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Emploi Discussion :

Tim Cook : « Aucune excuse valable » pour le manque de femmes dans le secteur de la technologie


Sujet :

Emploi

  1. #121
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    Citation Envoyé par totozor Voir le message
    Vous voulez vraiment qu'on rentre (encore) dans ce sujet?
    En 2022 les hommes et les femmes existent toujours (et ça ne va pas changer de sitot), il faut (faudrait?) y ajouter les non binaires (sous toutes leurs formes) mais ne me demandez pas de préciser on m'a bien expliqué mais j'ai du mal à comprendre moi aussi.
    Et en plus il existe de hommes avec des vulves et des femmes avec des pénis (des transgenres quoi) qui en fin de transition sont correctement génrés dans la vie de tous les jours (malgré ce qu'ils ou elles ont dans le slip) et ils sont largement aussi binaire que vous et moi.
    d'une manière générale, quand il y'a des sujets sensibles abordé en publique, je ferme gueule, que ce soit le droit des femmes, le pourquoi y'a pas de femmes dans l'it, les non binaire... ce sont devenues des sujets ou la moindre réflexion n'allant pas dans le bon sens peut te pourrir toute ta vie.
    Suffit de voir pendant les présidentielles comme on te ressors des paroles datant de plus de 20ans de certains candidats.

    Tu ne peux même pas dire "je m'en fou, je maitrise pas le sujet c'est pas mon combat", au risque de te faire lyncher et blacklister par les boites. C'est un système pervers ou tu es officiellement obligé de dire "Ohlala c'est terrible, je fais tous ce qui est en mon pouvoir pour combattre cela" et tu te retrouve a créer des preuves bidons pour avoir la paix "regarder j'ai embauché un nouveau stagiaire, c'est une femme, je mets tout en œuvre croyez moi"

  2. #122
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    Citation Envoyé par calvaire Voir le message
    Tu ne peux même pas dire "je m'en fou, je maitrise pas le sujet c'est pas mon combat", au risque de te faire lyncher et blacklister par les boites. C'est un système pervers ou tu es officiellement obligé de dire "Ohlala c'est terrible, je fais tous ce qui est en mon pouvoir pour combattre cela" et tu te retrouve a créer des preuves bidons pour avoir la paix "regarder j'ai embauché un nouveau stagiaire, c'est une femme, je mets tout en œuvre croyez moi"
    Le problème des entreprises est simple :
    Les dirigeants (comité de direction, RH) ne comprennent pas grand chose aux discriminations (et je ne les condamne pas c'est pas évident du tout) donc ils font appel à des consultants en pinkwashing inclusivité qui n'y comprennnent pas beaucoup plus mais vont leur expliquer comment avoir l'air d'être inclusif (on ne dit pas aveugle, on dit non voyant, on ne dit pas transsexuel, on dit transgenre, on ne dit pas PD on ne dit pas etc...) et vont leur donner quelques consignes moralisatrices:
    devenez Netflix : embauchez des femmes, des "non blancs", des homo, des trans, un handicapé et surtout dites le, mettez les dans des placards et surtout ne le dites pas
    Faites un indicateurs qui montre un peu de parité mais pas trop, pour pouvoir s'améliorer
    N'embauchez que des ingénieurs ou des ouvriers (métiers venant de formations suivies par des hommes) et mettez les à des postes de RH, de financiers. Ils ne seront pas compétents mais vous expliquerez facilement que le déséquilibre vient d'un problème scolaire

    Tout ceci pour éviter de vous poser des questions sur les questions de fond :
    clichés sexistes (qui existent dans les deux sens)
    clichés racistes (oui chez nous Parisiens est un adjectif qui définit ton attitude et non ton origine)
    grossphobie, psychophobie, mépris de classe
    etc

    PS : J'ai travaillé avec un schizophrène, une autiste, un aveugle, ça s'est bien passé alors qu'on me prédisais que je ne tiendrais pas plus de 2 semaines.
    Tenir a été très facile : pour le schizophrène et l'autiste, ils ont commencé par m'expliquer leur condition, ce que je dois/ne dois pas faire.
    Pour l'aveugle : je lui ai demandé comment on gérait les situation courantes (le guider, lui présenter une pièce, le debrifer d'une réunion "powerpoint" etc.)
    Je me suis adapté, je me suis planté plusieurs fois, je me suis corrigé et excusé (bref je les ai respecté et j'ai appris au fur et à mesure)

  3. #123
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    Citation Envoyé par Demky Voir le message
    Je n'ai jamais compris pourquoi on fait ce genre de remarque pour ce genre de métier.

