Discussion :

[Invité]

Pas besoin d'aller chercher si loin, tout ce qui est musique traditionnelle ne suit pas le tempérament et à ses échelles propres, et ce même en occident parce que pratiquée dans un contexte populaire loin des lieux de la musique classique (chez les nobles et à l'église).

Tu parles du cri de la cornemuse ou du biniou ? J'ai toujours pensé que l'absence de justesse était intrinsèque à ces instruments de torture.
Ok, je ne suis peut-être pas très objectif...

[CosmoKnacki]

Tu parles du cri de la cornemuse ou du biniou ? J'ai toujours pensé que l'absence de justesse était intrinsèque à ces instruments de torture.
Ok, je ne suis peut-être pas très objectif...

J'avais ces instruments en tête avec la bombarde, mais l'absence de "justesse" n'est pas due à leur facture mais bien à un accordage (position des trous) adapté à une musique dite modale (par opposition à tonale), à une échelle pratiquée dans la région en question.

Tu peux aussi entendre sur les cors de chasse, des notes qui sonnent étrangement (voir Fantomas contre Scotland Yard: le quatrième degré de la gamme utilisée, est entre la note et son demi-ton inférieur), mais là c'est due au fait que pour sortir certaines notes on fait intervenir les harmoniques, alors que le système tonale, lui a due se déconnecter dans une certaine mesure de cette réalité physique pour des raisons pratiques (découpe de l'octave en douze sons à intervalles réguliers ce qui permet d'utiliser toutes les tonalités sans changer l'accordage d'un clavier et de moduler à l'infini. C'est d'ailleurs à ce point de bascule de l'histoire musicale que Bach a composé le clavier bien tempéré).

Ce qu'il faut comprendre c'est la dualité de ce qu'on appelle la justesse. Car l'oreille est un organe qui apprend, donc elle apprend aussi bien des harmoniques des sons qui l'entourent, que des échelles utilisées dans la musique qu'elle entend. Avant la démocratisation de la musique enregistrée ou de la diffusion radio, les oreilles des gens n'étaient pas aussi formatées par le système tonale, et personne n'aurait relevé un "problème de justesse". Cette notion de justesse est totalement acquise.
D'ailleurs toutes ces échelles qui semblent exotiques dérivent des harmoniques au même titre que le système tonal, puis se sont façonnées avec les pratiques musicales.

[Flodelarab]

@wiwaxia: Pardonne-moi et la dureté (excessive) des mots utilisés.


Désolé que le dièse (code utf8 266F) et le bémol (code utf8 266D) ne s'affiche pas bien dans ton navigateur. Mais bon à savoir à l'avenir.
Le croisillon a 2 barres horizontales (doublement barrées en oblique) alors que le dièse a 2 barres verticales (doublement barrées en oblique)

Et pourquoi jamais plus de 3 zéros consécutifs ?

J'ai confondu 3 et 4 zéros. C'est d'autant plus ridicule de ma part que ma liste contient des suites de 3 zéros.

[wiwaxia]

... Ce qu'il faut comprendre c'est la dualité de ce qu'on appelle la justesse. Car l'oreille est un organe qui apprend, donc elle apprend aussi bien des harmoniques des sons qui l'entourent, que des échelles utilisées dans la musique qu'elle entend ...

C'est effectivement bien observé.

... Avant la démocratisation de la musique enregistrée ou de la diffusion radio, les oreilles des gens n'étaient pas aussi formatées par le système tonale, et personne n'aurait relevé un "problème de justesse". Cette notion de justesse est totalement acquise ...

Là, peut-être confonds-tu l'évolution de la culture musicale contemporaine, qui depuis soixante découvre les musiques non-occidentales par le biais des médias, avec ce qui s'est produit à partir du 16me siècle en Europe.

L'invention du tempérament remonte à cette époque: elle découle de la nécessité de supprimer les dissonances résultant de la succession des quintes, problème insoluble sur l'échelle diatonique; elle s'est progressivement imposée à l'ensemble des instruments à accord fixe à la fin du 18me siècle, du fait qu'elle permettait de rassembler tous instruments⁽¹⁾ dans l'orchestre, en permettant toute transposition.

