C'est donc une victoire écrasante du rat des champs sur les rats des villes.
(Ami lecteur un signe kabbalystique se trouve dans cette image dans cette image, sauras-tu le retrouver)
Nous ne devons pas oublier de saluer la performance extraordinaire du Labour qui après avoir eu le courage de trahir ses promesses de campagne sur un second référendum, donc ses électeurs, n'hésita pas à se travestir en un monstre de démagogie promettant monts de merveilles, des happy hours gratuits, de l'argent pour tous et même de pouvoir scander "morts aux juifs" à Londres, tout en ramenant le droit du travail au niveau du droit du travail européen, c'est à dire à rien. Un programme conçu pour plaire aux jeunes londoniens et aux jamaïcains, mais même le BNP n'y a pas crut.
Monsieur Jeremy Corbyn, l'histoire vous jugera injustement comme un sinistre imbécile mais la démocratie britannique vous doit beaucoup.
Finit les tergiversations interminables, finit les aller retours à Bruxelles des députés et de leurs assistants pour aller chercher les valises de billets et promettre la justice sociale, mon cœur saigne pour eux.
Le seul risque, maintenant que les marchés ont acté à la hausse, est bien sur que le premier ministre massacre les fabricants d'automobile allemands ou les éleveurs de cochons avec des droits de douane prohibitifs au prétexte fallacieux de rétablir sa balance commerciale, et que les éleveurs bretons ne défilent sur Paris ou même Bruxelles, ce qui pourrait écorner l'image de notre petit timonier pourtant au Zenith.
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