Ce serait bien de faire preuve de plus d'exactitude (pour ne pas dire d'honnêteté)Apple, Google et Amazon ont également suspendu Parler, une application pro-Trump où les utilisateurs ont menacé de recourir à plus de violence de leurs App stores et services d'hébergement web respectifs.
Parler n'est pas une application pro-Trump mais un réseau social qui défend la liberté d'expression.
Dans les fait les pro-Trump sont plus nombreux que les pro-Biden mais ces derniers y sont la bienvenue. Le réseau tente même des les attirer contre rémunération.
Ensuite ce n'est pas "les" utilisateurs qui ont menacé mais une poignée. Dans leurs conditions, Parler interdit d'ailleurs clairement la violence.
A mon sens, la censure de ce réseau par les GAFA est injustifié.
De toute façon ce n'est pas à eux de se prendre pour des juges.
Amazon riposte au procès antitrust de Parler avec de nombreux exemples de son contenu violent
dont des menaces de mort contre les démocrates, le GOP, les PDG de sociétés technologiques et autres
Mis hors ligne par AWS à la suite de plusieurs avertissements de modérer efficacement les contenus violents postés sur sa plateforme ou trouver un autre hébergeur Web, Parler a porté plainte lundi contre le géant des services cloud. Parler a allégué que la suspension par AWS de ses services violait la loi antitrust et enfreignait un accord contractuel. Mardi, AWS a répondu à la plainte de Parler avec des exemples de contenus violents trouvés sur la plateforme du réseau social conservateur et a demandé au tribunal de maintenir Parler hors ligne.
Amazon condamne Parler et recommande qu'il reste hors ligne
Parler est un réseau social américain de microblogage lancé en août 2018. Il est initialement financé par le milliardaire américain Robert Mercer, co-CEO du hedge fund Renaissance Technologies, et sa fille Rebekah. Réputé pour être un réseau social conservateur et présenté par les médias comme un « clone de Twitter » ou encore « le Twitter de la droite », Parler se dit attaché à la liberté d'expression et accepte les propos racistes, antisémites et xénophobes ou complotistes. Ainsi, il a une base d'utilisateurs importante de partisans de Donald Trump, de conservateurs, de théoriciens du complot et d'extrémistes de droite.
Parler est hébergé par AWS et a été sommé à plusieurs reprises par ce dernier de modérer son contenu sous peine de voir ses services interrompus. Parler n'a pas donné suite à la requête d'AWS qui s'est vu dans l'obligation de suspendre le compte de Parler le week-end dernier, éliminant ainsi le réseau social d'Internet. Par la suite, Parler a entrepris une action en justice contre Amazon lundi, invoquant une rupture de contrat et une violation de la législation antitrust. Parler a été suspendu alors que la communauté cherchait à connaître son rôle dans l'organisation et la planification des attaques de mercredi dernier contre le Capitole américain.
Mardi, Amazon a déposé au tribunal sa réponse à la plainte antitrust de Parler, arguant que le refus du réseau social de retirer les contenus violents de sa plateforme violait son contrat, et que Parler n'avait pas réussi à prouver l'existence d'une plainte antitrust. Selon l'argumentaire du géant du cloud computing, le manque de modération du contenu de Parler a conduit à une "augmentation constante" du contenu violent sur le réseau, en violation des conditions d'utilisation d'AWS. Il n'est d'ailleurs pas le seul à avoir coupé l'accès à Parler, Google et Apple l'ont également supprimé de leur magasin d'application respectif.
« Cette affaire n'a rien à voir avec la suppression de discours ou l'étouffement de points de vue. Il ne s'agit pas d'une conspiration visant à restreindre le commerce », a déclaré Amazon dans le dossier du tribunal. « Il s'agit plutôt de la réticence et de l'incapacité démontrées de Parler à supprimer [...] des contenus qui menacent la sécurité publique, par exemple la planification et l'incitation au viol, la torture et l'assassinat de fonctionnaires et de citoyens nommés », a-t-il ajouté. La réponse met en lumière plus d'une douzaine d'exemples qu'Amazon a déclaré avoir rapportés à Parler.
