Zirak, tu peux rajouter les capitaux américains aussi qui ont permis de lancer tous les grands travaux pour reconstruire le pays et développer l'industrie
Zirak, tu peux rajouter les capitaux américains aussi qui ont permis de lancer tous les grands travaux pour reconstruire le pays et développer l'industrie
C'est certes un fait, mais tu l'enlèves du décors.
Tu oublies de préciser certaines choses, comme le fait que ces années correspondent à une sortie de 2 guerres qui ont eu lieu sur notre territoire, qu'il y avait un déficit de main d'œuvre (pas de chômage), un besoin de tout reconstruire (forte industrialisation), toute l'Europe de l'ouest étant un immense marché à re-bâtir, bref, c'est con à dire comme ça, mais la guerre a permis ces trente glorieuses. Pas de pénurie du pétrole, la France avait encore ses colonies, qu'elle pillait de ses ressources sans sourciller. Bref, la chute a commencé avec la décolonisation, et s'est poursuivi avec les chocs pétroliers de 73 et de 79.
Voilà, l'explication du fait que les dévaluations successives n'ont pas eu autant d'impact que celles qui ont eu lieu en 81, bien que ridicule en terme de pourcentage par rapport aux autres. Le problème des dévaluations, c'est que leur impact dépend fortement de la situation économique d'un pays. Si aujourd'hui, la France dévaluait sa monnaie, ce ne sont pas les financiers qui en pâtiraient, comme tu sembles le prétendre (oubliant au passage de tenir compte de la mondialisation des capitaux), mais bel et bien ceux qui n'ont pas les moyens d'avoir des capitaux étrangers !
Si jamais l'UPR arrivait au pouvoir (je sens que je vais en faire des cauchemars cette nuit ), je crois que j'ouvrirais un compte en Allemagne, en euros le plus vite possible !
Au nom du pèze, du fisc et du St Estephe
Au nom du fric, on baisse son froc...
Cela fait à peu près trois ou quatre pages que vous me dites que l'inflation c'est mauvais, je vous sors factuellement les différentes dévaluations que notre pays a connu. Et vous me dites que c'est différent parce que nous sortions de la guerre.
Donc vous dites que pour simplifier la tâche et avoir de nouveau un plein emploie qu’il suffirait de détruire le pays ?
Mais qu’attendons-nous pour nous auto-saborder alors ?
Rendez-vous compte de la stupidité de vos propos.
Donc je repose la question : pourquoi est-il ancré dans vos têtes que l’inflation c’est mauvais alors que dans les faits c’était plutôt une bonne chose ?
Par exemple, quand le marché automobile Français s'est éffondré de 40% entre 2007 et aujourd'hui, vous ne pensez pas qu'il y a un paquet de gens qui pourraient remplacer leur véhicule ? Je crois que l'age moyen du parc est aux alentours de 12 ans.
N'y a-t-il pas des millions de gens qui reveraient d'un logement un peu plus décent ? combien sont parqués comme des bêtes à devoir faire des boulots ingrat, quand ils en ont, payé au prix de la fameuse loi du marché ? Vous arrive t-il de penser que le chômage puisse être une source de richesse et un réservoir de mise en concurrence des uns avec les autres ? Vous devriez peut-petre y penser. Il y a des tas de facteurs qui peuvent nous redonner du travail, des tas d'autres qui peuvent nous en enlever mais dans les deux cas, si l'économie est bien paramétré nous devrions être gagnant dans les deux cas. On peut enlever du travail en modernisant la production, c'est bien, on peut créer du travail en souhaitant de meilleurs conditions matérielle. C'est bien aussi.
Aujourd'hui rien n'est fait dans le bon sens et tout est fait au contraire pour que nous acceptions les conditions qui se rapprochent de plus en plus de l'esclavage. Et encore pour certain c'est encore pire avec des problèmes pour se loger et bouffer. Avec un bon maitre tu pouvais manger à ta faim.
1) Parce que tu ne prends qu'une courte période.
2) Qu'on ta donner plusieurs exemples où la dévaluation n'a pas marché.
3) Pourquoi quasi personne ne dévalue sa monnaie alors que c'est si simple?