    Personne ne se plaint du manque de femme éboueuse ou du manque d'homme en institut de beauté (estéticien)?
    Citation Envoyé par dlewin Voir le message
    Car pourtant vider des poubelles n'est pas un métier qui demande une force physique telle qu'aucune femme serait concernée.
    Je ne vais pas vous reprocher de ne pas avoir lu le reste du fil, (7 pages riches en digressions sexistes), mais vous arrivez après la bataille, on a largement abordé le sujet.

    Et si, vider les poubelles demande de la force physique.
    Pour avoir sorti occasionnellement des conteneurs 600 litres pleins, c'est loin d'être facile à manipuler, même avec les roulettes. Ou alors ce sont les 1000 litres, je ne sais pas trop. Même les petits conteneurs sont pénibles, puisqu'ils n'ont que deux roues au lieu de quatre...

    Et éboueur nécessite de travailler dans des équipes d'hommes : les rippeurs travaillant généralement en binôme, il y aura fatalement la suspicion que la femme se débarrasse des conteneurs lourds sur son collègue mieux pourvu physiquement.
    D'où personne pour faire équipe avec elle : la femme rippeuse interrogée ici parle de la réticence initiale de ses collègues hommes. Mais comme elle travaille en fait seule avec un chauffeur, cela règle ce genre de problème.

    L'âge de retraite pour les éboueurs était jusqu'ici fixé à 57 ans, à cause de la pénibilité. (Tiens tiens !)

  4. #124
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    Citation Envoyé par totozor Voir le message
    Source?
    Ce que j'ai trouvé de vie publique (article de 2020)

    Je viens de vérifier mon école ne fait pas de stats sur l'origine sociale ou les étudiants boursiers donc ma seule source est moi.
    Oula.
    Il ne faut pas confondre boursier et prolo.
    La grande majorité sont des élèves qui bossent pour se payer les cours, comme dans les facs ou autres types d'études supérieures.

    Ceux qui ont le luxe de ne pas avoir à bosser, sont une fois de plus minoritaires et, il faut arrêter de croire qu'à 99% ce sont des enfants de parents "de souche", sys hétéro privilégiés, ...
    La grande majorité sont aussi des enfants de souches qui compose la grande majorité de la France : des enfants de parents qui ne sont pas riche.

  5. #125
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    Citation Envoyé par vélorouge Voir le message
    Et éboueur nécessite de travailler dans des équipes d'hommes : les rippeurs travaillant généralement en binôme, il y aura fatalement la suspicion que la femme se débarrasse des conteneurs lourds sur son collègue mieux pourvu physiquement.
    Donc en gros, ce que tu reproches, avant tout, c'est aux hommes d'être majoritairement, dans l'ensemble de l'humanité, plus fort physiquement et plus grand.

    N'as-tu pas l'impression avant tout, de vivre dans une jalousie non assumée ?

  6. #126
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    Citation Envoyé par calvaire Voir le message
    moi je dis allons encore plus loin, école mixte niveau sexe mais aussi niveau religion et évidement couleurs de peau.
    Une école pour les blancs, une école pour les noirs.
    Avec des bus différents pour les emmener, des guichets d'administrations différents aussi...etc.
    Clairement c'est l'évolution naturelle de ce type de propos


  7. #127
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    Citation Envoyé par HaryRoseAndMac Voir le message
    Ceux qui ont le luxe de ne pas avoir à bosser, sont une fois de plus minoritaires et, il faut arrêter de croire qu'à 99% ce sont des enfants de parents "de souche", sys hétéro privilégiés, ...
    La grande majorité sont aussi des enfants de souches qui compose la grande majorité de la France : des enfants de parents qui ne sont pas riche.
    Alors encore une fois, dans mon école, peu d'élèves travaillaient pour payer leurs études, encore une fois je n'ai pas les chiffres mais on était très largement en dessous des 10%.
    Alors oui, les élèves faisaient des choix différents pour limiter les dépenses : loger au CROUS, travailler, faire ses études proche de chez ses parents, ne jamais sortir etc

