Excellente initiative
Dommage que ce ne soit pas la France
Excellente initiative
Dommage que ce ne soit pas la France
En France, la gendarmerie utilise Linux, elle a même sa propre distribution (sûrement pour des raisons de sécurité).
https://fr.wikipedia.org/wiki/GendBuntu
Je suis passé de Windows à Linux (distribution : Debian)il y'a de cela quelques temps (1~2mois)
Et c'est pas aussi facile de passer d'un OS à l'autre, là où Windows te mettais dans un confort avec son interface et ces fonctionnalités, le choc de passer à un OS "far west" sera brutal et je crains qu'une partie de la municipalité de cette région ne s'adapte pas. C'est n'est jamais aussi facile qu'on le croit !
Il y a quelque temps j'ai essayé de pondre la doc qui manquait (vu que c'était à moi de partir à la pêche aux infos pour au moins une douzaine de points), et puis j'ai achoppé sur rendre les informations pérennes d'une session sur l'autre.
Je dois avouer que lorsque ma machine avec Windows est revenue et qu'il y avait quelques infos à remettre dare-dare dessus, ma motivation a baissé.
Sûr qu'il faudra s'y remettre, le souci étant que la pile avec les trucs auxquels il faudra que je me remette commence à s'épaissir dangereusement.
Ils vont vite revenir à Windows + Office quand ils recevront des documents office de la part d'entreprises et particuliers qu'ils ne pourront pas lire ou qui s'afficheront n'importe comment dans libre office
La plupart des entreprises qui m'ont fourni des documents office, je n'ai jamais réussi à les lire et surtout les éditer correctement dans libre office.
Et je ne parle pas de documents compliqués: de simples templates de CVs pour les ESN. Du coup, obligé d'utiliser Office 365.
Quand il n'y a "que" des problèmes de mise en page, c'est un GROS problème puisque le document est à refaire complètement.
Ayant bossé quelques temps chez un imprimeur, Libre Office était bien plus efficace que Word pour le rendu des documents .doc anciens. Pour dire, on est même arrivé à lire des documents pétés que Word (probablement un format trop ancien) n'ouvrait plus avec Libre Office.
Pour moi, c'est le Far West chez Microsoft, il n'y aucune cohérence dans ce qu'il y est fait. Autant dans sa suite Office, que Teams, que Windows.
Je navigue entre mon PC de boulot sous Windows 11 et KDE sur mon PC perso. Et je peux dire que Windows niveau cohérence et personnalisation est très loin d'égaler KDE.
Le seul truc nase pour moi sous linux, c'est l'intégration IME qui est bien plus simple et plus stable sous Windows. Mais Windows oblige à prendre le clavier de la langue en question, pas Linux (niveau confort c'est bien mieux de pas avoir à passer son temps à switcher entre de AZERTY et du QWERTY quand on change de langue d'écriture).
Pour le reste, ceux qui pense qu'on passe son temps dans les lignes de commande. 15 ans que j'ai un poste sous linux.... Bah j'ai pas plus l'impression d'être dans les lignes de commande sous Linux que sous Windows. Car, oui, sous Windows pour faire certains trucs il faut aussi y passer.
Non, tu n'es pas obligé.
Quand ça m'est arrivé, je leur ai simplement renvoyé un dossier de compétences avec une mise en page massacrée par LibreOffice en leur disant que je n'avais pas le choix car je n'ai pas Microsoft Word sur mon PC.
Après tout, ce n'est pas de ma faute s'ils m'ont envoyé un fichier dont le format n'est pas ouvert !
Il faut bien qu'ils s'adaptent au monde du numérique !![]()
Et la France osera-t-elle sauter le pas également ? J'utilise Linux depuis une bonne dizaine d'années et pour rien au monde je ne reviendrai vers Microsoft Windows, qui impose son monopole sur les ordinateurs. Dans la mesure du possible, quand je dépanne un ordinateur d'un ami, équipé d'office de Windows bien entendu, je cherche à l'orienter vers LinuxMint tout au moins en dual Boot, histoire d'y faire goûter !