Ce n'est pas que le tempérament sonne plus "juste": une oreille exercée peut à bon droit trouver certains intervalles légèrement faux; et la voix humaine, comme le violon, reviennent spontanément à des gammes naturelles lorsqu'ils se produisent seuls.

C'est le fait que des instruments demandant des transpositions différentes pour aboutir à la même tonalité, produisent ensemble des dissonances liées à des sons de hauteur très proches, ne différant que d'un comma; ce désagrément disparaît avec le tempérament, qui rend rigoureusement identiques (Si#) et (Do), par exemple.

(1) Cor de chasse évidemment exclu ...

[CosmoKnacki]

Là, peut-être confonds-tu l'évolution de la culture musicale contemporaine, qui depuis soixante découvre les musiques non-occidentales par le biais des médias, avec ce qui s'est produit à partir du 16e siècle en Europe.

Non je ne confonds pas, je parle de la population rurale dont la culture musicale est celle des musiques traditionnelles qu'il pratique, pas des nobles ni des bourgeois qui ont accès à la musique classique ou qui plus tard avaient les moyens d'un poste TSF ou d'un gramophone. Donc pour cette population, l'accès au tempérament musicale remonte à la démocratisation des moyens de diffusion et d'écoute, donc en gros à l'après guerre. En France, il faut attendre les années 50 pour voir dans chaque foyer un poste de radio. Donc il n'est pas étonnant qu'avant ça le contacte avec le tempérament égal ait été plus anecdotique et que les oreilles soient plus habituées aux échelles des musiques traditionnelles.
Pour ce qui est des musiques non-occidentales, là c'est simple, personne n'en a rien à foutre à part quelques chevelues des années 70 qui alternaient entre Idir et Ravi Shankar. Personne ne s'y intéresse mis à part ceux dont c'est la culture, et encore, aujourd'hui tout est tellement pourri par la machine commerciale... Actuellement, le top de l'exotisme pour la plupart des gens doit se situer entre Africa Simone et Johnny Clegg, mais peut-être faut-il aussi intégrer la Soca Dance? Faut pas leur demander d'écouter du Oum Khalsoum, du Nousrat Fateh Ali Khan ou leur passer un disque Ocora, les pauvres, ils devront faire un cure de Michel Sardou pour s'en remettre. Faut même pas essayer de les appâter avec un Jazz ou une pop un tant soit peu ouvert.

Quant aux travaux de Zarlino ou de Simon Stevin sur le tempérament, il ne faut pas confondre l'époque à laquelle ils ont été effectués avec celle de leur diffusion et encore moins de leur adoption, car nombre de musiciens et théoriciens s'y sont opposés farouchement. La percée du tempérament égal, c'est le début du 18e avec des tempéraments qui s'en rapproche, pour que son adoption se généralise il faut attendre la mort de Bach. D'ailleurs petite ironie de l'histoire, le clavier bien tempéré a probablement été composé pour un tempérament inégal (mais relativement proche du tempérament égal).

La nécessité du tempérament égal (si tant est que ça en soit une), n'est pas spécialement liée aux contraintes techniques des instruments ou au fait de les faire jouer ensemble, et les compositeurs ont toujours su s'en accommoder. C'est dans les possibilités de modulation que réside l'intérêt du tempérament égal. Avant lui, il était téméraire de trop s'éloigner de la tonalité de départ, ce qui réduisait la marge de manœuvre du point de vue de la composition ou de l'improvisation.

(1) Cor de chasse évidemment exclu

Cet instrument est toujours utilisé en musique classique, et pas seulement en baroque. Bien qu'il ait quitté les écoles de musique, il fait son come-back grâce à l'engouement pour les instruments anciens et je ne serait pas étonné de le retrouver en musique contemporaine. Il faut être prêt à tout, même à ça:

[wiwaxia]

C'est vraiment très beau

Je n'ai absolument rien contre le cor de chasse; je faisais simplement allusion à l'échelle sonore très particulière de cet instrument, qui m'intrigue depuis qu'on discute de la gamme tempérée sur deux forums de la Taverne.

