Je suis d'accord avec Yolle,
prends bien le temps de réfléchir; beaucoup de personnes aimeraient bien être agrégées; c'est vrai que le concours est loin d'être donné
(\ _ /)
(='.'=) Voici Lapinou. Aidez le à conquérir le monde
(")-(") en le reproduisant
Idem : tu peux t'être planté de voie, mais 2 ans te suffisent-ils à savoir que ce n'est pas vraiment ce qu'il te faut ?
Des profs qui se reconvertissent en développeurs, je l'ai vu ; mais j'ai vu plus souvent des développeurs abandonné au bout de six mois / un an pour essayer de devenir profs.
- So.... what exactly is preventing us from doing this?
- Geometry.
- Just ignore it !!
****
"The longer he lived, the more he realized that nothing was simple and little was true" A clash of Kings, George R. R. Martin.
***
Quand arrivera l'apocalypse, il restera deux types d'entreprise : les pompes funèbres et les cabinets d'audit. - zecreator, 21/05/2019
Pour 15 heures de cours par semaine et avec 3 mois de congés par an, ça fait tout de même un bon taux horaire.
Pour un employé français normal, c'est (52-7)*35 = 1575 h de travail par an pour 5 semaines de congés + 2 semaines de RTT
Pour un agrégé qui fait 15h de cours + 15 de préparation (je suis généreux, j'en connais qui ont déjà leur cours de prêt et qui ne font pas grand chose en dehors des corrections), ça fait (52 - 12) * 30 = 1200 h de travail par an. Et je n'ai pas pris en compte les jours d'absences injustifiées
Une différence de temps de travail de près de 24% ...
Je pense qu'on est plus facilement heureux dans le métier de prof de maths que dans celui de développeur. (Je précise que j'exerce les deux et que j'aime les deux)
Moi sur Youtube
https://www.youtube.com/channel/UCN8...RmYqnb4xA0elvQ
ça, oui. La barre d'entrée est plus basse, et il est difficile de se faire une place au soleil en web. trop de concurrence
c'est la plus value "maths", ça sera dommage de ne pas la valoriser. Les boulots y sont globalement plus interessants(bien sur, il y a toujours des exceptions)
Pour être un vrai professionnel efficace, oui. Le souci, c'est que les recruteurs ne regardent pas forcément ça. On peut s'en sortir en passant par un bootcamp, mais si on y entre en sachant déjà passablement programmer et en ayant les réflexes(c'était mon cas en 2000), on est tout de suite au dessus du lot. Attention, au dessus du lot du bootcamp, pas du lot des vrais professionnels.
Je dirais d'éviter absolument les bootcamps si il n'y a pas l'embauche en même temps. Moi, j'était payé par SOPRA pendant ma formation, et avant même que je ne sorte ils me cherchaient une mission(qui a trainé à venir, Juin n'étant pas un mois propice). Ce sont des conditions honnêtes pour qui n'a pas peur de bouger tous les 6 mois pendant quelques années. Il faut juste savoir à quoi s'attendre. Tous les 6mois/2 ans, il faut se refarcir des entretiens clients, se vendre, refaire son CV maison, ne pas savoir ou on va bosser, et craindre des temps de trajets à la noix.
Sauf si la SSII offre une formation clef en main. C'est quelques années à manger du gravier, mais ça permet de construire un profil. Bon, moi, il m'a fallu 14 ans pour être vendable en dehors, j'ai commis 2-3 petites erreurs bien ennuyeuses(la première étant de ne pas croire en moi).
Le souci, c'est que si tu n'as pas d'expérience significative, ni de diplôme dans le domaine, peu d'entreprises dignes de ce nom te donneront leur chance. Ma boite exige une expérience significative, par exemple(l'idée étant qu'ils préfèrent des gens ayant déjà pris des coups dans la vraie vie - ce sont les termes officiels) avant même de faire passer les tests techniques(90-95% de rejet, suivant les postes).
Les meilleurs jobs sont formidables. Mais les places sont chères. Mon poste actuel(j'écris des scripts de test automatique) avait 26 candidats. Ils ont recruté 2 développeurs en même temps, parmi 130 candidats. 3 places vraiment sympa, mais pour 153 recalés. La grande majorité des places, en effet, sont soumise à forte pression, avec une liberté limitée. Les médias qui parlent de l'eldorado ne voient que les meilleures places.