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"L’Europe, une colonie logicielle de Microsoft", le documentaire toujours d'actualité qui refait surface et crée un énorme buzz sur le net, suite à la migration d'un État fédéral allemand à Linux, LibreOffice
Début avril 2024 une annonce secoue le net : Un État fédéral allemand fait passer 30 000 PC de Microsoft Windows et Microsoft Office à Linux, LibreOffice et d'autres logiciels libres et open-source, cette annonce parait logique, mais pourquoi cela choque t'il en fin de compte ? Pourquoi est-ce qu'au final ça n'est qu'une exception qui confirme la règle ? la règle c'est qu'en réalité à de très rares exceptions près, toute l’Europe est restée sous Microsoft Windows et Microsoft Office, mais pourquoi donc ? et c'est la qu'un excellent documentaire refait surface sur les réseaux sociaux, qui explique tout.
Le lundi 19 février 2018, à 22h55, un reportage télévisé de 45 minutes sur la dépendance des administrations publiques à l'égard de Microsoft a été diffusé sur Das Erste, la première chaîne de l'ARD (radiodiffuseur public allemand). Il s'intitule " The Microsoft Dilemma ; Software Colony Europa " (Le dilemme Microsoft ; la colonie logicielle en Europe). Une partie de l'émission traitait de l'accord Open Bar entre Microsoft et le ministère français de la Défense, et proposait des interviews d'une sénatrice française, Joelle Garriaud-Maylam, d'une journaliste française qui avait fait un reportage sur le sujet en 2017, Leïla Minano, et du responsable des affaires publiques d'April, Étienne Gonnu.
Une équipe multinationale de journalistes - Investigate Europe - a rédigé une série d'articles sur la dépendance désastreuse de l'Europe à l'égard de Microsoft, chacun analysant un cas national spécifique de dépendance publique à la firme américaine. L'article français, écrit par Leïla Minano et publié dans le magazine d'information Marianne en mai 2017 (en français), portait sur l'accord Open Bar entre Microsoft et le ministère français de la Défense. Le reportage télévisé a été réalisé dans la foulée de cette impressionnante enquête journalistique, et revient sur l'accord Open Bar.
Il est intéressant de noter que l'article de Marianne - qui a révélé des informations précieuses sur la façon dont l'accord Open Bar a été initialement conclu, et a confirmé qu'il avait été renouvelé pour quatre années supplémentaires - a aidé April à obtenir le texte du nouveau contrat (en français) par le biais d'une demande d'accès aux documents administratifs. Cela a finalement incité une sénatrice française, Joelle Garriaud-Maylam, à soumettre une proposition de résolution visant à créer une commission d'enquête sur cet accord Open Bar en octobre 2017.
Espérons que l'émission télévisée apportera de nouvelles révélations et contribuera à faire la lumière sur la dépendance désastreuse du ministère français à l'égard de Microsoft.
Et vous ?
Quel est votre avis sur le sujet ?
Trouvez-vous que le contenu de ce documentaire est crédible ou pertinent ?
Pensez-vous que l'Europe est une colonie logicielle de Microsoft ?
Voir aussi :
Un État fédéral allemand fait passer 30 000 PC de Microsoft Windows et Microsoft Office à Linux, LibreOffice et d'autres logiciels libres et open-source
Linux et non Windows ? Le Schleswig-Holstein, un État fédéré allemand, veut faire passer 25 000 PC à Linux et LibreOffice, le plan prévoit une migration à LibreOffice à l'horizon 2026, Linux suivra
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Purement politique. Ça fait des décennies que dans les grands services publics chaque agent ne bidouille plus son ordinateur
En ch il il y a déjà 17 ans on était en réseau pas en local. Des centaines de postes si l'informaticien allait réparer les ordis un par un il ne serait pas à la retraite mais déjà plus de ce monde.sous citrix de mémoire. Donc l’agent fait avec ce qu’on lui donne ou… il démissionne. C’est tout. De toute façon tous les os se ressemblent de nos jours.
Chacun fait ce qu’il veut a titre personnel de ses sous. Mais…Pour un sp ce qui compte c’est en principe le budget public et la sécurité des données ce qui signifie comme l’a très compris la gendarmerie nationale un contrôle complet du système. Mais avec un Président pro uber ça n’arrivera pas. Lobbying plus fort que la raison.Cf données de santé et Microsoft.
