes les utiliser.
Mais alors si un candidat ment sur ses diplômes, il peut finir par décrocher le job alors qu'il est n'est pas qualifié ?
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