[Je repars un peu en arrière parce que je m'aperçois que j'avais oublié de répondre à un truc :
Donc tu en conclues qu'il y a de plus en plus de gens qui travaillent et ne sont pas autonomes..
Or, et c'est le point du départ il y a quelques jours, il y a beaucoup de travailleurs d'autres pays qui viennet travailler ici, beaucoup de légaux, et il y a suffisamment de travail pour qu'en plus il y ait aussi beaucoup de clandestins..
Or ces travailleurs émigrés, légalement ou pas, sont autonomes...
Alors problème :
- soit nos "jeunes" continuent à avoir des attentes trop fortes, ou leurs parents à vouloir qu'ils aent des diplômes et soient au chômage, et les boulots vont inexorablement continuer à être pris par les autres, ce qui va petit à petit faire descendre le niveau de vie global, puisque comme on paye les clandestins moins cher, on va en prendre de plus en plus. Et même si c'est pas des clandestins, ce sera des émigrés...
- soit ils réagissent, et réinvestissent les métiers dans lesquels on manque de main d'oeuvre, en diminuant leurs attentes, que ce soit salariiales ou de conditions de travail, et on aura de moins en moins besoin de travailleurs émigrés, légaux ou non, et on pourra tenter de garder un niveau de vie à peu près stable...
Alors j'admet que diminiuer ses attentes quand on t'a seriné toute ta jeunesse, à la maison et à l'école/université/médias, que tu es promis à un avenir radieux est difficile, mais je ne vois pas d'autre issue...
C'est ce que je veux dire en disant que la polémique sur les petits boulots me faisait gerber.. En attendant, les émigrés irakiens, croates, mécédoniens, ukrainiens, lybiens, etc, eh ben ils les prennent, ces boulots.. Et ils vivent...
Pendant que le jeune français, il va chez ses parents...et pleure sur son triste sort...
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