Discussion :








En France, le taux de chômage est de 9,8-10%.
L'idéal, ce serait de savoir quel est le taux de chômage :
- chez les informaticiens en général
- par catégorie d'informaticiens (ex : Développeur, DBA, Admin réseau...etc)
- niveau + fin : par catégorie de Développeur (DOT.Net, VBA, C++, Python...)
Le tout mixé avec des critères de géographie, de H/F, d'âge, d'ancienneté etc...
Cela fait belle lurette que les codes ROME sont obsolètes. Et pour cause, cela peut donner un appui à PE pour pousser un chômeur a essayé de trouver un poste qui n'est pas dans son domaine. C'est vrai qu'aller à l'autre bout de la France pour postuler pour du COBOL alors que je fais du Fortran, en sachant sciemment que je vais me faire rembarrer, ça n'amuse personne.
Par contre, la multitude de techno n'a pas son lot à voir. Si j'ai travaillé sur un ERP déployé chez 10 clients seulement, je vais quand même pas avoir ça dans ma segmentation. Que sera la base du référentiel des technos ? Peut-on mélanger .NET et java ? VB.NET et C sharp ?
- So.... what exactly is preventing us from doing this?
- Geometry.
- Just ignore it !!
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"The longer he lived, the more he realized that nothing was simple and little was true" A clash of Kings, George R. R. Martin.
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Quand arrivera l'apocalypse, il restera deux types d'entreprise : les pompes funèbres et les cabinets d'audit. - zecreator, 21/05/2019
Surprenant !
J'entendais encore hier qu'une société en recherche d'embauche d'une trentaine de développeurs avait prospecté en Suisse, en Autriche et en France pour combler son déficit sans succès. Il y a vraiment un truc qui ne colle pas.
Peut-être qu'avec la loi travail, ils demandent maintenant à ce que les ex-salariés rémunèrent leurs patrons pour avoir l'honneur et le privilège de pouvoir bosser tous les jours ?
Quoi qu'il en soit, il y en a forcément qui nous racontent des conneries.![]()
Bonjour,
De mon point de vue l'explication est simple. les SSII représentent le mal de notre métier, on les fuit autant que possible et si on y est, on part dès qu'on a assez d'expérience et une autre proposition. La société dont tu parles semble être ce genre d'entreprise non ? si c'est le cas tout s'explique pour moi.
Ils ont beau chercher des dev, il ne trouverons pas, on les fuit comme la peste. Et donc le chômage, au mieux, ne diminue pas.
Bon je ne généralise pas non plus, il y a des SSII avec une vraie éthique et des dev qui adorent bosser dans ces conditions, mais je pense pas être trop loin de l'idée générale.
Disons que lorsque l'on parle de la demande (le chomage), il ne faut pas oublier de regarder l'offre... (la qualité des offres d'emplois)
J@ck qui n'a jamais été en SSII![]()
Une société qui cherche 30 développeurs, c'est soit une énorme boite, soit très inquiétant. Si elle est capable d'aller chercher dans 3 pays sans avoir de bureaux dans ces pays, là encore, c'est inquiétant -- ou alors elle a des besoins super-spécifiques et elle est prête à payer très cher.
À moins que ce ne soit une grosse SSII, auquel cas il est logique qu'elle est autant de postes, et que le fait de recruter n'importe où pour bosser ailleurs ne soit pas un problème.
Pour ce qui est du double discours, il s'explique en partie par l'inadéquation entre les offres et les demandes. Non, la plupart des gens ne sont pas intéressés pour bosser au SMIC à 2h de chez eux sur des technologies dont ils n'ont jamais entendu parler en engraissant un commercial inutile au passage. Mais pour comprendre ça, il faut aller plus loin que juste le graphique, et connaître les spécificités de la branche que l'on regarde.
