perso, je préfères boire du champagne et manger du fromage que consommer du gafa !
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Taxe Gafa : Boris Johnson insiste sur l'instauration d'une taxe de 2% sur les grandes enseignes du numérique,
malgré la menace de représailles américaines
Votée en juillet, la taxe française de 3 % sur les revenus générés par les entreprises technologiques, dite “taxe Gafa”, s’applique aux sociétés, indépendamment de leur lieu d'établissement, qui réalisent un chiffre d’affaires de 750 millions d’euros au niveau mondial et de plus de 25 millions d’euros sur le sol français, dans le cadre de leurs activités numériques.
L'impôt français vise les recettes plutôt que les profits, qui sont souvent déclarés par les géants de la technologie dans des pays à faible fiscalité comme l'Irlande, dans une pratique qui a mis les gouvernements en colère. En juillet, Donald Trump n’avait pas tardé à menacer de taxer les vins français en représailles à la taxe numérique française publiée alors deux jours plus tôt, jugée comme destinée principalement aux grandes entreprises technologiques américaines par le président américain. La taxe devrait s'appliquer rétroactivement à partir du début de 2019, ce qui, selon le bureau du représentant américain au commerce extérieur (USTR), remet en question son équité.
En guise de représailles à cette taxe, lundi, le gouvernement américain a menacé d'imposer des droits de douane allant jusqu'à 100 % sur 2,4 milliards de dollars de produits d'importations en provenance de France. Il faut dire que l'USTR a déclaré dans un rapport que son enquête en vertu de l'article 301 avait conclu que l'impôt français était « incompatible avec les principes dominants de la politique fiscale internationale et constituait un fardeau inhabituel pour les entreprises américaines concernées ».
Pourtant, malgré le risque d'une réaction similaire, le Premier ministre britannique Boris Johnson a déclaré qu’il comptait bien instaurer en Grande-Bretagne une nouvelle taxe sur les géants du numérique, essentiellement des groupes américains.
« Au sujet de la taxe sur les services numériques, je pense que nous devons regarder l’activité des grandes entreprises du numérique et les énormes revenus qu’ils réalisent dans ce pays et le montant des impôts qu’ils paient », a déclaré le Premier ministre britannique mardi soir au sommet de l'OTAN. « Nous devons régler ça. Elles doivent fournir une contribution plus juste », a-t-il ajouté.
Le premier jour du sommet de l'OTAN - un peu plus d'une semaine avant les élections générales - le Premier ministre britannique (à droite) avec le Premier ministre luxembourgeois (Xavier Bettel)
Dans son programme pour les élections législatives du 12 décembre en Grande-Bretagne, le Parti conservateur de Boris Johnson s’est engagé à mettre en place une taxe sur les services numériques fournis par des groupes comme Google, Facebook ou Amazon. Cette taxe viserait les entreprises réalisant un chiffre d’affaires annuel d’au moins 500 millions de livres (près de 590 millions d’euros) dans le monde. Elle consisterait en un prélèvement de 2 % sur les revenus tirés de leur activité auprès des consommateurs britanniques à partir d’avril 2020.
La taxation des technologies de pointe est un sujet sur lequel les principaux partis politiques britanniques semblent s’accorder avant les élections du 12 décembre. La mise en œuvre de la taxe sur les services numériques fait partie du manifeste électoral du Parti conservateur de Johnson. Le parti travailliste de l'opposition s'est également engagé à augmenter les impôts des géants de la technologie numérique.
L'intention de Johnson de poursuivre dans sa démarche risque de créer des tensions transatlantiques croissantes après que les États-Unis ont imposé des droits de douane sur des marchandises européennes d'une valeur de 7,5 milliards de dollars à la suite d'un différend sur les subventions gouvernementales à Airbus. Ces tarifs feront en sorte que les Américains achèteront plus cher des produits britanniques tels que des costumes confectionnés à la Savile Row de Londres, ainsi que des pulls en cachemire et le Whisky d'Écosse.
