ah tient, je viens de me chopper un troller. pas le temps de perdre de l'énergie sur ton post.
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Le problème dans les données collectés, ce n'est pas nécessairement le fait qu'elles soient très riches (comme par exemple le positionnement des fenêtres) mais dans le fait qu'on puisse les rattacher à une personne physique.
Dans le cas par exemple de la sauvegarde de la position des fenêtres, si c'est pour étudier comment les utilisateurs s'approprient le site, pourquoi pas, mais dans ce cas on a pas besoin de rattacher ces données à chaque utilisateur. Il suffit de stocker ces informations ou bien non rattaché à un utilisateur, ou bien a une utilisateur "virtuel" non rattaché à un utilisateur réel. De même pour la marque des écouteurs; si le but est de connaître si tel ou tel marque pose des problème de fonctionnement, on a pas besoin de savoir à quelle personne cela pose des problèmes...
Le RGPD n'a jamais empêché de récupérer des informations exhaustives sur l'utilisateur, du moment que ces informations ne soient pas rattachées explicitement aux utilisateurs en vue de leur utilisation par exemple d'un point de vue commercial.
L'intérêt des nouvelles sanctions du RGPD est justement qu'elles tiennent comptent du CA des entreprises donc leur montant augmentent avec la taille des entreprises.
Certes, ça prend du temps mais les sanctions finissent par tomber.
Les GAFAM ne sont pas intouchables.
Apple, Microsoft et Google se sont déja pris des sanctions de plusieurs milliards d'euros.
Microsoft pour son abus de position dominante avec IE a finit par payer même si les recours ont duré des années.
Apple s'est pris une amende pour son optimisation fiscale et même si les recours sont en cours, ils finiront par payer. (https://www.lemonde.fr/entreprises/a...2_1656994.html)
Même chose pour Google (https://www.francetvinfo.fr/internet...e_2856255.html)
Même si ça prend 10 ans, ça finit par aboutir
Le nombre de cookies tiers présents sur les sites Web en Europe a considérablement diminué,
après l'entrée en vigueur du RGPD
Le nombre de cookies tiers sur les sites d’information européens a diminué de 22% depuis l’introduction du règlement général européen sur la protection des données (RGPD), selon une enquête menée par l’Institut Reuters pour le journalisme de l'Université d'Oxford auprès de 200 sites.
La fiche d'information, intitulée Modifications du contenu tiers sur les sites d'information européens après le RGPD, révèle des changements significatifs dans l'utilisation du contenu et des cookies tiers sur plus de 200 sites étudiés en avril et juillet (c’est à dire avant et après l'introduction du RGPD) sur sept sites de l'UE, notamment la Finlande, la France, l’Allemagne, l’Italie, la Pologne, l’Espagne et le Royaume-Uni.
Un total de 10 168 pages chargées, près de 1 million de requêtes de contenu et 2,7 millions de cookies ont été capturés et analysés
Les auteurs indiquent que « Sur cette base, nous trouvons que le nombre total de cookies tiers sur les sites d’information sont en baisse de 22%, nous notons aussi une baisse significative dans la branche de la publicité et du marketing (14%) et les médias sociaux (9%) et une baisse de sept points de pourcentage du nombre de cookies tiers dans les sites d’actualités qui hébergent des contenus de médias sociaux tiers, tels que les boutons de partage de Facebook ou Twitter. (Tous les résultats présentés ici reflètent l’activité du site avant d’obtenir le consentement; l'image peut changer dramatiquement une fois que l'utilisateur sera effectivement dans une position d’opt-in que le RGPD nécessite.) Ces changements suggèrent que certaines organisations de presse réagissent au RGPD soit en obtenant un consentement pour un suivi par un tiers soit en limitant l'utilisation de cookies externes en général ». .
Les sites britanniques d’actualités, qui avaient le plus grand nombre de cookies par page en avril, avaient 45% de moins en juillet, ce qui a placé le pays à la quatrième place sur sept. Les sites d’information allemands ont affiché le plus petit changement avec 6% moins de cookies en juillet qu’en avril. L’Espagne, la France et l'Italie ont respectivement observé une chute de 33, 32 et 32 % de cookies en moins. Étonnamment, malgré l’entrée en vigueur du RGPD, la Pologne a noté une augmentation du nombre de cookies de 20 %. Une fois les sept pays européens pris ensemble, les sites d’actualités ont vu le nombre de cookies tiers baisser de 22 %.
Le pourcentage de sites d’actualités hébergeant des contenus de médias sociaux tiers, tels que les boutons de partage de Facebook ou de Twitter, a considérablement diminué, passant de 84% en avril à 77% en juillet.