4) Pourquoi les dirigeants de l'Europe ont voulu se priver de la dévaluation si c'est si magique que ca?
5) Pourquoi la population de plusieurs pays sont dans les rues quand l'inflation est forte? (Brésil, Argentine, Venezuela, ...)?
Je ne suis qu'un pauvre débutant alors ne frappez pas si mes idées ne sont pas bonnes
Parce que ce n'en est pas une dans la situation actuelle.
Un article qui explique plutôt bien comment ça marche.
Je cite la conclusion (mais je conseil à tout le monde de le lire) :
Edit : La conclusion de Jaques Sapir (grand connaisseur des russes et anti-euro, tu devrais aimer) sur la dévaluationEnvoyé par captaineconomics
Je cite la partie qui nous intéresse :
Même en comptant la baisse des salaires de 20%, une dévaluation non néfaste (mais absolument pas positive) (on est donc dans le "minimum") demande une réorganisation de plus de la moitié de la production, et demande une élasticité-prix des importations de 2.85Envoyé par Sapir
[/DEUCHE_MODE]Evidemment, si tu prends tes sources sur des sites mainstream, pro-ue, payer par les merdias eux-mêmes financés par les actionnaires..[/MODE]
Merci pour ce très intéressant lien. La France ayant de grosses ressources naturelles et énergétiques, on imagine très bien les bénéfices que l'on pourrait tirer d'une dévaluation.
Au nom du pèze, du fisc et du St Estephe
Au nom du fric, on baisse son froc...
J'ai mit en edit un lien de Jaques Sapir. Mainstream oui (beaucoup trop à mon avis, des gars comme David Thesmar, qu'on aime ou pas, devrait être bien plus reconnu à mon sens), mais pro-EU...
@Deuche, tu nous en a déjà parlé non ? Son avis sur la sortie de l'euro, c'est le saint graal, mais son avis sur la dévaluation, ce n'est pas dans le sens de M.Asselineau donc on jette ?
Ben oui, c'est un facteur à prendre en compte quand même, auquel il faut rajouter le déficit humain, l'aide américaine (je l'avais oublié), le prix du pétrole au plus bas, un chantier énorme (du à la guerre) et le fait qu'on possédait des colonies. Ça fait quand même un paquet de trucs que tu oublies de prendre en comptes.
Heu ! Non, on n'a pas dit ça.
Il ne fait jamais bon, de décolérer les faits des paramètres !
On pourrait aussi interdire la vente de véhicules étrangers !
Ah ! Mais on n'a jamais dit que c'était bien comme c'est actuellement. On est tous d'accord pour dire qu'il y a des trucs à changer. Le problème c'est que les trucs que tu veux faire, ne nous paraissent pas être les bons. Et plus tu "argumentes" moins ça donne envie, en fait !
Et, comme ton "parti" semble bloquer en 1945, ben, on te rappelle que le monde à évoluer et que la donne à changer, et qu'il serait bien, si vous voulez avoir une once (toi qui aime l'or) de crédibilité, de mettre vos données à jour !
Au nom du pèze, du fisc et du St Estephe
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Je crois que Sapir nous explique qu'il faut dévaluer non ? Dans le dernier lien que j'ai mis en ligne. Vous avez la mémoire courte, souvenez-vous de ces quatre économistes du FMI. C'est dans son blog russeurope. C'est pas un peu facile et surtout malhonnête que d'extraire en dehors du contexte une partie de ce que veut dire la personne et lui faire dire exactement son contraire ?
Quand à Capitaineconomics, j'ignore d'où il peut bien sortir, mais je constate qu'il est en total désaccord avec déjà au moins huit prix nobel de l'économie qui nous explique que l'euro est clairement sur-évalué.
En fait je me fous un peu de ce que peuvent dire vos économistes à l'instant T. Je regarde ce que pouvais dire les économistes avant 2007 et je regarde ce qu'ils disent aujourd'hui.
Alors evidemment vous en 2007, vous ne vous posiez pas toutes ces questions. Mais ca me permet quand même de replacer les choses dans leur contexte et de reconnaitre les bons économistes des mauvais.