Il y a plusieurs choses :
A l'époque, déjà ancienne, où je scrutais les annonces de l'ANPE, rubrique informatique, j'y voyais des choses bizarres :
a) rien en ce qui concerne l'informatique commune (langages usuels, bases de données) mais des "trucs" abscons et "embarqués" (dont on ne sait même pas dans quelle galère)
b) des exigences de formation "grande école d'informatique exigée"
c) des exigences linguistiques "anglais courant lu et parlé exigé". Tous les grands logiciels sont traduits et ce ne sont pas quelques mots d'anglais qui font peur à un informaticien mais une telle exigence... A moins que le poste à pourvoir ne se trouve pas en France...
d) des qualifications fourre-tout et contradictoires : on demande à la fois de connaître des serveurs Windows, des serveurs Linux (on connait l'un ou l'autre, pas les deux) les logiciels bureautiques (Word, Excel). Un administrateur de système ne fait pas du traitement de texte ordinairement, que je sache.
Ma curiosité piquée j'avançais masqué et je répondais à ces annonces avec des gros mensonges pour voir de quoi il en relevait (car il n'y avait jamais le nom de ces boîtes sur les annonces de l'ANPE). Bien sûr je n'obtenais jamais de réponses.
Je finissais par me demander s'il n'y avait pas là derrière un robot programmé (mal) pour générer des annonces aux profils contradictoires. Peut-être par l'ANPE elle-même qui utilise plus les chômeurs pour justifier leurs salaires d'inutiles que pour leur trouver un job.
@Chauve Souris : ça n'a pas changéet je t'envie de vivre au Paraguay
IL y a un paquet de métiers ou tu gagnes bien mieux ta vie que en info ... quant au patronat je ne m’inquiète pas trop pour lui
C'est devenu comme ca on prends un paquet de bac + 5 scientifique qui crèvent la faim , 3/6 mois de formation et Roule ... Promotion suivante .....
La pseudo pénurie permet :
- De Virer plus facilement : "Il y a une pénurie, t’inquiétes pas tu as un bon profil, tu retrouveras facilement, .....".
- De Facturer un Max aux clients: 'Il y a une pénurie, On ne peut pas baisser nos tarifs, On ne trouve pas de profils, ......".
- De refourguer N'importe quel profil aux clients : " Il y a une pénurie, c'est un scientifique, on lui à fait 6 mois de formation, .... ".
- De taxer de la subvention à l’État ; " il y a une pénurie, Nous on peut l'embaucher et le former mais faut nous aider financièrement avec des aides ..."
- De refourguer de la formation a l’État : '" il y a une pénurie, nous on a des formations a vous vendre pour former les chômeurs .....".
- De refourguer de l’école d’ingénieurs privés aux parents : " il y a une pénurie, Offrez 5 ans d’études payantes à vos enfants, leurs avenirs professionnel est assuré ....."
Le discours sur la pénurie permet aux viandards de maintenir un turnover important.
Bref c'est la pénurie.
Ici il y a un job possible, mais je n'ai encore rien tenté, faire des micro sites Web.
L'Internet normal (ADSL) est dégueu et trop limité dans sa couverture (il faut être dans un cercle de 600 m autour de l'agence de COPACO où les lignes téléphoniques passent dans la fibre optique et tout ça pour avoir un somptueux débit de 8 Mbps, 7,4 chez moi en réalité). Ceci dit tous les paraguayens ont leur téléphone mobile à la main, ils ne pourraient pas vivre, surtout les femmes, sans leur fesse bouc. Donc sur ces ustensiles un Internet peu performant est possible aussi.
Autre point qui m'amène à mon idée : il est impossible de trouver un professionnel en faisant une requête Web via Google vu l'absence de sites. Par chance j'en ai trouvé pour remplacer ma vieille imprimante laser HP par une nouvelle Brother, mais pour le reste, non informatique, nada. Par exemple je cherchais un transporteur pour déménager quelques gros objets. Rien ! Il a fallu faire le tour de plein de gens pour leur poser des questions à ce sujet.
