Oui, ou juste l'incompétence. Par exemple en Suisse, le site mesvaccins.ch qui se targuait d'être une implémentation du "passeport vaccinal" est en maintenance depuis 2 semaines suite à des fuites de données hallucinantes: en gros, n'importe qui ou presque pouvait avoir accès aux données présentes et même les modifier
On ouvre les paris sur les prochains pays à connaître la même blague?![]()
Perso, je ne comprend pas pourquoi il faudrait rendre obligatoire la vaccination via un certificat, car même en étant vacciné on peut être porteur du virus…
Tu veux dire que tu t'es fait cracher dessus par un covidiqué enragé et sans masque et que donc tu as un virus qui se balade sur ta veste ? oui ok c'est possible...
Mais si tu es vacciné, tu va résister à la maladie dans plus de 90% des cas, et donc le virus ne va pas se reproduire en toi, donc tu ne deviendra pas un "superspreader" donc dans plus de 90% des cas tu ne va pas répandre toi la maladie, car tu ne va pas créer de nouvelle charge virale, et c'est pourquoi on dit 90% et pas 100%. Mais ces 90% ca suffit largement pour casser le facteur global de la transmissions sur l'ensemble de la population, parce que ça divise la contamination par 10, et mathématiquement cela enraye l'épidémie, vu que le facteur de contamination étant divisé par 10 il va largement descendre au dessous de 1. Par exemple ce facteur va passer de 3 ou 2 à 0,3 ou 0,2, ca suffit pour mettre fin à l'épidémie, ce qui ne veux pas dire que le virus ne va pas continuer à trainer par ci par la pendant un temps, il a fallu 10 ans ou plus pour éradiquer certaines maladie, et certaines n'ont jamais été éradiquées..
Les « supercontamineurs », clé de la propagation de la Covid-19 ?
Chaque malade du coronavirus contamine en moyenne deux à trois autres personnes. En réalité, la grande majorité des porteurs du coronavirus ne vont jamais le transmettre. Seuls quelques « supercontaminateurs » sont à l'origine de la pandémie de Covid-19 qui s'est répandue comme une traînée de poudre dans le monde.
Une station de ski en Autriche... Un rassemblement religieux à Mulhouse... Une chorale à Washington... Un match de foot à Milan... Le Sars-Cov-2 semble particulièrement enclin à se propager à partir de clusters où une seule personne suffit à en infecter des dizaines d'autres. À l'inverse, la très grande majorité des personnes porteuses sont faiblement contagieuses, même en adoptant le même comportement. Ce phénomène pourrait expliquer pourquoi l'épidémie, que l’on soupçonne d’être présente en France depuis décembre, n'a véritablement explosé qu'au grand jour au mois de mars.
La norme, c’est que ce taux de reproduction est de zéro
La plupart des épidémiologistes se concentrent sur le taux de reproduction (R0) qui définit le nombre moyen de personnes infectées par une personne malade. Ce taux est d'environ 1,5 pour la grippe, entre 1,5 et 3 pour le Sars-Cov-2, entre 10 et 12 pour la varicelle et jusqu'à 18 pour la rougeole. Mais cette moyenne est en fait très peu représentative de la réalité : « La norme, c'est que ce taux de reproduction est de zéro. La plupart des gens ne transmettent pas le virus », explique Jamie Lloyd-Smith, virologue à l'Université de Californie dans le magazine Science. Les scientifiques ont donc établi un autre indicateur, le facteur de dispersion, noté k. Plus k est petit, plus la propagation de la maladie s'effectue via un faible nombre de personnes.
80 % des transmissions sont le fait de 10 % des malades
Dans un article de Nature publié en 2005, Jamie Lloyd-Smith avait estimé ce facteur k à 0,16 pour le Sars-Cov de 2003. Pour le Mers de 2012, il a été évalué à 0,25. En revanche, lors de la grippe espagnole de 1918, il aurait été de 1, ce qui signifie que la capacité de contamination aurait été mieux répartie dans la population. Concernant le Covid-19, une prépublication de la London School of Hygiene & Tropical Medicine (LSHTM) a calculé un facteur k de 0,1, « ce qui veut dire que 80 % des transmissions sont le fait de 10 % des malades », note l'étude.
Il suffit qu'un de ces supercontaminateurs soit en contact avec un grand nombre de personnes à la fois pour faire émerger un cluster. En Corée du Sud, un des deux premiers cas avérés de Covid-19 a ainsi participé à deux rassemblements au sein desquels plus de 1.000 personnes ont ensuite été testées positives. De même, un patient d'un hôpital de Wuhan, en Chine, a infecté à lui seul 14 membres du personnel soignant alors qu'il n'avait même pas encore de fièvre.