As-tu regardé dans quelle catégories se trouvent les tiens ?
Je suis perdu : on doit tenir compte du contexte ou non finalement?
pour le docteurEcononie, tu as toutes les infos en bas de l'article.
edit : pour tes prix Nobel anti zone euro, je me demande si l'UPR ne fait pas comme le FN en fait :
Moderniser la production ça augmente la valeur ajoutée d'une heure de travail, ça n'enlève pas du travail. Le problème c'est la répartition de la valeur ajoutée, pas le progrès technique.
Pour ce qui est de l'inflation on t'a déjà répondu que oui ca peut être utile pour résorber la dette mais que ça pose plein de problèmes :
- d'abord ça n'est pas contrôlable facilement, donc ça peut s'emballer, c'est une des causes indirectes de la 2nde guerre mondiale.
- ensuite ça ruine ta capacité à importer. On va être bien avec un euro ou un retour au franc dévalué pour acheter nos ressources énergétiques
- ca devient beaucoup plus difficile d'emprunter par la suite (puisqu'on est obligé de la faire sur les marchés financiers)
'fin bref, on t'a dit tout ça des dizaines de fois ... L'inflation n'est pas un remède miracle.
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Inconnu
C'est pourtant ce que tu fais avec 95% des liens que tu mets ici, prendre la phrase qui t'intéresse en oubliant le reste, c'est un peu l'hôpital qui se fou de la charité là...
Il y a une légère différence entre le trouver sur-évalué (ce qui veut dire qu'il n'y aurait QUE besoin de l'ajuster pour qu'il tienne correctement son rôle), et le fait de dire que c'est la raison de tous les problèmes, et qu'il faut sortir de l'Euro, de l'UE, de l'Otan, etc. etc.
Grosso modo tu as donc fait dire à tes 8 prix Nobel d'économie (chose qui n'existe pas rappelons-le), qu'il fallait que l'on quitte l'Euro, alors qu'ils le trouvent juste sur-évalué, tu as donc extrait une partie de leur argumentation pour leur faire dire le contraire, ce qui est un peu facile et malhonnête...
Nan, tu te fous de tout ce qui ne va pas dans ton sens, peu importe qui le dit, la aussi, il y a une légère différence. La preuve, on te sort un texte de ton grand Sapir, qui ne va pas dans ton sens sur la dévaluation, et du coup, c'est forcément un montage malveillant...
Je propose de ne pas prendre en compte le concept pour des décisions économique. Mieux ! Arrêtons d'en faire des décisions et tirons les au sort. Cela résoudra tout les problèmes !
Merci pour l'info
Tu parles du site russeurope, sous domaine de hypotheses ? (ce que j'ai envoyé, donc) http://russeurope.hypotheses.org
Et hors contexte, non. J'ai quand même donner le lien de l'article. Faire quelque chose de malhonnête, ce serait :
Sans mettre la suite :Envoyé par Sapir
Envoyé par Sapir
Thomas Renault, un homme plutôt compétant.
Oui, ne t'inquiète pas pour ça
J'ai vu sur le site de l'upr que vous prenez à parti Stiglitz. Alors pour le coup c'est sûr qu'il est excellent, mais alors contre l'euro...
Trouves des économistes qui ont prévu la crise de 2008 avant qu'elle n'arrive et écoute ce qu'ils ont à dire.
Je crois que le meilleurs toute catégorie est sur-nommé Dr. Doom.
Il avait prévu toutes les crises depuis 1987. Si ma mémoire est bonne il s'agit de Nouriel Roubini.
Voici la liste des économistes qui pensent qu'il faut envisager de quitter l'euro.
Vous m'en trouvez cinq ou six qui ont prévu la crise en 2007 ou avant et vous me dites ce qu'il pensent de l'euro aujourd'hui et on en reparle.
Ce n'est pas qu'il puisse aller dans mon sens ou pas.
C'est juste que sortir de l'euro c'est du bon sens partagé par quelques économistes.