    Je n'ai sincèrment aucun problème à le dire (notamment parce que je le condamne) mais les écoles d'ingénieurs privées sont discriminatoires
    Si tu es fils de PDG, tu va faire ton école d'une traite (J'ai vu un papa rattraper le fiston qui devait redoubler)
    Si tes parents sont modestes, tu as de grandes chances de ne pas finir l'école ou de redoubler une fois (j'ai vu des potes abandonner parce qu'ils n'ont pas les moyens financiers de rester)
    Si tu es "dans la norme" (et que les études te plaisent) tu as de grandes chances de finir les études, tu as 30% de chances de redoubler dans parcours

    Et elles le sont malgré les moyens qu'elles mettent en place pour être plus ouvertes aux plus modestes
    Voici un exemple que j'ai connu:
    Ma promo était la première à accueillir des BAC+3 qui avaient travaillé moins de 5ans à partir de la 3eme année après une année de préparation.
    Ces personnes ce sont retrouvé dans un groupe de TD (1/3 de promo) avec les "parias" (modestes, turbulents, mauvais élèves).
    Les deux autres groupes avaient un taux de redoublement équivalents, mon groupe en avait un deux fois plus élevé (J'ai plusieurs explications à cet écart mais la principale et la source des autres est : ils ont regroupé les "mauvais")
    A la remise de diplome certains profs ont quasiment refusé de nous serré la main et j'ai entendu un prof dire à un pote "Vous ne méritez pas ce papier" alors que le gars a eu des résultats exemplaires (et je ne parle pas de racisme je parle d'élitisme)

    Et je dis aussi les choses assez serreinement : Si mes parents n'étaient pas riches, je ne serais pas où je suis.
    J'ai toujours été un élève moyen, je n'aurais meme pas envisagé de faire un lycée loin de chez mes parents, j'aurais fait un BAC STI où j'aurais été un élève moyen qui m'aurait mené à un BTS ou un DUT où j'auais été un élève moyen. Jamais les portes d'une école d'ingé se serait ouverte pour moi.
    Si je n'avais pas eu la passion de la conception mécanique (qui me vient de mon père) je n'aurais jamais supporté les crises de paniques en cours que je gérais en me grattant jusqu'au sang, les humiliations des profs en cours, en examen ou dans les couloirs. J'aurais abandonné pour retirer cette charge financière à mes parents.
    Oui je suis privilégié mais je ne peux pas faire grand chose d'autre que de m'en servir pour rendre mon monde (bien limité) moins gerbant.

  8. #128
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    Citation Envoyé par totozor Voir le message
    Alors encore une fois, dans mon école, peu d'élèves travaillaient pour payer leurs études, encore une fois je n'ai pas les chiffres mais on était très largement en dessous des 10%.
    Je ne prétends pas que tu racontes n'importe quoi.
    A mon époque, déjà, un bon 1/2 de la classe bossaient pour se payer les études.

    Et une fois de plus, je ne te fais que te parler de mon expérience, je donne des cours par le biais de ma boite, dans différentes écoles :
    - Epita : 90% de gens issus de la classe moyenne/pauvre
    - Epitech : (je n'y donne pas de cours, mais des conférences), même constat après avoir discuté avec les élèves que Epita
    - Ecole Centrale : 10% issus de familles riches, 40% de boursiers, 40% de gens qui bossent, 10% d'étrangers (qui sont à 90% issus de familles riches)
    - Ecole des mines : sensiblement la même statistique que Centrale

    Il y a un dénominateur commun dans ces écoles : Les Français de souches viennent de familles pauvres ou familles de la classe moyenne, très peut viennent de familles riches.
    Les Français "d'origines", viennent de familles pauvre à 50% et le reste de familles riches.
    Les Français immigrés, viennent à 90% de familles riches et le reste viennent de familles pauvres, très peu de classe moyenne dans cette population.