Au moins quatre à cinq foyers différents pour faire décoller une épidémie
Ceci amène à des actions bien différentes de celles préconisées jusqu'ici. Plutôt que de confiner tout le monde de manière indifférenciée, « il y aurait un avantage substantiel à se concentrer sur ces supercontaminateurs, assure Akira Endo, principal auteur de l'étude. Comme la plupart des individus infectés ne contribuent pas à l'expansion de l'épidémie, le nombre effectif de transmissions pourrait être considérablement réduit en prévenant les événements de superpropagation relativement rares ».
Cela suggère également qu'une chaîne de transmission secondaire a peu de chances de se produire, puisqu'il faudrait pour cela qu'une personne contaminée soit elle-même « supercontaminateur ». La plupart des personnes n'étant en réalité pas infectieuses, il faut au moins quatre à cinq foyers de contamination différents pour que l'épidémie décolle réellement, note le magazine Science.
Plus de postillons et de charge virale : le portrait robot du supercontaminateur
Comment expliquer que le Sars-Cov-2 se propage via un si faible nombre d'individus ? Une des explications possibles est le mode de transmission : le virus semble pouvoir rester longtemps dans les fines gouttes d’aérosol en suspension, susceptibles de contaminer un grand nombre de personnes à la fois. Mais les facteurs individuels sont certainement la clé de ces supercontaminateurs. Certaines personnes ont ainsi tendance à émettre beaucoup plus de postillons quand elles parlent ou qu'elles respirent.
La charge virale, c'est-à-dire la quantité de virus présente dans l'organisme, varie considérablement selon les individus. Or, plus cette charge virale est élevée, plus vous avez de chances de transmettre la maladie. Ce qui ne signifie pas que le supercontaminateur a des symptômes plus visibles. Dans une prépublication de l'université Cornell aux États-Unis et menée en Lombardie, l'un des premiers foyers épidémiques en Europe, les chercheurs ont constaté qu'il n'y avait pas de différence entre la charge virale des patients symptomatiques et asymptomatiques.
D'où la difficulté à identifier ces fameux « supercontaminateurs ». D'autant plus que la période durant laquelle on est contagieux est généralement très courte. « Si un "supercontaminateur" avait fréquenté le même événement deux jours plus tard en se comportant de la même façon, il n'y aurait probablement pas eu les mêmes conséquences », explique Adam Kucharski, de la LSHTM.
Le facteur k est toutefois difficile à calculer précisément. Il suppose de pouvoir retracer précisément la chaîne de contamination d'un patient, ce qui était jusqu'ici peu le cas. La surveillance stricte des clusters émergents devrait permettre d'en savoir plus et d'éviter des contaminations massives.
Tu iras dire ça à la personnes qui suite à vaccination s'est vu refusée le "déconfinement" par le conseil d'état pour cause de manque de certitude d'efficacité du vaccin :
https://www.sudouest.fr/sante/corona...59560.amp.html
à coté de ça les spécialistes sont meme pas tout d'accord sur qui infecte qui, par exemple une étude chinoise à montrée que les asymptomatiques avaient une charge virale trop faible pour contaminer les proches ....
Si à ça on rajoute l'immunité des gens qui ont déjà eu le virus ou on a aucune idée du niveau procuré et du temps que ça dure (pareil pour le vaccin, on sait pas quel niveau d'immunité ça donne ni de combien de temps, y a des rumeurs coté Israel qui parle d'un refresh tous les 6 mois)
Nan vraiment l'utilité de la vaccination IMPOSE et généralisée je comprend pas....
Edit : et le passeport sanitaire est pour moi quelquechose de risqué et niveau confidentialité des données j'ai un gros doute
Rappelons que l'Europe a vu naître le nazisme, les Ustasha, le franquisme et le mussolinisme

Bonjour,
Encore une appli usine à gazQue pensez-vous du certificat sanitaire européen ?![]()
![]()
. Je suis curieux de voir comment on va reussir à faire interagir le système de santé de Monaco (35 000 habitants), avec celui de l'Allemagne 82 millions d’habitants
... aucun fédéralisme, des politiques de santés différentes ...
Ce qui me gène aussi c'est l'aspect "passeport". En France on a déjà le carnet de vaccination / carnet de santé. Depuis 2018 on a le DMP ... Un coquille vide ... qui était pourtant censé faciliter la circulation des infos médicales.
En France on fait un test pcr en laboratoire ou à l'hopital. En Allemagne, cela n'existe pas . C'est un autre système ... Je serai curieux de voir la gueule du SI qui doir juste être horribleQuel commentaire faites-vous sur l’interopérabilité du code QR entre les pays membres de l’Union ?.