Il y a notamment des appels à la guerre civile et la mort de législateurs démocrates ; les PDG d'entreprises technologiques, dont Jeff Bezos, Mark Zuckerberg et Jack Dorsey ; les membres de ligues sportives professionnelles ; l'ancienne secrétaire aux transports Elaine Chao ; et la police du Capitole américain, entre autres. Un exemple de contenu présenté par Amazon dans le document dit ceci : « Nous allons nous battre dans une guerre civile le 20 janvier, former des milices maintenant et acquérir des cibles. Les blancs doivent enflammer leur identité raciale et faire pleuvoir la souffrance et la mort comme un ouragan ».
Les utilisateurs de Parler ont également visé les personnes de couleur, les militants de Black Lives Matter, les Juifs, les enseignants, les médias et les ligues sportives professionnelles, notamment la NBA, la NFL, la MLB et la NHL. « Il n'y a aucune base juridique dans les accords avec les clients d'AWS ou autre pour obliger AWS à héberger des contenus de cette nature », a déclaré Amazon, ajoutant qu'il avait notifié Parler "à plusieurs reprises" à partir de la mi-novembre 2020 au sujet de contenus qui violaient les termes du contrat des deux sociétés, mais que Parler "ne voulait pas et ne pouvait pas" les retirer.
Amazon invoque le bouclier de responsabilité de la Big Tech
Parler a pris de l'importance au cours des derniers mois, alors que les principaux sites de médias sociaux ont été confrontés à une pression croissante pour réprimer les discours de haine, la désinformation et les appels à la violence. Après l'élection présidentielle américaine de novembre, les partisans de Trump ont afflué sur les réseaux sociaux alternatifs, dont Parler, pour planifier les protestations électorales après que Facebook et d'autres sites ont interdit les groupes qui prônent des conspirations sans fondement. Selon les données d'Apptopia, du 3 au 9 novembre, Parler a été téléchargé environ 530 000 fois aux États-Unis.
Alors qu'une foule pro-Trump s'est emparée violemment du Capitole américain mercredi lors d'une attaque qui a fait cinq morts, les émeutiers armés ont utilisé Parler et d'autres applications de médias sociaux à tendance conservatrice pour s'organiser. Apptopia a déclaré à Business Insider que les téléchargements de Parler ont atteint environ 323 % de leur volume hebdomadaire moyen à partir d'octobre. Mais alors que des révélations ont été faites sur la façon dont les insurgés ont utilisé Parler pour mener les attaques de la semaine dernière, les grandes entreprises technologiques, dont Apple et Google, ont été contraintes de couper les liens.
Parler a été forcé de migrer son hébergement Web vers Epik, un registraire de domaine connu pour héberger du contenu d'extrême droite, après avoir été viré d'AWS. Parler accuse Amazon d'agir sous les contraintes d'une force politique visant à l'éliminer du marché au profit de Twitter. Dans sa réplique mardi, Amazon a nié s'être immiscée dans les relations de Parler avec ses utilisateurs et a affirmé que les allégations antitrust de Parler ne remplissent pas le critère de base requis pour une plainte en vertu de la loi Sherman.
Parler a allégué que AWS conspire pour favoriser Twitter, qui utilise également AWS, mais contre lequel ce dernier ne prend pas de mesures similaires. En réponse, AWS a déclaré que le procès de Parler ne définit pas un marché pertinent ou ne précise pas comment la concurrence a été lésée. « AWS n'héberge pas le flux de Twitter, donc bien sûr il ne pouvait pas avoir suspendu l'accès au contenu de Twitter », a déclaré Amazon dans le dossier, notant que Twitter a finalement bloqué le contenu violent, alors que Parler a refusé de prendre des mesures similaires.