Aftalion Florin **** professeur émérite à l’ESSEC
Albarracín Daniel **** économiste et sociologue, ancien professeur à l'Université Carlos III
Aliber Robert * Professeur émérite d’économie et de finance internationale à l’Université de Chicago
Alvi Geminello * **** membre du Conseil national de l'Economie et du Travail, ancien économiste à la Banque d'Italie et à la Banque des règlements internationaux
Amoroso Bruno **** professeur d’économie
Armendáriz Beatriz * Harvard University & University College London
Ayala Iván H. **** docteur en économie, membre de
Bagnai Alberto **** Professeur associé d’économie politique à l’université G. d’Annunzio et L. Da Vinci de Chieti
Barro Robert **** Professeur d’économie à Harvard, classé 3ème économiste le plus cité au monde (IDEAS)
Berghäll Elina **** ancienne économiste à l'OCDE et au FMI, aujourd’hui au Government Institute for Economic Research
Biagetti Marco * **** Economiste statisticien, docteur en économie de l’université « La Sapienza » de Rome
Blankart Charles B. *** professeur à l’Université Humboldt de Berlin
Bofinger Peter *** professeur d'économie monétaire à l'université de Wuerzburg, membre du Conseil allemand des experts économiques
Boone Peter **** chercheur associé au Centre for Economic Performance, London School of Economics
Bootle Roger **** ancien maitre de conférence à l’Université d’Oxford, fondateur du cabinet de recherche économique « Capital economics
Borghi Aquilini Claudio **** Economiste et chroniqueur, professeur à l'Université catholique du Sacré-Cœur – Milan
Brancaccio Emiliano ** professeur d'économie à l'Université de Sannio à Bénévent
Brousseau Vincent **** Diplômé de l’École Normale Supérieure de Saint-Cloud et titulaire de deux doctorats, l’un en mathématiques et l’autre en économie, a travaillé pendant 15 ans à la Banque centrale européenne (BCE) et était, jusqu’au 1er janvier 2014, l’un des deux économistes français du département de la politique monétaire
Brown Brendan *** directeur exécutif de Mitsubishi UFJ Securities International
Cabrillo Rodríguez Francisco * professeur d'économie appliquée à l'Université de Madrid
Capie Forrest *** économiste, Professeur d'histoire économique à la City University London, ancien historien officiel de la banque d'Angleterre
Castaneda Juan Enrique * professeur d'économie à University of Buckingham
Cesaratto Sergio **** Professeur à l'Université de Sienne, Département d'économie et de statistique
Colletis Gabriel **** Professeur de Sciences économiques à l’Université Toulouse-I Capitole
Colomer Lluch Manuel **** docteur en économie, chercheur à l’Université d’Oviedo
Congdon Tim * CBE, économiste, fondateur du Lombard Street Research, professeur invité à la Cardiff Business School, chercheur associé à la London School of Economics
Conte Bernard **** maître de conférences en sciences économiques à l'Université Bordeaux IV
Costa Vieira Pedro Cosme * professeur à la faculté d'économie de Porto
Cotta Alain **** économiste, professeur à HEC et à Dauphine
de Haas Bruno ** économiste, ancien chef adjoint de la stabilité financière au ministère des finances des Pays-Bas
Di Taranto Giuseppe ** Professeur d'économie et d'histoire à la « Libera Università Internazionale degli Studi Sociali
do Amaral F. **** Professor of Economics and Economic Policy at the University of Lisbon and economic adviser to the Portuguese president
Díez José Carlos **** enseignant à Icade Business School, économiste en chef d'intermoney
Faber Marc *** économiste, docteur en économie de l'Université de Zurich
Faltin Dirk *** Head of Thematic Research (Director) UBS Wealth Management Research
Fantacci Luca *** professeur de sciences économiques à l'Université Bocconi, Milan.