En comptant les pays (35) de l'UE + allié :
Ajoutez à cela des pays satellites européens dans les Balkans ou en Europe de l'est:Grèce
Pays-Bas
Belgique
France
Espagne
Portugal
Luxembourg
Irlande
Islande
Malte
Finlande
Bulgarie
Hongrie
Lituanie
Lettonie
Estonie
Andorre
Monaco
Saint-Marin
Croatie
Slovénie
Italie
Roumanie
Suisse
Tchéquie
Slovaquie
Liechtenstein
Autriche
Royaume-Uni
Danemark
Suède
Norvège
Pologne
Allemagne
Puis les pays qui beaucoup d'échanges avec l'UE en Afrique et Asie :Albanie
Moldavie
Ukraine
Serbie
MONTENEGRO
Kosovo
Bosnie et Herzégovine
Macédoine
Turquie
Israel
Liban
Azerbaijan
Georgie
Armenie
RussieNe parlons pas des pays (comme la France , le Royaume Unis , le Portugal , l'Espagne ...) qui ont des territoires ultra-marins. La encore je n'ose imaginer la tronche du SI ... Genre Saint Martin pour sa partie NL et Saint Pierre et Miquelon . On va devoir ouvrir le SI sur le canadien et l'américain ?Maroc
Algerie
Tunisie
Egypte
L'ONU et l'OMS devraient à mon sens donner des lignes directrices ... On parle quand même d'un sujet d'enjeux mondial , pas qu'européen ... Quid des asiatiques ou américains qui vont débarquer en Europe ? Comment vont ils pouvoir utiliser le SI en intégrants leurs tests à l'aéroport ?![]()
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Pour la question du piratage et de la protection des données, c'est la boite de pandore qu'on ouvrir ici ... On va vite devoir blinder le truc ... Sinon cela va vite attirer les convoitises.
Comment a été pensé le truc, me parait pas simple du tout ...

Bonsoir,
Lol. Sérieusement, ceux qui voudront faire un "tour du monde", les grands voyageurs internationaux, les baroudeurs , vont vite se retrouver coincer à la douane . Ou alors la franchir sera beaucoup plus long et / ou complexe ... Les moyens techniques vont assez vites devenir infernal à gérer.
On a déjà les codes MCC pour commerce (équivalent code APE/NAF) , les indicatifs pays, les codes aéroports, les iso de toutes natures ... Bientôt les codes santés ?![]()
Covid-19 : accord trouvé sur le pass sanitaire européen,
Il sera disponible sur smartphone, mais aussi en version papier
La reprise des déplacements entre pays membres de l’Union européenne se précise. Les institutions européennes sont parvenues à un accord sur le futur pass sanitaire. Le document devrait être opérationnel d'ici le début du mois de juillet. Les Européens vaccinés, guéris du covid-19 ou testés négatifs pourront voyager au sein de l'UE sans quarantaine. Très attendu par les pays les plus dépendants du tourisme, ce certificat est destiné à fournir un cadre harmonisé pour faciliter les vacances des Européens cet été. Le statut covid du titulaire du certificat, qui sera disponible aux formats numérique et papier, sera prouvé par un code QR contenu dans le document.
Les négociateurs du Parlement européen et du Conseil sont parvenus à un accord, pour l’heure provisoire, sur le pass sanitaire en Europe. Le compromis est intervenu au terme d'une quatrième séance de négociations, menées à un rythme accéléré, sous la pression du calendrier.
« Nous avons abouti sur ce nouvel instrument en un temps record pour sauvegarder la libre circulation pour tous les citoyens », s'est félicité le commissaire européen Didier Reynders, en charge du dossier. « Ce sera un instrument pour rendre plus simple la libre circulation, mais aussi la levée de toutes les restrictions imposées par les États membres en raison du covid-19. Normalement, à partir du premier juillet nous pourrons commencer à utiliser ce certificat, sans aucune discrimination ». La présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, a souligné que ce « Certificat numérique européen covid » serait « un élément clé sur la voie d'une reprise des voyages de façon sûre et aisée à travers l'UE ».
Le pass sanitaire pourra être disponible sur smartphone, mais aussi en version papier. Ce certificat « sera disponible aux formats numérique et papier. Il attestera que son détenteur a été vacciné contre le coronavirus, ou qu’il a reçu récemment un test négatif, ou bien encore qu’il s’est remis de l’infection », prévient le communiqué de presse du Parlement.
L’accord a arrêté un délai pendant lequel le pass sera en vigueur dans l’Union. Selon le communiqué, « Le règlement relatif au certificat numérique européen covid devrait être en place pour une durée de douze mois. Le certificat ne sera pas un prérequis pour exercer son droit à la liberté de circulation et ne sera pas considéré comme un document de voyage ».
