1) demander 1984il appelle donc à adopter des lois qui exigeront la suppression de tels contenus dans les 24h par exemple
2) mais non juste un peu plus de censure voila.
1) demander 1984il appelle donc à adopter des lois qui exigeront la suppression de tels contenus dans les 24h par exemple
2) mais non juste un peu plus de censure voila.
Oui, c'est bien connu, lorsqu'on paye nos impôts en ligne, on est anonyme.
https://franceconnect.gouv.fr/
et pourquoi pas une loi contre les mensonges politiques temps qu'il y est ?
je peux inventer autant de "vrai" numéro de SS pour vous permettre de créer des comptes bidonsdevrais tous simplement être relié a notre numéro de sécurité social.
1) les réseaux sociaux comme FB Tweter et autres être payant (rien n'est gratuit !) et l'inscription soumis à des règles de connaissance d'identité avec interdiction de les divulguer.
2) de vrais modérateurs HUMAINS devrait modérer les contenus pour signaler les contenus haineux, racistes ou incitant à la violence.
3) les vrais journalistes sont tenus de vérifier les sources de leurs infos sinon leurs média journaux , radio, télé sont responsables en cas mensonge. Les réseaux sociaux devraient être soumis aux mêmes règlements (ça rapporterait plus que les radars)
JP
Il y a, sous couvert d’anonymat, beaucoup plus d’atteintes à la liberté qu’on ne le croit. La liberté d’expression a toujours été encadrée par des dispositifs comme la lutte contre la diffamation, la condamnation à l’incitation à la haine ou au meurtre ou la protection de la vie privée. Derrière son pseudo, on peut échapper à la loi et il n’est pas tout à fait vrai de dire que l’on peut retrouver tout le monde grâce à son adresse IP. En tout cas, même si certains peuvent être retrouvés, le mal est fait et, souvent, il n’y a pas de réparation véritable pour les victimes, malgré une condamnation (souvent légère par rapport au préjudice subi). Comme toute liberté, la liberté d’expression ne peut s’exercer sans limite et l’anonymat rend plus facile certains abus et plus difficile l’application des sanctions en cas de dépassement des limites.
Le but de ces sites c'est de générer un maximum de trafic et pour cela il faut que ce soit gratuit.
Facebook et Twitter gagnent de l'argent grâce à la pub (pour apparaître sur ces réseaux il faut payer) et au commerce d'informations personnelles.
Si tu rends Twitter payant, tout le monde va se barrer et une alternative va apparaître.
En gros : chaque minute il y a 400h de vidéos de plus sur YouTube, chaque seconde il y a 6000 tweets de plus sur Twitter.
Donc humainement c'est impossible.
Les IA peuvent retrouver le contenu raciste, les utilisateurs peuvent signaler les publications racistes, il n'y a aucun problème.
Keith Flint 1969 - 2019
et bien moi j'ai mis un pouce vert , les réseaux sociaux sont des défouloirs. on peut un speudo pour garder une forme d'anonymat mais obliger les réseaux à connaitre votre identité pour leur éviter des sanctions, car les Coupables ce sont les FB et autres de ne mettre aucune surveillance.
Et supprimer l'anonymat est une atteinte à la liberté en elle-même.
Ce n'est pas parce que certaines personnes utilisent mal une chose qu'il faut la supprimer.
Certaines personnes font n'importe quoi au volant de leur voiture, ce n'est pas pour autant qu'on va interdire tout le monde d'utiliser leur voiture, c'est ridicule.
Encore plus quand on parle "d'atteintes à la liberté", en soutenant une proposition qui porte encore plus atteintes à la liberté…
Et aussi et surtout être libre d'expression.
Ce n'est pas parce qu'une liberté permet à quelques délinquant/criminels de s'échapper qu'il faut la supprimer.
Déjà le fait qu'il y ai quelques criminels/délinquants impuni est vital pour une société démocratique, cela permet de donner une certaine "marge" permettant de faire évoluer la loi (e.g. la dépénalisation de l'homosexualité). Ce qui permet d'ailleurs la "résistance à l'oppression" (cf article 2 des droits de l'Homme): si tu es directement retrouvé et puni, tu ne peux pas "résister à l'oppression".
Et enfin, parce qu'il y a aussi des droits fondamentaux comme le droit à la vie privée. On ne va pas se mettre à placer des caméras dans toutes les maisons, sous la surveillance de la police, au prétexte que dans quelques couples, certains actes restes impunis. On ne va pas placer des microphones dans chaque bars parce que certaines discussions de piliers de bars sont diffamatoires.
