OK, ayé, je viens afin de capter ce qui me différencie de vous. Je ne vois pas l'entreprise comme une unité économique, ni mon savoir-faire comme une marchandise monneyable. En fait, ce que je cherche, c'est un environnement où pratiquer ma passion au quotidien, et un salaire qui me permette de vivre raisonnablement.
OK, c'est bon. J' ai compris pourquoi je suis plus heureux que certains...
"La révolution informatique fait gagner un temps fou aux hommes, mais ils le passent avec leur ordinateur !"
Toutes les entreprises n'ont pas des actionnaires, c'est principalement les PME que je vise, pas le CAC40.
De plus, me lynchez pas, mais avec le CDIC tu as moyen de bien réduire les dépenses investissement et aussi de proposer un vrai CDI après la mission Encore faut il les compétences pour encadrer la personne
Moi, j'étais pas si mal, en mercenaire. Je me suis barré parce-que mon âge commençait à me bloquer les portes de pas mal de guerres rigolotes. Mais j'ai eu des missions formidables. Des terriblement mauvaises, aussi, mais on peut toujours démissionner. Ce que je n'ai pas fait assez. "Je bosse tant qu'on me paye", ça a son corolaire "quand je me barre, on ne me paye plus, et c'est pas grave, on trouvera bien un autre conflit avec d'autres gens(pardon, bugs) à flinguer".
Les 4 règles d'airain du développement informatique sont, d'après Michael C. Kasten :
1)on ne peut pas établir un chiffrage tant qu'on a pas finalisé la conception
2)on ne peut pas finaliser la conception tant qu'on a pas complètement compris toutes les exigences
3)le temps de comprendre toutes les exigences, le projet est terminé
4)le temps de terminer le projet, les exigences ont changé
Et le serment de non-allégiance :
Je promets de n’exclure aucune idée sur la base de sa source mais de donner toute la considération nécessaire aux idées de toutes les écoles ou lignes de pensées afin de trouver celle qui est la mieux adaptée à une situation donnée.
@zecreator : comme je dis souvent, on est 7 milliards sur Terre, 65 millions en France, autant de caractères et d'aspirations de vie différentes... donc accepte qu'il y a des requins, des passionnés, des blasés, des gens qui essaient de sauver leurs fesses, des entubés, des gens qui cherchent une planque, des indépendants dynamiques, etc. et personne n'est à 100% d'un archétype, on est une mosaïque de tout cela...
Des gens pour qui l'informatique est un gagne-pain (parmi ceux-là, peut-être que certains ont fait une école d'ingé ou un master, ou sont venus par des portes dérobées), des gens qui sont à fond et qui en plus ont trouvé l'idée du siècle, et des moldus qui voient l'IT uniquement de manière mercantile.
Après, c'est à voir... on peut faire un boulot de passionné dans une boite de passionné qui paie bien ou au lance-pierres... ou faire partie d'une très grosse partie de désilusionné, qui pensait faire du dev vraiment intéressante mais se trouvent dans les 80% de TMA en France. Bah oui, si toi t'as pas envie d'y aller, y a bien quelqu'un qui va s'y coller... un petit malléable, un mec qui cherche une planque, un nini qui sait pas dire non...
Moi je sais pas, je suis acide, un peu désemparé... j'ai envie de changer de taf et sortir de l'informatique mais je sais pas qu'est-ce qu'il y aura de mieux, et j'ai encore un minimum de passion à faire des requêtes SQL... Et puis bon, quand on est freelance sur Paris dans l'IT, on a une vision hyper mercantile, je sais bien que je suis passé au-delà du miroir et qu'il est dur de revenir sur la passion quand on s'est déjà battus avec des gangs de requins - et je ne parle pas que des commerciaux de SSII, mais des collègues qui te font des croche-pattes dans les escaliers, des recetteurs qui veulent pas recetter, des chefs qui jouent très bien les idiots pour amener à ce qu'ils veulent, des collègues planqués qui savent gueuler pour te refiler les tâches, des mecs plein de bonne volonté qui rendent un code malpropre et qu'on te demande de refaire - et s'il y en a pas, ça veut dire que c'est toi.