Les États membres pourront imposer des restrictions supplémentaires aux voyageurs « telles que la quarantaine, l’autoconfinement ou les tests », mais uniquement « si ces restrictions sont nécessaires et proportionnées dans le but de préserver la santé publique ». Tous les vingt sept membres « devront accepter les certificats de vaccination délivrés dans d’autres pays de l’UE à des personnes qui ont été inoculées par un vaccin ayant reçu l’autorisation d’être utilisé dans l’UE par l’Agence européenne des médicaments (actuellement Pfizer-BioNTech, Moderna, AstraZeneca et Janssen) », mais chaque État sera libre d'en accepter d'autres, comme le vaccin russe Spoutnik V ou celui du Chinois Sinopharm, utilisés en Hongrie.
Les eurodéputés réclamaient initialement la gratuité des tests, une mesure à laquelle les États membres étaient opposés. Le compromis trouvé souligne la nécessité de tests « abordables et accessibles ». La Commission s'est engagée à mobiliser 100 millions d'euros pour acheter des tests destinés à certaines catégories prioritaires, en recourant à un financement européen, "l'instrument d'aide d'urgence".
« L'idée est de faciliter l'accès d'abord à ceux qui traversent souvent la frontière, pour aller travailler, à l'école, voir leur famille, et puis on regardera les catégories qu'on peut aider, on pense aux enfants qui accompagnent leurs parents pour des voyages », a expliqué à l'AFP Didier Reynders. L'accès à des tests abordables « est important pour tous les Européens qui attendront encore d'être vaccinés dans les semaines et les mois à venir. Eux aussi doivent pouvoir voyager », a souligné le président du groupe Renew Europe, Dacian Ciolos.
Aucune donnée personnelle stockée dans une base de données centrale
Ce certificat sanitaire contiendra un code QR prouvant que son titulaire a été vacciné, qu'il a passé un test PCR ou antigénique rapide négatif ou qu'il est immunisé après avoir été infecté par le covid-19. Le certificat ne donnera pas de droit automatique aux personnes vaccinées avec des sérums non autorisés par l'Agence européenne du médicament, comme les vaccins chinois et russes utilisés en Hongrie. Dans ce cas, ce sera à l'État membre d'accepter ou non ces personnes sur son territoire.
Chaque pays pourra décider s'il autorise l'entrée aux voyageurs ayant reçu une seule dose. Concernant les personnes entièrement vaccinées, les pays membres auront l'interdiction de les refouler. « Il est très important de dire que c'est avec deux doses que l'on est complètement vacciné, insiste Didier Reynders. Sur le certificat, nous mettrons toutes les indications : quel type de dose, quand (...) Mais pour être sûr d'être accepté par un État membre, il faudra être complètement vacciné ».
Les États membres de l'UE pourront suspendre le système en cas de nouvelles épidémies ou de mutations. « Les États membres auront le droit exceptionnel d'imposer des restrictions unilatérales au cas où l'évolution épidémiologique l'exigerait, uniquement dans le cadre de règles européennes, souligne le député européen Juan Fernando López Aguilar. Ils seront tenus de les communiquer 48 heures en avance aux autres États membres et à la Commission européenne qui en informera le Parlement ». Le Parlement européen demandait au départ que les détenteurs de certificat ne puissent pas se voir imposer de mesures restrictives telles une quarantaine à leur arrivée dans un pays.
En ce qui concerne les données personnelles, « le certificat sera vérifié en vue de prévenir les fraudes et falsifications, tout comme l’authenticité des cachets électroniques inclus dans le document. Les données personnelles obtenues via les certificats ne pourront pas être stockées dans les États membres de destination », lit-on dans le communiqué du Parlement européen. Il n’y aura aucune base de données centrale.
L’accord mentionne également que « La liste des entités qui traiteront et recevront les données sera publique, de sorte que les citoyens puissent exercer leurs droits à la protection des données conformément au Règlement général sur la protection des données ». Le texte sera mis aux voix en Commission des libertés civiles le 26 mai, puis en plénière et au Conseil. « S’il est adopté en commission des libertés civiles, il sera soumis pour adoption lors de la première session plénière de juin, du 7 au 10 juin 2021 ». Ce qui permettra une entrée en vigueur du règlement le 1er juillet. Une période de six semaines de transition est toutefois prévue pour l'émission de certificats, afin de permettre aux pays d'adapter leur système.
Parallèlement aux négociations politiques, le système de certificat européen fera l'objet de tests techniques auprès des États pour vérifier son interopérabilité. À partir du 1er juin, les pays membres pourront commencer à se servir du système dans des conditions réelles s'ils sont prêts, selon la Commission. « Nous visons uniquement la libre circulation, mais les États membres peuvent décider d'utiliser le même certificat à d'autres fins, par exemple l'accès à des festivals, à des concerts, certains parlent des restaurants, pour cela il faudra une loi nationale », a précisé Didier Reynders. Il revient aussi aux États membres de décider s'ils intègrent ce certificat dans leur application de traçage nationale ou s'ils utilisent une application distincte.
Source : Communiqué de presse
Et vous ?
Quel commentaire faites-vous de l’accord final sur le pass sanitaire européen ?