[wiwaxia]

@ Flodelarab C'est oublié

... Désolé que le dièse (code utf8 266F) et le bémol (code utf8 266D) ne s'affiche pas bien dans ton navigateur. Mais bon à savoir à l'avenir ...

Les symboles appropriés sont bien apparus sur l'écran, dans tes messages, et pour ma part je m'en étais tenu d'office aux caractères ressemblants les plus accessibles.
D'autant que
# la sauvegarde des messages sur fichier texte ravage les caractères spéciaux, à partir du 128^me - peut-être devrais-je prendre de meilleures habitudes ?
# la typographie disponible en Pascal est franchement rudimentaire.

... J'ai confondu 3 et 4 zéros ...

Bien que je n'aie pas écrit de programme sur le type de solution que tu as proposé, j'y ai réfléchi: la difficulté vient de la nécessité de produire et de sélectionner des séquences sonores, de sorte que l'algorithme est contraint d'intégrer les irrégularités de la syntaxe musicale; je crois que c'est faisable, à condition de déclarer clairement ce que l'on accepte ou pas (et sans engager de controverse qui ne concernent pas la programmation); on obtiendra probablement plusieurs listes, dont certaines devront être purgées de certaines séquences.

[Invité]

Les gammes unaires gèrent le déplacement des degrés. Tout comme les gammes binaires, elles évaluent les possibilités heptatoniques dans un milieu dodécatonique. Les sept notes de musique seront invisibles sans une traduction, qui se réalise d'une part algorithmique. Puisque le développement des possibilités représente une série de décalages ciblés, ayant un début et une fin, tout pousse à croire qu'il puisse se faire en binaire, unaire, tonal.(…)


D'une liste de modèles unaires '123456700000' soigneusement élaborée, qui par économie d'écriture a volontairement omis toutes les "envolées" de septièmes. Qui vont être soumises à un traitement délocalisé, en progression linéaire où le modèle unique, ou unaire, voit son corps de septième en évolution.


Exemple de compréhension

Modèle unaire : '1|2|3|4|5|6|7|0|0|0|0|0'
Modèle binaire : '1|1|1|1|1|1|1|0|0|0|0|0'
Modèle tonal : '1|-2|°3|°4|*5|*-6|*°7'

Introduction de copie du fichier "gammesunaires.txt"

123456700000
123450670000
123450067000
123450006700
123450000670
123450000067

Au final, il y a 394 modes déjà référencés diatoniquement. Et les 66 gammes ont étés trouvées ! Sauf qu'en multipliant la quantité des gammes, par son nombre de situations diatoniques. On obtient 462 modes en tout, ainsi:
66 * 7 = 462 ex.

J'ai encore joué à l'écrivain de type unaire, il le fallait. La liste des possibilités demandées dans le sujet, ne peut se comprendre qu'en réalisant une part de travail "de recherche" manuscrit. Ainsi cette écriture, si on la réalise, va nous donner tous les arguments nécessaires à son évolution parmi les hommes. La partie qui est sensée nous mener à un algorithme produisant la même séance, n'a pas cours.

Il y a un programme pour le traitement dédié à la lecture d'un fichier, ici:

gammesunaires.txt

Ce dernier a été mis en conformité, et déployé pour entretenir le code Python suivant :

Code python :