Fassina Stefano ** Ancien conseiller économique du ministère des finances italien, ancien économiste au FMI et vice-ministre des finances
Feldstein Martin * Professeur d'économie à Harvard University, président émérite du National Bureau of Economic Research
Flassbeck Heiner *** ancien économiste en chef de la CNUCED de 2003 à 2012
Fontana Giuseppe ** University of Leeds et Université de Sienne
Forstater Mathew ** Professeur d'économie, Université du Missouri, Kansas City
Franquesa Ramon **** professeur d'économie à l'Université de Barcelone
Fratianni Michele ** professeur d'économie à Indiana University, Kelley School of Business
Galand Gabriel **** diplômé de l’Ecole Polytechnique, Docteur en Economie de l’Ecole Centrale Paris, membre de la
Galloni Nino **** membre du conseil des commissaires de l'Institut national de sécurité sociale, ancien professeur aux Universités de Milan, de Modène, et de Rome
Garabiol Dominique **** diplômé de l'ESSEC et docteur ès sciences économiques, commença sa carrière à la Banque de France en 1981. En 1986, il devint chef de la section des études au secrétariat général de la Commission bancaire
Garbellini Nadia **** économiste, chercheur à l’l'Université de Pavie
Gave Charles **** économiste et financier, diplômé de l’université de Binghamton, président de l'Institut des libertés
Giacché Vladimiro **** président du Centro Europa Ricerche
Giraud Gael **** Chargé de Recherches (1re Classe) au CNRS. Chercheur associé à l’École d'économie de Paris et consultant scientifique
Grandjean Alain *** diplômé de l’École Polytechnique et de l’École Nationale Supérieure de la Statistique et de l’Administration Economique et docteur en économie de l’environnement
Granville Brigitte **** Professeur d’économie internationale et d’économie politique à la « School of Business and Management », Queen Mary, University of London
Griffin Kenneth ** fondateur et chef exécutif de Citadel
Gréau Jean-Luc **** économiste, ancien expert du Medef, membre du conseil scientifique de la Fondation Res Publica
Généreux Jacques *** Professeur d'économie à Sciences po Paris
Gérard Jean-Pierre **** Ancien membre du Conseil de la Politique Monétaire, il est Président du club des N°1 mondiaux français à l'exportation
Hampl Mojmír **** Vice-gouverneur de la banque central de République Tchèque depuis 2008
Hankel Wilhelm(†) *** ancien professeur honoraire à l'Université Johann Wolfgang Goethe de Francfort
Hasse Rolf **** professeur d’économie à l'Université de Hambourg Forces Armées Fédérales (1981-1998) et à l'Université de Leipzig (1998-2006). Directeur de l'Europa-Kolleg Hambourg (1992-1998
Henkel Hans-Olaf **** ancien président de la Fédération des Industries Allemandes, Professeur d’Economie à l’Université de Mannheim
Höfert Andreas *** économiste en chef de Wealth Management & Banque suisse et le chef mondial de Wealth Management Research
Jessop Julian **** Chief gobal economist à Capital Economics
Johnson Simon **** ancien économiste en chef du FMI, professeur au MIT
Kanniainen Vesa **** diplômé de la London School of Economics, ancien professeur invité à l'Université de Brown, Professeur d'économie à l'Université d'Helsinki
Kashyap Anil ** professeur d'économie et de finance à l'Université de Chicago Booth School of Business.