Quel est votre avis sur la gestion qui sera faite des données personnelles ?
Voir aussi :
Covid-19 : un « certificat sanitaire » européen, en version électronique ou papier, disponible dès le 15 juin, a annoncé Thierry Breton
TousAntiCovid : le scan de QR codes via l'application pourrait entrer en phase de test dans les prochains jours au sein des restaurants réservés aux routiers
Coronavirus : la Commission européenne propose un « certificat vert numérique », pour faciliter la libre circulation en toute sécurité dans l'UE
Application TousAntiCovid : un coût de 6,5 millions d'euros sans appel d'offres, ANTICOR saisit la Cour de justice de la République
ça fait gerber ce genre de truc , on l'impression que les gouvernements font des tests pour voir ce que les gens sont capable d'accepter.
Pour le covid il y a une question fondamental et que les médias n'explore pas trop car ça pourrait avoir de conséquence très importante ;
Pourquoi les enfants ne font quasiment jamais de forme grave , pourtant ils sont les premiers à choper plein de virus.
La réponse est que c'est pas le covid qui tue mais une réponse du system immunitaire disproportionné qui provoque une grave inflammation puis la réanimation puis la mort.
Et la réponse de cette réaction est simple : le mode de vie des gens.
La sédentarité , l'alcool , le tabac , manger trop gras trop sucré trop salé , boire du red bull tous ses comportements bousille la santé mais rapporte bcp d'argent, exemple macdo le seul resto qui a profiter
Mais le plus important c'est pas sur le plan physique a la rigueur , mais sur le plan mental car ça rend les gens dépendant , stupide et plus facile a manipuler.
Donc la réponse c'est évidente mieux vaut vacciner les gens que de les inciter à changer leurs mode de vie
C'est très bien le pass sanitaire, ca a déjà fait ses preuves dans d'autres pays.
C'est quand même mieux que de devoir faire un test tous les 3 jours.
Sinon l'autre choix c'est la vaccination obligatoire, ce qu'on ne peux pas faire faute de vaccins, donc reste que le pass comme alternative.
Bon les français sont contres mais ils ont tord
C'est à cause de ça ?
Pourtant vous étiez pas né, c'est quoi cette phobie héréditaire ?![]()

Bonsoir,
Encore une vaste blague et un truc pensé de manière technocratique ... Norvège et Islande qui sont pays associés à L'UE ont déjà décidé de faire cavalier seul ... Je n'ose imaginer le bordel en Scandinavie . Grande Bretagne (qui est un gros contingentant de touriste) , ainsi qu’Israël (qui dépend du tourisme ) vont très vite rétropédaler si les voyageurs habituels ne font plus tourner la machine économique .Quel commentaire faites-vous de l’accord final sur le pass sanitaire européen ?
Quand on entend que le Brexit met déjà un bordel sans nom dans les formalités administrative, entre anglais et continentaux (pour ceux qui ont l'habitude de voyager), je ne donne pas cher que l'UE abandonne assez vite son système. Bientôt on devra se balader avec un attaché caisse et une centaine de formulaire pour passer une douane ...
Comme d'hab vendues aux plus offrants.Quel est votre avis sur la gestion qui sera faite des données personnelles ?
Je verrai 2 choses
à court/moyen terme) pas d'obligation , juste une recommandation pour circuler dans l'UE et les pays associés
Pour les voyages internationaux plus lointain, je ne serais pas opposé à une vaccination obligatoire comme d'autres maladie tropical (si l'on change de bulle de pays par exemple).
à long terme) disons dans 1 décennie, la d'accord on rend la vaccination obligatoire avec pourquoi pas , la luttre contre d'autre covid ou sras dans le même vaccin . Histoire de ne pas se "cantonner" au covid 19 ... C'est voir plus large dans la vaccination.
On demande bien de se faire vacciner contre le tétanos, rage , fièvre jaune et j'en passe ...
Heu, juste une question. Pourquoi un pass sanitaire obligatoire pour aller aux restos, aux cinés, aux spectacles, ... Mais pas pour aller bosser, faire ses courses chez Leclerc/Carrefour (ou les gens s'entassent sans limite dans les rayons, sans aucun respect des règles sanitaires que l'on impose aux petites structures commerciales) ? C'est juste une fumisterie de plus de ce gouvernement de guignols vendus aux plus riches.![]()
1ere raison, les magasins sont soumis à une jauge maxi, un nombre maximum de client en rapport de la surface du magasin avec comme règle (actuellement) de 8m² par client. Que les clients ne respectent pas les règles de distanciation est un problème, mais globalement la concentration est insuffisante pour favoriser une forte propagation.
2nd raison, dans un magasin, on circule, on ne reste pas au même endroit, on a pas vocation à y rester de longues périodes. Contrairement aux resto, ciné, spectacle où on reste, généralement statique, au même endroit sans bouger plus de 15 min.
