Ca ne prouve bien que tu ne comprends pas ton sujet.
Quand on parle de langage on parle de linguistique.
Chaque langage a une histoire et une utilité.(linguistique pragmatique)
Utiliser un langage dans un contexte différent de son utilité abouti à un défaut de communication.
Word n'est pas un langage, UML oui.
Donc écrire sous word influence le contenu non, c'est le langage que tu utilises pour écrire le document qui influence le contenu.
C'est notamment grâce à cela que nous avons pu voir apparaitre la notion de langage en informatique qui se base sur une grammaire descriptive alors que la plupart des cas d'utilisation des langages "naturels" (ge : français) sont basés sur une grammaire prescriptive.
C'est justement dans le passage de la prescriptive et de son interprétation en descriptive que sont les erreurs. (amibguité structurelles)
Au milieu de cela :
Si tu considéres
Java ; descriptif
UML ; descriptif
Langage parlé; prescriptif
L'UML n'apporte pas de réponse concrête dans ce passage du prescriptif au descriptif (sauf ce qu'a essayé MDA, mais c'est techniquement quasi-impossible)
Les sources d'amibiguité sont justes déportées, donc au pire, c'est une modification de la chaine de responsabilité, mais ce n'est absolument pas un apport conséquent.
De plus, la différence entre le descriptif et le prescriptif est, globalement et de façon très schématique, la différence entre le descriptif est qu'il est normé et standardisé, alors que le prescriptif a une relation plus intime avec le contexte (micro ou macro) --> expressions pros, wordings spécifiques, structuration des phrases.
Donc la traduction demande en plus d'une analyse récursive poussée des arbres grammaticaux de devoir injecter une science du contexte.
C'est précisemment là qu'aucune méthode ou qu'aucun outil n'a réussi à fonctionner car un procédé ne peut pas se substituer (encore ?) à un être humain.
Or c'est précisemment là que réside la science d'un logiciel réalisé pour un client.
Partager