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  1. #1
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    Je ne suis pas fan de Facebook, mais les raisons de la poursuite en justice sont mauvaises et pourraient créer un précédent. Cambridge Analytica a utilisé l'API de Facebook pour demander baux utilisateurs de partager des données sur eux et leurs amis. Des utilisateurs stupides ont accepté.

    L'argument ici n'est pas que Facebook joue vite et bien avec les données de suivi et d'utilisateur ( ce qui serait un argument légitime), mais que Facebook permet aux gens d'accorder l'accès à leurs données à des tiers et que Facebook devrait en qq sorte être blâmé pour cela.

  2. #2
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    Facebook est un transporteur neutre ici et ils ont agi au nom de l'utilisateur. Facebook ne devrait pas être obligé d'être d'une manière ou d'une autre l'arbitre de cette affaire.
    Ce procès donnera encore plus de raisons aux plateformes de restreindre l'accès à l'API, ce qui aurait un impact bien plus important sur l'utilisation légitime que sur les avis malveillants.

  3. #3
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    Par défaut Meta menace de retirer Facebook et Instagram du marché européen
    Meta menace de retirer Facebook et Instagram du marché européen
    si le groupe n'est plus autorisé à échanger les données des utilisateurs européens avec les États-Unis

    La société mère de Facebook, Meta Platforms, envisage de quitter l'Europe si le groupe n'est plus autorisé à échanger des données d'utilisateurs européens avec les États-Unis. Ce message, qui peut être considéré comme une pure menace, a été inclus dans un document qu'elle a déposé auprès de la Commission américaine des valeurs mobilières (SEC), l'organisme fédéral américain de réglementation et de contrôle des marchés financiers.

    Ce n'est pas la première fois que le groupe met cette menace sur la table. En 2020, les autorités irlandaises de protection de la vie privée ont fait savoir à Facebook qu'il ne pouvait plus utiliser les clauses contractuelles standard, notamment le Privacy Shield, pour se conformer aux règles de protection de la vie privée lors de l'envoi de données aux États-Unis.

    Pour mémoire, l’accord « Privacy Shield » est venu remplacer l’accord « Safe Harbor ». Ce dernier, qui organisait une partie du transfert des données entre l’Union européenne et les États-Unis, a été annulé par la Cour de justice de l’Union européenne le 6 octobre 2015. Après cette décision, la Commission européenne a donc négocié rapidement un nouvel accord avec les États-Unis, afin d'assurer la continuité du flux massif de données entre les deux continents. C’est ainsi qu’a été proposé le Privacy Shield, qui est entré en vigueur à partir du 1er août 2016.

    Privacy Shield n'est plus reconnu comme offrant une protection adéquate depuis le 16 juillet 2020, et ne peut donc plus servir de fondement à un transfert de données personnelles de l'Espace économique européen vers les États-Unis d'Amérique. Selon la Cour européenne de justice, les données personnelles sont moins bien protégées aux États-Unis qu'en Europe. Facebook a immédiatement averti que l'arrêt des transferts de données transatlantiques pourrait avoir un impact dévastateur sur l'entreprise. La société s'appuie sur le traitement des données des utilisateurs pour fournir des publicités en ligne ciblées.

    Une enquête est toujours en cours par le régulateur irlandais des données. Meta attend donc toujours une décision finale dans l'affaire. Cela pourrait arriver au premier semestre de cette année. Dans ce contexte, la société américaine avertit désormais que si une bonne solution n'est pas trouvée, « nous ne serons probablement pas en mesure d'offrir certains de nos produits et services de base, y compris Facebook et Instagram, en Europe ».

    L'affaire a commencé il y a plusieurs années avec une plainte du militant autrichien de la vie privée Maximilian Schrems concernant Facebook Ireland, le siège européen de l'entreprise. Schrems s'était plaint auprès de l'autorité irlandaise de protection des données du transfert de données personnelles de Facebook Ireland à sa société mère aux États-Unis. Il se demande s'ils sont suffisamment protégés aux États-Unis.

    Nom : facebook logo.png
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    Clauses contractuelles types

    Outre Privacy Shield, Meta utilise également des accords dits types, ou clauses contractuelles types, comme base juridique principale pour le traitement des données des utilisateurs européens sur des serveurs américains.

    Ces accords types sont également examinés à Bruxelles et dans d'autres parties de l'UE.