On ne stoppe pas une évolution sur deux ou trois macros. On demande aux informaticiens de refaire des macros ou alors eux aussi n’ont qu’à aller ailleurs.
Ce n’est pas une question technique mais politique. Question aussi de mentalités rétrogrades. Tous les bons ingrédients pour permettre à une multinationale us de continuer à dominer le monde.
Je pense que ce n'est pas là le plus gros problème, la maintenance d'un parc informatique sous Windows ou linux demande des personnes formées qui n'ont pas forcément les mêmes connaissances et donc cela implique des formations et du temps.
Effectivement, mais c'est le chat qui se mort la queue, on ne va pas former des techniciens sous Linux si il n'y a pas de machines sous Linux.
Ma page sur developpez.com : http://chrtophe.developpez.com/ (avec mes articles)
Mon article sur le P2V, mon article sur le cloud
Consultez nos FAQ : Windows, Linux, Virtualisation
Bof ! Ce n'est pas que politique : Dans l'université française où j'exerçais (nan, je ne la nommerai pas), j'installais systématiquement LibreOffice, en suggérant vivement les thésards & les enseignants de l'utiliser.
Et, quand l'Office plantais, je répondais perfidement « Bah ! C'est pas grave, t'as LibreOffice. » Réponse systématique : « Ah non, je veux mon Word ! »
Et pourtant, c'étaient tous des chercheurs ! Donc, en principe, des gens habitués à se remettre en question.
La seule fois où ils se sont mis au Libre, c'est quand Adobe a supprimé ses licences perpétuelles sur ses produits, car là, ça devenait trop cher. Ceci dit, acheter Photoshop pour remplir deux cartes géographiques dans l'année...![]()
« Nous en avons fini avec Teams », déclare un Etat allemand lancé dans une vaste opération d’abandon de solutions Microsoft
Pour passer au libre et à l’open source
Solutions logicielles libres et non Microsoft ? La dernière annonce de l’Etat allemand du Schleswig-Holstein relative à l’abandon de Microsoft Teams pour une solution libre n’est pas une nouveauté. Les cas de la municipalité de Munich et de l’État fédéré de Basse Saxe en Allemagne l’illustrent. Une municipalité turque a dédlaré avoir fait des économies d'1 million de dollars sur les coûts des licences Windows dans le cadre de sa migration vers Linux Pardus, ce, même s’il y a eu quelques goulots d’étranglement. En effet, d’une initiative à l’autre, des points communs émergent : hésitations, rétropédalages de Linux à Windows. Quelles raisons expliquent ces échecs d’abandon des solutions Microsoft pour le libre et l’open source ? Supériorité des solutions Microsoft ? Lobbying pro Microsoft ?
L’État allemand du Schleswig-Holstein a lancé cette politique dès 2024. Ce Land a d’abord migré vers LibreOffice, puis amorcé une transition complète vers Linux sur 30 000 postes de travail. L’initiative fait suite à celle de la ville de Munich, dont le projet LiMux avait échoué par manque de coordination et de soutien politique durable.
Pour mémoire, en 2017, le conseil municipal de Munich a pris la décision d’abandonner LiMux, la distribution de Linux créée spécialement pour la ville, afin d’adopter pleinement Windows 10. Les élus de la ville avaient, à l’époque, voté à une majorité de 50 contre 25 la migration de l’ensemble des postes alors sous Linux vers Windows 10. Après Munich, en 2018, une importante migration de Linux vers Windows a été annoncée en Basse-Saxe, un État fédéré d'Allemagne.
Les autorités ont expliqué qu’un grand nombre des agents de terrain et des services de support téléphonique du Land utilisait déjà Windows et que de ce fait, il paraissait tout à fait logique de procéder à une standardisation. « L'unification des systèmes de postes de travail existants simplifiera les procédures et facilitera le développement logiciel pour le réseau KONSENS », a expliqué un porte-parole du ministère des Finances de la Basse-Saxe.
Le Danemark vient de prendre une décision similaire
La responsable du ministère danois de la numérisation a déclaré que son département allait se détacher de Microsoft, en commençant par LibreOffice.
