J'ai presque envie de dire, au vu de mon expérience, que bosser avec des non-francophones, ou même avec des francophones mais bossant dans un fuseau horaire différent, c'est du suicide.
Quand on développe, quelle que soit la méthode, il ya toujours, à la fin, un moment ou on se pose des questions. Ou y'a un truc pas clair. Certains se disent "ça doit être ça", et font à leur idée. Evidemment, ils ont souvent tort. Et d'autres posent la question. Eh ben quand le type à qui poser la question n'est pas de l'autre coté du couloir - ou, au pire, de l'autre coté de la rue - le projet part en couille. Tout de suite. Ne serais-ce qu'au niveau du délai. Si il faut contacter par mail un gugusse, c'est fini, on prend 3 jours dans la vue. Si il faut appeler la Guyane, c'est fini, le type commence à bosser alors qu'on a déjà fini. Et si il faut communiquer dans une mauvaise langue, les subtilités ne passeront pas - UML ou pas. On aura alors un truc qui marche globalement, mais le détail sera foireux, parceque mal compris.
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