Cela va faire plus de 7 ans que cette information EXIF orientation c'est un truc de taré : EXIF Orientation Handling Is a Ghetto -2012 (<- un exemple en anglais)
Peut-être que maintenant c'est mieux géré.
Cela va faire plus de 7 ans que cette information EXIF orientation c'est un truc de taré : EXIF Orientation Handling Is a Ghetto -2012 (<- un exemple en anglais)
Peut-être que maintenant c'est mieux géré.
Tu m'étonnes... Passé 40 ans, ça file, ça file...
En tout cas, je suis content de voir que je ne suis pas le seul à garder un appareil que l'on peut considérer comme désuet mais qui répond finalement, à 90% de mes besoins !
En plus, le mien doit sûrement avoir quelques centaines de milliers de photos au compteur.
Ah oui quand même...
Et tu as réussi à trier tout ça ?
Bon, moi je n'ai toujours pas réussi à me faire au numérique, trop d'années en argentique. En plus il vieillit mal, l'animal : la mise au point (jamais auto !) est parfois floue sans que je puisse me l'expliquer, et ce bourricot surexpose : je ne compte plus les ciels brûlés.
Et si je le force à légèrement sous-exposer, c'est trop sous-exposé.
Bref, c'est pas mon truc (d'ailleurs c'est celui de mon fils : ces bestioles ne connaîtraient-elles que leur maître ?)
Pas trop le choix que de faire de l'édition même si j'ai quand même du retard...
Pour le numérique, c'est surtout le viseur de la taille d'un trou de serrure qui me fait regretter l'argentique et aussi d'avoir beaucoup moins de photo à trier. À l'époque, sur une 36 poses, il y en avait une ou deux de bonnes en gros, c'était simple à éditer. Maintenant, je reviens facilement avec 300 images après un concert ou lieu de deux ou trois rouleaux.
Pour le ciel surex, il me semble qu'il y a une option par défaut qui corrige automatiquement et qui fait ça. À fouiller dans les menus.
Sinon, par expérience, l'exposition est moins fiable avec des objectifs non canon aussi. Si la batterie commence à faiblir, c'est aussi moins fiable.
Pour la mise au point, il y a les contacts entre l'appareil et l'objectif qui s'encrasse.
Pareil aussi, si la batterie commence à faiblir, c'est aussi moins fiable.
Et c'est sûr qu'avec une lentille qui ouvre à f:2,8 c'est plus fiable.
Actuellement, j'utilise essentiellement le pancake 24mm f:2.8mm et mon vieux 100mm f:2.0 qui commence à montrer des faiblesses (je l'ai acheté d'occase à Paris il y a 15 ans et je me suis rendu compte qu'il avait été déjà été réparé en amateur avec de... la colle)
Absolument !
Comme je dis souvent, j'aime bien la bonne tenue de ce sujet.
Sinon, pour en revenir à son titre, je suis tombé sur ça, en autopsiant des lanternes de jardin à cellule solaire, vous savez, le genre de truc made in China qui en général ne passera pas l'hiver ou alors exceptionnellement.
Bref, il y en a chez qui le contrôle qualité n'est pas au point :
Choisis ton camps, camarade !
après l'anode et la cathode : l'antipode c'est l'inversion de polarité réversible... et réciproquement
... Ce sont des piles pour le marché cycliste australien : Tour Down Under
Vu sur eurosport.fr, j'ai un problème de compréhension : Ils consolident ainsi leur place dans les quatre premiers à l’Ouest (quatrième, ex-æquo avec Houston, troisième)…
Il me semblait que si deux sont au même rang, c'est le rang suivant qui est vide. Mais là…
Bonjour,
trouvé quelque chose de vraiment très curieux et dont je me demanderai jusqu'à la fin de mes jours comment ça a pu arriver, mais trêve de discours, place à l'image (il s'agit d'une photographie de la page 1461, non retouchée sauf pour les besoins de la mise en page ici) :
Le groupe des deux types "o" et "-" s'est retrouvé basculé de 90° counterclockwise, et il a fallu un sacré hasard pour ce groupe pivoté puisse s'insérer à la même place, sous-entendu ce bloc est un carré, alors partant de là j'ai tenté de corriger la faute avec mon Gimp, mais je n'y arrive pas !
J'ai sélectionné les deux types fautifs dans un seul bloc que j'ai copié-collé puis pivoté de 90° à droite puis aligné (j'ai eu de la chance sur ce coup-là !) sur l'autre trait d'union 4 lignes plus bas et enfin remonté à la place où il aurait dû être, et c'est là qu'on se rend compte de l'immense espace entre "nati" et "o-".