    En effet, la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE), dans son arrêt du 16 juillet 2020, a indiqué qu'en règle générale, les clauses contractuelles types (CCT) peuvent toujours être utilisées pour transférer des données vers un pays tiers (qu’il s’agisse des États-Unis ou d’un autre pays tiers). Cependant, la CJUE a souligné qu'il incombe à l'exportateur et à l'importateur de données d'évaluer en pratique si la législation du pays tiers permet de respecter le niveau de protection requis par le droit de l’UE et les garanties fournies par les CCT.

    Si ce niveau ne peut pas être respecté, les entreprises doivent prévoir des mesures supplémentaires pour garantir un niveau de protection essentiellement équivalent à celui prévu dans l’Espace économique européen, et elles doivent s’assurer que la législation du pays tiers n'empiétera pas sur ces mesures supplémentaires de manière à les priver d'effectivité.

    Concernant les États-Unis, la Cour a estimé que le droit américain en matière d’accès aux données par les services de renseignement (en particulier la section 702 du FISA et l’Executive Order 12333) ne permet pas d’assurer un niveau de protection essentiellement équivalent. La poursuite des transferts de données personnelles vers les États-Unis sur la base des CCT dépendra donc des mesures supplémentaires que vous pourriez mettre en place.

    Conséquences pour les groupes, labels et magazines de l'UE

    Si Facebook devait quitter le marché européen (ce qui serait peu probable étant donné que le marché européen leur rapporte 21 milliards de dollars américains et est leur deuxième plus grand marché), cela pourrait signifier un coup dur pour tous ces groupes, labels et magazines qui dépendent uniquement ou fortement de Facebook pour leurs activités promotionnelles.

    Bernard Van Isacker, qui suit toute l'affaire, a fait ce commentaire : « C'est en gros ce contre quoi je mets en garde depuis des années, à savoir de ne pas mettre tous ses œufs dans le panier Facebook. Vous ne possédez tout simplement PAS les données là-bas, vous les louez et chaque fois vous devez payer pour atteindre vos abonnés, à moins que vous n'ayez une publication virale, ce qui n'arrive pas souvent. Nous l'avons également vu avec la façon dont ils ont intentionnellement réduit la portée sur Facebook et Instagram afin que les groupes, les labels et les magazines doivent payer pour faire passer leur message à leurs propres fans, qui ont souvent été achetés en premier lieu via Facebook (qui était une décision idiote en premier lieu). C'est comme si vous deviez acheter le même CD encore et encore si vous vouliez l'écouter Bonkers. Ce problème n'existe par exemple pas avec les multinationales qui vendent des biens un peu plus chers qu'un vinyle ou un CD. Pour les entreprises qui vendent des biens d'une valeur beaucoup plus élevée, le marketing dépensé sur Facebook est en fait assez favorable au retour sur investissement pour ainsi dire. Mais, le retour sur investissement sur Facebook n'est dans la plupart des cas pas vraiment rentable pour la scène musicale, sauf si vous vendez des produits haut de gamme où vos dépenses sont plus équilibrées par le prix de vos produits, je pense aux méga sorties limitées par exemple ou aux gros coffrets ».

    Alors que se passera-t-il si Meta quitte vraiment l'Europe ? Bernard explique que : « C'est très simple, tous ceux qui ne se sont appuyés que sur les plateformes Meta pour diffuser leur message auront un problème majeur s'ils ne possèdent pas leurs propres données et sites Web. Je vois que la plupart des labels intelligents travaillent sur leurs propres données, mais tous ceux qui ne le font pas, eh bien, ce sera fini pour eux, j'en ai peur. De même pour les magazines qui s'appuient fortement sur Facebook pour capter l'essentiel de leur trafic, il sera difficile de continuer à être pertinents. Quoi qu'il en soit, Facebook a déjà fortement réduit la portée et le trafic sortant pendant des années, donc je pense que cela aurait dû être un signal d'alarme important pour tous ceux qui ont dormi au fil des ans ».

    Des résultats trimestriels attendus par les investisseurs

    Les résultats trimestriels de Meta doivent être publiés mercredi, et un représentant a souligné que le développement pour le métavers n'était pas l'objectif principal de l'entreprise, contrairement à ce qu'avait suggéré Mark Zuckerberg lorsqu'il annonçait le changement du nom de l'entreprise lors de l'édition 2021 de la Facebook Connect : « Notre marque était trop liée à un seul de nos services et ne reflétait pas tout ce que nous faisons », a expliqué le PDG du groupe. « Ce nouveau nom marque notre nouvel objectif : aider à donner vie au métavers », avait-il assuré.