Les 4 règles d'airain du développement informatique sont, d'après Michael C. Kasten :
1)on ne peut pas établir un chiffrage tant qu'on a pas finalisé la conception
2)on ne peut pas finaliser la conception tant qu'on a pas complètement compris toutes les exigences
3)le temps de comprendre toutes les exigences, le projet est terminé
4)le temps de terminer le projet, les exigences ont changé
Et le serment de non-allégiance :
Je promets de n’exclure aucune idée sur la base de sa source mais de donner toute la considération nécessaire aux idées de toutes les écoles ou lignes de pensées afin de trouver celle qui est la mieux adaptée à une situation donnée.
Encore une fois, merci pour vos réponses, mais je ne suis pas sûr d'en retirer grand chose, le principal conseil étant : réfléchis bien. Oui, je ne vais pas démissionner sur un coup de tête, et si je viens ici c'est justement pour y réfléchir avec vous !
D'autant que de lire des messages comme le tien, 7gyY9w1ZY6ySRgPeaefZ, c'est assez irritant. Primo, parce qu'un prof à 15h, ça n'existe pas - cette année j'étais à 19h, les heures sups sont quasi obligatoire. Deuxio, parce qu'en comptant la préparation des cours, les corrections, les RDV parents, les conseils de classe, et les réunions diverses et variées, j'ai compté, j'étais cette année à environ 45h par semaine. Alors certes, avec le temps la préparation des cours prend moins de temps, mais dans mon bahut aucun de mes collègues n'est à moins de 40h par semaine, même ceux qui ont 30 ans de métier.
Vous m'expliquez ce que je vais perdre en démissionnant, mais ça, pardon, je suis capable de me rendre compte tout seul ! Ce que je voudrais savoir, c'est plutôt ce que je vais gagner... et comment m'y prendre dans le cas où je décide de passer à l'acte.
Bon, j'exagère, pardon - c'est ta faute 7gyY9w1ZY6ySRgPeaefZ!!! J'ai quand même appris beaucoup de choses et je vous en remercie. Notamment el_slapper, ta réponse me semble être un parfait résumé de ce que je dois retenir.
Bah, en fait imagine-toi qu'on trouve ça surprenant... et je ne parle pas que de la "sécurité de l'emploi" (chaque fois que j'entends ces mots, ça me fait penser à la chanson des Fatals Picards). La question est également : qu'est-ce qui te motive de partir, plus que Pourquoi vouloir devenir développeur. Non pas qu'on veuille te dissuader, mais savoir si ce que tu fuis éventuellement, tu ne le retrouveras pas dans nos métiers...
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Ce qui me motive à partir : le métier n'a aucune stimulation intellectuelle, vu les niveaux des gamins c'est très difficile de s'intéresser à ce qu'on leur apprend. Je vais passer 40 ans de plus à apprendre les bases du calcul algébrique à des ados qui pour la plupart s'en foutent. Ces ados sont de plus en plus irrespectueux, même si j'ai un bon contact avec eux, je ne me vois pas passer ma vie à leur côté car je sens bien dans leur attitude que ça va être de pire en pire. On accepte des élèves au lycée qui n'ont rien à faire ici, que ce soit pour des soucis de comportement ou de niveau.
Ce métier c'est avant tout un mélange de flic et d'assistant social, les maths ça passe en second plan. C'est très frustrant, car même quand tu te tues au travail, il n'y a aucune récompense, à part parfois une certaine lueur d'intérêt dans les yeux des élèves. Il n'y a pas de sentiment d'accomplissement, pas de réel travail en équipe, peu ou proue de possibilité d'évolution de carrière.
Pour couronner le tout, les parents sont pour la plupart insupportables et l'administration complètement à la rue. Autre chose : les corrections. Tu passes bien 8h, voire plus, par semaine à corriger des copies d'un niveau catastrophique, et tu te rends compte que ceux qui s'en sortent sont ceux qui recrachent le cours comme des petits robots. Enfin, certes la quantité de travail est bien plus grande dans d'autres métiers, mais en tant que prof tu peux être certains que tu passeras tous les dimanches aprèm à bosser.
Autant c'est opportun de mettre en garde Caleo sur ce qui l'attend en l'informatique, autant je trouve totalement contre productif le concert de réactions, heureusement pas unanime, mélangeant l'envie de sa place au chaud au supposé gâchis qu'il ferait d'en partir. Même si c'est dommage pour ses élèves.
Ce n'est ni le premier ni le dernier prof voulant quitter sa profession, voire, sans faire de fixation dans ce domaine, ni le premier ni le dernier a vouloir quitter son métier quelqu'il soit.
J'ai croisé un prof d'anglais qui est devenu DBA / expert Oracle, une avocate devenue animatrice / actrice de théâtre pour enfants, et il y des centaines d'exemples dans les journaux.
On croirait entendre les parents d'il y a plus de 60 ans, tu seras avocat mon fils, tel métier n'est pas un vrai métier mon fils / ma fille.