Sélectionner tout - Visualiser dans une fenêtre à part

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155
#!/usr/bin/env python3.7
# -*- coding: utf-8 -*-
# Programme: Unaire Gamme. Version 1.0
"""Fichier texte gammes unaires."""
"""Autorité d'origine manuscrite."""
# Les signatures altéractives
noms = ['0', '-2', '+2', '^2', '-3', '-23', '-34x', '+34', '+23x',
        '-34', 'x3', '°3', '+34x', '°34x', '^3', '-4', '-24',
        '^4', '°4', '-5', '-25', '-25+', '+25-', '-35', '-35+',
        '+45x', '+25x', '°35-', '+35x', '-45+', '-45', 'x5',
        'x45+', '-25°', '-35°', '-45°', '°45-', '°5', '°35+',
        '*5', '°35x', '-45x', '°45x', '-6', '+6', '-26', '-26+',
        '+26-', '+26', '-36', '-36+', '-56', '-56+', '+56', 'x46+',
        '-26°', '-46+', '-46°', 'x36+', '-56°', '°46-', '°36+',
        '*6', '°46+', '°6', 'x26-']
# Les intervalles proportionnels
gammes = [[1, 1, 0, 1, 1, 1, 0], [0, 2, 0, 1, 1, 1, 0], [2, 0, 0, 1, 1, 1, 0], [4, 0, 0, 0, 0, 1, 0],
          [1, 0, 1, 1, 1, 1, 0], [0, 1, 1, 1, 1, 1, 0], [1, 0, 3, 0, 0, 1, 0], [1, 2, 1, 0, 0, 1, 0],
          [2, 2, 0, 0, 0, 1, 0], [0, 0, 1, 2, 1, 1, 0], [1, 3, 0, 0, 0, 1, 0], [0, 0, 2, 1, 1, 1, 0],
          [1, 2, 2, 0, 0, 0, 0], [0, 0, 4, 0, 0, 1, 0], [1, 4, 0, 0, 0, 0, 0], [1, 0, 0, 2, 1, 1, 0],
          [0, 1, 0, 2, 1, 1, 0], [1, 1, 3, 0, 0, 0, 0], [0, 0, 0, 3, 1, 1, 0], [1, 1, 0, 0, 2, 1, 0],
          [0, 2, 0, 0, 2, 1, 0], [0, 2, 0, 2, 0, 1, 0], [2, 0, 0, 0, 2, 1, 0], [1, 0, 1, 0, 2, 1, 0],
          [1, 0, 1, 2, 0, 1, 0], [1, 1, 1, 2, 0, 0, 0], [2, 0, 0, 3, 0, 0, 0], [0, 0, 2, 0, 2, 1, 0],
          [1, 2, 0, 2, 0, 0, 0], [1, 0, 0, 3, 0, 1, 0], [1, 0, 0, 1, 2, 1, 0], [1, 1, 0, 3, 0, 0, 0],
          [1, 1, 2, 1, 0, 0, 0], [0, 1, 0, 0, 3, 1, 0], [0, 0, 1, 0, 3, 1, 0], [0, 0, 0, 1, 3, 1, 0],
          [0, 0, 0, 2, 2, 1, 0], [1, 0, 0, 0, 3, 1, 0], [0, 0, 2, 2, 0, 1, 0], [0, 0, 0, 0, 4, 1, 0],
          [0, 0, 2, 3, 0, 0, 0], [1, 0, 0, 4, 0, 0, 0], [0, 0, 0, 5, 0, 0, 0], [1, 1, 0, 1, 0, 2, 0],
          [1, 1, 0, 1, 2, 0, 0], [0, 2, 0, 1, 0, 2, 0], [0, 2, 0, 1, 2, 0, 0], [2, 0, 0, 1, 0, 2, 0],
          [2, 0, 0, 1, 2, 0, 0], [1, 0, 1, 1, 0, 2, 0], [1, 0, 1, 1, 2, 0, 0], [1, 1, 0, 0, 1, 2, 0],
          [1, 1, 0, 0, 3, 0, 0], [1, 1, 0, 2, 1, 0, 0], [1, 1, 2, 0, 1, 0, 0], [0, 2, 0, 0, 0, 3, 0],
          [1, 0, 0, 2, 2, 0, 0], [1, 0, 0, 1, 0, 3, 0], [1, 3, 0, 0, 1, 0, 0], [1, 0, 0, 0, 1, 3, 0],
          [0, 0, 0, 3, 0, 2, 0], [0, 0, 2, 1, 2, 0, 0], [1, 0, 0, 0, 0, 4, 0], [0, 0, 0, 3, 2, 0, 0],
          [1, 1, 0, 0, 0, 3, 0], [3, 0, 0, 0, 0, 2, 0]]
"""Transposition Intervalle Binaire"""
perso_bin = []
perso_nom = []
votre_nom = []
votre_bin = []
votre_new = []
dia = [0]
tom = -1
for gamme in gammes:
    transe = [1]
    tim = 0
    tom += 1
    for gam in gamme:  # Transposition Gamme
        tim += 1
        if gam == 0 and tim < 12:
            transe.append(1)
        else:
            retour = gam
            while retour > 0:
                transe.append(0)
                tim += 1
                retour -= 1
            if tim < 12:
                transe.append(1)
    trans_bin = ''.join(str(t) for t in transe)
    perso_bin.append(trans_bin)
    perso_nom.append(noms[tom])
 