    Le constat que je fais de tout ça, c'est que dans les faits, la majorité des Français de souche, sont comme à mon époque : des familles pauvres ou de classe moyenne.
    Dans les faits il y a assez peu de Français de souche en France qui soient riche, comme ceux que tu cites, au point de graviter dans l'univers des ambassades.

    Je pense qu'un mythe a duré très longtemps, celui du Français de souche privilégié, riche, qui se croit au dessus des autres.
    Ce genre de population a représenté un très faible pourcentage de la France à travers toute l'histoire de France, mais, comme dans tous les pays du monde, ce sont ce genre de population qui finissent au pouvoir et à l'international on assimile les gens d'un pays à ceux ayant du pouvoir, alors qu'encore une fois, dans les faits, la réalité est toujours différente.

    Là ou j'ai du mal avec ton retour d'expérience, c'est que tu es biaisé car, comme tu le dis toi même, tu viens d'une famille riche, tu as grandit un dans un microcosme, avec une classe faite pour les gens comme toi, avec des gens comme toi et j'en passe, mais ton expérience ne représente pas la majorité de ce qu'il se passe en France et encore moins dans les "grandes" écoles.

    La seule école ou j'ai vu en majorité des "fils de/filles de" de ma vie, c'était à l'école polytechnique, mais ces gens derrière dans la grande majorité se retrouvaient dans des emplois du type "armée", donc on ne peut pas comparer cette population avec celle de la vie de tous les jours.

  9. #129
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    J'ai trouvé des fichiers Excel qui contiennent des informations peut-être intéressantes :
    Les boursiers sur critères sociaux en 2020-2021
    En plus dans l'onglet "Annexe 1" il y a un tableau avec une colonne pour les filles et une colonne pour les garçons, comme ça reste dans le thème du topic.
    Par contre j'ai pas trouvé de données qui ciblent la licence informatique ou le master informatique.
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  10. #130
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    Citation Envoyé par HaryRoseAndMac Voir le message
    Et une fois de plus, je ne te fais que te parler de mon expérience, je donne des cours par le biais de ma boite, dans différentes écoles :
    - Epita : 90% de gens issus de la classe moyenne/pauvre
    - Epitech : (je n'y donne pas de cours, mais des conférences), même constat après avoir discuté avec les élèves que Epita
    - Ecole Centrale : 10% issus de familles riches, 40% de boursiers, 40% de gens qui bossent, 10% d'étrangers (qui sont à 90% issus de familles riches)
    - Ecole des mines : sensiblement la même statistique que Centrale
    Sinon, mieux que l'expérience, il y a les vraies statistiques (d'où elles sortent, celles que tu cites ??).
    ça fait plus de trois pages et déjà plusieurs jours que tu répètes les mêmes faussetés.
    Alors qu'il te suffirait de 5 minutes de recherche sur Google pour te rendre compte que tu te trompes, mais ça ne t'intéresse évidemment pas de le savoir.

    " Origine sociale et genre en écoles d’ingénieurs "

    Selon l’étude, le constat d’inégalité est encore plus accentué lorsqu’il s’agit de l’origine socio-professionnelle des familles des élèves.

    La proportion d’élèves dont la famille est classée dans les PCS 5 et 6 INSEE (ouvriers et employés) s’élève en 2014 à 13 % de l’effectif total des écoles du groupe d’étude, avec une progression de 0,5 % par rapport à 2011.

    Lorsque le rapport se penche sur la proportion d’élèves issus de milieu ouvrier en fonction du niveau de renommée de l’école, les chiffres montrent clairement que plus le niveau d’excellence est élevé et moins ces élèves sont présents au sein de l’école. (...)

    Aux deux extrémités, on retrouve d’un côté les ENI qui sont les plus « ouvrières » du groupe d’étude avec un taux de 29,1 % de fils et de filles d’ouvriers et employés et de l’autre côté, l’École polytechnique avec au taux de 1 % de catégories PCS5 et 6 soit 36 élèves en 2014 pour un effectif total de 2870.

    Les Écoles Centrales se situent à 7,2 %, Les Mines à 7,4 %, Télécom Paris à 6,4 %.

    " Les élèves ingénieurs d'origine sociale modeste "

    Avec 108 000 élèves inscrits en 2008-2009, les effectifs des écoles d’ingénieurs ont pratiquement doublé depuis le début des années 1990.