En conséquence de quoi, il m'est venu dans ma petite tête l'idée de faire des micro sites Web de présentation pour des professionnels. Par exemple, dans le cas précédent, qui m'avait fait chercher beaucoup, un site pour le transporteur, qui il est (photo de la frimousse du patron), où il est (un petit plan Google Maps) son phone, son e-mail (on peut même intégrer sur le site un formulaire de demande de renseignement) le (les) camion(s) dont il dispose et leurs caractéristiques. Pas compliqué, donc pas cher, et ce brave transporteur sera automatiquement référencé par Google si on cherche "transportista" suivi du nom du patelin.
Et faire un site de ce genre ne sera pas bien cher pour le client. Et, ici, tout ce que tu gagnes sera pour ta pomme.
Je ne veux pas être hors-sujetmais maintenant c'est un chouïa différent
Les offres abreuvent de langages/ bibliothèques/ cadriciels, de buzzwords (devops, big data, blockchain, ...) de méthodes agiles/ de processus continus/ d'outils (jenkis, git, ...).
Tellement, qu'une offre avec des "trucs" abscons et "embarqués" soit devient suspecte (offre à tout grain) soit est pour un poste sur de vieilles technologies.
Pour les diplômes c'est aussi clivant : si une offre demande une grosse formation c'est pour un poste de manager/ expert dans un secteur de niche/ chef de quelque chose.
J'ai déjà vu sur une offre : "l'expérience prime sur le diplôme". Mais bon c'était pour un poste technique, développement Web.
Et d'ailleurs, lorsque je dis expert dans un secteur de niche, c'est souvent pour une jeune pousse (startup) qui croit révolutionner le monde (on cherche un docteur Bac+7 mathématiques pour notre nouveau logiciel de sécurité qui tue sa race)
Et enfin, en plus de l'anglais, il y a de plus en plus de gestion de projets (plus ou moins importante). C'est d'ailleurs comme l'anglais.
Dans une société, le développeur est souvent le techos qui parle à son ordinateur, travaille très souvent en groupe, et qu'on va déranger à bon escient.
Donc de là, à lui donner un contact avec le client ou avec les équipes transverses, je n'y crois pas beaucoup.
Ou alors soit tu es dans une boite à tout faire soit tu n'as pas le bon salaire![]()
C'est la question que je me pose et j'ai vu ces "études" en Belgique. Je suis dans l'informatique depuis +10 ans en tant qu'admin. système et voulant changer de cap, j'ai décidé de me reprendre un bac en informatique de gestion pendant 4 ans en cours du soir.
Je passe mon cas car c'est une reconversion et j'ai déjà un emploi, mais on a terminé en juin et sur une classe de 20 personnes et seules 2 personnes ont trouvé un poste de développeur.
Je pense qu'un gros problème vient de la formation et d'un programme non aligné à la demande "réelle" du marché et ses besoins. Un exemple, une grosse partie du bac était en java ee mais pas d'hibernate ou de spring au programme...Bref deux choses qu'on retrouve dans l'ensemble des annonces...
Un autre problème vient peut être du fait que les entreprises ne forment plus les juniors ou alors sont de moins en moins disposées à le faire. C'est facile de crier qu'il y a un manque mais plus difficile (moins rentable?) d'aller chercher quelqu'un et de le former pour le lancer dans le cycle.
Un autre troisième souci provient très certainement du recrutement qui subit de plus en plus d'amateurisme. Pas plus tard que la semaine passée, j'ai été contacté par une personne pour un poste de développeur java, cette personne avait mon cv et après avoir répondu que je pouvais être intéressé par le poste, celle-ci m'a renvoyé par mail "pas d'expérience probante" alors qu'elle m'avait elle-même contacté quelques minutes avant.
Bien entendu, c'était pour un poste de junior (peut-être avec 5 ans d'expérience ;-)...Bref, pour me faire une idée, j'ai décidé de voir moi-même l'expérience de cette recruteuse sur linkedIn et elle est passée d'un poste de commerciale d'une marque de cosmétique à un poste de manager de rayon pour se retrouver spécialisée dans le recrutement IT.