def formation(b_):
    """Code transition:
    La formation (b_) en comparaison perso (renversement inclu)
    La solution perso compte la superposition intervalle zéro
        Zéro = 5: Ainsi, à notes superposées"""
    new = 0
    for gym in perso_bin:  # Transcodage perso
        nom = perso_bin.index(gym)
        fit = t = -1
        z = c = 0
        zoe = []
        while True:
            fit += 1
            t += 1
            # b_ = votre_bin
            if gym[fit] == '0' and b_[t] == '0':
                z += 1
            if fit > 10:
                zoe.append(z)
                fit = -1
                z = 0
                t += 1
                c += 1
                if t > 10:
                    t = 0
            if t > 10:
                t = -1
            if c > 11:
                break
        if max(zoe) == 5:  # Noms connus ignorés
            if perso_nom[nom] not in votre_nom:
                votre_nom.append(perso_nom[nom])
                votre_bin.append(b_)
                # print('EST', perso_nom[nom])
            else:
                dia[0] += 1
            new = 1
            break
    if new == 0:
        votre_new.append(b_)
        # print('NEW', b_)
 
with open('gammesunaires.txt', 'r') as gamuna:
    """Chromatisme numérique (1,2,3,4,5,6,7,0,,,)"""
    suite = list(gamuna)
    f = 0
    for suit in suite:
 
        def unitaire01(se_):
            """Transformation binaire (0,1,,,)"""
            su = ''
            for st in se_:
                if st == '0':
                    su += st
                else:
                    su += '1'
            formation(su)
            # print('.unitaire01', su)
 
        f += 1
        pole = 0
        if suit[:12][-1] == '0':
            for i in range(11, 0, -1):
                if suit[i] != '0':
                    pole = 11 - i
                    break
            o = '7'
            for p in range(pole):
                o += '0'
            # Premier tour
            su2 = suit[:11 - pole]
            su2 += o
            past = [su2]          
            lost = list(o)
            long = len(lost)
            for un in range(long - 1):
                if len(lost) <= long:
                    lost.remove('7')
                    lost.insert(un, '0')
                    lost.insert(un + 1, '7')
                    lost = lost[:long]
                    su1 = ''.join(x for x in lost)
                    su0 = suit[:11 - pole]
                    su0 += su1
                    past.append(su0)
            if past:
                for pas in past:
                    unitaire01(pas)
        else:
            unitaire01(suit[:12])
 
print('DIATONIQUES OMISES', dia[0])
print('\nvotre_nom', votre_nom, '\nLONG', len(votre_nom))
print('\nvotre_new', votre_new, '\nLONG', len(votre_new))

[Invité]

En réfléchissant un peu, la série dodécatonique composée de "1" et "0", dont les "1" sont au nombre de sept. En considérant que cette image binaire puisse nous donner le sens d'une gamme dans un milieu tempéré, et qu'en même temps elle représente une facilité quantifiable et triable. À savoir que l'évolution des figures binaires correspondent à autant de gammes, ainsi que pour finir le débat concernant la véracité des 66 gammes.
J'ai créé un fichier listant la suite complète des modèles binaires, qui ont étés rangés dans un ordre croissant des représentations numériques. Ce dernier a 792 unités ayant comme toniques "0" ou "1", ainsi qu'en comptant le nombre de binaires commençant par "1", on obtient 462 modèles toniques ("1").