Prévalence d’entreprises spécifiques
Les sociétés technologiques basées aux États-Unis restent présentes sur le plus grand nombre de sites d’information de l’échantillon, à savoir Google (96%), Facebook (70%) et Amazon (57%). Parmi ceux-ci, seul Facebook a connu une baisse significative de sa portée après le RGPD, en baisse de 5 points de pourcentage, passant de 75% à 70%. Il faut quand même rappeler que Facebook a connu des problèmes majeurs allant bien au-delà du RGPD, notamment le scandale lié à l’utilisation de données de ses utilisateurs pour un profilage politique par Cambridge Analytica.
Les auteurs du rapport ont utilisé webXray, un outil open source, qui est capable d'identifier près de 500 sociétés et services différents associés à du contenu tiers, pour compter les cookies entre avril et juillet 2018. Ils reconnaissent que certains sites peuvent bloquer l'outil, de sorte que « le nombre réel de [cookies tiers] sur une page donnée peut être plus élevé. »
Cependant, l'outil ne peut pas fournir de réponses au principal sujet d'intérêt : combien d'utilisateurs bloquent désormais les cookies de tracking ? Le RGPD rend plus difficile l'obtention d'un consentement général à l'utilisation de cookies - ou du moins, l'obtention d'un consentement général légitime.
Si un grand nombre d'utilisateurs refusent d’accorder leur consentement, cela réduira la valeur des cookies de tracking. Cela devrait amener les sites Web à éliminer les cookies qui ne fournissent plus aucune valeur.
Source : rapport (au format PDF)
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Voir aussi :
IDC : les ventes de tablettes sont toujours en baisse en Europe au second trimestre, mais Apple et Huawei affichent de la croissance
Chargeur universel pour les mobiles : la Commission européenne à bout de patience, estimant insatisfaisants les progrès réalisés après près de 10 ans
Facebook présente ses résultats du 2T18 avec un chiffre d'affaires qui bondit de 42 %, malgré une diminution des utilisateurs journaliers européens
Antitrust : Google a voulu trouver un arrangement avec la Commission européenne dans le dossier Android, mais a été ignoré pour avoir réagi trop tard
est-ce que cette etude porte sur la consultation d'une page la 1ere fois sur le domaine, ou la "re" consultation d'une page deja visitee ? (ou les 2)
beaucoup de sites bloquent les cookies lors de la 1ere visite (le temps d'accepter l'utilisation des cookies) et apres se lachent...
si leurs bots ne visitent qu'1 fois le domaine sans jamais accepter le bandeau des cookies, c'est une etude incomplete
Statistiquement cela n'est pas bon. Il faudrait comparer avec avec des sites venant de pays n'étant pas soumis au GDRP car il se peut très bien que cette baisse ne soit aucunement lié au GDPR même s'il est vrai que cela soit peu probable.
- 200 sites étudiés en avril et juillet
- près de 1 million de requêtes de contenu
- 2,7 millions de cookies ont été capturés et analysés
- un outil open source, qui est capable d'identifier près de 500 sociétés et services différents associés à du contenu tiers, pour compter les cookies entre avril et juillet 2018.
Les chiffres me paressent un peu bizarre :
- 200 sites pour 500 sociétés
- 1 million de requêtes pour 200 sites
- 2,7 millions de cookies pour 1 million de requêtes
Selon Chrome, il y en a toujours 81 cookies actifs sur cette page avant que j'ouvre la boîte de dialogue pour répondre, pendant que j'écris ce message il en reste 54 !Le nombre de cookies tiers présents sur les sites Web en Europe a considérablement diminué
Le RGPD contribuerait à asseoir la domination des grandes entreprises de la tech au détriment des plus petites
sur le marché mondial de la publicité
Le bilan du RGPD depuis son entrée en vigueur officielle en mai dernier est assez hétéroclite. Une analyse faite en juin dernier a montré que l’interprétation faite de la réglementation varie fortement d’un acteur à un autre. Par exemple, certains sites offrent des options d'adhésion préalablement cochées, des options masquées que les consommateurs sont obligés de rechercher, des bannières de consentement dont les informations ne peuvent être atteintes qu’avec un clic supplémentaire et qui n’ont pas de bouton « Rejeter ».
D’autres se servent du « nuke button » qui permet à l'utilisateur de rejeter absolument tout sans même lui donner une idée de ce qu’il rejette ou accepte. Le règlement a vivement été critiqué pour son caractère vague et pour le fait qu’il soit sujet à interprétation. Un bilan encore plus récent montre que les directives du règlement contribuent à renforcer la mainmise des géants tels que Google et Facebook sur le marché de la publicité au détriment de dizaines d’entreprises plus petites.