Il ne s'agit ici que d'un récit parmi d'autres et je ne blâme pas les capacités des recruteurs car à côté de ça, certains sont de vrais pros du recrutement informatique mais ça devient rare.
Pôle emploi : le chômage chez les développeurs et informaticiens toujours à la hausse en septembre 2017,
avec un taux de +9,18 % en un an
La récente hausse (+9,57 %) du chômage chez les développeurs et informaticiens constatée à la fin du mois d'août dernier et que nous vous annoncions semble se confirmer en cette fin du mois de septembre 2017. En effet, Pôle emploi a dernièrement publié son bulletin mensuel sur le nombre de demandeurs d’emploi enregistré à la fin de ce mois de septembre en France. Cette publication, comme vous le savez, permet de faire un point sur l'évolution du chômage au cours de ces derniers mois en France et particulièrement chez les informaticiens et développeurs. Il convient toutefois de rappeler que les demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi sont classés en catégories A (sans emploi), B (ceux qui exercent une activité réduite courte : moins de 78 h dans le mois) et C (ceux qui exercent une activité réduite longue : plus de 78 h).
Les informations fournies par Pôle emploi montrent qu'à la fin du mois de septembre 2017, en France métropolitaine, parmi les personnes inscrites à Pôle emploi et tenues de rechercher un emploi (catégories A, B, C), 3 475 600 sont sans emploi (catégorie A) et 2 140 300 exercent une activité réduite (catégories B, C), soit au total 5 615 900 personnes.
Cela dit, les statistiques relatives à l'évolution du nombre de demandeurs d’emploi en France métropolitaine se présentent comme suit :
- Catégorie A : sur trois mois, il y a eu une légère baisse de 0,2 % (- 7600 personnes sans emploi). Sur un mois, un recul de 1,8 % (soit - 64 800 personnes sans emploi) a été enregistré alors que sur une période d'un an, on a enregistré un léger recul de 0,5 % ;
- Catégories A, B et C : d'une manière générale, il a été constaté qu'à la fin du mois de septembre, le nombre de demandeurs d'emploi a augmenté sur trois mois de 1,0 % (+ 53 300 personnes). Cependant, ce nombre a respectivement connu une chute de 0,5 % (- 30 100 personnes) en un mois et une nette croissance de 2,6 % en une année.
Du côté des informaticiens et développeurs, comment se présente la situation ? Cette dernière est-elle meilleure que celle présentée pour la France en général ? Il convient de rappeler, comme le montrent les statistiques du premier trimestre et du deuxième trimestre de l'année 2017 publiées par Pôle emploi, que le taux de chômage enregistré pour ce groupe est généralement en dessous du niveau général . Pour apporter des éléments de réponse à cette interrogation, nous nous sommes intéressés au nombre de demandeurs d’emploi dans le métier M1805 (Études et développement informatique) et son évolution est illustrée par le graphique ci-après :
Évolution mensuelle du nombre de développeurs et informaticiens demandeurs d’emploi par catégories (basés sur nos calculs à partir des données de Pôle emploi).
L'exploitation du graphique ci-dessus indique que le nombre d’informaticiens et développeurs sans emploi (catégorie A) est passé de 17 410 à 17 440 en un mois, soit une légère variation à la hausse de 0,17 % (+ 30 personnes). Sur trois mois, on constate que ce nombre a évolué de +6,67 % (+ 1090 personnes) . Remarquons également que sur un an, le nombre de demandeurs d'emploi dans cette catégorie a augmenté de 8,19 % (+1320 personnes par rapport au mois de septembre de l'année 2016 où on dénombrait 16 120 demandeurs).
Le nombre total de développeurs et informaticiens demandeurs d’emploi (sans emploi ou exerçant une activité réduite : catégories A, B et C), quant à lui, passe de 21 520 personnes à 22 010 en un mois, soit une hausse de 2,28 % (+490 personnes). Sur trois mois, il a également connu une hausse de 6,59 % (+1360 personnes). Signalons également que sur un an, ce nombre est en hausse de 9,18 % (+1850 développeurs et informaticiens demandeurs d’emploi comparé au mois de septembre 2016 où on comptait 20 160 demandeurs).