Amazon s'appuie également sur la section 230, la loi qui a été fortement critiquée par le président Donald Trump et qui accorde aux plateformes technologiques l'immunité pour leurs efforts de modération de contenu. Plus précisément, l'article 230 est une loi sur Internet aux États-Unis, adoptée dans le cadre du Communications Decency Act de 1996. L'article 230 accorde généralement l'immunité aux éditeurs de sites Web contre le contenu de tiers. « C'est précisément ce qu'AWS a fait ici : il a supprimé l'accès à des contenus qu'il considérait comme excessivement violents et harcelants », a déclaré AWS dans le dossier.
« Le litige pourrait donc devenir un test très médiatisé de la loi, qui a été examiné par les démocrates et les républicains », a continué AWS. Les avocats d'Amazon, Ambika Doran et Alonzo Wickers de Davis Wright Tremaine, ont demandé à la juge américaine Barbara Rothstein de Seattle de rejeter la requête de Parler pour une ordonnance de restriction temporaire à la lumière de la prolifération de contenus violents sur Parler, qui s'annonce comme une alternative non modérée, n'importe quoi, à Twitter.
« Obliger AWS à héberger un contenu qui planifie, encourage et incite à la violence serait sans précédent », ont écrit Doran et Wickers dans leur réponse. « De plus, il est peu probable que Parler l'emporte sur le fond de l'affaire. Parler ne peut pas tenir Amazon responsable [...] de l'application des termes exprès de l'accord », ont-ils écrit. En outre, les avocats d'Amazon ont écrit que Parler n'a fourni aucune preuve de ses allégations selon lesquelles Amazon aurait été de connivence avec des rivaux pour menacer son entreprise.
Source : Réponse d'Amazon à Parler
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si effectivement parler n'a pas respecté les termes de son contrat, pourquoi amazon n'a t'il donc pas déposé une plainte auprès de la justice et dénoncé ce contrat plus tôt?
parce qu'il en a strictement rien à faire, il préfère appliquer sa justice, mais bon, on trouvera encore des gens pour le défendre ...
Bonjour,si effectivement parler n'a pas respecté les termes de son contrat, pourquoi amazon n'a t'il donc pas déposé une plainte auprès de la justice et dénoncé ce contrat plus tôt?
parce qu'il en a strictement rien à faire, il préfère appliquer sa justice, mais bon, on trouvera encore des gens pour le défendre ...
Pour vous rappeler comment fonctionne un contrat, par exemple un contrat de travail, il y a des clauses dedans. Par exemple dans mon contrat de travail est m'est interdit de dénigrer mon entreprise, d'être salarié d'une autre entreprise etc. Si je ne respecte pas une clause du contrat que j'ai signé, le contrat est rompu unilatéralement, sans qu'il y ai besoin de passer par la justice. C'est si il y a un litige, par exemple si je trouve que j'ai respecté les clauses et que la rupture du contrat est sans fondement, que je dois faire intervenir la justice.
Pour en revenir à amazon, si une clause du contrat que Parler a signé n'est pas respectée, Amazon rompt unilatéralement le contrat c'est aussi simple que cela
et donc? pourquoi attendre si longtemps? si amazon a commencé à se plaindre dès novembre, c'est que ça fait depuis plus longtemps qu'il voit qu'il y a des problèmes avec parler, non? donc pourquoi attendre le départ de trump pour se faire mousser?
et accessoirement, si amazon voulait faire le chevalier blanc et faire en sorte que parler respecte ses termes du contrat, c'est bien à la justice que celui-ci aurait du faire une requête. (à moins effectivement de vouloir virer parler de sa plateforme, quelle heureuse coïncidence...)
donc merci, mais non merci, pas besoin de me rappeler quoi que ce soit, surtout avec une comparaison avec le droit français... (et/ou quand on ne connait pas les conditions effectives entre amazon et parler)
Ou …stardeath
Le 13/01/2021 à 18:17
si effectivement parler n'a pas respecté les termes de son contrat, pourquoi amazon n'a t'il donc pas déposé une plainte auprès de la justice et dénoncé ce contrat plus tôt?
parce qu'il en a strictement rien à faire, il préfère appliquer sa justice, mais bon, on trouvera encore des gens pour le défendre ...