    Le représentant de Meta a également affirmé que la nouvelle orientation n'a entraîné aucune réduction significative de l'emploi pour les équipes actuelles.

    « Il y aura des économies et des pays entiers développés numériquement en utilisant la VR/Web3, et nous ne faisons qu'effleurer la surface », a-t-il déclaré, faisant référence à la technologie métavers de nouvelle génération. « C'est l'avenir de la science-fiction, et Meta a pris la décision audacieuse d'en faire une réalité », a-t-il affirmé, notant que Meta était en tête avec la réalité virtuelle grâce à des produits comme ses casques Oculus.

    L'incursion de Facebook dans le métavers a commencé au sommet. Mike Schroepfer, le directeur de la technologie de longue date, a déclaré en septembre qu'il démissionnerait d'ici la fin de 2022. À sa place, Zuckerberg a nommé Andrew Bosworth, parfois connu sous le nom de "Boz", qui a dirigé le développement de produits tels que les casques Oculus et les lunettes connectées Ray Ban Stories.

    En octobre, la société a annoncé le recrutement dans les cinq prochaines années de 10 000 ingénieurs et développeurs en Europe. Un projet pour lequel Facebook a réservé 10 milliards de dollars rien que pour 2021, une addition qui sera donc plus salée les années à venir :

    « Nous annonçons donc aujourd'hui un plan de création de 10 000 nouveaux emplois hautement qualifiés au sein de l'Union européenne (UE) au cours des cinq prochaines années. Cet investissement est un vote de confiance dans la force de l'industrie technologique européenne et le potentiel des talents technologiques européens.

    « L'Europe est extrêmement importante pour Facebook. Des milliers d'employés dans l'UE aux millions d'entreprises utilisant nos applications et outils chaque jour, l'Europe est une grande partie de notre succès, car Facebook est investi dans le succès des entreprises européennes et de l'économie au sens large.

    « C'est une période passionnante pour la technologie européenne. L'UE présente un certain nombre d'avantages qui en font un endroit idéal pour les entreprises technologiques : un vaste marché de consommation, des universités de premier ordre et, surtout, des talents de premier ordre. Les entreprises européennes sont à la pointe de plusieurs domaines, qu'il s'agisse de la biotechnologie allemande qui aide à développer le tout premier vaccin à ARNm ou de la coalition de néo-banques européennes menant l'avenir de la finance. L'Espagne enregistre des niveaux record d'investissements dans des startups qui résolvent tout, de la livraison d'épicerie en ligne à la neuroélectronique, tandis que la Suède est en passe de devenir la première société sans numéraires au monde d'ici 2023.

    « Nous pensons depuis longtemps que le talent européen est un leader mondial, c'est pourquoi nous y avons investi si massivement au fil des ans - du financement de subventions à l'Université technique de Munich à l'ouverture de notre premier grand laboratoire de recherche européen en IA et programme d'accélérateur FAIR en France et Facebook Reality Labs à Cork.

    « Au-delà des talents technologiques émergents, l'UE a également un rôle important à jouer dans l'élaboration des nouvelles règles d'Internet. Les décideurs politiques européens ouvrent la voie en aidant à intégrer les valeurs européennes telles que la liberté d'expression, la vie privée, la transparence et les droits des individus dans le fonctionnement quotidien d'Internet. Facebook partage ces valeurs et nous avons pris des mesures considérables au fil des ans pour les faire respecter. Nous espérons voir l'achèvement du marché unique numérique pour soutenir les avantages existants de l'Europe, ainsi que la stabilité des flux de données internationaux, qui sont essentiels à une économie numérique florissante. »

    Le projet, en développement dans le département Facebook Reality Labs (qui s'occupe des technologies de réalité augmentée, virtuelle et mixte), compte actuellement 10 000 salariés aux États-Unis. Les employés affirment que Reality Labs est désormais à l'avant-garde de la transition métavers de l'entreprise. Les travailleurs du développement de produits, de l'ingénierie et de la recherche ont été invités à postuler pour de nouveaux postes là-bas, selon des sources, tandis que d'autres ont été promus des divisions des réseaux sociaux pour superviser les mêmes fonctions avec un accent sur le métavers.