    Malgré une ouverture sociale progressive, ces formations demeurent, avec les CPGE, les plus sélectives socialement (...)

    les étudiants issus des classes populaires représentent 23,4 % de l’ensemble des inscrits en cycle ingénieur ;

    ils sont 34,6 % en université, 42,9 % en Instituts universitaires de technologie (IUT) et 54,9 % en Sections de techniciens supérieurs (STS).

    Ainsi, parmi les formations enquêtées par l’OVE, seules les CPGE apparaissent plus sélectives socialement, avec 18,9% d’élèves d’origine sociale modeste parmi les inscrits (...)

    Les élèves ingénieurs issus des classes populaires se distinguent de leurs homologues en université par un capital économique plus important puisque 26,2 % d’entre eux sont issus d’une famille dont les revenus mensuels atteignent au moins 3 000 euros, contre 19 % parmi les étudiants d’origine sociale modeste inscrits en université.

    La composition même des classes populaires varie entre les écoles d’ingénieurs et l’université et renforce les différences en termes de ressources monétaires : en université, les enfants d’ouvriers représentent plus de la moitié des étudiants appartenant aux classes populaires (55,1 %), alors qu’ils sont 45 % en écoles d'ingénieurs où l’on trouve davantage d’enfants d’agriculteurs (17,3 %).

    Or, les revenus parentaux déclarés par les enfants d’agriculteurs sont nettement supérieurs à ceux indiqués par les enfants d’ouvriers (28,3 % des élèves ingénieurs enfants d’agriculteurs déclarent des revenus parentaux mensuels de 3 000 euros ou plus, ce taux est de 20,2 % pour les élèves enfants d’ouvriers).

    Les parents des élèves ingénieurs issus des classes populaires disposent ainsi de moyens plus importants pour aider leurs enfants à poursuivre des études longues qui se caractérisent d’ailleurs par un emploi du temps chargé ne laissant guère la place au travail rémunéré.

    En effet, les versements parentaux dont profitent ces élèves sont nettement plus importants que pour les étudiants d’origine sociale modeste inscrits en université (en moyenne 321 euros par mois contre 145 euros).

  11. #131
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    Il y a un dénominateur commun dans ces écoles : Les Français de souches viennent de familles pauvres ou familles de la classe moyenne, très peut viennent de familles riches.
    (...)
    Le constat que je fais de tout ça, c'est que dans les faits, la majorité des Français de souche, sont comme à mon époque : des familles pauvres ou de classe moyenne.
    Dans les faits il y a assez peu de Français de souche en France qui soient riche, comme ceux que tu cites, au point de graviter dans l'univers des ambassades.
    Ben voyons :
    Grandes écoles : six chiffres qui montrent le manque de diversité

    64 % des effectifs sont issus d'un milieu très favorisé

    Les étudiants issus de CSP très favorisées (cadres et assimilés, chefs d'entreprise, professions intellectuelles et professions libérales) représentaient 64 % des effectifs des grandes écoles en 2016-2017, alors qu'ils ne constituaient que 23 % des jeunes de 20 à 24 ans.

    Et si on zoome sur les écoles les plus sélectives, leur part explose : huit étudiants sur dix sont d'origine sociale très favorisée. C'est l'exact miroir inversé de leurs homologues issus de milieux défavorisés. (...)

    Plus étonnant : la sous-représentation des étudiants des CSP moyennes, c'est-à-dire les enfants d'employés, d'agriculteurs, d'artisans ou de commerçants.
    Cette catégorie sociale « ne constituait que 18 % des effectifs des grandes écoles en 2016-2017 contre 27 % des jeunes de 20 à 24 ans », écrivent les chercheurs.

  12. #132
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    J'ai bien compris que tu cherches tous les prétextes possibles et imaginables pour vomir ta haine du male blanc hétéro, navré que tes névroses te bloques à ce point dans cette forme de racisme.

