HP est depuis un certain temps sur ma liste noire, est plus cela dure moins elle a de chance d’en sortir avec de tels méthodes « commerciales » !
HP est depuis un certain temps sur ma liste noire, est plus cela dure moins elle a de chance d’en sortir avec de tels méthodes « commerciales » !
On arrive à hacker des consoles comme la PS3/PS4/Switch, mais on n'arriverait pas à hacker une simple imprimante HP pour utiliser n'importe quelle cartouche dessus ?
Si, tous les fabricants de cartouches compatibles le font.On arrive à hacker des consoles comme la PS3/PS4/Switch, mais on n'arriverait pas à hacker une simple imprimante HP pour utiliser n'importe quelle cartouche dessus ?
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Nous vivons dans une société capitaliste que nous le voulions ou pas. La règle de base est : gagner encore plus d'argent.
Ce qui ne veut pas dire qu'il faille rester les bras croisés. La plainte est donc légitime. HP devrait peut-être prendre exemple sur les constructeurs automobiles qui recommandent des marques d'huile ie, mais le consommateur achète la marque qui lui convient à condition qu'elle respecte des spécifications minimales reconnues par toute la profession.
Pourquoi ne pas faire la même chose ?
J'irais même jusqu'à boycotter les produits HP
C'est tentant. Pour ce qui me concerne j'ai une imprimante laser HP qui fonctionne bien, avec des cartouches tierces (en tout cas, pour ce dont je peux me rendre compte d'où je suis), alors ... comme il n'y a pas tant que ça de formules qui fonctionnent, je garde.
C'était vendu par CDiscount, qui s'est avéré ensuite ne pas répondre aux questions, alors j'irai plutôt chercher ailleurs, mais l'imprimante qui fonctionne, et qui s'accommode bien de cartouches tierces ... hum, compliquons pas.
J'avais commis l'erreur d'acheter une imprimante HP (bas de gamme) et de contractualiser l'abonnement à la fourniture de l'encre. Soudainement HP annonce une augmentation de 1€ (sur 3,99€ ...). J'ai annulé cet abonnement et mis l'imprimante au garage (je n'aime pas jeter ...). Achat d'une Epson bas de gamme et enfin la liberté d'acheter ce que je veux. Bonne expérience malgré tout, montrant à quel point HP est atteint d'entropie. Never again
En ce qui me concerne, c’est trop tard, hp est et restera sur ma liste noire !
Dans l'ensemble, il ne faut jamais être dépendant d'un produit/logiciel où l'un reste soumis au diktat complet du fabricant.
Particulièrement tout ce qui requière un abonnement/un fonctionnement en ligne.
J'ai toujours trouvé cette obsession sur l'abonnement détestable. Ce revirement est donc enfin une bonne nouvelle, pourvu que ça dure.
Parce que HP fabrique de bonnes imprimantes. L'encre native est moins chère qu'ailleurs, et elles fonctionnent très bien sous Linux. Les autres constructeurs (notamment Epson pour le prix de l'encre, et Canon pour la compatibilité Linux) ne peuvent pas en dire autant.
C'est pour cette raison que je suis équipée en HP côté imprimante, même s'il est hors de question de souscrire à HP Instant Ink.
Côté ordinateurs en revanche, je reste aussi loin de HP que possible. Mon expérience avec ces derniers a toujours été une catastrophe.
Tout-à-fait. Heureusement, en tout cas pour l'instant, ça ne concerne que les imprimantes jet d'encre. Au demeurant, on pourrait dire que de manière générale, il est bon d'éviter les imprimantes à jet d'encre, car l'encre a tendance, assez vite, à sécher dans les buses si on reste un moment sans s'en servir, et le nettoyage de cette affaire représente une tâche assez lourde, voire parfois très lourde, de façon peut-être dépendante de la marque. Si c'est "un peu" sec, on peut essayer en injectant un peu d'encre, mais au-delà d'un stade ça ne marche plus. Il faut en tout état de cause le faire au moins une fois par mois, et au-delà d'un certain âge de l'utilisateur on ne peut guère compter là-dessus.