S'exprimant lors du sommet de l'OTAN mardi, Trump a déclaré que si un pays devait « profiter » des sociétés américaines pour les taxer, « ce devrait être nous ». Les États-Unis veulent que les pays attendent un nouveau cadre mondial de taxation des entreprises numériques en cours de développement par l'Organisation de coopération et de développement économiques. L’OCDE espère avoir un accord de principe entre ses 36 États membres d’ici à janvier.
Source : sommet de l'OTAN
Trump va t--il taxer son pote Johnson ?
L'Espagne prévoit d'aller de l'avant avec la « taxe Google » de 3 % sur les géants de la technologique,
Malgré les menaces américaines des droits de douane
À l’instar de la France, d'autres pays de l'Union européenne, notamment l'Autriche, la Grande-Bretagne, l'Espagne et l'Italie, avaient également annoncé des plans pour leurs propres taxes sur les services numériques. Et, malgré les représailles américaines contre la nouvelle taxe française sur les géants du numérique déjà en vigueur, le Premier ministre britannique Boris Johnson a déclaré qu’il comptait bien instaurer en Grande-Bretagne une taxe similaire, qui viserait essentiellement les groupes américains. Maintenant, nous apprenons de la presse espagnole que Madrid poursuivra la création d'une taxe sur certains services numériques, dite "taxe Google", dès qu'un gouvernement sera formé, selon des sources de l'exécutif intérimaire.
Selon les sources, l'objectif est de faire entrer le système « dans le XXIe siècle » en imposant une taxe de 3 % sur les géants technologiques tels qu'Amazon, même si la taxe pourrait cependant susciter la colère des États-Unis, qui se sont déjà engagés à appliquer des droits de douane punitifs de 100 % sur une liste de produits en provenance de la France.
En effet, après son enquête, le bureau du représentant américain au commerce extérieur (USTR) a conclu que l'impôt français était « incompatible avec les principes dominants de la politique fiscale internationale et constituait un fardeau inhabituel pour les entreprises américaines concernées ». Les vins mousseux, les sacs à main, les produits de luxe, la porcelaine, le savon, le beurre et plusieurs types de fromages constituent la liste de produits susceptibles d'être soumis à ce nouveau plan de droits de douane américains, qui devrait intervenir en 2020 après recueil des commentaires du public à ce propos. Cependant, cette menace ne devrait pas empêcher Madrid d’aller de l’avant avec sa taxe numérique nationale.
Toutefois, selon des sources du ministère espagnol des Finances, cette décision reviendra au prochain gouvernement espagnol, qui sera probablement une administration de coalition dirigée par le parti socialiste (PSOE) avec Unidas Podemos comme partenaire de gauche. Selon le rapport d’un quotidien espagnol, l’instauration de la "taxe Google" a été incluse dans le manifeste du PSOE avant les élections du 10 novembre. L’idée a également été souvent énoncée dans le passé par la ministre intérimaire des Finances, María Jesús Montero, pour qui, il était nécessaire de créer une taxe de ce type afin de mettre le système fiscal espagnol à jour avec les réalités du 21e siècle.
Selon les sources, comme en France, la future taxe numérique espagnole ne cible pas les entreprises en fonction de leur pays d'origine. Elles ont aussi fait valoir que l'approche idéale pour l’Espagne serait que de telles mesures soient approuvées conjointement par les pays de l'Union européenne ou de l'OCDE. Cependant, c’est seulement le mois dernier que les ministres du G20 réunis à Washington ont entamé des pourparlers sur un système international visant à taxer les géants mondiaux de la technologie dont l'Organisation de coopération et de développement économiques espère qu'il prendra effet en juin. Parce que les mesures de l’OCDE pourraient ne pas intervenir avant 2020, des pays comme la France ont déjà élaboré leur propre réglementation que Washington a qualifiée de discriminatoire à l’égard des géants américains.