    Sources : lettre de Facebook à la SEC, site web de l'UE

    Et vous ?

    Cette menace est-elle crédible selon vous ?
    Quels impacts pour les entreprises qui dépendent de Facebook pour leurs activités ?
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  4. #4
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    Citation Envoyé par Stéphane le calme Voir le message
    Meta menace de retirer Facebook et Instagram du marché européen
    Citation Envoyé par Stéphane le calme Voir le message
    Facebook a immédiatement averti que l'arrêt des transferts de données transatlantiques pourrait avoir un impact dévastateur sur l'entreprise. La société s'appuie sur le traitement des données des utilisateurs pour fournir des publicités en ligne ciblées.
    Je trouve le contraste entre ces deux phrase très intéressant.
    Meta se croit suffisamment important pour que sa mise en danger soit une menace pour son environnement européen. Mais cette phrase souligne aussi sa fragilité. Il y a quelques années ils n'auraient pas parlé de l'impact, il auraient lancé un bras de fer en attendant que les politiques craquent avant eux.

    Citation Envoyé par Stéphane le calme Voir le message
    Et vous ?
    Cette menace est-elle crédible selon vous ?
    J'ai de gros doutes, Facebook est en perte de vitesse et l'Europe est une part importante de leur marché.
    Ces entreprises réfléchissent en bénéfices/risques, mettre cette menace a exécution montrerait pour moi à quel point facebook n'a plus rien à perdre et tenterait la charge du désespoir.
    Je pense qu'ils n'en sont pas encore là mais me réjouis qu'ils s'en rapprochent.

    Citation Envoyé par Stéphane le calme Voir le message
    Quels impacts pour les entreprises qui dépendent de Facebook pour leurs activités ?
    J'ai l'impression que c'est de moins en moins le cas.
    J'ai deux amis qui ont lancé leurs entreprises il y a quelques années, ils ont longtemps été extrêmement actifs sur Facebook qui était leur principal média de communication.
    Avec le COVID des petites boites se sont regroupées pour mutualiser leurs communications et leur dépenses.

    Je ne connais aucune entreprise dont l'activité ne dépend que de Facebook.
    Par contre c'est une autre histoire pour les associations mais de celles que je connais elles ont une existence physique suffisante pour qu'à la disparition de Facebook elles se dirigent vers un autre média.

  5. #5
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    Citation Envoyé par Stéphane le calme Voir le message
    Cette menace est-elle crédible selon vous ?
    Je ne sais pas mais ce serait impressionnant qu'il le fasse vraiment.
    J'aimerais bien voir ça.

    Citation Envoyé par Stéphane le calme Voir le message
    Quels impacts pour les entreprises qui dépendent de Facebook pour leurs activités ?
    Je connais des entreprises qui dépendent beaucoup de Facebook.
    Ce sont des entreprises de 1 personne.
    Si Facebook disparaissait soudainement ça leur ferait mal.

  6. #6
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    Comme Saint-Thomas, je ne crois que ce que je vois. Il ne s'agit que de paroles en l'air jusqu'à preuve du contraire.

  7. #7
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    Il faut les prendre aux mots (le CA de Facebook en Europe c'est 7 milliards de dollars par trimestre)
    https://blog.digimind.com/fr/agences...res-essentiels

  8. #8
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    Perso je n'ai pas de compte facebook, pas d'instagram, de tik tok...

    Que meta se barre d'Europe ça ne peut faire que du bien. Autour de moi y'a pas mal de gens qui stoppent leur compte parce que ras le bol de tout ça. Si demain il n'ya plus de réseaux sociaux sur internet, les gens retrouveront une façon de vivre plus simple et seront certainement moins stressés dans leur vie de tous les jours.

  9. #9
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    Meta menace de retirer Facebook et Instagram du marché européen si le groupe n'est plus autorisé à échanger les données des utilisateurs européens avec les États-Unis
    La totalité, je dis bien la totalité des GAFAM est leur sociétés affiliées nous ont déjà sorti cet argument. Apparemment, elles font toutes appel au même bureau de conseil

    Quand un pays se propose de réguler leur comportement, voilà qu'elles menacent de partir... Et bien partez! Les seuls qui vont y perdre quelque chose, ce sont vos propres bénéfices!

    Pour rappel:

    Quand la Suisse a déclaré que les travailleurs Uber n'étaient plus des indépendants mais des salariés normaux qui devaient bénéficier de charges sociales (assurance vieillesse, assurance accident, assurance chômage, etc...), Uber a menacé de quitter la Suisse.