Ou sont mes anti-dépresseurs ?
- So.... what exactly is preventing us from doing this?
- Geometry.
- Just ignore it !!
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"The longer he lived, the more he realized that nothing was simple and little was true" A clash of Kings, George R. R. Martin.
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Quand arrivera l'apocalypse, il restera deux types d'entreprise : les pompes funèbres et les cabinets d'audit. - zecreator, 21/05/2019
Je n'ai jamais connu ce que tu décris. C'est une vision terrible que tu as là. Avoir même des collègues capables de rigoler au café, pour mieux te truander après, c'est hyper malsain comme environnement. Je te plaints vraiment.
"La révolution informatique fait gagner un temps fou aux hommes, mais ils le passent avec leur ordinateur !"
Ca recoupe un peu avec ce que je disais. J'ai eu de certaines expériences, d'autres en ont d'autres. Du coup c'est compliqué, je fais des globalités avec mon ressenti et les témoignages de mes amis directs, mais ça représente peut-être les 20% d'une réalité.
Par exemple, je n'ai fait aucune mission où on terminait, globalement, au-delà de 18h30, alors que je suis à Paris. A 18h30, 80% de l'open-space est parti. Bien sûr, je parle d'une globalité : il y a toujours des projets où y a un rush. Mais en moyenne, à 18h30, tout le monde est parti.
Et quand j'en ai discuté avec des potes de promo, ils sont éberlués : à 18h30 ils se prennent la fameuse blague "T'as pris ton après-midi ?".
Un exemple, sur ce forum developpez : L'informaticien, ce grand gamin, où l'auteur était persuadé que 100% des informaticiens sont des geeks, mais quand je dis geek c'est MMORPG le midi et Star Wars le soir - et qui finalement était persuadé que la vraie solution pour tous étaient la fonction publique.
Après, c'est sûr, je bosse qu'en banque. C'est peut-être là qu'il y a le plus de requins. Jamais fait chez les télécoms, les pme ; les industries, quand j'étais en stage seulement. Il y a son lot de culture.
Après ne fais pas dire ce que je n'ai pas dit : ce serait condenser 10 ans de carrière et presque autant de missions (oui, par contre je suis champion pour me faire virer des missions). Evidemment il y a l'effet service après-vente, je ne parle évidemment pas des excellents moments et des missions passionnantes que j'ai eues. Des merveilleux chefs de projet, des collègues avec qui on discutait de rien, des experts techniques avec le coeur sur la main qui partage ses connaissances et passent du temps avec toi. Mais 10 missions, c'est aussi le risque de tomber sur le ou les débilos de service, tu conviendras que quand tu travailles avec 50 personnes, t'as forcément quelqu'un que tu n'apprécies pas.
Quant au réel plantage qui aurait pu avoir lieu, c'était avec un consultant paresseux qui sur une mission de deux ans a sauté dans un coin de l'open-space pour hiberner caché. Qui m'a foutu la merde la première semaine où j'ai bossé avec lui - mais que veux-tu, c'est la crise, donc on va pas sortir le gusse qui est facturé et content d'avoir internet et le téléphone à côté. Dès le début je ne l'ai pas senti - et à la pause café, je trouve qu'il apportait une mauvaise ambiance, mais apparemment mes collègues trouvaient qu'il était cool.
Il a entubé la SSII en la court-circuitant pour se mettre en freelance. Mais globalement, j'ai pas vu de coup de p*te, à mon niveau, juste des chefs débilos.
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Houla, 18h30 c'est super tard ! . Sur mes missions en province je pars entre 17h00 et 17h30, et je ne suis pas le premier. J'ai même eu une mission de MCO chez un opérateur téléphonique "coloré", ou la directrice de projet m'avait dit : "Bon, si tu vois que tu n'as rien à faire, viens un peu le matin, un peu l'après midi et ça ira bien", je faisais donc environ 5 heures de présence par jour aux périodes creuses, j'ai quand même une conscience . C'est un exemple de mission où le manque d'intérêt technique était compensé par de bonnes conditions de travail et quelques collègues avec qui je passais beaucoup de temps à la machine à café, à discuter de pleins de choses intéressantes sans rapport avec le travail, et en plus avec le café gratuit on pouvait se resservir à volonté.