Après la réponse américaine à la taxe GAFA lundi dernier, l'UE a serré les rangs en annonçant qu'elle répondrait « d'une seule voix » face aux menaces américaines. « L’Union européenne agira et réagira d’une seule voix », a déclaré Daniel Rosario, un porte-parole de la Commission européenne, mardi, ajoutant que la Commission travaillait « en étroite coordination avec les autorités françaises sur les prochaines étapes ». La secrétaire d’État à l’Économie Agnès Pannier-Runacher a également déclaré que la France « n’a pas à reculer » sur la mise en place d’une taxe visant les géants de l’Internet, « qui économiquement fait du sens, et qui est de justice fiscale…. On doit être pugnace sur ce sujet ».
Quant au Premier ministre Boris Johnson, à propos d’une future taxe numérique britannique, a déclaré mardi lors du sommet de l’OTAN : « Au sujet de la taxe sur les services numériques, je pense que nous devons regarder l’activité des grandes entreprises du numérique et les énormes revenus qu’ils réalisent dans ce pays et le montant des impôts qu’ils paient ». « Nous devons régler ça. Elles doivent fournir une contribution plus juste », a-t-il ajouté.
Les critères d’imposition des géants de la technologie prévus par l’Espagne
La taxe conçue par l'Espagne comprenait un taux d'imposition de 3 % et devrait s'appliquer à certains services numériques fournis par des géants de la technologie dont le chiffre d'affaires global dépasse 750 millions d'euros et dont les revenus en Espagne sont supérieurs à 3 millions d'euros. C’est tout comme en France, à la différence que le seuil du revenu national considéré en France est de 25 millions d’euros. Ce qui signifie que la taxe espagnole viserait beaucoup plus largement le secteur de la technologie.
Le décret espagnol définit également trois éléments imposables dans lesquels la participation des utilisateurs finaux est déterminante pour la création de valeur. Ce sont : la publicité destinée aux utilisateurs d'une interface numérique (page Web, plateforme technologique, logiciel ou réseau social) ; la fourniture d'une plateforme permettant aux utilisateurs de localiser d'autres utilisateurs pour commercer avec eux (comme Amazon) ; et enfin, la vente ou le transfert des données collectées sur les utilisateurs d'un site Web ou d’une plateforme.
« Idéalement, il y aurait un accord mondial, ou à défaut, un accord au niveau européen, mais s'il n'y a pas d'accord dans ces deux domaines, nous devrons agir au niveau national », a déclaré Nadia Calviño, ministre intérimaire de l'économie, plus tôt cette année. « Le gouvernement n'exclut pas de prendre des mesures et de s'attaquer à la mise en œuvre de cette taxe », a-t-elle ajouté.
L'administration précédente du PSOE avait déjà inclus une telle taxe dans un accord conclu en octobre 2018 avec Podemos avant l'échec de sa tentative d'adoption du budget 2019, a rapporté le quotidien. Le Cabinet du Premier ministre de l'époque, Pedro Sánchez, a approuvé un décret royal qui prévoyait de nouvelles taxes sur certains services numériques, et qui visait à collecter environ 850 millions d'euros pour les caisses de l'État, recette beaucoup plus élevé que les 500 millions d'euros annuels prévus par la taxe française. La loi avait été soumise au Congrès pour approbation, mais elle a été abandonnée après la dissolution du Parlement avant les récentes élections générales.
Avec la décision de l’UE d’agir comme un seul pays contre les représailles américaines, d’autres gouvernements pourraient éventuellement être tentés de prendre des mesures pour rendre la fiscalité plus équitable. En effet, selon une analyse du Fair Tax Mark, une organisation britannique qui certifie les entreprises pour leur bonne conduite fiscale, six des plus grandes entreprises de la Silicon Valley – Facebook, Apple, Amazon, Netflix, Google et Microsoft – ont affiché un « écart fiscal » combiné de plus de 100 milliards de dollars US entre 2010 et 2019. Selon les chercheurs, le gros du déficit « a presque certainement grandi hors des États-Unis », les charges fiscales étrangères ne représentant que 8,4 % des bénéfices réalisés par les entreprises à l'étranger au cours de la décennie.
Sources : El Pais
Et vous ?
Qu’en pensez-vous ?