Si on peut mettre 150 euros dans une imprimante, il vaut mieux regarder de plus près les imprimantes laser. Après il peut y avoir à redire sur certains distributeurs, mais si on s'engage là-dedans le fil risque de devenir lourd.
Je me demande si il y a une marque qui n'est pas sur liste noire ? Toujours pour ce qui concerne les imprimantes à jet d'encre.
Il me semble me rappeler avoir vu ici quelqu'un parler de Brother ? Mais je ne me rappelle plus très bien.
***
Il a aussi été cassé du sucre sur le dos d'Epson, et c'est dommage, à la fin des années 90 j'ai acheté une LQ100, qui m'a tenu plus de vingt ans sans problème. C'est un peu bruyant, mais ça supporte sans problème de rester inutilisé quelques mois, et le jour où on veut la remettre en service il suffit de mettre un ruban neuf.
Malheureusement l'entraînement a fini par s'enrayer, si quelqu'un connaît ce modèle et se sent de taille à aider à la maintenance ...
Le problème avec une telle durée de vie du matériel, c'est que le personnel de maintenance n'a pas forcément la même durée de vie.
C'est-à-dire que les gens qui ont su réparer ça sont probablement encore en vie, mais plus forcément joignables.
Hasard ou pas, mon HP ENVY que j'ai obtenu il y a plusieurs années avec un abonnement Instant Ink à 0€/mois (pour 15 pages imprimées par mois) déconne de plus en plus, imprime des pages à moitié, fais des bourrages papier fictifs, etc...
A croire que c'est possiblement des bugs pour obliger les abonnements gratuits à changer d'imprimante.
Pour le moment, je suis fidèle à HP parce que c'est la marque qui apporte le meilleur support sous Linux.
Pas de souci particulier pour le moment pour mon imprimante acheté 60€, une desktjet 6000 dont j'ai réussi à faire fonctionner via le cable usb sans passer par le wifi, sans compte sur Internet.
L'autre marque intéressante serait Brother mais j'ai cru entendre que les pilotes ne sont pas libres, donc moins bien intégré dans les distributions. Donc pour le moment, je privilégie HP
HP évite les indemnisations financières dans le cadre d'un recours collectif qui l'a accusée d'avoir bloqué des imprimantes
lorsqu’elles détectent des cartouches d’encre tierces
Le géant technologique Hewlett-Packard (HP) a récemment conclu un règlement dans le cadre d’un recours collectif aux États-Unis concernant sa politique controversée de « blocage » des imprimantes lorsqu’elles détectent des cartouches d’encre tierces. Si l’entreprise accepte certaines concessions, elle évite toutefois de payer des dommages-intérêts financiers directs aux consommateurs concernés — un point qui suscite de nombreuses réactions.
Contexte
Selon des documents judiciaires, le MEHC (Mobile Emergency Housing Corp.) a acheté une HP Color LaserJet Pro M254 en août 2019. En octobre 2020, l'organisation a utilisé des cartouches de toner du fournisseur tiers Greensky plutôt que de payer le toner à prix premium de HP. Un mois plus tard, HP a envoyé ou activé une mise à jour du micrologiciel - dans le cadre de ses mesures dites de « sécurité dynamique » - rendant les imprimantes du MEHC incompatibles avec les cartouches de toner de tiers comme celles de Greensky.
Lorsque le PDG de MEHC, Joseph James, a essayé d'imprimer un document, il a obtenu le message d'erreur suivant.
La même chose est arrivée à un autre plaignant, Performance Automotive, qui a acheté une HP Color LaserJet Pro MFP M281fdw en 2018 et a également installé une mise à jour du micrologiciel qui empêchait la machine de fonctionner en présence de cartouches de toner tierces.
Une affaire de « firmware » controversé
Tout est parti d’une mise à jour logicielle (firmware) déployée par HP sur plusieurs modèles d’imprimantes. Cette mise à jour empêchait l’utilisation de cartouches d’encre non officielles, provoquant un blocage pur et simple des imprimantes lorsque ces cartouches étaient insérées. Les consommateurs, qui avaient acheté ces imprimantes sans être avertis d’une telle restriction ou pensaient pouvoir utiliser des cartouches compatibles, se sont sentis lésés. De nombreux clients se sont plaints de pratiques trompeuses et abusives, donnant lieu à des actions collectives en justice.
