C'est assez caricatural.
La pensée libérale part du principe que l'État doit au mieux fixer les cadres d'échanges, mais ne doit pas intervenir directement sur les marchés pour préserver la libre-concurrence et la liberté d'entreprise. Par exemple de ne pas avoir de monopole d'État.
Et pour les libéraux, très libéraux, l'État ne devrait légiférer au minimum pour laisser un maximum de liberté. Bon, on peut être d'accord ou pas d'accord, je suis pour ma part plutôt en désaccord sur ce point.
Mais généralement, les personnes les plus modérées, font tout de même la nuance, que l'État doit conserver quelques droits régaliens.
Au moins c'est honnête, stupide du fait d'une vision très restreinte de son propre intérêt, mais honnête.
On fait tout pour soit-même, la solidarité, c'est pour se protéger soit-même d'un risque, ou pour se donner bonne conscience, se sentir d'une supériorité morale, ou tout simplement d'un sentiment d'auto-satisfaction ou de reconnaissance. Il y a beaucoup de personnes pour être "solidaires", mais quand il faut réellement donner et assumer des contraintes importantes, il n'y a plus personne.
Pas plus ridicule que l'extrême inverse, qui consiste à se morfondre dans un fatalisme raciste et sexiste.
Autant dire que ça n'avance à pas grand chose.
Là je te rejoins, y'a des claques qui se perdent.
Que ce soit sa famille, l'État qui lui a payé son éducation, etc. il doit beaucoup, voir plus.
Je dois reconnaître que je n'ai pas beaucoup fréquenté, si ce n'est aucun, adolescent ultra-libéral.
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