L'informatique ce n'est quand même pas le travail à la mine, ni même un métier autant précaire que les métiers artistiques ou les métiers ouvriers.
Bon par contre lui parler des alternatives possible au métier d'enseignants ou des branches de informatique tenant compte de son profil de mathématicien l'ont sans doute davantage aidé.
Mais c'est clair qu'il faudra qu'il réfléchisse bien en mettant tout en balance notamment sa motivation dans l'informatique et qu'elle ne s'étiolera pas devant les difficiles conditions de travail en ssii, sachant qu'il y a aussi des missions intéressantes.
Si tu espères aller dans l'informatique pour la stimulation intellectuelle, le challenge et faire un boulot non rébarbatif tu vas vite déchanter imo.
Déjà sans background, les premiers jobs seront surement chiants au possible, ensuite sauf certains posts qui nécessitent expérience, l'info en france ça reste phagocité par les SSII où le boulot est grosso merdo réécrire du CRUD et tu as peu de place pour l'improvisation et dois te contenter de suivre les directives, parfois farfelues, quand c'est pas de la maintenance et évolution (woot) de soft (mal) écrit il y a plusieurs décennies.
Sans compter l'aspect politique malheureusement inhérent aux structures SSII, où tu as 95% de chance de passer vu la main-mise et ton parcours atypique, qui perso m'avait bien fait gerber.
J'avais aussi envisagé de devenir prof de maths à l'époque, puis décider que non des ados qui majoritairement s'en foutent ne méritent pas mon temps et énergie. Mais si tu peux changer d'école et niveau ça peut (re)devenir intéressant.
Pensez à consulter la FAQ ou les cours et tutoriels de la section C++.
Un peu de programmation réseau ?
Aucune aide via MP ne sera dispensée. Merci d'utiliser les forums prévus à cet effet.
Je suis d'accord avec Bousk, ta demarche a l'air d'être une fuite en avant.
On ne te fait pas travailler pour la stimulation intellectuelle mais pour faire gagner de l'argent à une boite. Le boulot est souvent inintéressant et comme il le précise bien, tu as à maintenir des applications de 10 ans d'age mal foutu et très mal codés.
Les spécifications sont inexistantes et la méthode tient plus à l'arrache qu'à une vraie méthodologie et les grands chefs (Incompétent à mort , et plus spécialiste de la politique) veulent les dernières technologies (Effet de mode) mais dès que tu donnes le coût, c'est non c'est trop cher et tu te retrouves avec un plat de spaghetti bolognaise.
Tu seras chapeautés par des SSII dont le seul job est vendre du CV coute que coute, quitte en mentant, volant, trichant et dont l'objectif est de te remplacer au bout de 3 ans pour des jeunes moins chers (20 % de turn over dans le secteur en moyenne par boite, ca te dit le niveau de reconnaissance)
Il n'y a aucune reconnaissance à être dans ce cas, surtout en presta ou on te fera comprendre que tu n'es pas de la boite sauf en cas de soucis pour que tu fasses des heures...
Voila tu as la chance d'être en CDI mal payé (Excessivement rare en informatique , tu verrais comment les gens se battent pour en avoir un , tu serais dégoûte), en informatique tu auras à bosser en intérim et voir si à 40 ans ca te plaira. J'ai cherché en 2011 un CDI mais impossible d'en trouver, j'ai bosser en intérim (CDIC) et j'ai choisi de devenir indépendant (Le meilleur choix que j'ai fait).
Juste pour finir, les choses évoluent extrêmement vite en informatique, ton CV peut valoir 550 euros / jour et dans 2 ans 0. Les formations sont inexistantes en SSII et si tu ne te maintiens pas à jour, tu risques le chômage longue durée. Donc il faut des fois bosser le week end pour espérer rester vendable..
C'est un super métier pour passer indep (Pour avoir plus de liberté et gagner un peu d'argent, tu ne seras jamais riche ceci dit mais reflechis bien à ton choix car avec les arguments que tu donnes, tu risques d'être déçu par le secteur...
Description correcte des SSII.
Si tout le monde parle des SSII, c'est uste parce que cela sera tes employeurs. Ne te fait pas trop d'illusion. Les places intéressantes, bien payés, en interne, etc etc ... sont rares et prisent depuis longtemps.
Tu es agrégé en math.... c'est à peu prés aussi utile pour faire de l'info qu'un mastére 2 en Biologie ... Si tu veux faire de L'IA, tu peux toujours faire un doctorat, c'est ce qui me parait le plus judicieux. Doctorat qui te permettra d'ailleurs de rentrer comme .... consultant en informatique de gestion dans un SSII. Ne te fait pas trop d’illusion. 90% des mec qui bossent dans l'info sont juste des "Pisseurs de code" pour des appli plus foireuses les une que les autres, bref pas un truc qui envoie franchement du rêve.