Pensez-vous que d’autres pays s’engageront à la suite de France, la Grande-Bretagne et l’Espagne dans leur propre initiative de taxe numérique ?
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Six des plus grandes entreprises de la Silicon Valley auraient évité de payer plus de 100 milliards de dollars en impôts, au cours de la dernière décennie
Il s'agit d'abord que les serveurs soient de le pays avec les sources. Quand la Russie a fait ça ils pouvaient vérifier les sources donc les éventuelles irrégularités évidemment.
Ceci écrit, elles existent puisque j'en ai archivées.
Pour ne parler que de la France
Sur le fond pas d’hésitation, il faut taxer les GAFA, c'est une évidence, si ce n'est que par simple équité avec toutes les autres sociétés qui payent leurs taxes "plein fer" en France, d'autres pays y viennent.
Maintenant, une fois cette taxe en place et selon moi il faudra réagir afin d'utiliser cette manne pour développer nos propres infrastructures et arrêter de pleurnicher après les Américain, moi quant quelque chose me fait mal, je vais chez le médecin pour qu'il me soigne.
La question est : "ou va aller cet argent" ? et pourquoi pas l'injecter directement dans les travaux devenus indispensables au rattrapage du retard que nous avons laissé se creuser avec d'autre pays sur les infrastructures telles que les serveurs, fibres, 4G...
Mais surtout cet argent ne devrait pas servir à la création de pseudos groupes et/ou commissions d'analyse et de réflexion du sujet dont finalement rien ne sors jamais à part un beau site internet et de belles plaquettes de présentations, bref tout dans la com, rien dans l'efficacité.
Quant je vois l'état des poteaux d'Orange (société privé) avec des câbles qui pendent par terre... on ne voyait jamais ça à l'époque de France Télécoms, je me dit "vive le capitalisme", "vive les actionnaires"...
Quelle bande de voleurs tous ces politocards ! Il n'y en a pas un pour racheter l'autre !
Thatcher doit se retourner dans sa tombe.
En principe le Luxembourg, les Pays-Bas, l'Irlande et Malte ne devraient pas le faire
3% du chiffre d'affaire ce n'est pas énorme. Si ces entreprises ne faisaient pas de montage pour éviter de payer leurs impôts, les états n'auraient pas besoin de faire ça.
Malheureusement, pour les grosses entreprises, c'est un peu trop simple d'organiser un faut déficit et d'envoyer l'argent dans des paradis fiscaux.
Concrètement, pour dégrader sa rentabilité en France, Starbucks plombe délibérément ses comptes en lui faisant payer moult charges et redevances. D'abord, la filiale française doit payer des royalties sur une multitude de choses: la marque, le logo, le business plan, les recettes de cuisine, l'ameublement, l'agencement des magasins et même "l'atmosphère dégagée par les magasins"... Au total, ces royalties s'élèvent à 6% du chiffre d'affaires, soit au total 50 millions d'euros depuis l'installation en France.
Source : Starbucks ne paye toujours pas d'impôts en France
Tu es pathétique dans ton obstination mais pour faire bonne figure, propose toi comme volontaire pour payer ce que ces gens et autres sociétés ne paient pas.
Parce que toi tu n'y échapperas pas, mais par contre à réclamer l'absolution de ces sociétés, tu vas juste contribuer à faire en sorte que toi et moi payons plus. Et moi ça m'emmerde de payer plus à cause de gens comme toi et comme eux
Ces politicards sont exactement comme toi mais en bien moins con. C'est eux qui mettent en place et maintiennent la tolérance de ces systèmes d'évasion et d'optimisation fiscale. Et bien sur, ils en profitent, voir Cahuzac.
Et si moi j'ai à me prononcer, je propose qu'on te vire en premier, puisque ton salaire doit être abondé d'une façon ou d'une autre par le budget de l'état et nos contributions communes. Quitte à réclamer des baisses de taxes, il faut bien faire des économies, puisque tu n'as pas l'air de soutenir le fait que chacun paie une contribution équitable.