Un règlement sans indemnisation directe
Le règlement conclu met un terme à l’action collective, mais sans que HP n’ait à verser d’indemnités monétaires aux utilisateurs. La société s’est engagée à apporter plus de transparence à l’avenir et à modifier certaines pratiques autour des mises à jour logicielles. En d’autres termes, HP accepte d’informer plus clairement les consommateurs sur les restrictions d’utilisation des cartouches tierces et de ne plus déployer de mises à jour cachées bloquant ces produits sans avertissement préalable.
Toutefois, de nombreux observateurs notent que ce règlement reste modeste pour HP, dont la stratégie commerciale repose en grande partie sur la vente d’encre propriétaire, souvent plus chère que les cartouches génériques. La société préserve ainsi son modèle économique sans subir de sanctions financières significatives.
Une victoire pour HP
Un juge du tribunal de district des États-Unis pour le district nord de la Californie a approuvé un accord de règlement entre HP et ses clients, qui avaient poursuivi l'entreprise pour avoir publié des mises à jour de micrologiciels empêchant leurs imprimantes de fonctionner avec de l'encre et du toner d'une autre marque que HP.
En décembre 2020, Mobile Emergency Housing Corp. et une société appelée Performance Automotive & Tire Center ont déposé une plainte collective contre HP, alléguant que la société « contraint injustement les utilisateurs de ses imprimantes à acheter et à utiliser uniquement de l'encre et du toner HP en transmettant sans autorisation des mises à jour de microprogrammes aux imprimantes HP sur Internet qui bloquent les cartouches d'encre et de toner de ses concurrents ». La plainte portait sur une mise à jour du micrologiciel publiée en novembre 2020 ; elle visait à obtenir une décision de justice selon laquelle les actions de HP enfreignaient la loi, une injonction contre les mises à jour du micrologiciel et des dommages-intérêts monétaires et punitifs.
« Les "mises à jour" du micrologiciel de HP agissent comme des logiciels malveillants - en ajoutant, supprimant ou modifiant le code, en diminuant les capacités des imprimantes HP et en rendant les cartouches d'alimentation des concurrents incompatibles avec les imprimantes HP », peut-on lire dans la plainte déposée en 2020.
HP appelle l'utilisation de mises à jour pour empêcher les imprimantes d'utiliser de l'encre et du toner de tiers « sécurité dynamique ». Ce terme vise à faire passer le bricolage de l'appareil pour une mesure de sécurité. Ces dernières années, HP a continué à défendre cette idée, bien que les experts en sécurité s'accordent à dire qu'il n'y a pratiquement aucune raison pour que les utilisateurs d'imprimantes s'inquiètent d'être piratés par le biais de l'encre.
Après des années de procédure, en août 2024, HP et les plaignants sont parvenus à un accord de règlement que la juge Susan Van Keulen a approuvé mardi. En vertu de cet accord, HP n'admet aucune faute. Elle ne paiera pas non plus de dédommagement financier aux clients touchés par la mise à jour du micrologiciel de novembre 2020.
HP n'hésite pas à expliquer pourquoi elle agit de la sorte
Il est bien connu que les imprimantes sont régulièrement vendues à perte, les véritables revenus provenant de la vente de cartouches d'encre de remplacement. Le passage à un modèle d'abonnement semble n'être qu'une nouvelle tentative de maximiser ce flux de bénéfices.
Mais le PDG de HP, Enrique Lores, ne présente pas les choses de cette façon :
« Nous avons annoncé il y a quelques années que notre objectif était de réduire le nombre de ce que nous appelons les clients non rentables. En effet, chaque fois qu'un client achète une imprimante, c'est un investissement pour nous. Nous investissons dans ce client et s'il n'imprime pas suffisamment ou n'utilise pas nos fournitures, c'est un mauvais investissement », a-t-il expliqué, transformant la « vente à perte » en un euphémisme « d'investissement ».
