Donc plutôt que de donner des moyens à la justice, on passe outre, quitte à ce que cela pose quelques soucis ? Non, ça ne me convient pas.
Aujourd'hui le terrorisme et la pédophilie, demain quoi ? Ce précédent est une faille énorme, qui ne sert absolument à rien. Quant aux surveillants, qui les surveille ? Qui vérifie qu'ils n'ajoutent pas un site dans la liste ? Alors oui, c'est interdit, c'est écrit dans le décret. Mais le numéro 2 de la police des polices (IGPN) ne vient-il pas d'être suspendu dans le cadre de l'affaire qui secoue le quai des orfèvres ?Je suis plutôt pour, tant que ça reste limité à des domaines exceptionnellement graves comme la pédophilie ou le terrorisme, avec des organismes spécialisés, contrôlés et dont les compétences ne peuvent déborder sur d'autres domaines. Et oui, je suis d'accord que la frontière est floue et qu'il faut rester extrêmement vigilants sur les dérives potentielles d'un tel système...
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