Et regarde bien où ils sont tes voleurs :
https://www.lesechos.fr/economie-fra...mmerce-1154687
Tu sais que beaucoup d'entreprises, même parmi les grosses, n'ont pas ce taux de bénéfice / CA ?Envoyé par Ryu2000
Donc là en gros tu demanderais à de telles entreprises de renoncer à dégager du bénéfice. De quoi attirer les investisseurs, à coup sûr !
Si les états s'occupaient bien de leurs vraies fonctions régaliennes au lieu de vouloir s'occuper mal de tout, elles n'auraient pas besoin de voler autant d'argent aux contibuables pour financer leurs gabegies !Si ces entreprises ne faisaient pas de montage pour éviter de payer leurs impôts, les états n'auraient pas besoin de faire ça.
Le problème c'est l'état !
Il n'y a de paradis fiscaux que parce qu'il y a des enfers fiscaux. La France est un enfer fiscal. Et si on en faisait un paradis ?Malheureusement, pour les grosses entreprises, c'est un peu trop simple d'organiser un faut déficit et d'envoyer l'argent dans des paradis fiscaux.
C'est le cas de toutes les franchises, avec un taux plus ou moins fort.Concrètement, pour dégrader sa rentabilité en France, Starbucks plombe délibérément ses comptes en lui faisant payer moult charges et redevances. D'abord, la filiale française doit payer des royalties sur une multitude de choses: la marque, le logo, le business plan, les recettes de cuisine, l'ameublement, l'agencement des magasins et même "l'atmosphère dégagée par les magasins"... Au total, ces royalties s'élèvent à 6% du chiffre d'affaires
Maintenant, si tu es plus malin, monte un concurrent à Starbucks sans réclamer autant à tes franchisés !
Ce qui est pathétique, c'est de voir le syndrome de Stockholm généralisé des Français.Envoyé par fredoche
Plus l'état les tond , plus ils réclament d'état et plus l'état les tond. :ptdr
Non, je réclame qu'on me foute la paix ; qu'on me laisse vivre comme je l'entends tant que je ne porte pas atteinte aux droits naturels (Liberté, propriété, sûreté et résistance à l'oppression. Cf. art. 2 de la DDHC de 1789) des autres.Parce que toi tu n'y échapperas pas, mais par contre à réclamer l'absolution de ces sociétés, tu vas juste contribuer à faire en sorte que toi et moi payons plus.
Et si les Français réclamaient le retour de leurs libertés bafouées et l'arrêt de l'hégémonie de l'état sur leurs vies, toi, moi, et tous les contribuables paieraient moins et vivraient sans doute mieux.
On ne s'évade que des prisons ou des enfers. La France est un enfer fiscal ; et si on en faisait un paradis ?C'est eux qui mettent en place et maintiennent la tolérance de ces systèmes d'évasion et d'optimisation fiscale.
https://www.bastiat.net/enfer-et-par...dnZt0aQbhsifjk
Et tu paieras mon chômage !Et si moi j'ai à me prononcer, je propose qu'on te vire en premier
Enfin une phrase intelligente !Quitte à réclamer des baisses de taxes, il faut bien faire des économies
Il y a plein d'idées ici :
https://livre.fnac.com/a5190078/Agne...ds-d-economies
Chiche ! => Flat tax !contribution équitable.
Et mieux => Suppression de l'impôt sur le revenu !
https://revendique.com/revendication...-sur-le-revenu
Mais avec des moutons comme vous,
#CePaysEstFoutu !
Là on parle d'une taxe qui touche les entreprises qui ont un chiffre d'affaire globale supérieur à 750 millions d'euros. Ces grosses entreprises pourraient faire faillite, ça ne me dérangerait pas.
Je ne pense pas qu'Amazon, Apple, Microsoft, etc, aient besoin d'investisseur. Ces entreprises doivent avoir assez de moyen pour investir dans la recherche et le développement.
Les investisseurs sont des parasites qui essaient de se faire de l'argent sur le dos des autres, ils ne produisent rien.