Et, 462 / 7 = 66

perso_binaire.txt
perso_unaire.txt
perso_mode.txt
perso_classic.txt

Sincères salutations

[Invité]

C'est tellement compliqué d'expliquer le comportement des probabilités, de connaitre leurs variabilités sous une forme mathématique. Le cas actuel est une supposition, soit que le résultat ressemble à une réalité connue. Le code Python calcule grâce à la quantité des participants, un taux de remplissage ajusté avec lequel se détermine le nombre total des possibilités.

Utiliser la multiplication pour obtenir les niveaux d'intégrations relatifs aux participants, initier les valeurs à charge, telles un cluster et sa propagation en faisant cluster², ce clusteur se coltine un espace vide qui est lui même propagé clusteur * 5 (5 = intervalles).

Voyez que de la massive de ces explications, s'enchaine une logique plutôt simple, mais un peu hasardeuse à mon niveau…

Code python :

Sélectionner tout - Visualiser dans une fenêtre à part

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#!/usr/bin/env python3.7
# -*- coding: utf-8 -*-
# Program possible.py
clusteur = 12  # Volume de confinement neutre
combiner = clusteur * clusteur  # Masse globale éléments
confiner = clusteur * 7  # Production éléments réels
coltiner = clusteur * 5  # Production éléments vides
tartiner = [y for y in range(2, clusteur) if not clusteur % y]
# Tartiner = Tempéraments de recherche
""".3.
Les Parties: De clusteur à combiner...:parties:
    Taux de représentation élémentaire, indice de la répartition
    sous la forme d'un opérande associés à la combinaison originale.
    Exemple: (i=18) i/12 = 1.5. Comme taux de participation.
Les remplissages: Multiplication des participants...:remplis:
    L'association (partie's & clusteur²) = produit élémentaire,
    qui forme un remplissage lié aux possibilités.
    Exemple: (18/12)*clusteur² = 216. Quantité combinative.
Les solutions: Le vide est relatif...:coltiner:
    Le remplissage évolue à la base du clusteur, qui a la valeur
    des éléments réels et vides réunis. L'intervention :coltiner:
    en tant que plein diviseur, ajuste la part combinée des réels.
    Exemple: ((18/12)*clusteur²)/coltiner = 3.6. Inférieur à clusteur.
"""
print('( ( (N / 12)  * 144 ) / 5 )')
for tarte in tartiner:
    print('*   tarte', tarte, '    *')
    for i in range(clusteur, combiner, tarte):  # Recherche en cours
        # Proportion de l'indice :parties:
        parties = i / clusteur  # Opérande proportionnel
        remplis = parties * combiner  # Valeur globale combinée
        soluces = remplis / coltiner  # Part ajustée du vide
        if int(soluces) > clusteur:  # Sélection de l'ajustement
            if soluces > clusteur + 1.5:
                print('___ Fausse tarte', i, parties, 'remplis', remplis,
                      'solution', soluces)
                break
            print(' Tarte exacte', i , parties, 'remplis', remplis,
                  'solution', soluces)
            break
print('combiner', combiner)
print('confiner', confiner)
print('coltiner', coltiner)
print('( ( (N / 12)  * 144 ) / 5 )')

[Mat.M]

Tu parles du cri de la cornemuse ou du biniou ? J'ai toujours pensé que l'absence de justesse était intrinsèque à ces instruments de torture.
Ok, je ne suis peut-être pas très objectif...

faut-il donc croire que ces instruments restituent un son "brouillon" puisqu'ils leur manquent la justesse sonore ?
Qu'est ce que c'est la justesse sonore ? Les harmoniques parfaites ?

[Invité]

faut-il donc croire que ces instruments restituent un son "brouillon" puisqu'ils leur manquent la justesse sonore ?
Qu'est ce que c'est la justesse sonore ? Les harmoniques parfaites ?

L'antan ou le service mystère, où le mystère est la connaissance inconnue.
Le charme de la question, le libre choix de la réponse.

Tout ce qui n'est pas monotone, invariable, parfait...

[Sodium]

Je dirais même que l'unité se trouve dans la transcendance de l'inconnu et que c'est de la pluralité acoustique que naissent les énergies salvatrices de l'âme.
Certes, si l'on étudie comme un tout la valse chromatiques des notes, l'harmonie est toute relative face à la complexité des nombres.