Donc pour résumer : le secteur de l'informatique est pourri et les jobs sont complètement inintéressants. Du coup, j'imagine que vous êtes tous en phase de reconversion ? Un conseil, essayez de passer le CAPES de maths, c'est presque une formalité pour l'avoir.
Si ce n'est pas le cas, alors là je suis perdu. Vous avez la possibilité de devenir prof de maths, un métier stable et plus intéressant que n'importe quel métier en info apparemment, mais vous choisissez de rester dans vos jobs. Expliquez-moi !
Le Capes de maths n'est pas donné (mon épouse s'y est prise à 5 fois pour l'avoir). Pour toi c'est peut-être une formalité, tu as un très bon niveau, tant mieux, mais c'est loin d'être le cas de tout le monde. Il faut également avoir envie de travailler avec des jeunes et d'enseigner. Ca n'est pas non plus le cas de tout le monde. Et les métiers de l'enseignement sont sous-payés au regard des diplômes exigés et du niveau des concours.
Il est très facile d'entrer dans une SSII (parfois même d'en partir). C'est bien plus facile que d'obtenir un concours.
Maintenant il existe des postes en informatique dans de "vraies" entreprises, il est plus difficile d'y entrer qu'en SSII mais ce n'est pas impossible.
P.S. A la limite, il y a aussi des postes en informatique dans la fonction publique (finances publiques, instituts régionaux d'administration par exemple).
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(")-(") en le reproduisant
Voila, tout simplement. Il y a quelques années, l'académie de ma région m'avait proposé un poste de prof d'info pour des BTS dans le public. Cela ne m’intéressait tout simplement pas. Maintenant on est en train de te décrire ce que sera ta réalité si tu veux bosser dans l 'info mais c'est toi qui prends la décision, pas nous.
En fait ça dépend du contexte. En début de carrière il y a plein de choses à apprendre et puis au bout de quelques années on commence à remplir les trous, à la fois professionnellement (on commence à dominer un peu mieux le sujet) et "économiquement" je ne sais pas comment dire ça autrement. On comprend mieux comment fonctionne une entreprise cliente, comment fonctionne la SS2I, comment fonctionne un éditeur de logiciel (ou service c'est pareil), les relations entre toutes ces structures, les postes disponibles comment on y travaille, les ordres de grandeurs en terme d'argent, etc ... etc ...
Quand tu atteints cette phase tu te rends compte des limites de ton pouvoir d'action et de ce que tu récoltes comme paiement au regard de ce que ça rapporte. Et souvent ça fout les boules.
Comme ici il y a quand même pas mal d'informaticiens d'un certain âge tu as donc plutôt des gens qui ont le regard au loin par rapport à des p'tits jeunes pleins d'illusions.
Le problème de reconversion peut éventuellement se poser sérieusement pour beaucoup de monde en effet. Lorsque tu as passé un certain niveau d'expérience, tu as seulement 3 voies possibles pour demeurer un techos :
- être chez un client final avec du dev en interne (rarissime en France, la norme partout ailleurs)
- être chez un éditeur de logiciel ou de service qui n'est pas assez con pour externaliser ses devs
- monter sa boite et faire du consulting (expertise d'une techno précise, formation, mode pompier, conseil, etc ...)
Et c'est à ce stade qu'on rejoint la partie sympa du métier avec plus d'autonomie et de pouvoir.
Mais toi tu vas devoir faire du bourbier avant d'arriver à ça, et ce "saint graal" est loin d'être accessible à tout le monde, il faut être bon et en avoir l'opportunité. Donc c'est pas gagné du tout du tout.
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Inconnu
Au fait, comment sait-on que c'est rarissime ? Dans quelle proportion ?
Quelqu'un a-t-il des statistiques, autre que la fréquentation de ce forum, dont on ne connait pas la représentativité ?
Le premier éditeur français, Dassault Systemes, c'est quand même 16000 salariés (certes pas tous développeurs), et il y a un paquet d'éditeurs moins importants.
Ou alors vous parlez seulement d'informatique de gestion et de développement de sites web ?
Je ne dis pas que c'est faux, mais je suis bien curieux de connaitre la proportion sur des bases objectives.
Le nombre d'offres d'emplois publiées ne doit pas être un si bon indicateur, un peu pour la même raison que le nombre d'embauches en CDD ne reflète absolument pas le rapport emplois CDD/emplois CDI, un turn-over important génère automatiquement un nombre d'offres important.
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