Bon après acheter des actions c'est super dangereux, t'as beaucoup plus de chance de perdre que de gagner. (d'ailleurs les banques prennent notre argent pour le parier en bourse, c'est ça qui cause les crises économiques)
Ouais c'est vrai qu'il y a trop de fonctionnaires inutile qui coûtent trop cher (députés, sénateurs, ministres, etc) et en plus ils ont plein de privilèges, l'état vie au dessus de ces moyens.
Il parait qu'au Danemark il y a encore plus de fonctionnaires et pourtant le pays tourne un peu près. Il faudrait voir toutes les différences entre la France et le Danemark.
Ça tu l'as déjà dis des dizaines de fois et c'est pénible.
En plus là c'est l'Espagne qui veut taxer les grosses entreprises qui font 750 millions de CA globale et 3 millions de revenus en Espagne.
Je ne souhaite pas créer de grosse entreprise.
Je ne veux pas vendre du café de merde hors de prix, polluer l'environnement et éviter de payer des impôts.
Les états ont besoin de récupérer des impôts pour financer des services publics, comme l'armée, les écoles, la police, les hôpitaux, la SNCF, les aéroports, etc.
Bon après c'est vrai que le gouvernement gère très mal son budget...
Leurs milliers d'employés te remercieront sans doute !Envoyé par Ryu2000
Le diable se cache dans le détail du "etc." parce que 750 millions d'euros, c'est une marche qui est très loin en dessous du CA des entreprises que tu cites.Je ne pense pas qu'Amazon, Apple, Microsoft, etc, aient besoin d'investisseur.
En France, on a Ventes Privées qui dépasse le milliard de CA par exemple. S'ils veulent continuer de croître et donc incidemment de créer des emplois potentiellement en France, ils ont sans doute encore besoin d'investisseurs.
Et les investisseurs qui ont eu le courage de donner de l'argent aux boîtes qui atteignent cette marche, peut-être qu'ils voudront maintenant partir en se disant que la rentabilité n'est plus là.
Bref, comme disait Bastiat : "Il y a ce qu'on voit et ce qu'on ne voit pas."
J'arrête là parce que j'ai autre chose à faire que de répondre à des incultes en économie.
Quand la France sera devenu le Venezuela à force de s'enfoncer dans le collectivisme, vous ne viendrez pas pleurer.
#CePaysEstFoutu
En réalité les grosses entreprises détruisent plus d'emplois qu'elles n'en créer.
Amazon détruit deux emplois pour un créé en France, affirment Mounir Mahjoubi et Attac
C'est un peu comme les hypermarchés qui détruisent beaucoup d'emplois, parce qu'au lieu d'aller à la fromagerie, à la boucherie, à l'épicerie, au primeur, etc, tu vas dans une grande surface. Les opérateurs de caisses font passer énormément de clients. Le truc encore plus triste c'est qu'ils vont être remplacé par des automates.L’ancien secrétaire d’Etat au numérique Mounir Mahjoubi accuse Amazon d’avoir « détruit 7.900 emplois en France », et invite les consommateurs à l’approche des fêtes à se tourner vers les « alternatives locales » et les « PME françaises », dans une note publiée vendredi.
La France n'a rien a voir avec le Venezuela...
Je rappelle l'histoire du Venezuela :
Le pays possède une gigantesque quantité de pétrole, les gouvernements successifs se sont reposé là dessus, le pays ne tournait que grâce à l'exportation de pétrole.
Le pays s'est spécialisé (ce qu'il ne faut jamais faire), les savoirs faire ont été perdues, l'économie dépendant du pétrole.
Ensuite Chavez a pris le pouvoir, il voulait que son pays soit moins soumis aux USA, les USA ont imposé des sanctions au Vénézuela pour limiter ses exportations de pétrole et voilà le pays est asphyxié par les sanctions US.
La France n'a pas de pétrole, donc on ne peut pas comparer la France au Venezuela. Bon à la limite on peut dire que Charles de Gaulle et François Mitterrand avaient compris qu'il fallait se méfier des USA (comme Chavez et Maduro).
Là on parle d'un projet de loi Espagnol, mais bref.