    Et bien aujourd'hui, Uber suisse ne peut faire appel plus qu'a des salariés et... Uber n'a pas quitté le marché suisse!!!

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  10. #10
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  11. #11
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    Meta menace de retirer Facebook et Instagram du marché européen
    lol, "attention ou je fais en sorte de faire faillite !"

    Ce genre de menace fonctionnerait mieux si facebook payait des impots chez nous ? A moins que je ne sois pas à jour et que finalement il se sont mis à en payer

  12. #12
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    En soi, rien ne les empêcherait de faire du ciblage publicitaire en hébergeant les données en Europe, il faudrait adapter un peu l'architecture technique sans doute, mais je ne vois aucune contre indication qui bloquerait.

    La seule véritable raison que je verrais c'est que Facebook est incité, via des subventions, ou obligé, via voie légale, par les USA à héberger nos données chez eux afin qu'ils fassent ce qu'ils en veulent.

  13. #13
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    Par défaut Bruno Le Maire et son homologue allemand, Robert Habeck, disent que l'Europe se porterait mieux sans Facebook
    Bruno Le Maire et son homologue allemand, Robert Habeck, affirment que l'Europe se porterait mieux sans Facebook
    à la suite de la menace de Meta de retirer Facebook et Instagram du marché européen

    La menace voilée de Meta de retirer Facebook et Instagram de l'UE - en raison du blocage des négociations sur les règles de protection de la vie privée - ne semble pas avoir inquiété les régulateurs européens. Elle a plutôt ressemblé à de la musique aux oreilles de deux hauts responsables politiques allemands et français. Lors d'une séance de travail lundi à Paris, le ministre français des Finances, Bruno Le Maire, et le ministre allemand de l'Économie, Robert Habeck, ont conjointement affirmé que Facebook ne risque pas de manquer aux Européens et que les gens vivraient "très bien" sans le réseau social de Mark Zuckerberg.

    « Après avoir été piraté, j'ai vécu sans Facebook et Twitter pendant quatre ans et la vie a été fantastique », a déclaré Habeck lundi. « Je peux confirmer que la vie est très bonne sans Facebook et que nous vivrions très bien sans Facebook. Les géants du numérique doivent comprendre que le continent européen va résister et affirmer sa souveraineté », a ajouté Le Maire. Les deux hommes répondaient à des commentaires figurant dans le rapport annuel de Meta publié jeudi, qui avertissaient que la société retirerait Facebook et Instagram de l'UE si elle ne pouvait pas s'appuyer sur des accords nouveaux ou existants pour transférer des données vers les États-Unis.

    Nom : facebook-instagram-fuera-europa.jpg
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    « L'UE est un si grand marché intérieur avec un si grand pouvoir économique que si nous agissons dans l'unité, nous ne serons pas intimidés par quelque chose comme ça », a poursuivi Habeck. Pendant ce temps, Le Maire a énuméré les façons dont les gouvernements européens ont défié les géants de la technologie, notamment avec les règles de confidentialité, la fiscalité et le blocage du développement des monnaies numériques. Selon les critiques de Facebook, le retrait du réseau social de l'UE serait très bénéfique pour les gens, car cela les aiderait à vaincre leur addiction, le stress et les autres potentiels effets négatifs de Facebook et Instagram.

    En effet, alors que les régulateurs européens sont en train de revoir certaines règles sur la protection des données, notamment celles contenues dans le Privacy Shield, Meta a averti les régulateurs européens qu'il se sentirait dans l'obligation de retirer Facebook et Instagram du bloc si la nouvelle réglementation lui interdisait de transférer les données vers les États-Unis. Pour mémoire, le Privacy Shield, présenté comme le successeur de l'accord Safe Harbor, est un accord dans le domaine du droit de la protection des données personnelles, qui a été négocié entre 2015 et 2016 entre l'Union européenne et les États-Unis d'Amérique.

    Le Safe Harbor, qui régissait une partie du transfert des données entre l’UE et les États-Unis, a été annulé par la Cour de justice de l’UE le 6 octobre 2015. Après cette décision, la Commission européenne a donc négocié rapidement un nouvel accord avec les États-Unis, afin d'assurer la continuité du flux massif de données entre les deux continents. C’est ainsi qu’a été proposé le Privacy Shield, qui est entré en vigueur le 1er août 2016. Cependant, le Privacy Shield a été jugé à son tour inadéquat pour assurer la protection des données personnelles transférées de l'Espace économique européen vers les États-Unis le 16 juillet 2020.

