Quand bien même ce serait le cas, ce ne serait pas une raison pour faire de l'amalgame.
Il est temps d'ouvrir un deuxième compte facebook dédié à la gloire des USA
Pourquoi faut-il fermer son compte Facebook ? Trump nous facilite la décision
Pourquoi auraient-il besoin du mot de passe ? Ils ont déjà accès aux données.
Stupide comme cette question : avez-vous l'intention de commettre un attentat sur le territoire US ?
Qu'est ce qui empêche de dire qu'on n'a pas de compte sur les réseaux sociaux ?
Très bonne idée on devrait en faire de même en France
Autres avis (précisez)
Quand bien même ce serait le cas, ce ne serait pas une raison pour faire de l'amalgame.
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Recommandations pour débattre sainement
Références récurrentes :
The Cambridge Handbook of Expertise and Expert Performance
L’Art d’avoir toujours raison (ou ce qu'il faut éviter pour pas que je vous saute à la gorge {^_^})
Chaque nation doit naturellement se faire passer en premier...
Ça n'a rien d'exceptionnel, c'est de la pure logique.
L'inverse serait de la folie, faut arrêter avec votre mondialisme à tout prix.
C'est quoi votre projet ? Que chaque nation remplisse une seule fonction et que toutes les nations soient dépendantes des autres ?!
Ce serait beaucoup mieux que les nations soient le plus indépendante possible...
Quand t'es étasuniens c'est normal que t'essaies d'acheter "made in USA"...
C'est un cercle vertueux qu'ils appellent ça dans le jargon.
Je ne comprend pas pourquoi vous préférez acheter des trucs fabriqué par des enfants du tiers monde au lieu d'acheter du local...
Soyez écologique un peu.
Dans les pays du tiers monde ils n'ont pas les mêmes normes et les produits doivent traverser plusieurs milliers de km.
C'est du protectionnisme, ok, mais on fait la même chose.
L'europe a aussi la possibilité de faire la même chose:
https://fr.news.yahoo.com/visas-d%C3...111125258.html
Ce qui est ironique, c'est qu'à l'heure de la mondialisation, tout le monde ferme ses frontières et est suspicieux de l'autre (à tort ou à raison).
Accédant aux appareils numériques, ils pourraient installer des spywares, virus, botnet...
Hum
Que des bonnes nouvelles.
Sauf si les SSII Indiennes viennent ensuite casser les prix en Europe.
Cela n empeche pas de faire travailler des indiens a distance :-)
Bonjour,
Je travaille principalement a l'étranger (hors Europe) et j'en suis a environ une vingtaine de pays.
Ce que je peut dire c'est que dans la grande majorité de ceux-ci la préférence nationale s'applique (et pour moi cela est normal). Comme expatriés on rencontre en effet principalement des indiens, pakistanais et plus récemment des indonésiens, des magrébins et des iraniens.
En ce qui concerne les indiens, les société qui les emploient le justifie par le fait qu'il sont très bon voir meilleurs que nous. Ce n'est pas le cas et la seule vrai raison est qu'il sont moins cher. (je travaille dans le milieu industriel et ce qu’il faut savoir c'est qu'un indien gagne généralement 10 (voir plus) fois le salaire qu'il aurait en Inde ce qui n'a rien a voir avec nous)
Les meilleurs avec qui j'ai eu le plaisir de travailler sont les thaïs, et les sud américains qui sont d'un très très bon niveau (les étasuniens n'étant pas toujours une référence)
normal faut faire la même chose en france quitte à reformer notre "mamouth" pour qu il soit plus efficace.
Salut
Sans ménagement : cela concerne la politique intérieure des Etatsuniens et en gros ce n'est pas notre problème. Je suis bien plus préoccupé par le marché de l'emploi en France.
Cdlt
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M E N S . A G I T A T . M O L E M
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"La théorie, c'est quand on sait tout, mais que rien ne marche. La pratique, c'est quand tout marche, mais qu'on ne sait pas pourquoi. En informatique, la théorie et la pratique sont réunies: rien ne marche et on ne sait pas pourquoi!".
Mais Emmanuel Kant disait aussi : "La théorie sans la pratique est inutile, la pratique sans la théorie est aveugle."
Et pourtant, cela nous concerne directement.
Si ce n'est pas notre "problème", et que nous n'avons de leçon à donner à personne, c'est une opportunité historique pour nous, en Europe, pour enrayer la fuite des cerveaux et faire revenir nos scientifiques et ingénieurs partis aux USA, là où il y avait du travail et un avenir pour eux. Autrement dit : il faut un État stratège et une politique de long terme, et ré-accepter enfin de financer la recherche scientifique.