Si le droit à la vie privée, au respect de la correspondance, etc. font parti intégrante des droits de l'Homme, c'est loin d'être un simple caprice de ceux qui les ont écrit. S'ils font parti intégrante des droits de l'Homme, c'est parce qu'ils sont vitaux à toute société démocratiques, parce qu'une société démocratique ne saurait exister sans.
La réparation insuffisante du préjudice subit est une problématique différente de celle de l'anonymat.
Que le mal soit déjà fait, est un peu normal… on ne peut pas punir avant que l'acte délictuel/criminel n'ai été perpétré. Quand tu juges, e.g., un homicide, le mal est déjà fait.
De même que de ne pas placer une puce GPS sur chaque citoyens rend plus facile certains abus, et plus difficile l'application des sanctions… ce n'est pas pour autant souhaitable dans une société démocratique.
L'anonymat est synonyme de liberté. L'anonymat fait plus peur aux gouvernants qu'aux gouvernés, notamment quand il s'agit de critiques, qui constituent des oppositions potentielles pour un gouvernement. Or sans liberté de critiquer, il n'y aurait plus de diversité d'idées, tout le monde serait dans le même moule que ceux qui détiennent le pouvoir. Or ce sont justement les réseaux sociaux, qui sont comme des électrons libres, qui ont pu faire reculer le gouvernement sur la taxe carburant dernièrement.
Après une loi contre les fake news, une autre contre l'anonymat, etc... ? On va là peu à peu vers une dictature de l'information par l'exécutif ? Macron ferait mieux de respecter la liberté du citoyen pour résoudre en priorité des urgences comme les inégalités économiques-sociales facteur de notre régression depuis 40 ans, or il n'a fait que les aggraver depuis ses 4 ans et demi de gouvernance avec Hollande plus bientôt les 2 ans dans le présent quinquennat.
La présente critique que je viens de formuler à l'encontre de Macron me vaudrait déjà d'être fiché par les renseignements généraux comme "subversif" avec une loi contre l'anonymat !
@Neckara. La comparaison avec la voiture semble assez curieuse ! Les automobilistes ne sont pas anonymes, et supprimer l’anonymat ne supprimerait pas la possibilité de surfer sur Internet !
De toutes façons la question n’est pas de savoir si l’anonymat est un droit, une liberté ou non. C’est un droit depuis des siècles. L’avènement d’internet a provoqué de longues réflexions pour savoir s’il fallait étendre ou maintenir ce droit pour les réseaux sociaux et pour les blogs. Il a d’abord été question de rendre responsables les hébergeurs, des abus des internautes. Il ne reste plus, aujourd’hui, pour eux que l’obligation de réagir rapidement pour supprimer des contributions ou désabonner les auteurs de propos contre les autres libertés.
Tout ceci est fait, comme pour tous les crimes et délits, sans la moindre tentative de faire de la prévention. Car, comme vous le dites, on ne peut punir que lorsque le mal est fait. D’où l’inefficacité relative des fiches « S » dans la lutte contre le terrorisme. D’où la difficulté de mettre en place une loi anticasseurs.
Au final, ce noble souci de préserver certaines libertés, conduit à la dégradation d’autres libertés. Il n’est pas certain que la balance soit positive.
Considère l'anonymat comme un "outil", au même titre qu'une voiture, et qu'on souhaite supprimer du fait de son utilisation "abusive" par certaines personnes. Tu comprendras peut-être mieux la comparaison ainsi.
Mais supprimerait la possibilité de s'exprimer librement (cf mes précédents messages).
Ces contributions ne limitent bien souvent en rien la liberté des autres.
De plus, cette suppression attaque la liberté d'expression ainsi que le concept d'innocence jusqu'à preuve du contraire, et le droit à chacun d'être jugé. Encore une atteinte aux droits de l'Homme.
En même temps si on punissait avant que le mal ne soit fait i.e. avant que le délit/crime n'ai été commis…
Non, pour les fiches "S", le problème est le trop grand nombre d'informations collectée, ainsi qu'un manque de personnel de terrain pour agir en fonction de ces informations.
Les "autres libertés", n'en sont pas vraiment dégradées.
En revanche "ce noble souci", c'est surtout un prérequis à d'autres libertés, ainsi qu'au système démocratique, excusez du peu.
D'autant plus qu'il n'est pas question de limiter ces libertés dans des cas précis, mais bien de les supprimer.
Ce qui est, comme je l'ai déjà montré, en infraction des droits de l'homme (France, Europe, et Nations-Unis), ainsi que du RGPD.
Il n'empêche que de nombreuses personnes ont été éborgnées juste pour avoir voulu manifester pacifiquement leurs opinions, et que quelques-unes ont été emprisonnées préventivement. Et que les coups de matraque de dissuasion politique sont la règle.