Prenons le nombre Pi et ses deux premières décimales par exemple : 3,14.
3 + 1 donnent 4. 4 + 4 donnent 8, c'est à dire l'octave d'une gamme. Prenons ces deux 4, 44 et multiplions-les par 10, le chiffre parfait. On obtient 440, la fréquence du La.

Le mystère reste entier face à la complexité des échelles qui constitue ce que l'on appelle aujourd'hui "musique", et nous devrions nous tourner vers le savoir des anciens afin de dénouer le vrai du faux, car qu'est-ce qu'un son sinon une illusion créée par notre oreille à partir d'un déplacement d'air ? Que chantent donc les galaxies muettes qui ne peuvent s'exprimer dans le cosmos ? N'auraient-elles pas des vérités à nous apporter qui transformeraient le regard que nous portons sur notre univers ?

[Jipété]

--snip--

C'est d'la bonne, àmha, fais tourner

[Mat.M]

J'ai bien peur que ces 66 gammes soit issues de la pratique et non des mathématiques.
J'en dénombre 359 :[..]

on dirait presque le nombre de Liouville

[Invité]

Je dirais même que l'unité se trouve dans la transcendance de l'inconnu et que c'est de la pluralité acoustique que naissent les énergies salvatrices de l'âme.

Car c'est bien en comprenant l'inconnu que naissent les énergies, et sûrement pas pour nous sauver

Certes, si l'on étudie comme un tout la valse chromatiques des notes, l'harmonie est toute relative face à la complexité des nombres.

Un petit rappel sur les nombres, étants justificateurs, ils n'existent qu'à force de la volonté de précision, ils sont presque irréels

Prenons le nombre Pi et ses deux premières décimales par exemple : 3,14.
3 + 1 donnent 4. 4 + 4 donnent 8, c'est à dire l'octave d'une gamme. Prenons ces deux 4, 44 et multiplions-les par 10, le chiffre parfait. On obtient 440, la fréquence du La.

Parfois une simplitude bien assise est préférable à une complexité trop envolée

Le mystère reste entier face à la complexité des échelles qui constitue ce que l'on appelle aujourd'hui "musique", et nous devrions nous tourner vers le savoir des anciens afin de dénouer le vrai du faux, car qu'est-ce qu'un son sinon une illusion créée par notre oreille à partir d'un déplacement d'air ? Que chantent donc les galaxies muettes qui ne peuvent s'exprimer dans le cosmos ? N'auraient-elles pas des vérités à nous apporter qui transformeraient le regard que nous portons sur notre univers ?

Osons seulement regarder la réalité comme elle nous apparait, croyons-nous que la vérité nous appartient ?
Ce qui fait la beauté de cet univers vient de sa complexité naturelle, due à l'évolution de ses composants libres.

Ce qui se perd aujourd'hui, comme la liberté de vivre naturellement sans états d'âmes de fabrication artisanale. Est lié au tempérament ou devrais-je dire l'énergie déployée pour satisfaire le chemin pris par la connaissance, qui comme tant d'autres se trouve au centre de certains intérêts pouvant dévier le cours du développement de cette même énergie.

Un coup de dés imparfait peut prendre des allures idylliques quand ils sont bien argumentés, ou perdre au jeu par une simple tricherie. Et dans tout ce mic-mac, la pêche aux infos ressemble trop à un labyrinthe…
Le nombre est à une échelle universelle, ce que la gamme est à une échelle humaine

[wiwaxia]

Osons seulement regarder la réalité comme elle nous apparait, croyons-nous que la vérité nous appartient ? ...

Ah, voilà une remarque dont la profonde intuition saute aux yeux, dès que l'on ose seulement regarder le site web où s'étale ton génial exposé: les fréquences que tu t'es imprudemment risqué à calculer sont fausses , parce que tu as réduit une gamme tempérée à une suite arithmétique, alors que tout collégien initié au solfège sait que les fréquences y constituent une suite géométrique ...
Page 8

Code :

Sélectionner tout - Visualiser dans une fenêtre à part

1
2
        La2     Si2     Do3     Re3     Mi3     Fa3     Sol3    La3
N(Hz)   220.00  246.94  261.63  293.66  329.63  349.23  392.00  440.00

La comparaison est édifiante: l'écart dépasse un ton au niveau du Ré3 ... Un concert d'instruments accordés sur ton échelle déclencherait un hourvari dans la salle, au bout de deux mesures ... Ta théorie de l'harmonie universelle en prend un sérieux coup dans l'aile !