  13. #133
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    Citation Envoyé par HaryRoseAndMac Voir le message
    Là ou j'ai du mal avec ton retour d'expérience, c'est que tu es biaisé car, comme tu le dis toi même, tu viens d'une famille riche, tu as grandit un dans un microcosme, avec une classe faite pour les gens comme toi, avec des gens comme toi et j'en passe, mais ton expérience ne représente pas la majorité de ce qu'il se passe en France et encore moins dans les "grandes" écoles.
    Je n'ai jamais prétendu le contraire, il y a meme un moment où je dit que nos deux expériences ne se contredisent pas forcément.
    Par contre je n'ai clairement pas fait une grande école d'ingénieurs, si je m'en réferre à ce classement mon école se retrouve en page 5 (entre 80 et 100), loin derrière Epita, centrale (au moins 3 dans le top 20) ou les mines (2 dans le top 20)

    Citation Envoyé par HaryRoseAndMac Voir le message
    Il y a un dénominateur commun dans ces écoles : Les Français de souches viennent de familles pauvres ou familles de la classe moyenne, très peut viennent de familles riches.
    Les Français "d'origines", viennent de familles pauvre à 50% et le reste de familles riches.
    Les Français immigrés, viennent à 90% de familles riches et le reste viennent de familles pauvres, très peu de classe moyenne dans cette population.
    La classe moyenne étant majoritaire la regrouper avec les familles pauvre n'a pas tellement de sens. Je pourrait autant dire : Les Français de souches viennent de familles riches ou familles de la classe moyenne, très peut viennent de familles pauvres.
    Je trouve la séparation francais de souche/étranger peu pertinente (déjà parce qu'il manque les Francais "pas de souche) parce que les étrangers viennent souivent d'une élite intellectuelle qui a intégré l'internationnalisation donc ils s'intègrent plus facilement dans cet environnement qu'un fils de déménageur.
    La seule école ou j'ai vu en majorité des "fils de/filles de" de ma vie, c'était à l'école polytechnique, mais ces gens derrière dans la grande majorité se retrouvaient dans des emplois du type "armée", donc on ne peut pas comparer cette population avec celle de la vie de tous les jours.
    Je ne suis qu'un fils d"ingénieur calcul vibratoire expatrié
    Ayant suivi un parcours scolaire francais à l'étranger j'ai cotoyé des fils d'ambassadeur etc mais je n'ai jamais eu leur conditions de vie et j'étais un peu le pote sympa qui leur montre que dans la vraie vie le personnel de maison n'existe pas, qu'il n'y a qu'une télé par maison, qu'une voiture ça s'achète etc...
    Oui mes père était très bien payé, oui je n'ai jamais manqué de grand chose quand j'étais sous leur tutelle mais mes parents n'ont jamais été riches que de leur travail, ils ne se sont jamais enrichis sur le dos des autres (boursicotage, location, voiture/logment/etc de fonction)

  14. #134
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    L'erreur est de considérer que chacun est capable d'exercer nos métiers. Ceci indépendamment du sexe. J'ai travaillé 25 ans en collaborant avec des femmes, dont sept sous la direction directe de l'une d'elles.
    Conclusion : Il y en a autant de mauvaises que d'hommes, et les excellentes sont aussi rares que les excellents.
    Avec une remarque, la maternité fiche quand même un coup à leur productivité et donc à leur carrière. J'ai l'impression que c'est assez naturel, décider de faire un enfant entraîne certaines conséquences à long terme chez elles, moins chez les hommes, passées les cinq minutes indispensables.
    Mais aujourd'hui, je ne suis plus sûr de rien !

  15. #135
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    Citation Envoyé par TJ1985 Voir le message
    décider de faire un enfant entraîne certaines conséquences à long terme chez elles, moins chez les hommes, passées les cinq minutes indispensables.
    Le fait que ça ait plus de conséquences pour les femmes que pour les hommes est culturel. Au delà des quelques mois de remise en forme phyisque et de l'allaitement.
    J'ai 2 couples d'amis où avoir des enfants à bien plus impacter l'homme que la femme, le premier parce qu'il a plus la fibre paternel qu'elle la fibre maternelle, le deuxième parce que son métier (à elle) ne laisse pas de liberté sur les horaires donc il assure cette souplesse.
    Ce n'est clairement pas la majorité mais ça existe et ces couples ne sont pas du tout les plus progressistes que je connais.