Peut être, beaucoup plus pour appliquer ces tarifs et empocher les dividendes ?.
Ne pas savoir n’est pas une faute si l’on cherche à combler ses lacunes.
"Il n'y a pas d'obstacles infranchissables , il y a des volontés plus ou moins énergiques voilà tous" Jules Vernes
Google & Cie veulent plaire au nouveau pouvoir (Biden et ses amis démocrates) parce que le monde politique parle depuis quelque temps de casser leur toute puissance.
Problème: En effaçant Trump du monde numérique, ils se sont tirés une balle dans le pied: Ils ont donné la preuve au monde entier qu'ils avaient le pouvoir de "tuer" le président de la 1ère puissance mondiale. Il serait très étonnant que les dirigeants du monde ne se sentent pas concernés... Ils vont tous se faire un plaisir de liquider la menace "Google &Cie".
Un gouvernant "éclairé" ne fait pas confiance aux traîtres: Il y a plus de 2000 ans (en 48 av. J.-C), Pompée et Jules César (celui d'Astérix) se sont combattus dans une guerre civile. Pompée fuit et lorsque Jules César le poursuit en Egypte, le pharaon Ptholémée lui offre la tête de Pompée qu'il a fait tuer pour faire plaisir à Jules César. Jules César décide de faire honneur à son ancien adversaire en organisant pour lui des funérailles dignes de lui. Il fait également exécuter tous ceux qui étaient liés de près ou de loin à l’assassinat et destitue Ptolémée au profit de sa sœur, la célèbre Cléopâtre.![]()
Et si on parlait de Twitter ou les messages haineux se comptent par millions.
Un ancien ministre malaisien avait même appelé au meurtre de millions de français sans que Twitter ne daigne le censurer.
Que dirait-on si Amazon décidait de débrancher Twitter?
En premier lieu je me demande si Amazon avait le droit de consulter les données de son client ; en tout cas, cela changerait radicalement leur responsabilité globale. En second lieu, je m'interroge sur la possibilité de faire annuler "ces preuves" (il en existe autant à l'encontre de twitter) dans la mesure où elle pourrait avoir pour origine un piratage.
Ouais bof, plein de présidents ou premier ministre partagent l'idéologie que diffuse les GAFAM, par exemple Angela Merkel, Justin Trudeau, Emmanuel Macron.
Google, Twitter, Facebook, etc, n'embêteront jamais ces gens la.
Ouais le parti démocrate risque d'être beaucoup plus sympa avec ces entreprises que l'était Trump.
Ce qui n'est pas surprenant puisque ces entreprises ont toujours soutenues le parti démocrate.
Keith Flint 1969 - 2019
Il faudrait que parler contre attaque aussi en montrant ce que amazon laisse passer sur twitch ou en montrant ces pratiques commercial aussi.
Évidement les GAFAM veulent quelqu'un de très corrompu comme Biden, ils ne veulent pas d'un socialiste comme Sanders.
Les GAFAM aiment le sociétale, comme mettre en avant des minorités, mais ils n'aiment pas le sociale, comme augmenter les impôts des grosses entreprises pour financer les services publics.
Biden n'est pas vraiment à gauche. C'est juste une marionnette, on dirait qu'il a la maladie d'Alzheimer, on a l'impression qu'il ne sait pas où il est, ni ce qu'il dit. Si ça se trouve le parti démocrate va rapidement se débarrasser de lui.
Primaires démocrates : Elisabeth Warren veut « démanteler » les Gafam
C'est un drôle de paradoxe qui se dessine outre-Atlantique à mesure que se rapproche la course à l'investiture démocrate : traditionnellement « dems », les entreprises de la Silicon Valley sont devenues la cible des candidats les plus à gauche.