    Depuis, d'autres règles n'ont pas été introduites et la CJUE a laissé les entreprises utiliser des clauses contractuelles types, qui sont essentiellement des clauses passe-partout que la Commission européenne avait "préapprouvées". Ces clauses permettaient de transférer des données de l'UE vers un autre pays tout en étant conforme au RGPD. Toutefois, l'utilisation des clauses contractuelles types a été contestée par plusieurs militants de la vie privée. En réponse, la CJUE a jugé que la législation américaine ne garantissait pas un "niveau de protection adéquat", notamment contre la surveillance de masse exercée par le gouvernement américain.

    Pour que les transferts de données soient valides, il faudrait que la législation en vigueur aux États-Unis soit "essentiellement équivalente à celle exigée par le droit de l'UE" - un obstacle de taille à franchir. En septembre 2020, Meta a obtenu un gel temporaire de l'ordonnance, ce qui lui a permis de poursuivre pour l'instant les transferts de données en vertu des clauses contractuelles types. L'affaire a été portée devant les tribunaux irlandais et a obligé la Commission de protection des données de ce pays à examiner l'utilisation des clauses contractuelles types par Meta pour voir si elle pouvait franchir l'obstacle.

    Dans une décision préliminaire, le régulateur irlandais a déclaré que ce n'était pas le cas. Dans son dépôt 10-K, Meta a déclaré qu'une décision définitive de l'autorité de régulation irlandaise pourrait intervenir dans les prochains mois. Si le régulateur décide que les garanties de Meta en matière de confidentialité des données ne sont pas à la hauteur, il pourrait mettre fin aux transferts de données en dehors de l'UE. Meta a notifié à la SEC (Securities and Exchange Commission) des États-Unis que si une telle chose arrivait, il ne serait "malheureusement" plus en mesure d'offrir ses services Facebook et Instagram dans l'UE.

    La société a déclaré : « si un nouveau cadre transatlantique de transfert de données n'est adopté, nous serons probablement incapables d'offrir un certain nombre de nos produits et services les plus importants, y compris Facebook et Instagram, en Europe ». Il faut savoir que peu de choses sont plus rentables pour Facebook que les données des utilisateurs, raison pour laquelle l'entreprise lutte pour maintenir le droit de transfert de données outre-Atlantique. De plus, le RGPD de l'UE semble être plus contraignant pour Meta que les règlements sur la protection des données en vigueur aux États-Unis.

    « Nous n'avons absolument aucun désir et aucun projet de nous retirer de l'Europe, mais la simple réalité est que Meta, et beaucoup d'autres entreprises, organisation et services, dépendent des transferts de données entre l'UE et les États-Unis afin d'exploiter des services mondiaux. Nous surveillons de près l'impact potentiel sur nos opérations européennes au fur et à mesure que ces développements progressent », a ajouté un porte-parole de Meta. Par ailleurs, ce n'est pas la première fois que Meta fait une déclaration.

    Dans des documents judiciaires antérieurs, Meta a prévenu qu'elle pourrait être amenée à se retirer d'Europe si les autorités et les tribunaux ne parvenaient pas à se mettre d'accord sur les règles de transfert des données, bien que le vice-président de Meta chargé des affaires mondiales et de la communication, Nick Clegg, ait précédemment nié que cela se produise, affirmant qu'une telle décision mettrait en péril les petites et moyennes entreprises européennes en raison de leur dépendance à l'égard des publicités ciblées.

    Mais la nouvelle déclaration suggère que l'activité de Meta pourrait être en péril si la législation européenne obligeait la société à interrompre les transferts de données vers les États-Unis. « Si l'entreprise devait retirer Facebook et Instagram du marché, cela affecterait de manière importante et négative notre activité, notre situation financière et nos résultats d'exploitation », a déclaré Meta dans le dépôt de la SEC.

    Et vous ?

    Quel est votre avis sur le sujet ?
    Que pensez-vous des déclarations de Bruno Le Maire et Robert Habeck ?
    Selon vous, les gens se porteraient-ils mieux sans Facebook et Instagram ? Pourquoi ?