Le "T'as pris ton après-midi ?", on me l'a dit une fois à Paris, et j'ai bien fait comprendre au collègue que c'était la première et la dernière fois qu'il me sortait ce genre d'ineptie. C'était dans une agence de publicité où les gens partaient régulièrement après 22h00, et certains avouaient même coder le soir dans leur lit au lieu d'honorer madame.
J'ai aussi eu mes glorieuses soirées à "pisser du code"...
Maintenant, j'arrête mes missions vers 17h00. Et ma passion, je la vis en codant pour moi, en écrivant un tuto, en chipotant des nouvelles technos...
Globalement, Madame est contente, je vais au lit en même temps qu'elle
Passion != exploitation... Passion = Plaisir ^100 and Découvertes ^100...
"Plus les hommes seront éclairés, plus ils seront libres" (Voltaire)
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Mes billets de blog sur DVP
Mes remarques et critiques sont purement techniques. Ne les prenez jamais pour des attaques personnelles...
Pensez à utiliser les tableaux structurés. Ils vous simplifieront la vie, tant en Excel qu'en VBA ==> mon tuto
Le VBA ne palliera jamais une mauvaise conception de classeur ou un manque de connaissances des outils natifs d'Excel...
Ce ne sont pas des bonnes pratiques parce que ce sont les miennes, ce sont les miennes parce que ce sont des bonnes pratiques
VBA pour Excel? Pensez D'ABORD en EXCEL avant de penser en VBA...
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Il n'empêche que les règles comptables s'appliquent également, les sacro-saints CAPEX et OPEX... en somme, on nous loue comme l'électricité par exemple.
https://fr.wikipedia.org/wiki/CAPEX_-_OPEX
CAPEX - OPEX — Wikipédia
« Developpez.com est un groupe international de bénévoles dont la motivation est l'entraide au sens large » (incl. forums developpez.net)
Club des professionnels en informatique
Actuellement, je suis en arrêt maladie. Je suis bloqué chez moi par une sciatique. Le scanner à montrer une belle grosse hernie discale. Cela fait 4 semaines que je suis arrêté, et dans la quasie incapacité de coder. L'enfer pour moi. Je peux me tenir assis, mais pas très longtemps.
Au bureau, ils comprennent et respectent mon état. Ils ne me sollicitent pas trop. Comme je suis le seul développeur de l'équipe, il est vrai qu'ils sont vite bloqués lorsque le client leur demande une info technique, ou une modification sur un code. Du coup, c'est con de rester bloquer si un simple coup de fil peut me permettre de leur filer une info pour débloquer une situation. J'ai pas 40 de fièvre, je peux tout à fait répondre à un email ou à un coup de bigot. J'ai pas le sentiment d'être exploité ou que ma boite n'en a rien à foutre de mon état. Sûr que si j'étais dans un environnement malsain, avec des collègues bien foireux, je ne ferais aucun effort...
Et c'est ma passion, rester allongé à scruter le plafond, ça me saoule très très vite... Pis, j'ai terminé les 2 saisons de Cosmos 1999. J'ai vraiment besoin de coder, ça me manque grave.
Zecreator.
"La révolution informatique fait gagner un temps fou aux hommes, mais ils le passent avec leur ordinateur !"
Le métier est génial
Le boulot c'est de l’exé généralement peu intéressant (ouvrier/esclave 2.0), dans un contexte d'hyper-jeunisme (générant une anthropologie qui mériterait une étude).
Triste à voir quand on sait que la "numérisation" va toucher l'ensemble des autres métiers.
J'ai évité le pouce moins, tu as du passé une sale journée, je ne vais pas t'accabler.