« Notre objectif est de rendre l'impression aussi facile que possible et notre objectif à long terme est de faire de l'impression un abonnement », a déclaré Lores. Ces propos font écho à ceux de l'ancienne directrice financière, Marie Myers, qui a déclaré en décembre 2023 : « nous constatons que lorsque vous faites passer un client d'un modèle purement transactionnel, qu'il s'agisse d'Instant Ink ou de l'ajout de papier, il y a en quelque sorte une augmentation d'environ 20 % de la valeur de ce client parce que vous verrouillez cette personne et que vous vous engagez dans une relation à plus long terme avec elle ».
Par ailleurs, la division d'impression de HP a enregistré un chiffre d'affaires net de 4,5 milliards de dollars au cours de l'exercice 2024.
Lores a également affirmé que le recours à des fournisseurs tiers constituait un risque pour la sécurité, affirmant que des logiciels malveillants pouvaient théoriquement être glissés dans les puces des contrôleurs de cartouches. Il a également présenté le matériel de HP comme un choix plus écologique, en mettant en avant son programme de recyclage des cartouches.
PDG de HP : « Je pense qu'il est important pour nous de protéger notre propriété intellectuelle »
L'équipementier a fait l'objet de plusieurs recours collectif concernant des allégations selon lesquelles il aurait délibérément empêché son matériel d'accepter des cartouches de remplacement d'une marque autre que HP par le biais d'une mise à jour du micrologiciel. Interrogé à ce sujet lors d'une interview accordée à CNBC, Lores a déclaré que l'entreprise fait ce qui est en son pouvoir pour protéger sa propriété intellectuelle.
« Je pense qu'il est important pour nous de protéger notre propriété intellectuelle. Nous avons intégré de nombreux éléments de propriété intellectuelle dans les encres des imprimantes, dans les imprimantes elles-mêmes. Lorsque nous identifions des cartouches qui violent notre propriété intellectuelle, nous empêchons les imprimantes de fonctionner », a déclaré le PDG. Mais encore, Lores a ajouté : « chaque fois qu'un client achète une imprimante, c'est un investissement pour nous. Nous investissons dans ce client, et s'il n'imprime pas suffisamment ou n'utilise pas nos fournitures, c'est un mauvais investissement ».
Ses propos ont choqué de nombreux internautes et ont suscité la controverse. « Aucun produit HP ne peut être un bon investissement pour moi. Je protège HP en n'achetant pas son produit et en l'empêchant de faire un mauvais investissement sur moi. Si suffisamment de personnes font de même, ils seront riches, n'est-ce pas ? », note un critique qui a préféré tourner la situation en dérision. Certains critiques recommandent de boycotter les imprimantes à jet d'encre, notamment celles de HP, au profit des imprimantes laser, mais d'autres estiment que le marché des imprimantes laser commence aussi à se dégrader.
« C'est horrible quand un PDG dit quelque chose comme ça. Nous accordons tellement d'importance à la voix des PDG, mais en écoutant bien ce qu'ils disent, nous nous rendons compte qu'ils ne sont que des personnes. Comme tout le monde, ils ont des idées horribles qu'ils croient profondes. Bien que cela soit quelque peu effrayant pour toute personne travaillant pour HP et que j'évite personnellement les produits HP, cela montre simplement que les PDG ne dirigent pas leurs entreprises. Dans la plupart des cas, ils ne sont qu'une figure de proue et la valeur réelle vient de nous les travailleurs », a écrit un autre critique.
Conclusion
« HP nie avoir fait quoi que ce soit de mal », peut-on lire dans l'avis de règlement. « HP accepte, dans le cadre du règlement, de continuer à divulguer certaines informations sur son utilisation de la sécurité dynamique et de continuer à offrir aux utilisateurs d'imprimantes la possibilité d'installer ou de refuser d'installer les mises à jour du micrologiciel qui incluent la sécurité dynamique ».