  16. #136
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    Citation Envoyé par TJ1985 Voir le message
    L'erreur est de considérer que chacun est capable d'exercer nos métiers. Ceci indépendamment du sexe.
    Je ne comprend pas ce que vous voulez dire. Juste après vous dites que les femmes ne sont pas meilleures et pas pires que les hommes.
    Il y a aucun job dans l'industrie de la technologie qui n'est pas accessible aux femmes.

    Citation Envoyé par TJ1985 Voir le message
    Avec une remarque, la maternité fiche quand même un coup à leur productivité et donc à leur carrière.
    Ça dépend.
    Il existe des femmes carriéristes qui retournent vite à fond dans le boulot.
    Mais elles ne peuvent pas le faire trop vite non plus :
    Il est interdit d'employer la salariée pendant une période de huit semaines au total avant et après son accouchement.
    Il est interdit d'employer la salariée dans les six semaines qui suivent son accouchement.
    Citation Envoyé par TJ1985 Voir le message
    J'ai l'impression que c'est assez naturel, décider de faire un enfant entraîne certaines conséquences à long terme chez elles
    Ça dépend :
    « Avoir fait des enfants est ma plus grosse erreur » : le regret maternel, douloureux et encore tabou
    Laura, qui aime ses deux enfants, âgés de 2 et 4 ans, regrette pourtant d’être mère. Comme des dizaines d’autres femmes – une centaine au total – qui ont répondu à notre appel à témoignages diffusé sur Le Monde.fr, cette chef de projet dans le marketing ferait le choix de ne pas avoir d’enfant si elle pouvait revenir en arrière. Toutes racontent avoir découvert la maternité comme on ouvre la boîte de Pandore : une succession d’obligations et de devoirs auxquels elles doivent faire face malgré elles, où l’amour, bien présent, ne suffit pas à compenser la perte d’insouciance et de liberté ressentie. Beaucoup disent se sentir « prises au piège », « prisonnières » d’un statut auquel elles ne peuvent échapper.
    On entend plus parler des femmes qui veulent faire passer leur carrière avant tout que des femmes qui veulent mettre en pause leur carrière pour s'occuper des enfants.
    Keith Flint 1969 - 2019

  17. #137
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    Citation Envoyé par totozor Voir le message
    Le fait que ça ait plus de conséquences pour les femmes que pour les hommes est culturel. Au delà des quelques mois de remise en forme phyisque et de l'allaitement.
    J'ai 2 couples d'amis où avoir des enfants à bien plus impacter l'homme que la femme, le premier parce qu'il a plus la fibre paternel qu'elle la fibre maternelle, le deuxième parce que son métier (à elle) ne laisse pas de liberté sur les horaires donc il assure cette souplesse.
    Ce n'est clairement pas la majorité mais ça existe et ces couples ne sont pas du tout les plus progressistes que je connais.
    Ca reste très rare, mais il y a quand même une apparition d'hommes au foyer, et c'est très bien. D'ailleurs même ici je n'ai pas vu beaucoup de plaintes sur le fait que le congé paternité avait été allongé et que dans les faits même si c'est très peu usité ça peut aussi bien être le père que la mère qui se met en congé parental.

  18. #138
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    Citation Envoyé par Ryu2000 Voir le message
    Je ne comprend pas ce que vous voulez dire. Juste après vous dites que les femmes ne sont pas meilleures et pas pires que les hommes.
    Il y a aucun job dans l'industrie de la technologie qui n'est pas accessible aux femmes.
    C'est vous qui spécifiez. Lorsque je dis que tout le monde ne peut pas être informaticien, c'est vous qui y trouvez une indication de sexe !

    Je veux dire que l'informatique que j'ai pratiquée est un métier de passion, qui occupe tout une vie, occupe notre mental à temps complet, que nous soyons homme ou femme.

    Puis, lorsque je dis que l'impact de la maternité est plus important chez la femme, c'est d'expérience : Du jour où une femme commence à se poser LA question, l'interrogation va prendre une place de plus en plus grande dans sa vie. Si elle se met enceinte, sa biologie et donc ses axes de réflexion se modifieront radicalement, au moins pendant une année. C'est inéluctable et naturel. Et ça n'a pas d'équivalent chez l'homme, quoiqu'on en dise.