Si les USA se tirent une balle dans le pied, on doit en profiter et il faudra être plus attractif que le Canada.
Visa USA : certains demandeurs pourraient devoir fournir une liste de comptes de réseaux sociaux,
qu'ils ont utilisés au courant des cinq dernières années
L'administration Trump pourrait bientôt commencer à solliciter des demandeurs de visa, qu'elle craint être des menaces de sécurité, de fournir une liste de tous les comptes sociaux qu'ils ont utilisés au cours des cinq dernières années.
Environ deux mois après que le président Donald Trump a signé un ordre exécutif promettant un « contrôle extrême » pour les voyageurs étrangers et les réfugiés, le Département d'État a proposé, dans un avis public, que soient demandées les informations suivantes, si elles ne sont pas déjà incluses dans une demande, à un sous-ensemble de demandeurs de visa dans le monde entier, afin de « mener une évaluation plus rigoureuse des candidats en matière de terrorisme ou d'autres obligations nationales liées à la sécurité liée aux visas » :
- l’historique de voyage au cours des quinze dernières années, y compris la source de financement pour le voyage ;
- l’historique d'adresse au cours des quinze dernières années ;
- l'historique d'emploi au cours des quinze dernières années ;
- tous les numéros de passeport et pays de délivrance détenus par le demandeur ;
- noms et dates de naissance de tous les frères et sœurs ;
- nom et date de naissance de tous les enfants ;
- noms et dates de naissance pour tous les conjoints actuels et anciens, ou les partenaires civils ou domestiques ;
- plateformes et identifiants de médias sociaux utilisés au cours des cinq dernières années ;
- numéros de téléphone et adresses mail utilisés au cours des cinq dernières années.
« La plupart de ces informations sont déjà collectées sur les demandes de visa, mais pour une période de temps plus courte, par exemple cinq ans au lieu de quinze ans. Les demandes de noms et dates de naissance des frères et sœurs et, pour certains candidats, des enfants sont nouvelles », note le Ministère.
« La demande d'identifiants de réseaux sociaux et des plateformes associées est nouvelle pour le Département d'État, même si elle est déjà collectée volontairement par le Department of Homeland Security (DHS) pour certaines personnes », a-t-il continué.
Le Département d’État estime que ce changement affecterait environ 65 000 demandeurs de visa chaque année : « Le nombre estimé de répondants représente une estimation des fonctionnaires pertinents du Département d'État selon laquelle 0,5 % des demandeurs de visa aux États-Unis ou dans la fourchette de 65 000 individus par année présenteront un profil de menace, en fonction des circonstances individuelles et des informations qu'ils fournissent, qui mèneront les fonctionnaires consulaires des États-Unis, étant à des postes dans le monde entier, de décider s’il faut que le demandeur passe par cet examen amélioré qui tient compte de l'information proposée de recueillir ».
Dans le cas où le demandeur venait à ne pas fournir ou à ne pas pouvoir fournir ces données, la porte d’entrée aux États-Unis ne va pas nécessairement se fermer devant lui : « Le défaut de fournir les informations demandées n'entraînera pas nécessairement un refus de visa, si le fonctionnaire consulaire détermine que le demandeur a fourni une explication crédible pour laquelle il ne peut répondre à une question ou fournir des documents justificatifs demandés, de sorte que le fonctionnaire consulaire est en mesure de conclure que le demandeur a fourni des informations adéquates pour déterminer l'admissibilité du candidat à recevoir le visa. »
Le Ministère précise tout de même que la collecte de plateformes et d'identifiants de réseaux sociaux ne sera pas utilisée pour refuser les visas en fonction de la race, de la religion, de l'origine ethnique, de l'origine nationale, des opinions politiques, du genre ou de l'orientation sexuelle des candidats.
Ce n’est pas le premier gouvernement des États-Unis à avoir invoqué l’optique d’améliorer la sécurité nationale pour justifier l’examen des médias sociaux des demandeurs de visa. En effet, des mois après l'attaque de 2015 à San Bernardino, en Californie, les législateurs ont demandé à une autre agence, le Department of Homeland Security, d'engager davantage de ressources pour surveiller des sites comme Facebook et Twitter pour des menaces potentielles.
C'est sous le prédécesseur de Trump, le président Barack Obama, que l'agence a commencé en décembre à collecter des identifiants de médias sociaux provenant de voyageurs arrivant sur un programme de visa différent. À l'époque, le DHS a souligné qu'il était facultatif : les visiteurs étrangers n'avaient pas à fournir leurs noms d'utilisateurs sur les sites sociaux pour entrer aux États-Unis. Cependant, les poids lourds de l’industrie technologique et les défenseurs des droits numériques se sont opposés à cette idée, arguant que demander aux voyageurs de partager ce type d’information exerçait une grande pression sur eux en plus de menacer la libre expression.