Mais il est clair que HP a de plus en plus de mal à convaincre les gens qu'il est juste et équitable qu'ils paient pour son toner plutôt que de s'adresser à des tiers pour acheter un produit pour une fraction du prix. De plus en plus, les clients n'y croient pas - au sens propre comme au sens figuré.
Sources : avis de règlement, rapports financiers HP, décision de justice, plainte
Et vous ?
Que pensez-vous du fait qu'un fabricant restreigne l’usage de produits compatibles après l’achat, via des mises à jour ?
Les consommateurs devraient-ils avoir un « droit à l’interopérabilité » avec les appareils qu’ils achètent ?
Comment les entreprises peuvent-elles innover sans recourir à des stratégies verrouillant artificiellement leurs clients ?
Le marché des imprimantes est-il un exemple isolé ou révélateur d’un problème plus large dans l’électronique grand public ?
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Donc, ça sonne à la sortie du magasin, on les chope avec une petite fortune dans leur sac, mais du moment qu'ils paient le prix des articles ils sont en règle ?
Je sens que le principe va intéresser pas mal de monde.
Il est temps de créer des imprimantes open source pour ne pas avoir des soucis de cartouche et avoir quelque chose de réparable. Tant pis si elle ne sont pas très rapide, je n'imprime plus que des documents administratifs ponctuellement... (il est loin le temps des études où il fallait imprimer des rapports)
Sinon, si des imprimantes asiatiques arrivaient sur le marché sans bridage ça changerait peut être aussi la donne.
Après, si ça se trouve il y a tellement de brevets que ça doit limiter les libertés pour réaliser quelque chose.
Ce n'est pas la première fois que HP est pris la main dans le sac avec des pratiques visant à obliger les utilisateurs à utiliser des cartouches HP.
Vu le prix des consommables HP et ce problème de non fonctionnement avec des cartouches tiers, bien moins cher et tout aussi performantes, du moins pour mon usage, j'ai renoncé à racheter des imprimantes HP pour ce motif.
Il faudrait que les utilisateurs boycottent les imprimantes HP et peut être comprendront il que cette pratique est inadmissible.
La délinquance en col blanc continue de gagner du terrain. Et avec Trump, ça va progresser plus vite encore. [Faut oser, le coup de l'énergie électrique en Ukraine !].
J'ai une HP Color LaserJet CP1515n depuis plus de 10 ans (2008-10-xx). Je m'en suis vraiment très peu servi, et cela fait déjà longtemps que la maison mère lui a inoculé le logiciel qui va bien pour HP et mal pour moi. Cela fait donc des années qu'elle dort en m'encombrant. Je veux détruire cette merde qui occupe beaucoup de place dans la petite maison que nous occupons. Comment faire la publicité que mérite HP sur un réseau social (je ne suis membre d'aucun d'entre eux) afin que quelques milliers de personnes sachent que HP trompe et vole ses clients ? J'ai pensé à un film (fait avec mon cellulaire) de sa destruction faite à l'aide d'une masse…
Le fait qu'un accord relatif à ce procès ait été trouvé prouve qu'ils ont perdu, même si ce n'est pas de l'argent…
Edit: je suis très bricoleur. Je suppose que les lecteurs savent que le kit de 4 cartouches HP coutait, à l'époque, bien plus cher que l'imprimante neuve. Je l'ai gardé pensant que je la démonterais et récupérerais ce que je pourrais (vis, ressorts, etc). C'est la raison pour laquelle, faute de temps à perdre et en plus de l'espoir secret que la situation changerait par miracle, j'ai gardé cette expression d'un grand génie commercial.
Oui, HP fait parler de soi depuis un bon bout de temps, mais ... J'avais acheté une de leurs imprimantes avant
Par chance pour moi, c'était une laser, pour le moment ils laissent encore tranquilles les utilisateurs de lasers, j'espère que ça va durer.
Je te souhaite de tirer une valeur correcte de la tienne. Sachant que sur le jet d'encre, ce qu'on appelle l'imprimante est en gros un bout de taule, destiné à recevoir la cartouche, et c'est la cartouche qui fait tout le boulot.
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