Comparer le métier le métier d'ouvrier et développeur est mal connaitre connaitre ce qu'est être ouvrier.
Si tu es amené à faire ce genre de remarques j'en déduis que tu travaille dans un centre de services de SSII parmi les plus pénibles qui soit? Mode de fonctionnement "ticket"?
Il y a beaucoup plus de variété dans notre métier, il faut un minimum de créativité, c'est généralement mieux rémunéré et plus confortable.
Travailler dans un cadre jeune peut avoir du bon, bosser qu'avec des "vieux" cela peut être chiant, l'idéal c'est que la population soit mélangée en terme d'âge.
Ce qui est irritant c'est l'absence de reconnaissance du savoir-faire (et de l'expérience).
Il est vrai que l'expérience et le savoir cela a un cout. Et cela ne plait pas forcément aux actionnaires.
Bonsoir,
J'ai lu les récentes réponses et je trouve que le goût pour ce métier n'est pas unanime.
A vrai dire, je vois beaucoup de gens qui ont en marre de ce job car le contexte dans lequel on travaille influe beaucoup.
Le manque de reconnaissance, je suis complètement d'accord. Après le fait d'être pris pour un numéro lorsqu'on est dans une SSII, c'est malheureusement une réalité. Je n'en fait pas une généralité mais bel et bien un constat.
La jeunesse est employable, tant mieux. Mais clairement oui, le nouvel arrivant devient quasiment l'égal de l'ancien qui a trimé pendant des années. L'expérience coûte chère et d'un contexte à un autre, il est valorisé.
Lorsqu'il ne l'est pas, c'est difficile à admettre car un développeur qui a de l'expérience sait mieux anticiper certaines situations qu'un junior.
A la question du sujet, ce métier se dégrade de plus en plus. Il perd un peu de sa noblesse. Aujourd'hui, tout le monde est développeur. On embauche de tout. Le diplôme n'est plus aussi valorisant et l'expérience un peu plus.
Moi-même qui suit développeur front depuis 7 ans, je commence un peu à en avoir marre du job. Les clichés du développeur geek derrière son poste, qui bosse et n'arrive pas à faire piger le marketing (ou l'inverse, peu importe), c'est vraiment encore ce qui arrive.
Ces clichés font que c'est un métier qui en plus d'être complexe, a une image qui n'est en rien une généralité.
De plus, je travaille avec des jeunes et j'ai l'impression qu'ils ont le melon. Ils savent tout faire, veulent pusher sans code review. Bref, je pense aussi par rapport au poste de quanta que le développeur devient de plus en plus esclave de son propre métier.
Quand, en plus de cela, la hiérarchie ne fait rien pour nous estimer à notre juste valeur ni faire son travail correctement, cela devient très compliqué.
A vrai dire, moi-même n'apprécie plus tellement mon job. C'est triste à dire mais je le dis avec calme, sans aucun énervement mais avec un certain recul de deux trois ans déjà.
Les SSII sont juste de l'esclavage de masse maquillé en grosses boites d'intérim, qui se paye le luxe de facturer extrêmement cher leurs clients, qui n'y voient que du feu. Au lieu de remanier le Code du Travail, Macron ferait mieux de faire le ménage dans le secteur.
Pour l'avoir vécu il n'y a pas longtemps, après 18 ans passés dans le développement, on m'a proposé les mêmes conditions (salaire compris) qu'un junior. J'ai cru que c'était une blague. Ben non... Et c'est beaucoup d'offres comme ça.
je fuis aussi les offres "Développeur full stack", je sais que ça va être un poste "fourre-tout", où on va te demander de faire de la conception, du dev, de l'infographie, du montage-video, des crêpes à la Chandeleur. Et tout ça pour un salaire de junior.
J'ai sorti ça un jour à mon Boss, il a rit. En me disant : "Oui, mais je préfère être sûr que l'expérience qu'aura un junior, sera la mienne."