Kawalec Stefan **** économiste, ancien directeur général du ministère des finances et sous-ministre des finances polonais
Kenningham Andrew **** économiste à Capital Economics
Kerber Markus *** économiste et expert financier, chef de la direction de la Fédération de l'industrie allemande (BDI), auparavant chef du Département de la politique au ministère fédéral des Finances
Kinsella Ray ** économiste, professeur de finance à University College Dublin
Koichi Hamada ** professeur d'économie à Yale et à l'Université de Tokyo
Konrad Kai A. * conseiller en chef du ministre allemand des Finances, économiste, directeur à l'Institut Max Planck
Koskenoja Pia **** professeur à l'Université d'Helsinki, économiste au Government Institute of Economic Research, experte après de la Commission Européenne
Krugman Paul * Prix Nobel 2008, Professeur à l’Université de Princeton
Kruse Jörn * professeur de politique économique à la Faculté des sciences économiques et sociales, Helmut-Schmidt-Université de Hambourg
Lafay Gérard **** Professeur émérite de sciences économiques, Paris II
Landini Piergiorgio ** professeur d'économie, directeur du département d'économie de l'Université G. D'Annuzio
Lapavitsas Costas **** professeur d’économie à la “School of Oriental and African Studies”, University of London
Latouche Serge **** professeur émérite d'économie à l'Université Paris-Sud 11
Lemaire Bruno **** diplômé d’Harvard, professeur honoraire de Management à HEC, Expert auprès de la MIME (Mission interministérielle pour les mutations économiques
Levy Yeyati Eduardo * Professeur d'économie, Université Di Tella de Buenos Aires, Senior Fellow au Boston Institute
Lordon Frédéric **** Directeur de Recherche au CNRS, Directeur d’Etude à l’EHESS
Lucey Cormac ** professeur de finance à University College Dublin
Lucke Bernd *** ancien économiste à la Banque Mondiale, professeur de macroéconomie au département d'économie de l'université de Hambourg
Luckenbach Helga **** professeur émérite à la Justus-Liebig-Université de Giessen
Luttwak Edward ** Economiste, politologue
Maarek Gérard **** ancien membre du Conseil d'analyse économique, ancien secrétaire général de l'INSEE, ancien Chef du Service des Études Économétriques de la Banque de France
Maris Bernard **** Professeur des universités à l'Institut d'études européennes de l'université Paris-VIII. Il a également enseigné la micro-économie à l'université d'Iowa (États-Unis) et à la banque centrale du Pérou, membre du conseil général de la Banque de France
Martín Seco Juan F. **** “Academic lecturer” d’Introduction à l’économie et de finance publique
Massimiliano Tancioni **** Professeur d'économie, Université La Sapienza de Rome
May Ben **** économiste à Capital Economics
Mazier Jacques *** Professeur de sciences économiques, Université de Paris 13
McKeown Jennifer **** économiste à Capital Economics
McLeod Ross * associate professor of economics at the Australian National University's Crawford School
Meyer Dirk **** professeur à l’Université Helmut Schmidt à Hambourg
Miettinen Sami **** économiste
Milbradt Georg * professeur à la faculté de sciences économiques de l'université de Münster, actuellement professeur à l'université technologique de Dresde. Ancien ministre-président de la Saxe
Minford Patrick *** Professeur d'économie appliquée à la Cardiff Business School
Mirrlees James ** Prix Nobel 1996
Mitchell Bill ** professeur d'économie et directeur du Centre of Full Employment and Equity, université Charles Darwin, Australie
Mongeau Ospina Christian A. **** docteur en économie, Université La Sapienza, Rome
Monot Bernard **** Economiste, analyste financier à la CDC
Montero Alberto **** Professeur d'économie politique à l'Université de Málaga
Montes Pedro *** ancien économiste à la Banco de España pendant 30 ans, membre du Centro de Estudios Políticos y Sociales
Morgante Anna ** Président de l'Ecole d'Economie, Affaires, droit et sociologie, Université G.d Annunzio
Moschetto Bruno **** professeur de sciences économiques à HEC
Mosler Warren ** économiste, fondateur du Center for Full Employment And Price Stability de University of Missouri-Kansas City
Murer Philippe **** professeur de finance à l’Université Paris 1
Napoleoni Loretta ** Economiste
Naulot Jean-Michel **** économiste, financier, ancien membre du collège de l’Autorité des marchés financiers
Navarro Vicenç *** professeur d'économie appliquée à l'Université de Barcelone
Nikonoff Jacques **** ancien élève de l’ENA, professeur associé à l’Institut d’études européennes de l’université Paris 8
Nocella Gianluigi **** docteur en économie de l'Université La Sapienza de Rome
Nordvig Jens **** chef mondial de la stratégie FX et chef de la recherche Fixed Income, Amériques chez Nomura Securities
Nölling W. *** diplômé des Universités de Berkley et de Hambourg, ancien professeur d'économie à l’Académie des sciences économiques et politiques, Hambourg
Ohana Steve *** professeur assistant en finance à ESCP Europe. Il est diplômé de l’Ecole Polytechnique