Ce n'est pas que la France qui est foutue, c'est le monde entier !
À cause de la finance, des banques, des grosses entreprises le monde va connaitre la plus grosse crise Economique de l'histoire de l'humanité, tous les pays vont souffrir, tous les pays se porteront mal.
Les banques et les grosses entreprises dirigent le monde, ce sont elles qui possèdent les médias et les hommes politiques.
Il ne suffit pas de baisser les taxes, charges, impôts pour que l'économe aille mieux.
Aux USA les impôts sont relativement faible et pourtant l'économie se porte très mal.
L'état est surendettée, les entreprises sont surendettées, les ménages sont surendettés, les étudiants se sont endettés pour financer leur étude et ils ne trouvent pas de boulot.
Les banques US vont très mal, c'est pour ça que la FED leur a distribué des centaines de milliards en peu de temps.
Plus près de nous il y a l'Allemagne, l'économie est basé sur l'exportation et les chinois commencent à acheter moins, donc l'Allemagne va s'effondrer petit à petit.
La France va devenir le pays le plus riche de l'UE, ça va être très étrange.
En Allemagne il y a moins de fonctionnaires, l'état ne vit pas autant au dessus de ces moyens qu'en France, et pourtant ça va aller très mal pour ce pays.
Le truc louche c'est que les médias mainstream parlent d'une crise en 2020, Alors que normalement ils n'anticipent que dalle et répètent que la situation s'améliore.
« Simple ralentissement économique » ? Non, « crise financière bien plus grave qu’un simple trou d’air conjoncturel »
En dehors de mon avis sur le sujet en question :
Ce n'est pas parce que des gens ne partagent pas ta vision de l'économie (voir de la vie) qu'ils sont incultes.
Des théories en économie, il y en a des dizaines. La tienne te parait la meilleure et un choix absolu; ce n'est pas le cas de pleins d'autres gens (dont des gens "incultes" en économie qui ont cependant décroché le prix "nobel" dans cette spécialité).
Tu rêves mon pauvre.
D'une part ça ne fait pas partie des fonctions régaliennes de l'état.
Et le chômage était jusqu'à peu une assurance. Cotises-tu à cette assurance , oh grand clairvoyant de l'économie Néolibérale ?
Ces sociétés sont des prédateurs, des parasites. Un parasite profite de son hôte jusqu'à le faire crever.
Tu connais l'histoire du rat et de la toxoplasmose ?
https://www.futura-sciences.com/plan...x-chats-32944/
Tu es le rat, c'est tout
Pour ceux qui sont encore capable de penser :
de la part d'un vrai milliardaire
Justement, j'aimerais qu'il ne s'occupe que de ça et nous foute la paix sur le reste !D'une part ça ne fait pas partie des fonctions régaliennes de l'état.
#LaissezFaire #Liberté
Les hashtags sur un forum, ça ne sert à rien, hein. Et si c'est pour faire "d'jeun's", c'est foutu.
Plus ça va, plus les pays de l'UE deviennent libéraux, dans le futur les états ne géreront plus les retraites, les travailleurs cotiseront à un fond de pension privé et arrivé à la retraite l'entreprise fera faillite et ils ne toucheront rien (un peu comme avec les assurances vies).
Est-il vrai que Macron a rencontré le groupe BlackRock, spécialisé dans les fonds de pension ?
Plus ça va plus la qualité des services publics se dégradent et plus ceux qui ont les moyens vont dans le privée.
Il y a des gens qui ne sont pas satisfait des hôpitaux publics et qui préfèrent payer plus cher pour aller dans des hôpitaux privés.
Peut-être qu'un jour ce sera comme aux USA, si tu ne paies pas les pompiers ils ne viendront pas éteindre ta maison quand elle sera en feu.
LOL !Plus ça va, plus les pays de l'UE deviennent libéraux
L'UE est de plus en plus collectiviste et s'occupe de plus en plus de choses.
Et avec la politocarde escrolo-pastèque qu'ils ont nommé à la tête de la commission, ça ne va pas s'arranger.
L'UE est foutue !
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