Sous Trump, le DHS a franchi un pas de plus : le nouveau chef de l'agence, le secrétaire John Kelly, a déclaré aux législateurs en février que le gouvernement envisageait d'exiger les mots de passe des médias sociaux étrangers : « S’ils ne veulent pas nous donner l'information, alors ils ne viennent pas », a-t-il déclaré sans contours.
Source : avis public
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Et bien on viendra pas et je pense qu'on ne s'en portera pas plus mal.« S’ils ne veulent pas nous donner l'information, alors ils ne viennent pas »
L’administration Trump approuve le renforcement des contrôles incluant les comptes de réseaux sociaux
Pour l'obtention de visa américain
Parmi les derniers projets en date initiés par le gouvernement Trump, on peut citer sa tentative d’instaurer une interdiction de voyager temporaire pour les personnes originaires de sept pays (Yémen, Iran, Libye, Somalie, Soudan, Syrie et Irak) ou encore son ambition, plus récente, d’interdire l’embarquement des laptops à bord de la cabine des avions qui sillonnent sur le territoire américain.
L’administration Trump a sorti un nouveau questionnaire pour les demandeurs de visa qui souhaitent se rendre aux États-Unis. Ce questionnaire fait partie d’un ensemble de mesures visant à renforcer les contrôles des personnes qui souhaitent se rendre aux États-Unis.
Le nouveau questionnaire exige de chaque demandeur de visa de fournir les identifiants des comptes qu’il ou elle a utilisés durant les cinq dernières années pour accéder aux réseaux sociaux ainsi que la biographie de ses quinze dernières années de vie. Toutefois, il est précisé dans le formulaire que les informations fournies ne peuvent en aucun cas retarder ou empêcher le traitement d’une demande de visa individuel.
Ce nouveau questionnaire a été approuvé le 23 mai 2017 par le Bureau de la Gestion et du Budget. Et ce, malgré les critiques formulées à son encontre par divers responsables de l’éducation et des groupes universitaires pendant sa période de consultation publique. Ces derniers lui reprochaient d’être excessivement contraignant pour le demandeur, d’alourdir les démarches administratives et de favoriser le découragement des étudiants et des scientifiques qui veulent venir aux États-Unis.
Les défenseurs et les avocats de l’immigration estiment que ces questions sont susceptibles de porter préjudice à des candidats innocents qui pourraient simplement avoir du mal à se souvenir, dans le détail, de tout ce qu’ils ont pu faire 15 ans auparavant ou qui pourraient avoir commis des erreurs par le passé sans incidence sur leur intégrité actuelle.
Les nouvelles procédures instaurées autorisent aussi les consulats qui le jugent nécessaire, à demander tous les anciens passeports, les adresses de messagerie, les numéros de téléphone et les identifiants des comptes utilisés sur les réseaux sociaux pendant les cinq dernières années, ainsi que la biographie des quinze dernières années de vie du demandeur, incluant son historique d’adresses, d’emplois et de voyages.
« Les États-Unis ont l’un des processus de demande de visa les plus stricts au monde », a déclaré Babak Yousefzadeh, un avocat basé à San Francisco et président de l’Ordre du barreau de l’Iran. Par ailleurs, il estime que ces nouvelles mesures (le questionnaire) accordent un « pouvoir arbitraire » aux consulats lors des procédures de traitement des demandes de visa, alors qu’il n’y a aucun moyen de contrôler les éléments qui influent sur leurs décisions.
Les services compétents pourront demander des informations supplémentaires lorsqu’ils estimeront « que ces informations sont nécessaires pour confirmer une identité ou pour mener des enquêtes plus rigoureuses liées à la sécurité nationale », a déclaré un responsable du département d’État.
Source : Reuters
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Où est le problème?
Il y a plein de pays dans le monde qu'il est merveilleux de visiter, qui ne nécessite pas de fournir une photo de chaque poil de son c... pour avoir le droit d'y entrer et qui prennent les mesures pour contrer le réchauffement climatique!
Alors what else? Evitez ce pays dirigé par un gouvernement totalement à côté de la plaque...
et si on est pas inscrit sur un réseau social ?
Ben mon gras, c'est simple... Tu es un mec "louche"! Donc dans le meilleur des cas, tu auras droit à un interrogatoire de 30 heures avec les services de l'immigration US, un touché rectal pour s'assurer que tu ne transportes pas une bombe cachée au plus profond de ton intimité et l'exigence de voir l'état de ton compte en banque pour savoir si tu n'es pas un de ces "Mexicains sans le sous" qui envahissent la belle amérique trumpienne!!!
Y-a-mieux pour débuter ses vacances, non?
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