ça c'est de notre faute. On a créé des outils pour tout automatiser, même le développement. Aujourd'hui, j'ai des clients qui disent être développeurs parce qu'ils font la même chose que moi (créer des sites), mais eux le font sur des outils en ligne (genre 1&1 MyWebSite). Du coup, ils commencent à me demander de justifier mes honoraires de développement. Pour moi, le développement est une passion, mais c'est sûr qu'en tant que métier, ça commence à puer un peu.
Non non, c'est pas une impression. Toi, t'es vieux et bientôt obsolète. Eux ils sont jeunes et c'est leur monde maintenant. Mais souviens-toi, on a sûrement été comme ça aussi à leur âge.
La hiérarchie n'est pas là pour valoriser ou prendre des décisions, mais juste se féliciter des réussites ou dire qui est responsable en cas de problème. Et c'est marrant, c'est jamais eux... Comme à Koh Lanta, ils doivent avoir une immunité.
Fais comme moi, des p'tits projets perso, qui n'ont rien à voir avec les projets du boulot. Moi, je code pour Amiga et Amstrad, histoire de me rappeler comment c'était avant.
"La révolution informatique fait gagner un temps fou aux hommes, mais ils le passent avec leur ordinateur !"
Tu code pour Amiga ? en quoi ?
Quand je pense qu'il faut un temps, je faisais de l'assembleur 68000 et du C (pour interfacage avec AmigaOS), et que j'ai tout perdu (même la mémoire de l'aovir fait), j'ai trouvé des lettres reçues de cette époque, ou du coup, ca m'a rappellé en partie ce que je faisais).
7Moi j'aime toujours mon métier de dev, mais ca manque souvent de vrais challenges...
=> d'ou une bonne part de mon envie de programmer un jeu, parcequ'un moteur de gameplay, ou une IA, c'est plus challengeant que de l'info de gestion/ du web "de base"...
"La révolution informatique fait gagner un temps fou aux hommes, mais ils le passent avec leur ordinateur !"
Le métier de développeur est un métier à part, comme beaucoup d'autres.
Il a sa noblesse mais le fait de l'aimer dépend aussi de l'influence qu'à l'humain sur le codeur.
Encore aujourd'hui, je rentre d'une journée difficile. Difficile car mon collègue push à foison du code qui ne respecte en aucun cas des normes front-end.
Je suis obligé après d'intervenir dessus. Le fait de lui expliquer ne change rien. Il a ses idées et ne vit que pour.
J'aime moins mon métier à cause aussi de personnes comme ça.
Il est très difficile de travailler en équipe quand il y a une personne qui refuse tout compromis ni accepter qu'il y a des personnes autour d'elle.
Je n'impose aucunement mes idées de code, juste je suggère des bests pratices que je vois dans les linters mais aussi dans des outils fronts qui préconisent cela. Quand face à des individus qui ne font qu'à leur tête pushent du code css et html complètement dégueux (classe css faite en camelCase et aussi un mélange de camelCase et snakeCase, mettre un display:table-cell sur une classe s'appelant .noFloat, utiliser des prefix vendeurs alors qu'un outil gulp le fait déjà, utiliser des display inline-block partout alors qu'il n'y en a pas du tout besoin dans le contexte, mettre des divs dans des divs dans des div, ajouter une classe header dans une balise <header> (wtf) ,bref vous voyez le délire), vous ne pouvez rien faire car le mec est déjà là depuis plus de 5 ans, c'est triste.
J'aime moins mon métier du fait de l'environnement m'entourant. Parfois, je rentre du travail et je me dis que j'aurais bien fait de ne pas y aller. Tout le monde a déjà rencontré ce cas de figure. Je n'en fait aucunement une généralité mais voilà, la présence d'abrutis n'aident pas du tout à faire kiffer ce job.
Je le dis non pas sous le ton de la colère, juste je me rends compte que c'est un métier que tlm s'accapare et les gens qui n'ont par exemple jamais fait de html / css se croient tout permis car ils réussissent à aligner deux blocs.
C'est un beau métier mais très épuisant à la longue.
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