    Ça ne veut pas dire non plus qu'une mère est incapable de poursuivre une activité professionnelle en ayant des enfants, par contre celles avec qui j'ai travaillé ont toutes fait un choix : Un enfant et carrière, ou plusieurs enfants et juste un travail.

    C'est un constat.

  19. #139
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    Citation Envoyé par TJ1985 Voir le message
    Si elle se met enceinte, sa biologie et donc ses axes de réflexion se modifieront radicalement, au moins pendant une année. C'est inéluctable et naturel.
    Ça dépend.
    Déjà il existe des dénis de grossesse, il y a des femmes qui apprennent vraiment tard qu'elles sont enceinte (et d'un coup leur corps change).
    Déni de grossesse : une femme accouche deux heures après avoir appris qu'elle était enceinte
    Et après l'accouchement il y a des femmes qui ne pensent qu'au travail.

    Alors ouais normalement il y a des histoires d'hormones qui font que la mère change, mais apparemment ça ne fonctionne pas dans 100% des cas.

    Citation Envoyé par TJ1985 Voir le message
    un choix : Un enfant et carrière, ou plusieurs enfants et juste un travail.
    Si certains couples avaient des revenus beaucoup plus élevé peut-être qu'ils embaucheraient quelqu'un pour s'occuper des enfants et se mettraient à fond dans leur carrière.
    Aujourd'hui on entend beaucoup parler des femmes qui préfèrent le boulot que les enfants.
    Keith Flint 1969 - 2019

  20. #140
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    Citation Envoyé par TJ1985 Voir le message
    Ça ne veut pas dire non plus qu'une mère est incapable de poursuivre une activité professionnelle en ayant des enfants, par contre celles avec qui j'ai travaillé ont toutes fait un choix : Un enfant et carrière, ou plusieurs enfants et juste un travail.
    C'est un constat.
    Je suis d'accord avec ce constat mais je penses qu'il n'y a pas grand chose de naturel la dedans, il y a surtout notre culture qui dit que l'homme doit apporter l'argent et la femme (le complément d'argent ET) s'occuper des enfants.

    Et attention les femmes ne sont pas les seules victimes de pression sociale, combien de "queutards" sont soudainement devenu des canards à 30 ans, se marriant à la première venue, ayant une maison, un chien, un enfant dans la foulée mettant plein de photos de leur bonheur à leur bureau.
    Puis les photos de leur femmes se transforment en photos de leur sport favori, leur métier (qui n'a pas changé) se met suvitement à imposer des missions et dans 5 ans ils divorceront d'une femme qu'ils n'ont jamais vraiment aimé.

    Citation Envoyé par Ryu2000 Voir le message
    Si certains couples avaient des revenus beaucoup plus élevé peut-être qu'ils embaucheraient quelqu'un pour s'occuper des enfants et se mettraient à fond dans leur carrière.
    Aujourd'hui on entend beaucoup parler des femmes qui préfèrent le boulot que les enfants.
    Je me pose sérieusement une question : pourquoi faire des enfants si c'est pour ne pas s'en occuper?
    La plupart des couples que je connais ont une nounou ou un organisme capable de les garder pendant leurs horaires de travail mais à 17h30 (heure prise au pif) c'est fini.
    Je ne connais qu'un couple qui a une personne à la maison qui s'occupe de leur fille tant qu'ils ne sont pas à la maison. Mon constat est simple : ils ont un tamagotchi qu'ils peuvent sortir en société pour briller mais dès qu'ils rentrent à la maison, ils la mettent dans un coin en espérant qu'elle ne fasse pas trop de bruit. Et si elle se met à pleurer "Camille, totozor, vous pouvez voir pourquoi elle pleure".

    Je n'ai sincèrement pas de problème qu'une femme priorise sa carrière aux fait d'avoir des enfants mais alors allez au bout de votre raisonnement : ayez un père au foyer ou ne faites pas cet enfant qui sera un poids pour vous.
    Attention comparaison hasradeuse : Quand on a un chien on doit s'en occuper (le sortir 1h par jour, jouer avec lui etc), et bien un enfant c'est pareil mais ça vie plus longtemps, ça doit faire ses devoirs, et parfois meme invité des amis à la maison

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