Un minimum de documentation t'aurait permis de contourner cette erreur grossière, mais comme apprendre quoi que ce soit est le dernier de tes soucis, et que tu ne connais que la règle de trois, l'ânerie était inévitable ...
Émailler ton texte de latin et d'anglais n'en estompe pas les inepties, mais en accentue seulement la prétention.

[Jipété]

Émailler ton texte de latin et d'anglais n'en estompe pas les inepties […]

Oh, même pas besoin, rien qu'en français de base c'est la cata.

Ce qui se perd aujourd'hui, comme la liberté de vivre naturellement sans états d'âmes de fabrication artisanale. Est lié au tempérament [la suite n'a pas d'importance]

Nous avons donc au milieu un point de fin de phrase [artisanale. Est] suivi d'un redémarrage avec majuscule, parfait.
Mais dans

Ce qui se perd aujourd'hui, comme la liberté de vivre naturellement sans états d'âmes de fabrication artisanale.

on se rend vite compte que ce "comme" n'a rien à faire là, et si on l'enlève le reste tout seul ne va pas du tout.

Ensuite on démarre avec "Est lié..." et nous voilà partis à la recherche du sujet de ce verbe, que nous ne trouverons pas puisqu'il n'y en a pas. Nous voilà donc avec une phrase de deux lignes qui ne veut rien dire.

Il faudrait simplement remplacer ce point par une virgule et cette majuscule par une minuscule pour que ça tienne la route :

Ce qui se perd aujourd'hui, comme la liberté de vivre naturellement sans états d'âmes de fabrication artisanale, est lié [etc.]

Mais qui suis-je pour corriger les phrases des autres ?
Alors comme je n'y comprends rien, je jette, tout simplement.
Quel monde magnifique, où tout un chacun a le droit et la possibilité d'écrire, mais plus personne ne sait pratiquer cet art

Une 'tite dernière, pour la route, superbe d'incompréhension :

Un coup de dés imparfait peut prendre des allures idylliques quand ils sont bien argumentés, ou perdre au jeu par une simple tricherie.

Ce "ils" au pluriel, dans cette simple phrase, à qui à quoi se rapporte-t-il ? Aux "dés", seul nom commun au pluriel ? Quant à la seconde partie de la phrase, il manque surement quelque chose, mais quoi ?

Quand je pense que ce genre de monstruosité va perdurer jusqu'à la fin des temps, je me prends à souhaiter qu'elle arrive vite.

[wiwaxia]

Un petit rappel sur les nombres, étants justificateurs, ils n'existent qu'à force de la volonté de précision, ils sont presque irréels

La volonté de précision, on n'en doute pas à la lecture des valeurs des fréquences garnies de 9 décimales ... mais cela ne sert à rien quand les résultats sont faux !

Et d'ailleurs, pourquoi afficher seulement N = 275 Hz pour (Do3), et non pas 275.000000000 ? Cela manque de cohérence.

Et si neuf décimales sont nécessaires, pourrait-on vraiment distinguer deux sons voisins de fréquences N₁ = 403.333333333 Hz et N₂ = 403.333333334 Hz , par exemple ? L'écart correspond à 43 mille-milliardièmes de ton ... Mais Toumic a sans doute l'oreille fine ... Un grand espoir pour la musique, peut-être, à défaut de l'orthographe !

... Parfois une simplitude bien assise est préférable à une complexité trop envolée ...

Simplitude
Comme quoi à trop vouloir s'écarter de la simplicité du langage commun, on finit par se laisser piéger par celui de la pub, et ne plus être pris au sérieux !

[Invité]

Oui je sais qu'il ne faut jamais oublier ses racines, quelle terre pour cette culture ?

Rien que des zéros, pas d'orthographe etc. etc. etc.