Pour info je suis expert en cybersécurité. Windows XP à bon dos. Le problème c'est que sur le NET n'importe quel individu sans connaissances pointues sur le sujet peut trouver le moyen de lancer une attaque d'envergure vers les sites insuffisamment protégés. Les politiques ne connaissent rien sur le sujet , les chefs d'entreprises non plus et que dire des élus locaux ou territoriaux que je côtoie à longueur d'année et qui me prennent pour un extra-terrestre....
6 millions de chômeurs et on n'est pas fichu de former quelques milliers d'ingénieurs en cybersécurité.. Cherchez l'erreur . Mettre en cause les responsables informatiques, c'est mettre en cause les personnes qui les ont embauchés. Soit on est compétent , soit on ne l'est pas. Et on abouti à ce genre de résultat.
A force de vendre du troué pour du safe et de passer la sécurité au dernier plan...
Excellente nouvelle que la propagation soit circonscrite d'une part.
D'autre part, j'espère que cet évènement fera prendre conscience, non seulement aux Direction mais aussi et surtout en haut lieu, plus que le botnet Mirai, de la nécessité d'une action mieux coordonnée sur le sujet de la sécurité. Le G7 s'est réuni ce jour samedi 13 mai 2017 à ce sujet.
Espérons qu'ils comprendront et trouveront un accord sur les portes dérobées dans les logiciels. Je pense notamment à l'algoritme de chiffrement dans le cadre des affaires de terrorisme et/ou de criminalité : une porte dérobée serait une hérésie en terme de sécurité et inutile pour l'objectif qu'il permettrait intuitivement d'atteindre.
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