, surtout si on compare avec l'espace entre le "i" et le "n" de "chemin", juste au-dessus à gauche.
Mais l'explication est simple, je pense car, oui, j'ai fait les mesures : le bloc "nati" a été légèrement décalé sur la gauche, l'espace de justification entre "nati" et "route" est plus petite que toutes les autres de la ligne.
Sauf que, les gars qui avaient le nez et les mains là-dessus ne se sont pas rendus compte que pour insérer ce dernier bloc fautif (et ça, ils ne l'ont pas vu non plus ?), il leur fallait changer cette espace ?
Quel pataquès !
Et un sacré mystère…
Bref, détendons-nous avec un extrait reproduit à l'identique du bas de la page 200 :
Bonne journée, bonne semaine, et ouvrez l'œil !
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1- Et tout cela se trouve dans Uranus de Marcel Aymé, © Gallimard 1948, impression de juin 1996, chez Folio, n° 224
Ainsi donc en 1996 on composait encore au plomb. Je ne l'aurais pas envisagé, si on m'avait posé la question.
Marcel Aymé, j'ai adoré son roman "la vouivre" qui est une légende tenace et très présente de la région, entre Bourgogne et Comté jurassienne. Et bien sûr le passe-muraille, un truc qui faisait rêver mon enfance.
On voit quelques références à lui dans la ville de Dole.
Je ne savais pas que Uranus était de lui, le film était excellent je trouve. Marrant cette coquille page 200.
Par curiosité, les traits d'unions de fin de ligne sont toujours associés à une lettre en composition au plomb ?
Tu penses qu'il s'agissait d'un seul bloc de plomb avec les deux types fondus ensemble ?
Alors pas à ma connaissance : je n'ai jamais vu ça, dans aucun de mes bouquins de typographie et puis, imagine une casse standard : il faudrait la doubler car, potentiellement, presque n'importe quelle lettre pourrait être suivie de cette marque de césure, même si certaines sont plus qu'improbables : je ne vois pas quel mot permettrait de composer "q-", "w-", "x-", ou "z-", par exemple.
source
Tiens, suivez donc ce lien, c'est plein de jolies images qui me font rêver…
Non du tout, mais à te lire et à voir cette rotation à 90°, je me suis posé la question
Qu'est ce qui fait que tu as un tel attrait pour les techniques d'imprimerie, des raisons pro, ou juste un dada historique ?
J'adore ce plan de casse, et la façon dont il est utilisé, ça fait réfléchir... au clavier notamment
Je ne sais pas.
J'ai toujours été "lecteur" : un truc écrit, imprimé, faut que je le lise, c'est plus fort que moi ; je te laisse imaginer les nanas dans la rue avec une bd ou n'importe quoi d'autre (slogan, etc.) sur le T-shirt , bien devant…
Pi j'ai toujours aimé les livres : les toucher, les sentir (si si !), et bien sûr les découvrir, découvrir ce qu'ils contiennent et vont m'apporter, bref, quand j'ai visité il y a 20 ans le Musée de l'imprimerie à Lyon, j'ai crû ne pas m'en remettre,
Car in fine, c'est spectaculaire ce truc (un peu comme la photo argentique) : tu prends une feuille de papier blanc, des morceaux de plomb taillés comme il faut, un peu d'encre et d'huile de coude (Dieu que c'est lourd le plomb !) et la magie opère : tu produis de la connaissance.
(et des fake news, à notre époque, mais ceci est une autre histoire -- quoique... suivez ce lien chez Gallica, pour un extrait des villes mortes du Golfe de Lyon, de Charles Lenthéric, Plon, 1876, concernant Aigues-mortes :
La page qui s'affiche présente à droite des flèches de navigation pour avancer et reculer : en reculant d'une fois on tombe sur une carte magnifique (et la légende est très intéressante, vous y reviendrez après avoir lu ce qui suit), et sinon, il suffit de lire, les lignes sont courtes donc ça va très vite et ce qui nous intéresse se trouve à la 3e page (353) du chapitre, commençant par :
La multiplicité des auteurs qui ont répété que la ville d'Aiguesmortes [sic] se trouvait autrefois sur le bord même de la Méditerranée et que les vagues venaient battre le pied de ses murailles est loin d'être une preuve de l'exactitude de cette assertion ...
Prêtez une attention particulière à la fin de la page 354 et au début de la 355, c'est édifiant ! Des fake news comme maintenant, les auteurs se recopiant les uns les autres...
Enfin, ce livre comporte des annexes, la 13e est intitulée "Sur la distance qui sépare Aiguesmortes de la mer" et commence par le relevé des "Documents inexacts", à retrouver là :
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bp...lenth%C3%A9ric)
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