En effet, Google, Facebook et d’autres grands du Web continuent à amasser et analyser des quantités colossales de données à travers des procédés « conformes au RGPD ». Lesquelles données pourront être exploitées par les annonceurs moyennant forte rétribution. « C'est un défi pour l’écosystème numérique. Mais si les consommateurs sont convaincus que leurs données sont protégées et qu'ils comprennent comment elles sont utilisées, et ce avec autorisation, cela devrait finalement être une bonne chose pour les clients et pour nous », a déclaré Mark Read, co-responsable de WPP, une agence de publicité.
Selon les estimations, pour chaque dollar dépensé par un annonceur, les entreprises de l'Ad Tech en reçoivent environ la moitié. Lorsqu'un internaute publie une page, plusieurs demandes d'enchères contenant des informations personnelles sont envoyées dans l'écosystème publicitaire. Ces données personnelles peuvent alors passer par plusieurs entreprises de publicité avant que l’une d’entre elles ne fasse une offre lors d'une vente aux enchères pour obtenir de l'espace sur le site Web et qu'une annonce soit chargée.
Et cette propagation des données personnelles constitue un risque de violation du RGPD. Ce risque de non-conformité implique donc que la manière dont les annonceurs et éditeurs partagent les données d’utilisateurs soit repensée. En attendant, plusieurs agences de publicité dont Kargo, Verve et Factual ont cessé toute activité publicitaire dans le secteur d'application du RGPD. « Dans un monde où nous plaçons le consommateur au premier plan, l’écosystème très coloré des sociétés n’aura que très peu de possibilités d’obtenir un consentement », a déclaré Andrew Casale, responsable d’Index Exchange.
Harry Kargman, président de Kargo déclare qu’il s’attend à ce que Facebook et Google surfent sur la vague d’incertitude créée par cette situation. Compte tenu de la base solide sur laquelle les clientèles de ces deux entreprises sont basées, elles devraient recevoir un ratio de consentement assez élevé. En outre, les gros moyens dont disposent ces entreprises leurs permettent de s’assurer en tout temps de leur conformité avec les réglementations.
Source : reuters
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Voir aussi
RGPD : Un guide pratique pour les développeurs
Un mois après l'entrée en vigueur du RGPD, personne ne respecte vraiment le règlement européen qui est interprété différemment d'un acteur à l'autre
RGPD : USA Today, un des plus importants quotidiens nationaux redirige ses lecteurs de l'UE vers un site Web dédié sans scripts de suivi ni pub
RGPD : la version européenne de USA Today pèse 500 Ko contre 5,2 Mo pour la version originale, d'après les mesures d'un webmaster
J'ai toujours trouvé que si le RGPD est pavé de bonnes intentions, il n'a pas été assez préparé. Les entreprises n'ont pas eu les 5ans qu'elles avaient besoin. Du coup outre favoriser les gants de la technologie, il a introduit paradoxalement une faille dans la sécurisation des données personnelles en simplifiant l'accès des utilisateurs sans donner aux PME le temps de sécuriser cette accès. Par peur les PME donnent tout.
Ce qui est tout à fait logique seuls les grosses boîtes ont la capacités d'embaucher une armée de personnes pour faire la mise en conformité et gérer la rgpd les autres vont simplement mourir.
Pour rappel, les entreprises ayant eu une autorisation de la CNIL avant la mise en application du RGPD jouissent d'un délais supplémentaires.
L'accès des données aux utilisateurs n'a pas besoin d'être automatique et peut être manuel, sur demandes via e-mail.
Le RGPD, ce n'est pas non plus la fin du monde, il ne faut pas exagérer.
C'est le coup classique des grandes entreprises qui n'aiment pas le RGPD du fait des protections apportées, qui viennent le critiquer en invoquant les petites entreprises. Tout comme quand les ayants-droits se plaignent du piratage en invoquant la perte d'argent pour les artistes, alors même que ces mêmes ayants-droits se gavent sur leur dos.
Le RGPD , des entreprises de la tech du moyen orient et d'asie s'assoient dessus .
J'entendais encore dans la presse spécialisée des entreprises du moyen orient se targuer d'être clean et conforme ... alors que celles ci avaient eu des failles avec de la data clients en open bar sur leurs sites Web .
On nous prend vraiment pour des billes !
Près de 1200 sites d'informations US restent inaccessibles aux internautes de l'UE depuis l’arrivée du RGPD
Mais des moyens de contournement existent
Plus de trois mois après l’introduction au sein de l’Union européenne (UE) du règlement général sur la protection des données (RGPD), près de 1200 sites d’informations basés aux États-Unis restent inaccessibles aux utilisateurs de l’UE. C’est ce que révèle un travail de recherche mené par Joseph O’Connor, un développeur basé au Royaume-Uni, qui a été publié sur le site data.verifiedjoseph.