Fervente critique des inégalités , la sénatrice du Massachusetts Elisabeth Warren a encore franchi un cap, vendredi, en formulant des propositions concrètes pour « démanteler » les géants de la tech.
« Les grosses entreprises technologiques ont trop de pouvoir aujourd'hui, a expliqué celle qui a les faveurs des électeurs démocrates les plus à gauche, à l'occasion d'un discours de campagne prononcé à New York. Trop de pouvoir sur notre économie, notre société et notre démocratie. »
Keith Flint 1969 - 2019
Comparez la violence horrible, inhumaine, sans précédent dans l'histoire de l'humanité de la prise du capitole par les soi-disants pro-Trump, et les violences commises par les démocrates lors de la victoire de Trump en 2016. Je ne parle même pas de la prise de parole de toutes ces stars américaines qui ont insulté publiquement Trump ou demandé sa tête.
Notez comment en 2016 les médias ont couvert cette actualité, et comparé avec ce qu'il s'est passé la semaine dernière.
Après vous faites comme vous voulez, pro ou anti Trump, mais à un moment faut se sortir les doigts du derrière pour ne pas voir qu'il y a clairement prise de position pour un parti de la part des médias de masse et d'une élite pédo sata criminelle.
bonne journée,
C'est vrai qu'en 2016 on a vu que des articles pro Hillary et pro Macron et qu'en 2020 il n'y a eu que des articles pro Biden.
Ou alors on peut dire que les médias occidentaux traitent Trump comme les médias Français traitent le RN. C'est l'ennemi absolu, si ils arrivent au pouvoir c'est la fin du monde, donc il faut absolument voter pour la personne qui peut gagner à leur place.
Le truc impressionnant c'est que Trump a réussi à se faire élire en 2016. Quelque part c'est une anomalie. Tout le monde était contre lui. (ce qui n'a pas changé en 2020)
La confiance des Américains envers les médias au plus bas (16/09/2016)
« La responsabilité de l’entre-soi médiatique est immense dans l’avènement du populisme » (10/11/2016)
Ce que je trouve positif c'est que depuis le mouvement des gilets jaunes un paquet de Français commencent à se méfier de BFM TV, CNews, France 24, etc.Pourquoi les médias n’ont-ils pas vu venir la victoire de Trump ? En partie parce qu’ils n’en voulaient pas. Les médias nous donnent à lire chaque jour la vision du monde qui est la leur ; l’information n’est pas la représentation exacte de la réalité, mais la construction de la réalité par ceux qui la font. Or, les journalistes voient le monde de là où ils se trouvent, c’est-à-dire beaucoup plus haut socialement et économiquement que l’électeur américain blanc médian qui a voté pour Trump.
Keith Flint 1969 - 2019
Il n'y a eu aucun montage comme on peut le contaster à 19:54 dans l'interview intégrale :
Et pour ceux qui n'entendent pas l'anglais, je cites la restranscription qu'en fait Reuters :
Or évidement un type un peu sénile se vantant d'avoir d'organisé des fraudes à grande échelle, cela pose question. D'autant que les fraudes sont courantes aux USA, on se souvient des mésaventures d'Al Gore en Floride, de Kenndy qui se fit élire par la mafia ou des confession d'un scrutateur New Yorkais expliquant comment des bus entiers d'électeurs se rendaient d'un bureau à l'autre.Secondly, we’re in a situation where we have put together—and you guys did it for President Obama’s administration before this—we have put together I think the most extensive and inclusive voter fraud organization in the history of American politics.”
Rappelons-nous juste avoir affaire à des gens ayant prétendu pendant 4 ans que les russes avaient volé les élections avec l'aide de Facebook, du Mossad et des Roses-Croix. Tout comme avant ils avaient des preuves des armes de Saddam Hussein. Mais pour qui soudainement, en 2020 la fraude deviendrait impossible.
La joie de l'âme est dans la planification -- Louis Hubert Liautey
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