En conclusion, l'analyse du graphique ci-dessus montre que sur les trois derniers mois, le nombre de développeurs et informaticiens demandeurs d’emploi croît progressivement. L'analyse des statistiques sur l'année fait apparaître que le taux de chômage chez les développeurs et les informaticiens continue d'être plus important que le niveau général avancé par Pôle emploi, ce qui voudrait dire que le chômage chez les informaticiens avance plus rapidement.
Source : Pôle emploi - Demandeurs d'emploi inscrits à Pôle emploi en septembre 2017
Et vous ?
Que pensez-vous des statistiques de Pôle emploi ?
Comment expliquez-vous cette tendance à la hausse du chômage des informaticiens ?
Voir aussi
Pôle emploi : le chômage en hausse chez les développeurs et informaticiens durant l'été 2017, soit une hausse de 9,57 % en un an
Pôle emploi : le chômage recule légèrement chez les développeurs et informaticiens au deuxième trimestre, mais grimpe de 7,8 % en une année
Pôle emploi : le chômage recule chez les développeurs et informaticiens à la fin du premier trimestre 2017, mais est en hausse de 4,5 % en un an
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Pendant ce temps, on a du mal à trouver des développeurs à Québec...
encore une fois c'est une argumentation qui est biaisée quand elle n'est pas carrément faussée..
oui on a certainement du mal à recruter des devs à Québec mais le marché de l'emploi n'est pas très grand et encore une fois n'est pas extensible à l'infini.
Parce qu'il y a un nombre d'entreprises limitées.
Il faut voir le nombre de postes qui sont réellement à pourvoir.
Si ce n'est qu'une cinquantaine et que dans une dimension strictement locale il n'y a que 50-100 candidats oui ça fait une problématique de l'emploi, un marché "en tension" comme on dit dans la novlangue..
Mais ça ne laisse pas de place à de nouveaux arrivants.
C'est comme la notion de réferentiel en science physique..je suis dans une voiture la perception du paysage que j'ai n'est pas du tout la même que si j'étais au bord d'une route à voir passer des voitures
Et en définitif j'en reviens à la même conclusion pour le marché de l'emploi français.

Je croyais pourtant que c'était le côté financier qui gérait les possibilités, même de l'embauche...
Utopie ou pas, Une base + des gratifications + des primes + heures sup, il faut bien les payer, salaires obliges...
Même les gouvernements ne "fabrique" pas des valeurs bancaire imaginaire qu'ils n'ont pas... L'espèce, il y en a pas infiniment et les moyens d'en avoir non plus.
Le bitcoins... Là vous savez surement mieux que moi...
Bénévolats ? Surement une expérience à vivre sans trop se soucier de l'avenir du monde...
Etes-vous cadres ?
Si oui, une bonne nouvelle pour les 30 mois à venir chez les jeunes et séniors, d'après le JT de TF1, je précise, plus d'embauches que de chômeurs.
c'est exact ; c'est pour cela qu'en France ou au Québec le marché de l'emploi et le potentiel économique des entreprises présente en définitif des périmètres restreints
Une entreprise de hi-tech américaine peut vendre ou effectuer des prestations sur un marché de 300millions de consommateurs + le reste de la planète
Donc qu'une entreprise américaine embauche 10 ou 20 informaticiens cela ne change rien au niveau du chiffre d'affaire, le marché est vaste...
Et ça permet d'industrialiser un projet informatique de mettre des testeurs, des architectes etc...
pour ce qui est du marché français les ressources sont plus limitées
Quoique les américains eux aussi ont tendance à vouloir maitriser leurs coûts et délivrer des visas H1B à des indiens et autres
Les USA c'est pas l'eldorado forcément ; cependant il y a des mégas boites dans la Silicon Valley
@mr Chauve-Souris il y a aussiBlack et Decker: je ponce donc je suis
Mais ne dérivons pas du sujet principal merci !![]()
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