Oppenheimer Peter **** chercheur en histoire économique à l’Université d’Oxford
Orléan André *** administrateur de l’INSEE en 1974, puis directeur de recherche au CNRS en 1987. Directeur d’Etude à l’EHESS
Parguez Alain ** professeur d'économie, Université de Franche-Comté, et Ottawa
Passarella Marco ** économiste, université de Leeds
Pereira Bresser **** économiste, ancien ministre des finances du Brésil, professeur d'économie à l'Université de San Paolo
Pissarides Christopher *** Prix Nobel 2010, Professeur à la London School of Economics
Pozzi Cesare *** professeur d'économie appliquée à l'Université de Foggia
Pytlarczyk Ernest **** Economiste en Chef de la BRE Bank S.A
Ragot Xavier * * économiste français, Maître de Conférences à l'Université Paris I et chercheur au Centre d'Économie de la Sorbonne
Ramaux Christophe *** Professeur à l’Ecole d’Economie de Paris
Record Neil **** Economiste, Université d'Oxford
Reynoso Alejandro * professeur de finance à l'Université de Cambridge
Ricci Andrea **** professeur d’économie à l’Université d’Urbino
Rinaldi Antonio Maria **** Professeur de Corporate Finance à l’université Gabriele d'Annunzio
Rochet Claude **** ancien élève de l’ENA, professeur de gestion à l’Université Aix-Marseille, Directeur du laboratoire de recherche en intelligence économique au Ministère de l’Economie et des Finances
Rodrik Dani *** Professeur d’économie politique à Harvard puis Princeton
Rosa Jean Jacques **** Professeur émérite d’économie et de finance à Science Po Paris
Rossi Sergio **** Professeur d'économie monétaire à l'Université de Fribourg
Roubini Nouriel *** Professeur d'économie au Stern School of Business de l'Université de New York. Avait annoncé la crise en 2005-2006
Salvatore Dominick * professeur émérite d'économie, Fordham University
Sannat Charles *** professeur d'économie en école de commerce.
Santi Michel *** professeur de finance à Genève, ancien conseiller de banques centrales de pays émergents
Sapir Jacques **** Directeur d’Etude à l’EHESS
Sargent Thomas * Prix Nobel 2011
Sarrazin Thilo *** ancien membre du directoire de la Deutsche Bundesbank
Savona Paolo **** professeur de politique économique à la Carli Université LUISS-Guido de Rome, diplômé du MIT
Schwartz Pedro * Professeur d'économie à l'Université San Pablo de Madrid
Schäfer Wolf *** ancien professeur de sciences économiques à l'Université Helmut Schmidt à Hambourg
Scotti Vincenzo *** ancien ministre italien, professeur d'économie à la LUISS, président de la Link Campus University
Sims Christipher ** Prix Nobel 2011
Sinn Hans Werner ** président de l'Institut für Wirtschaftsforschung (ifo), membre de la National Bureau of Economic Research à Cambridge, Massachusetts
Smallwood Christopher **** économiste à Capital Economics
Soy Antoni **** Professeur d’économie appliquée à l’Université de Barcelone, ministre délégué à l’industrie et à l’entreprise dans le gouvernement de Catalogne
Starbatty Joachim *** professeur émérite de sciences économiques à l' Université de Tübingen
Steinherr Alfred **** ancien économiste en chef de la Banque européenne d’investissement, Professeur à la « School of Economics and Management » de l’Université Libre de Bozen-Bolzano, Italie
Sterdyniak Henri * Directeur du Département économie de la mondialisation de l'OFCE, ancien administrateur de l’INSEE
Stiglitz Joseph ** Prix Nobel 2007
Sulzer Jean-Richard **** diplômé d’HEC, Agrégé des facultés en sciences de gestion, Professeur à l’Université Paris-Dauphine
Torres López Juan * professeur d'économie à l'Université de Séville
Vamvakidis Athanasios *** docteur en économie de Harvard, économiste au FMI, responsable de la recherche de la division
Vaubel Roland **** professeur d'économie à l'Université de Mannheim
Vesperini Jean-Pierre **** Agrégé de sciences économiques (major), Professeur d’économie à l’université de Rouen, ancien membre du Conseil d’Analyse Economique auprès du Premier Ministre
Villin Philippe **** banquier d'affaires, ancien élève de l'Ena
Wagenknecht Sahra **** docteur en économie
Weeks John ** professeur émérite d'économie à University of London
Weisbrot Mark *** co-directeur du CEPR (Center for Economic and Policy Research) de Washington
Werrebrouck JC **** ancien professeur d’économie à l'Université de Lille 2
Woo David *** docteur en économie de Columbia University, Managing Director et chef de la recherche
Wood Geoffrey *** professeur d'économie à l'Université de Buckingham
Wray Randall * Professeur d'économie, Université du Missouri
Zezza Gennaro **** professeur agrégé d’économie à l'Université de Cassino, et chercheur à l'Institut Levy Economics des États-Unis
@LawNask
https://analyseeconomique.wordpress....largent-dette/
T'es à l'ouest mec. Le film de Paul Grignon est tout à fait valide. Celui qui ne sait pas que l'argent est créé ex-nihilo n'est pas en mesure de comprendre ce qu'il se passe :
Vous n'êtes pas en mesure de comprendre ce qu'il se passe.