Pour rappel, jusqu'à maintenant, il n'a pas été démontré que le virus soit transmissible facilement par des aérosols qui resteraient en suspension dans l'air. Des transmissions dans ce genre de situation nécessiteraient de rester en contact avec les aérosols au moins 15 à 20 min minimum pour réussir à récupérer une charge virale suffisante à la contagion. C'est le cas au resto, à table, où en plus on ne porte pas le masque (Essayez de manger avec un masque, vous verrez). Ce n'est supposé pas être le cas dans un magasin, ou il est peu probable de rester plus de 15min au même endroit, ou il est peu probable que cet endroit contienne suffisamment de charge virale en suspension si les jauges à l'entrée sont respectées.
Y a t'il un moyen de contourner cette c......e de pass ?
Pour rappel aussi, à ma connaissance aucune étude sérieuse et indépendante de tout conflit d'intérêt n'a été commanditée par un quelconque gouvernement pour essayer de comprendre les mécanismes de contamination de ce SRAS. L'institut Pasteur a bien sorti une étude statistique faite à partir d'un questionnaire bien vague sur des personnes qui avaient été contaminées et une étude Danoise sur 6000 personnes (3000 avec masques et 3000 sans masques) pendant 1 mois et qui ne montrait pas de différences significatives dans la contamination entre ceux qui portaient un masque et ceux qui n'en avaient pas.
Il reste le cas "suédois" où restaurants et cafés ouverts sans confinements, couvre-feux s'en sort mieux que la France avec toutes ses mesures coercitives (voir le nombre de décès "covid ) par millions d'habitants)...
Rappel, les personnes vaccinées transmettent autant le virus que les autres....désolé.
Encore une fausse bonne idée.![]()
L'UE s'apprête à dévoiler un portefeuille numérique adapté à la vie post-Covid
pour permettre aux citoyens d'accéder aux services publics et privés en ligne
Alors que plusieurs régions du monde et l'industrie du transport aérien travaillent sur des applications mobiles qui serviront de passeports vaccinaux pour aider à relancer les voyages internationaux, l'UE serait également sur le point de dévoiler un portefeuille numérique. Des sources proches du dossier ont indiqué que l'UE devrait dévoiler mercredi les plans détaillés d'un portefeuille numérique à l'échelle du bloc, à la demande des États membres qui souhaitent trouver un moyen sûr pour les citoyens d'accéder aux services publics et privés en ligne. Est-il sûr de regrouper toutes ces données personnelles au sein d'une même application ?
Un portefeuille numérique donnant accès aux services publics et privés
Selon la rumeur, le portefeuille numérique de l'UE stockerait en toute sécurité les données de paiement et les mots de passe et permettrait aux citoyens des 27 pays de se connecter aux sites Web des administrations locales ou encore de payer leurs factures de services publics en utilisant une seule identité reconnue. L'application, à laquelle il serait possible d'accéder notamment par lecture d'empreinte digitale ou de rétine, devrait également servir de coffre-fort où les utilisateurs pourraient stocker des documents officiels tels que leur permis de conduire. Les sources ont toutefois ajouté que l'utilisation du portefeuille ne serait pas obligatoire.
Cependant, les citoyens qui choisissent de s'inscrire devraient bénéficier d'un écosystème numérique plus sûr et d'une plus grande flexibilité, idéale pour la vie post-pandémique. Afin de protéger les citoyens, les fonctionnaires européens imposeront une séparation structurelle empêchant les entreprises qui accèdent aux données des utilisateurs de les utiliser pour toute autre activité commerciale, comme la commercialisation de nouveaux produits. Bruxelles aurait entamé des discussions avec les États membres afin de fournir des lignes directrices sur les normes techniques pour le déploiement du portefeuille numérique.
Selon les personnes interrogées, le portefeuille devrait être pleinement opérationnel dans environ un an. D'après elles, les nouvelles propositions s'inscrivent dans le cadre d'un réexamen de l'identification électronique existante à l'échelle de l'UE et font suite à une consultation sur les "moteurs et les obstacles" au déploiement d'un portefeuille numérique. Le système existant a été peu utilisé, puisque seuls 19 pays ont introduit des pièces d'identité numériques, qui ne sont pas toutes compatibles entre elles. En fin de compte, ce sont les États membres qui décideront de la manière de mettre en œuvre le système.
Les élus européens espèrent que l'amélioration de la culture numérique et l'utilisation accrue des outils numériques pendant la pandémie contribueront à dynamiser le nouveau système. Les régulateurs devraient également mettre en avant la facilité d'accès aux services publics et privés si les gens décident de s'inscrire. Par exemple, une personne désirant louer une voiture pourrait utiliser son portefeuille numérique pour le faire à distance via une application qui vérifiera son identité et émettra une clé électronique afin qu'elle puisse prendre la voiture immédiatement sans avoir à faire la queue à l'aéroport.
