
Envoyé par
mister3957
On les a déjà sur le territoire les talents.. C'est juste qu'à force de les payer comme des merdes, ils se comportent comme des merdes (ils sont pas cons, ce sont des talents quand même).
ce que tu décris avec l'absence de reconnaissance est bien connu, certains employeurs ont malheureusement tendance à affirmer (croire?) que l'absence de reconnaissance *salariale * est sans incidence sur leurs troupes...
Pourquoi personne ne dit combien il gagne : https://www.psychologies.com/Travail...mbien-il-gagne
Évoquer le montant de son salaire est monnaie courante aux États-Unis, pas du tout chez nous. Peur de susciter des jalousies? Crainte d’être réduit à ce que nous gagnons? Une certitude : ce que nous touchons nous touche.
Les effets de la reconnaissance sur les individus : http://cgsst.com/les-effets-de-la-re...les-individus/
Plus de motivation et de satisfaction!
Bourcier et Palobart (1997) mettent en évidence le caractère essentiel de la reconnaissance en milieu de travail en tant que source de motivation et de satisfaction. Lorsque le salarié considère qu’il possède une place au sein de l’organisation et que sa contribution est appréciée à sa juste valeur, il est plus enclin à s’engager dans son travail et à se motiver pour se surpasser d’un point de vue professionnel. Il importe de préciser que la motivation constitue en quelque sorte un moteur de l’action, elle détermine les conduites de travail. La reconnaissance consolide également le sentiment de compétence et entraîne une certaine satisfaction de la part des membres de l’organisation. En contribuant à la satisfaction et à la motivation au travail, elle influence positivement la productivité et la performance des organisations.
La santé mentale
Le travail peut entraîner des conséquences directes et diverses sur la santé psychologique des travailleurs. Il est pertinent de préciser que la santé mentale au travail fait référence au sentiment de bien-être ou de mal-être psychologique, physique et émotionnel que les travailleurs ressentent par rapport au travail. Selon une étude réalisée par la Chaire en gestion de la santé et de la sécurité du travail de l’Université Laval, le niveau de détresse psychologique des travailleurs oeuvrant en milieu hospitalier, universitaire, forestier et de l’industrie métallurgique est de 43 %, soit plus du double que le taux établi pour l’ensemble de la population québécoise (20 %) (Brun & al., 2002). Parmi les facteurs cités comme causes de cette détresse, le manque de reconnaissance au travail arrive en deuxième position, juste après la surcharge de travail. Bref, l’absence de reconnaissance au travail peut être considérée comme un des facteurs de risque le plus fortement associé à la détresse psychologique élevée au travail.
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