    Voir aussi

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  14. #14
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    C'est marrant, car j'ai pas la même impression. Il n'y a pas que Facebook et Instagram. Whatsapp est aussi pas mal utilisé par les militaires (et non l'armée). N'empêche, beaucoup de trucs qui s'organisent à l'intérieur se font via whatsapp. Je suis pas sûr que ça plairais à tout le monde que ce service disparaisse.

  15. #15
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    Bruno Le Maire et son homologue allemand, Robert Habeck, affirment que l'Europe se porterait mieux sans Facebook à la suite de la menace de Meta de retirer Facebook et Instagram du marché européen

    Quel est votre avis sur le sujet ?
    C'est vrai on peut se passer de Meta.

    Que pensez-vous des déclarations de Bruno Le Maire et Robert Habeck ?
    Pour une fois ils sont dans le réel . Cependant ils ne prennent pas le truc au sérieux. Ils devraient.

    Selon vous, les gens se porteraient-ils mieux sans Facebook et Instagram ?
    Oui

    Pourquoi ?
    > Les gens passeraient beaucoup moins de temps sur une plateforme ... Obligeant à switcher ... donc moins d'action et de moins de temps de cerveaux "achetable".

    > On verrait enfin disparaitre les sujets politico-theologico-religieux ... Comme déjà lu sur d'autres topics . On ne mercantilise pas un discours politique ou religieux comme on mercantilise un service bancaire ou de petites annonces ^^ .

    Les partis politiques, les états et collectivités , les autorités religieuses seraient contraintes de créer des plates formes avec une audience moindre . Se serait franchement pas du luxe et ferait des "vacances" pour les sujets strictement dédiés aux loisirs.

    Il y a ce qui sert à débattre et ce qui sert à se détendre . Politique et religieux ne servent pas à se détendre ... juste à débattre ou à faire croire

  16. #16
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    Meta menace de retirer Facebook et Instagram du marché européen si le groupe n'est plus autorisé à échanger les données des utilisateurs européens avec les États-Unis

    Cette menace est-elle crédible selon vous ?
    Crédible oui , c'est parfaitement faisable ... Avec un loi passé je ne sais plus quand, un belge ou un luxembourgeois ne peut plus consulter un site canadien. Par contre un américain ou un Bahaméen lui peut continuer d'y acceder.

    Le marketing géographique.

    Quels impacts pour les entreprises qui dépendent de Facebook pour leurs activités ?
    Pour les petites boites, je penses que cela serait un coup dure pour passagèrement parlant .

    Le temps que les assos et les commerces spécialisés qui gravitent autour se remettent sur des canaux plus spécialisés.

    Citation Envoyé par totozor
    J'ai l'impression que c'est de moins en moins le cas.
    J'ai deux amis qui ont lancé leurs entreprises il y a quelques années, ils ont longtemps été extrêmement actifs sur Facebook qui était leur principal média de communication.
    Avec le COVID des petites boites se sont regroupées pour mutualiser leurs communications et leur dépenses.

    Je ne connais aucune entreprise dont l'activité ne dépend que de Facebook.
    Par contre c'est une autre histoire pour les associations mais de celles que je connais elles ont une existence physique suffisante pour qu'à la disparition de Facebook elles se dirigent vers un autre média.
    Si Facebook se casse la figure (et c'est que je pense d'ici quelques temps), les assos et petits commerçants tirerons leur épingles du jeux .

    Pour une raison simple. Facebook est tellement noyé par la politique et les sujets religieux qu'on ne s'y retrouve plus ...

    Très actif irl dans des asbl (culturelle ou sportive) , je trouve qu'un "facebook" tourné vers les assos , la culture, le loisir, le sport serait vraiment chouette . La crise du covid a quand même donné un coup de massue au monde associatif

    C'est histoire de rabattre les cartes ...

  17. #17
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    le cou de bluff supreme ahah. mais personne n'est dupe. facebook a plus a perdre...

  18. #18
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    Il y a des tas d'alternatives. Telegram et signal n'ont plus rien à prouver.

  19. #19
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    On pourrait presque rêver d'un réseau social Européen indépendant des US (autre que Russe). Bon c'est seulement un rêve...

  20. #20
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    Citation Envoyé par BleAcheD Voir le message
    On pourrait presque rêver d'un réseau social Européen indépendant des US (autre que Russe). Bon c'est seulement un rêve...
    des solutions existent, elles sont juste mise de côté au profit des autres mastodontes.

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