« Le portefeuille numérique sera simple, sécurisé et protégera les personnes en ligne », a déclaré une source à Financial Times. « Les gens auront aussi le pouvoir de décider de la quantité d'informations qu'ils donnent, alors que Google et les autres ne vous laissent pas décider de ce que vous donnez », a-t-elle ajouté.
D'autres efforts sont également entrepris à l'échelle mondiale
L'Union européenne, d'autres gouvernements dans le monde et l'industrie aérienne travailleraient sur des passeports vaccinaux afin de relancer les vols internationaux. Ils travaillent sur des systèmes qui permettraient aux voyageurs d'utiliser des applications de téléphonie mobile pour prouver qu'ils ont été vaccinés, ce qui pourrait les aider à éviter les lourdes exigences de quarantaine à leur destination. C'est le cas en France. Le gouvernement français a ajouté en avril une nouvelle fonctionnalité à l'application de suivi des contacts TousAntiCovid.
Appelée TousAntiCovid-Carnet, elle vous permet d'ajouter les résultats de vos tests PCR et antigéniques dans l'application pour les présenter à un tiers. Le gouvernement a également prévu un nouveau menu pour ajouter la preuve que l'on a été vacciné, notamment le certificat de vaccination, ce qui permettra aux utilisateurs de prendre l'avion ou d'aller à l'étranger. Mais ces multiples efforts soulignent l'absence d'un système central international permettant de vérifier électroniquement le statut vaccinal. Les projets sont également confrontés à des difficultés techniques pour travailler ensemble.
De même, des questions relatives à la protection de la vie privée et à l'inégalité des vaccins subsistent. En effet, les passeports vaccinaux ajoutent une nouvelle couche numérique à la multitude d'applications de santé et de suivi des contacts liées au coronavirus que de nombreux pays et pays ont déjà mises en place. Leur utilisation au niveau national pour rouvrir les économies locales a fait l'objet d'un vif débat, de nombreuses personnes s'opposant à l'obligation de les utiliser dans les pubs, les concerts et les événements sportifs. Cependant, l'idée de les utiliser pour les voyages internationaux est de plus en plus répandue.
Des pays comme l'Islande ont ouvert leurs frontières aux visiteurs vaccinés et d'autres, comme l'Arabie saoudite, autorisent désormais les citoyens vaccinés à voyager à l'étranger. La dernière décision de l'UE d'ouvrir ses frontières aux voyageurs entièrement vaccinés rend la situation encore plus urgente. L'UE, la Chine et le Japon travaillent tous sur leurs propres certificats de vaccination numériques pour les voyages transfrontaliers. Le Royaume-Uni, quant à lui, a mis à jour fin mai l'application du National Health Service pour permettre aux utilisateurs entièrement vaccinés de prouver leur statut lorsqu'ils voyagent à l'étranger.
Les tests sont en cours pour le certificat numérique de l'UE, qui confirmera également les résultats du test COVID-19 ou la guérison du virus. Il devrait être mis en service d'ici à la fin du mois de juin, ce qui permettra aux résidents de retrouver leurs amis et parents vivant dans 30 pays européens. En revanche, l'on ne sait pas encore exactement où et comment les voyageurs de l'UE, qui ne dispose pas de points de contrôle aux frontières intérieures, verront leurs certificats vérifiés. Selon les autorités de Bruxelles, cette décision sera prise par chaque pays. L'idée est que les voyageurs apposent un code QR sur leur téléphone.
Ensuite, pour le contrôle, le code serait scanné, par exemple dans un aéroport ou une gare, à l'aide d'une application de vérification officielle qui consulte les bases de données nationales, via une "passerelle" technique de l'UE. Selon des rapports parus dernièrement, les voyageurs ont également besoin d'une application pour smartphone afin de pouvoir transporter d'éventuels certificats de vaccination officiels. Le projet de l'UE comprend une technologie open source que les pays européens peuvent utiliser pour créer leurs propres portefeuilles mobiles officiels.
L'Association internationale du transport aérien (IATA) a créé son application mobile IATA Travel Pass, auquel des compagnies comme Qantas, Japan Airlines, Emirates, British Airways et Virgin Atlantic ont adhéré. Une initiative concurrente, CommonPass, a gagné en popularité auprès de transporteurs comme Cathay Pacific, JetBlue, United et Lufthansa. Les voyageurs peuvent déjà utiliser ces applications pour vérifier que les résultats de leur test COVID-19 sont acceptés à leur destination. Travel Pass et CommonPass ne sont pour l'instant disponibles que pour les voyageurs des compagnies aériennes qui les utilisent.
Qu'en est-il de la sécurité et de la vie privée des utilisateurs ?
