L’eurodéputée Julia Reda (Parti pirate, vice-présidente du groupe des Verts-Alliance libre européenne ), en pointe dans la contestation du texte au Parlement européen, a regretté « un jour sombre pour les libertés numériques ». De son côté, le gouvernement français, qui avait soutenu le texte,
a salué par la voix de la ministre des affaires européennes et future tête de liste La République en marche (LRM) aux élections européennes, Nathalie Loiseau, la victoire des « créateurs, des artistes, de la culture européenne (…) contre les lobbies ». Les ayants droit ont régulièrement accusé les adversaires du texte d’être manipulés ou financés par les grandes entreprises du numérique – avec des arguments parfois très contestables.
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