Il n'y a que les bobos qui sont assez cons pour se dire que les gilets jaunes sont des gros pollueurs et veulent faire aucun effort pour la planète.
Ça n'a bien entendu strictement rien à voir !
L'augmentation des taxes sur le carburant c'est juste la goûte d'eau.
La limite à été dépassé, c'est comme en Grèce quand il y a eu les émeutes avec la manifestation contre l'austérité.
Le gouvernement ne fait rien pour l'écologie.
Pousser les gens à acheter une voiture électrique, ça pollue plus que de garder sa vieille Diesel et en plus le prix du kWh va augmenter !
Les transports en commun sont toujours hors de prix (regardez le prix d'un billet de train c'est effrayant).
Il est peut-être arrivé que quelqu'un mette un gilet jaune dans sa voiture en espérant passer les barrages plus vites.
Mais il n'y a plus de blocage, et cette technique ne marche pas forcément, j'ai vu des voitures avec des gilets jaunes se faire arrêter pendant les précédents actes.
Si quelqu'un fait ça il n'est pas 100% en désaccord avec les gilets jaunes.
Si vraiment tu les détestes, tu ne va pas une seconde porter leur symbole.
Les sondages disent que la majorité du peuple soutien le mouvement.
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Macron essaie de mettre la faute sur Edouard Philippe :
«Gilets jaunes» : Macron annule la hausse des taxes et corrige Philippe
Donc au lieu de décaler de 6 mois ça va être décalé de 12 moisL'Élysée a finalement décidé d'abandonner purement et simplement l'augmentation prévue en 2019. Un véritable désaveu pour le premier ministre.
Les divergences larvées viennent d'éclater au grand jour. Entre Emmanuel Macron et Édouard Philippe, rien ne va plus. «Il y a une différence de ligne entre eux qui n'est plus tenable», lâche un pilier de la majorité. Et pour cause, moins de 24 heures après l'annonce par le premier ministre d'une pause fiscale de six mois sur les carburants, l'Élysée a annoncé mercredi soir l'abandon pur et simple de l'augmentation initialement prévue. «Le président a compris que cette notion de moratoire était considérée par les gens comme une demi-mesure, et il a considéré qu'on n'avait pas le droit de laisser entendre cela. Il fallait aller un cran plus loin», expliquait dans la soirée l'un des plus proches conseillers du chef de l'État.
Au même moment, l'Assemblée nationale achevait pourtant sa cinquième heure de séance et s'apprêtait à voter largement la déclaration d'Édouard Philippe, qui s'en remettait encore à une «solution (...) issue du débat». Autrement dit, le premier ministre laissait ouvertes les deux options, y compris celle d'un rétablissement de la hausse de la fameuse «taxe carbone». Ce qui n'est pas l'avis de l'Élysée. «Sauf idée de génie, dans six mois, on n'y reviendra pas. Pour l'instant, on ne peut pas dire qu'elle est “suspendue”, puisqu'elle n'existe pas. On emploie donc le terme d'“annulation”», assure le Château. Bref, deux sons de cloche très différents au plus haut sommet de l'État.
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