Travel Pass et CommonPass peuvent être intégrés aux applications de voyage des compagnies aériennes afin que les utilisateurs puissent vérifier leur statut vaccinal lorsqu'ils s'enregistrent en ligne. Les deux systèmes devraient aussi fonctionner avec les certificats de l'UE. CommonPass indique que les utilisateurs pourront importer les certificats de vaccination d'ici la mi-juin. « Dans un contexte de pandémie, les passeports de vaccination ne pourront que se généraliser », a déclaré Paul Meyer, directeur général de The Commons Project, l'association sans but lucratif à l'origine de CommonPass.
« Nous pensons qu'il restera obligatoire pour les voyages internationaux », a-t-il ajouté. Selon certains experts, les faux documents COVID-19 en papier vendus par des fraudeurs ont été un problème pendant la pandémie, mais les développeurs affirment que les versions numériques ont des garanties qui les rendent difficiles à falsifier. L'IATA indique qu'elle ne vérifie pas les résultats des tests ou le statut vaccinal, mais qu'elle sert d'intermédiaire aux laboratoires agréés pour envoyer ces informations de manière sécurisée aux voyageurs dont l'identité peut être associée à la personne qui a effectué le test ou la vaccination.
Elle scanne le visage du voyageur à l'aide de la caméra du téléphone et le compare aux données biométriques du passeport. Des contrôles sont effectués pour éviter qu'une autre personne n'utilise son identité. Par ailleurs, les passeports de vaccination seraient un sujet polarisé, les discussions en ligne mettant en évidence les craintes qu'ils soient utilisés pour contrôler les gens, restreindre la liberté et éroder la vie privée. Les développeurs soulignent qu'un minimum de données personnelles est conservé sur les téléphones, et que les seules choses qui sont transmises sont des clés de chiffrement.
Ces clés permettraient d'échanger des informations en toute sécurité. « Si cela est fait correctement, il n'y a pas de risque supplémentaire pour la vie privée, car il s'agit simplement d'indiquer le statut de la pièce d'identité (oui ou non) », a déclaré Kevin Trilli, responsable produit de la société de vérification d'identité Onfido, qui travaille sur la technologie des cartes de vaccination. Il faut également se demander si les différents systèmes de certification des vaccins fonctionneront bien ensemble et si les pays reconnaîtront les certificats des autres.
Le gouvernement britannique a prévenu que peu de pays acceptent actuellement les preuves de vaccination des voyageurs. « Il n'est pas possible d'avoir un système interopérable au jour zéro, mais avec le temps, les problèmes seront résolus, ce qui permettra de préparer le terrain pour la prochaine pandémie », a déclaré Trilli. Toutefois, qu'en est-il des personnes qui n'ont pas de smartphone ? Ou des familles qui ne disposent pas d'un appareil pour chaque membre ? Les responsables de l'IATA et de l'Union européenne affirment qu'ils travaillent à des solutions, y compris sur support papier.
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Quel est votre avis sur le sujet ?
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Dis-donc, ils ne vont pas se calmer sur les mesures totalitaires? Déjà qu'ils ne sont pas élus...
On connaît la musique: "ce n'est pas obligatoire ma bonne dame". "Non non, les guichets physiques vont continuer". "Non, le smartphone est optionnel". Et d'année en année une fois qu'il y a des usagers on vire tout le reste. Toujours les mêmes marchands de salades.
Ben voilà. Sous la carte du "plus sûr" (ce qui est complètement faux puisque l'on augmente la surface d'attaque/surface d'exposition des données personnelles), on cherche en fait à nous vendre toujours plus, plus plus plus. Jusqu'à l'indigestion
Woaou. Louer une voiture sans faire la queue une fois par an?! Mais c'est un SUPER avantage! Vite, prenez TOUTES mes données personnelles et installez-moi une puce dans le cou!
Ben tiens, il ne manquerait plus que ça. Tu veux aller au café du coin? Il te faut une application non obligatoire voyons!
Ben tiens. M'est avis que ça ne doit pas être sans but lucratif pour tout le monde... Si les gars se ruent là dessus c'est parce qu'il y a des sponsors et des gros sous.
Il y a 20 ans, les attentats du World Trade Center ont servi à imposer la mise en place de passeports biométrique. Là on nous en ressert une louche par dessus, pour des raisons tout aussi bidon.
Et donc on doit les croire sur parole? Et ensuite quoi? Ils changent les CGU de l'application? Ils revendent le reste des données? Ils continuent de les héberger directement dans les clouds des GAFAM??
Je crois que c'est assez évident. À bas le flicage généralisé!
Certainement pas.
Sécurité pour qui? Sérieusement les gens, plutôt que d'accepter des trucs pareil, allez plutôt en vacances dans une autre région cet été. Les commerces locaux en ont besoin, et si tout le monde ne se rue pas dans les aéroports, peut-être qu'ils se remettront un peu en question...
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