La liste établie par O’Connor des sites d’information américains qui bloquent les utilisateurs de l’UE comprend actuellement 1182 sites. Plutôt que de se conformer avec la nouvelle directive de l’UE afin de répondre aux besoins des utilisateurs de l’UE, ces sites Web ont délibérément fait le choix de bloquer les internautes du vieux continent.
Tous les sites Web incriminés agissent de la même manière : ils affichent un message d’erreur aux internautes situés dans un pays membre de l’Union européenne. Le message cite l’introduction du RGPD de l’UE comme la principale raison pour laquelle le site ne peut pas afficher son contenu.
Cette liste comprend de grands sites d’information américains tels que le New York Daily News, le Los Angeles Times, le Dallas News, le Baltimore Sun, le Sun Chronicle, le Chicago Tribune, le Newsday ou le St. Louis Post-Dispatch. Il faut, cependant, préciser que la grande majorité des sites qui y figurent sont des plateformes de petite taille qui fournissent essentiellement des informations locales. De nombreux experts estiment d’ailleurs que ces petites agences de presse US voient peu d’intérêts à investir de grosses sommes d’argent pour s’arrimer au RGPD.
Néanmoins, les internautes qui souhaitent contourner ce blocage peuvent utiliser l’astuce suivante pour accéder au contenu d’un site qui les intéresse côté US : ajouter « cache: » devant l’URL de la page cible dans la barre d’adresse (cache:[original_URL_showing_GDPR_block_message). Cela servira une copie de l’article original du cache de Google ou de Bing, en contournant les blocages dus au RGPD.
Pour rappel, le RGPD exige que les sites Web divulguent de façon détaillée leurs pratiques de collecte de données et qu’ils obtiennent une autorisation explicite de l’internaute avant d’opérer une collecte de ses données. À cet effet, le RGPD préconise aux sites Web de fournir une solution aux internautes afin qu’ils puissent connaitre la nature des données collectées par un site à leur sujet, l’usage qui en sera fait et valider (ou d’invalider) les actions qu’ils n’approuvent pas. Les entreprises qui ne respectent pas cette nouvelle directive s’exposent à des amendes pouvant atteindre 4 % de leur chiffre d’affaires annuel.
Source : Data.VerifiedJoseph
Et vous ?
Qu’en pensez-vous ?
Voir aussi
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RGPD : Un guide pratique pour les développeurs
C'est une idée que de donner aux gens un moyen d'aller se faire pirater des données aux US
Tout ça pour un bandeau avec deux boutons 'oui' et 'non' et un texte que personne ne lira, ou vérifiera s'il correspone effectivement à la réalité.
Personnellement, je ne lis pas en effet le texte… mais je décoche tout.
Vraiment ?
Au niveau de la recherche, il y a fort à parier qu'il y ai quelques études quant au respect du RGPD. La CNIL pourra aussi faire quelques vérifications. Sans compter les fuites internes ou externes.
Mais c'est étrange, avant le RGPD, nous arrivions à savoir que quelques sites nous traquaient, ou avaient un comportement suspect. Mais maintenant nous n'en serions plus capable parce que magie ?
Personnellement, personne n'est venu vérifier si j'avais bien un tuner TV, si je n'ai pas de revenus au black, etc. Pourtant cela n'empêche pas certains de se faire gauler.
Le discours neon libérales americains et plus généralement Anglo-Saxons et relayé jours et nuits par nos médias, notre intelligentia, nos députés, notre gouvernement, les élites européenne: est-ce gênant que les sites américains nous bloquent ?
En fait non.
C’est une bonne leçon de protectionisme qu’il faut prendre pour ce qu’elle est : le nième démonstration qu’ils savent se défendre en meute comme nous devrions le faire avec toute la violence de ces actes et l’acharnement du missionnaire que chaque americain et chaque entreprise americaine représente.
Personnellement je les adore ils sont une source de compréhension du monde sans cesse renouvelée.
Vous avez le bonjour d’PIGS.
Est-ce que quelqu'un pourrait éclairer ma lanterne ?
Qu'est-ce qui oblige un site américain (ou extra-européen) à se conformer à des directives européennes ?
Comme d'habitude, on vise là où ça fait mal.Il inclut des amendes pouvant aller jusqu'à 20 millions d'euros ou 4 % du chiffre d'affaires global pour les entreprises qui ne s'y conforment pas.
source
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