Ceci montre donc bien que la loi proposée, en plus d'être dangereuse, est inutile.Quant à des recherches "criminelles", avec les adresses IP et tous les suivis de traces, de toute façon l'anonymat est illusoire!
Tous ces raisonnements autour le l’anonymat comme moyen d’éviter d’être poursuivi pour avoir seulement dit que l’on n’était pas d’accord avec le gouvernement c’est, au minimum, de la paranoïa et la négation de la démocratie, dans le seul but d’instaurer un autre régime. La défense des libertés est une « fausse barbe ».
J'étais depuis toujours favorable à l'anonymat. Cependant, aujourd'hui quand je lis dans les commentaires sur des sites dits sérieux, les torrents de boues, de haines, d'injures et de contre-vérités flagrantes, on peut réellement se demander si l'anonymat est encore une bonne chose. Sans tomber dans la paranoïa, on peut également craindre que l'anonymat favorise à terme les lobbys les plus fortunés ou certaines organisations ou Etats qui pourront ainsi manipuler l'opinion ou déstabiliser un pays. (cf. Cambridge Analytics). Sera-il possible demain de gouverner un pays à l'heure de facebook ? Personnellement je n'en suis pas certain. Faudra-t-il attendre une catastrophe internationale pour prendre des mesures ?
- Ce n'est pas seulement une question de dire que l'on n'est pas d'accord avec le gouvernement, mais juste de pouvoir parler sans craindre de représailles, non seulement du gouvernement, mais aussi d'autres personnes ;
- Pour l'accusation de "paranoïa", tu débloques complètement. Nos idées politiques ne regardent pas e.g. notre employeur, et je pense ne pas avoir à te faire un dessin. Combien se sont fait, avec leur famille, harcelé, recevant menaces et insultes, parce qu'ils ont été doxé ? Combien d'enfants de musulmans se mettraient en danger s'ils parlaient publiquement de leur apostat ?
- Pour la "négation de la démocratie, dans le seul but d'instaurer un autre régime"… Hein ?
Ce ne sont que des mots, des suites de caractères, ils ne représentent aucun danger en soit, au contraire même.
En soit ils n'ont qu'un pouvoir de nuisance très limité, il suffit de ne pas les lire, pour qu'ils perdent tout leur pouvoir.
Ce n'est pas en cachant les choses sous le tapis qu'on les résoudra. Pouvoir les lire (même temporairement) permet de les adresser, de contre-argumenter, et de "vacciner" les autres lecteurs. Les censurer ne fera que déplacer le problème dans un endroit où on ne pourra pas intervenir, conduisant à une chambre d'écho et à une auto-radicalisation, ce qui représente une menace bien plus grande encore.
N'oublions pas aussi que les commentaires anonymes sont très loin de se limiter à ce genre de propos.
Pas besoin d'être anonyme pour cela, les médias le font très bien depuis plusieurs années.
Sachant qu'on prend aussi le problème à l'envers. Le problème n'est pas tant les "fake news", que l'absence d'éducation des citoyens et des journalistes. Si les citoyens se sont éloigné des médias traditionnels, et essayent de rechercher l'information ailleurs, c'est que ces même média traditionnels ont trahis leur mission d'information et ne font plus leur travail correctement.
Il n'y a qu'à voir le nombre de "fake news" qu'on peut retrouver dans ces médias, et qui aurait nécessité à peine 3 minutes de recherches pour les éviter…
Exemple: https://www.esprit-critique.org/2017...ervice-public/
On ne devrait pouvoir dire sur le net que ce que l'on se dirait face à face, entre hommes, sans risquer de prendre un pain ou de voir l'autre porter plainte pour insulte ou diffamation. A partir de ce moment anonymat ou non, ce serait pareil. Dès lors que l'on craint des représailles, c'est que l'on est injurieux ou diffamatoire ou que l'on tient des propos outranciers. Dans quel pays vivez-vous (vous remarquerez que je ne vous tutoie pas) ? Quel curieuse opinion avez-vous de votre pays ? Est-ce que le fait pour des enfants de musulmans de déclarer leur apostat de façon anonyme règle leur problème avec leur communauté ? Ne faut-il pas, au contraire, abattre cet arbre qui cache la forêt ? Les harceleurs ne s'abritent-ils pas derrière l'anonymat ? Si des abus et des entorses à la libertés sont commis, c'est la justice qui doit être saisie et le fait d'exposer ses problème sur le net de façon anonyme, va peut être générer des pétitions (c'est la grande mode en ce moment), dont très peu feront progresser les choses. Seul le recours aux institutions permettront de surmonter les difficultés.
Ce manque de confiance dans les institutions, est souvent le prétexte pour appeler à une révolution. C'est ce que je voulais dire par "instaurer un nouveau régime". C'est plus clair ?
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