Dans une interview accordée au journal danois Politiken, Caroline Olsen, la ministre des Affaires numériques du pays, a déclaré qu'elle envisageait de montrer l'exemple et de commencer à supprimer les logiciels et les outils Microsoft du ministère. La ministre a déclaré au quotidien danois Nordyske de Jutland qu'il était prévu que la moitié des ordinateurs du personnel (y compris le sien) soient équipés de LibreOffice à la place de Microsoft Office 365 dès le premier mois, l'objectif étant de procéder à un remplacement total d'ici la fin de l'année.
Étant donné qu'au début de l'année, le président américain Donald Trump a évoqué à plusieurs reprises la possibilité de la prise de contrôle du Groenland, un territoire autonome du Danemark, il semble tout à fait compréhensible que le pays s'intéresse nettement plus à la souveraineté numérique comme l'a expliqué le gourou danois de Ruby, David Heinemeier Hansson, plus tôt ce mois-ci :
« La récente mise à l'écart du procureur général de la CPI, sur ordre de l'administration américaine, n'aurait pas pu arriver à un pire moment pour Microsoft. Un mois auparavant, les responsables de Redmond avaient tenté d'assurer à l'Europe que tout allait bien. Que toute spéculation sur le fait que les Européens pourraient être coupés de l'infrastructure numérique critique n'était que peur, doute et incertitude. Puis, tout ce que les Européens craignaient de voir arriver s'est produit à La Haye. Oups !
« Les assurances de Microsoft se sont heurtées à la réalité et c'est la réalité qui l'a emporté.
« Cette réalité, c'est que toutes les administrations américaines ont le pouvoir de déconnecter n'importe quel individu, entreprise ou gouvernement étranger de l'infrastructure numérique fournie par les grandes entreprises américaines. En ce sens, il est donc inutile de blâmer Microsoft pour le pouvoir de sanction dont est investi le Bureau ovale. Mais nous pouvons certainement lui reprocher d'avoir enfumé l'Europe sur les risques.
« Ce qui est plus important que l'attribution des responsabilités, c'est de sortir l'Europe de l'impasse dans laquelle elle se trouve. Le continent est désespérément dépendant des Big Tech américaines, même pour les infrastructures numériques les plus élémentaires. Si cette administration américaine, ou la suivante, décide d'utiliser à nouveau son pouvoir de sanction, l'Europe se trouve dans un véritable pétrin. Et avec les actions entreprises contre la CPI à Haag, l'Europe serait négligente d'ignorer la menace.
« Le Danemark encore plus. Ce n'est un secret pour personne que les tensions entre le Danemark et les États-Unis sont à un niveau historique. Trump ne cesse de répéter qu'il souhaite s'emparer du Groenland par tous les moyens possibles. Les services de renseignement américains ont reçu l'ordre d'intensifier leur espionnage du Danemark et du Groenland. Naturellement, les Danois sont effrayés. Ils ont raison de l'être !
« Quoi qu'il arrive avec le Groenland, les négociations commerciales ou les désaccords géopolitiques, l'Europe aurait tout intérêt à devenir numériquement souveraine. Cela ne signifie pas qu'il faille se couper de toute technologie américaine, mais cela signifie qu'il faut rejeter tous les services qui peuvent être désactivés à partir de Washington. En ce qui concerne Microsoft, cela signifie qu'il n'y aura plus de Microsoft 365, plus de Teams, plus d'Azure ».
La quête de souveraineté numérique et de maîtrise technologique fait partie des raisons qui justifient le lancement de ces initiatives d’abandon des solutions Microsoft pour le libre et l’open source
Au cœur de cette transition se trouve une ambition profonde de « souveraineté numérique ». Le Danemark, à l'unisson avec une tendance grandissante au sein de l'Union européenne, cherche à s'émanciper d'une dépendance jugée excessive envers les fournisseurs de technologie étrangers, et en particulier ceux basés aux États-Unis. Cette démarche n'est pas uniquement symbolique ; elle répond à des préoccupations concrètes concernant le contrôle et la gestion des données européennes. Qui détient les clefs de nos infrastructures numériques ? Qui définit les règles d'accès et d'utilisation de nos données ? Et qui pourrait potentiellement restreindre l'accès à des services essentiels en cas de tensions géopolitiques ? Telles sont les questions fondamentales auxquelles le Danemark et l'UE cherchent à apporter des réponses concrètes.