La monnaie est créé de façon ex-nihilo et ceci en fonction des réserves fractionnaires.Dans son essence, la création monétaire ex nihilo actuelle par le système bancaire est identique, je n'hésite pas à le dire pour bien faire comprendre ce qui est réellement en cause, à la création de monnaie par des faux-monnayeurs, si justement condamnée par la loi. Concrètement elle aboutit aux mêmes résultats. La seule différence est que ceux qui en profitent sont différents.
La Crise mondiale d’aujourd’hui. Pour de profondes réformes des institutions financières et monétaires., Maurice Allais, éd. Clément Juglar, 1999, p. 110
Regardez le film de Paul Grignon, vous n'en serez que mieux instruit.
Et sinon tu disais quoi au sujet de Stiglitz ?
http://www.marianne.net/La-sortie-de...s_a215208.html
Ignoré des médias ?
Rendormez-vous tout va bien.
Hum, ça fait beaucoup de noms pour aucune source. J'en ai déjà repéré plusieurs que je connais comme euro-défenseurs. Tu aurais au moins pu copier-coller les sources qui vont avec ton tableaux
De mon côté, je cherche des sources contradictoire, c'est de bonne guerre.
LawNasK
Je n'ai fait que partager deux liens, dont le deuxième explique pourquoi le premier est une suite de sophisme. (plutôt à l'est, donc )
Si tu fais mentir Stiglitz, on va pas être copain toi et moi
Je t'invite à lire l'ENSEMBLE de ses travaux (ici son site) et à me dire SI UNE SEULE FOIS il a pensé que l'union monétaire européenne était un problème, et que l'UE est une mauvaise idée. Il dit (et répète (et répète encore)) que l'UE a mal été construite, et qu'il faut la modifier.
[QUOTE=LawNasK;8433145]et à me dire SI UNE SEULE FOIS il a pensé que l'union monétaire européenne était un problème, et que l'UE est une mauvaise idée.
A 3'40. Quitter l'euro sera douloureux, mais rester dans l'euro sera encore pire.
https://www.youtube.com/watch?v=6FzI-5baKsI
Il ne peut pas dire ça. L'Art.48 du TFUE nécessite que la totalité des 28 états s'entendent sur une autre Europe.
Les intérêts sont trop divergents. La commission Européenne sait qu'elle a tout le pouvoir.
J'ignore où tu étudies, mais tu ferais mieux de garder tes sous, de prendre une carte de bibliothèque, ça te coutera le prix d'un ticket de bus et au moins tu sera libre.
Des défenseurs comme Stiglitz ?J'en ai déjà repéré plusieurs que je connais comme euro-défenseurs.
Lesquels ?
Attention, cette liste s'allonge il est possible qu'à un moment donné l'économiste ait pu penser, à tord, que l'euro c'était bien.
Même Allais a toujours dis que l'Euro c'était de la merde.
Pas étonnant qu'il ait jamais fait une télé.
Le mec il était honnête.
http://www.traducteur-sms.com/ On ne sait jamais quand il va servir, donc il faut toujours le garder sous la main
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