En adoptant des solutions open source, le Danemark vise à reprendre la pleine maîtrise de son écosystème numérique. LibreOffice et Linux, par leur nature ouverte, offrent une transparence et une capacité d'audit accrues, permettant aux entités publiques de comprendre précisément le fonctionnement de leurs outils, d'adapter le code à leurs besoins spécifiques et de s'affranchir des logiques propriétaires.
Les motifs économiques ne sont pas en reste
Au-delà des considérations de souveraineté, l'aspect économique joue un rôle prépondérant dans cette décision. Les coûts liés à l'utilisation des logiciels Microsoft ont connu une augmentation significative ces dernières années pour la ville de Copenhague. Le passage à des alternatives open source représente une opportunité substantielle de réaliser des économies budgétaires à grande échelle. Ces économies peuvent ensuite être réinvesties dans le développement local de compétences numériques, l'innovation open source ou d'autres priorités publiques.
De surcroît, la fin prochaine du support officiel de Windows 10, prévue pour octobre, pose un défi financier et logistique considérable. Maintenir un parc informatique sous un système d'exploitation non supporté nécessite soit des mises à niveau coûteuses vers Windows 11, soit l'acquisition de contrats de support étendus, également onéreux. En migrant vers Linux, le Danemark évite cet investissement contraint, optant pour une plateforme dont la maintenance et les mises à jour sont souvent moins coûteuses et plus flexibles dans le cadre de l'open source.
Et vous ?
Qu’est-ce qui explique les échecs qui marquent en général les projets de passage des solutions Microsoft au libre ou à l’open source ? La supériorité des solutions Microsoft ? Le lobbying ? La résistance au changement ?
Voir aussi :
Un logiciel libre doit-il être en mesure de restreindre les tâches que ses utilisateurs peuvent effectuer avec son aide ? Non, pour Richard Stallman
France : le Sénat choisit d'encourager l'utilisation des logiciels libres et formats ouverts plutôt que de leur donner la priorité
Les députés votent la priorité au logiciel libre dans l'enseignement supérieur, échec du lobbying des éditeurs de logiciels propriétaires
Les logiciels libres ne seront plus prioritaires dans l'Éducation Nationale, ils seront envisagés mais plus préférés aux solutions propriétaires
Choisir en priorité le logiciel libre porterait atteinte au principe de neutralité technologique des marchés publics, pour le Syntec Numérique
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https://eu-os.eu/ n est pas un projet de l ue.
Mais oui ca bouge un peu, les administrations et les DSI commencent à comprendre à quel points faire le choix microsoft, oracle, vmware...etc est dangereux.
Des grosses structures n etant pas full microsoft y en a plein et depuis longtemps : la gendarmerie, certains services de l etat qui n utilisent plus les services de mails de microsoft ou des grosses boites privées (il y a 20 je bossais chez un gros voyagiste dont toutes les agences tournaient sous linux).
Ce n'est pas un mal de se débarrasser des OS propriétaires ...
https://eu-os.eu/ est aussi basé sur Fedora. Pourquoi, ça ne me semble pas être la distribution la plus adaptée.
J'aurais plutôt pris un Debian.
Mais ce n'est que mon humble avis d'ArchLinux fanboy !
J'avais pu lire que la question de la distribution n'est pas encore tranché. La problématique de Fedora est qu'elle est basé aux USA.
Une des distributions qui pourrait être intéressante serait OpenSuse basé en Allemagne.
Le principal aspect est la localisation des données... Un Office365 (donnée US) pose beaucoup plus de problèmes qu'un Office avec serveur hébergé on-premise (même SharePoint, quoique j'en pense). Mais effectivement, en libre, les backdoors sont plus "visibles", ce qui n'empêche rien (cf XZ utils backdoors).
S'il faut mettre l'accent sur la sélection des outils, ce sont avant tout les services Cloud (non on-Premise)... et une préférence pour des solutions françaises/européennes plutôt qu'américaine peut faire sens.
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