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Etudes Discussion :

France : la sélection à l’entrée du master sera mise en place à la rentrée 2017


Sujet :

Etudes

Vue hybride

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  1. #1
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    Par défaut France : la sélection à l’entrée du master sera mise en place à la rentrée 2017
    Réforme du Master : Najat Vallaud-Belkacem envisage une sélection en entrée au Master pour la rentrée 2017,
    et promet une loi pour novembre

    Dans un entretien aux Echos ce lundi 12 septembre, la ministre de l'Éducation, Najat Vallaud-Belkacem, a expliqué les raisons qui l’ont motivée à envisager une réforme du master pour l’année 2017. Elle rappelle notamment que « depuis la mise en place du dispositif LMD (licence-master-doctorat) en 2002, le diplôme de master avait vocation à sanctionner une formation de deux ans et à remplacer les diplômes préexistants de maîtrise, de DEA et de DESS. Mais la sélection qui existait à bac+4, c'est-à-dire à l'entrée du DEA et du DESS, a été conservée. Et elle se retrouve désormais au milieu de ce qui est devenu le master. C'est là qu'est l'incohérence. À l'époque, en 2002, un statu quo avait été négocié. La mesure était censée être transitoire, le temps que l'offre de formation se réforme véritablement. Mais ce compromis a installé une situation durable. À plusieurs reprises, la droite a tenté d'instaurer la sélection à l'entrée en master, comme réponse simple... ou plutôt simpliste à la situation. Cela a été le cas à deux reprises en 2007, avec des échecs à chaque fois. Ces tentatives ont échoué parce qu'elles ne s'appuyaient pas sur un consensus dans la communauté universitaire, sur une réflexion d'ensemble. Je ne veux donc pas de cette solution simpliste qui serait à rebours des aspirations des jeunes et des besoins du pays, et ne répondrait pas aux véritables enjeux d'une réforme du master ».

    Pour mener à bien son projet, la ministre a lancé le dialogue avec les différents acteurs, notamment universités, organisations étudiantes et syndicales. Une collaboration qui, selon elle, semble progressivement porter ses fruits puisqu’elle déclare que « les conditions me semblent aujourd'hui réunies pour trouver un équilibre sur un dossier qui a toujours été présenté comme épineux ». La ministre ambitionne de faire évoluer le progrès dans deux sens : « d’abord, les universités doivent pouvoir recruter à l'entrée du master, et non pas en milieu de master, l'idée étant d'avoir un diplôme conçu comme un cursus de quatre semestres qui ne s'arrête pas en plein milieu, comme c'est le cas aujourd'hui. Et, en même temps, tout titulaire de licence doit se voir proposer une poursuite d'études en master s'il le souhaite. On ne peut en effet pas abandonner les étudiants qui veulent continuer après la licence, alors que ce diplôme ne suffit pas à s'insérer dans le monde professionnel ».

    À la question de savoir s’il est possible de trouver un consensus alors que la Conférence des présidents d'université (CPU) dit avoir claqué la porte des négociations, elle a gardé son optimisme, précisant que les échanges continuent tout de même. La ministre évoque également des éléments qui peuvent probablement apaiser les esprits qui s’échauffaient : « Nous avons déjà agi en tenant nos engagements. Pour sécuriser la rentrée 2016, compte tenu des décisions de justice, nous avons adopté un décret en mai dernier qui permettait de sécuriser juridiquement l'organisation actuelle des masters, avec la possibilité de sélectionner à l'entrée de la deuxième année de certains d'entre eux. Mais nous avons toujours dit que cette solution ne pouvait qu'être temporaire et qu'il fallait repenser plus généralement le système et engager une véritable réforme du master. C'est ce que je propose aujourd'hui. Toutes les conditions sont réunies, et c'est très rare. Je pense que chacun prendra ses responsabilités ».


    La ministre est claire : ce recrutement à l’entrée en master suppose de supprimer la sélection entre master 1 et master 2. Elle soutient « qu’entamer un cursus pour se heurter à une barrière au milieu, c'est incohérent et ce n'est pas acceptable pour les étudiants. Ensuite, comme personne n'est allé au bout de la réforme LMD depuis 2002, le fait d'avoir conservé cette barrière sélective entre M1 et M2 a empêché le LMD de se mettre en œuvre, et freiné la construction de véritables formations de masters de qualité adossés à la recherche, professionnalisantes, et déployées sur quatre semestres. Enfin, on sait que la réalité de notre système actuel c'est aussi, à certains endroits, par des délais particuliers ou des calendriers de dépôt des dossiers peu clairs, une sélection de fait qui pénalise les étudiants les moins informés. Face à cette situation problématique, et alors que le gouvernement ambitionne - ce n'est pas forcément la position de l'opposition - d'élever le niveau de qualification des jeunes, je souhaite nous donner les moyens de construire des vrais masters de deux ans qui permettent aux étudiants d'acquérir les connaissances et les compétences qu'on est en droit d'attendre à bac+5, pas d'entretenir un système qui conduit à bricoler des parcours. Il y a trop d'étudiants qui bricolent leur parcours ou redoublent artificiellement leur année de M1. Ce n'est pas normal ».

    Pour le moment, les critères de recrutement à l’entrée en master n’ont pas encore été définis, mais la ministre souhaite que soient mis en place des critères objectifs, transparents, fondés sur la motivation, le niveau pédagogique et le projet de l'étudiant.

    La question de l’endroit où s’exercerait la poursuite d’études (par exemple, un étudiant qui a obtenu sa licence à Brest, peut-il faire son master à Strasbourg sous cette réforme telle qu'elle est actuellement ?) est encore en débat. La ministre explique qu’entre autres l’orientation à l'entrée du master et le droit à la poursuite d'études pour les étudiants qui le souhaitent, à la fin de la licence, soulèvent en effet d'autres questions, comme celle de la mobilité géographique. Elle explique par exemple que, sur la table des négociations, les acteurs s’interrogent sur la raison qui explique que la mobilité géographique des étudiants entre les universités est si faible par rapport à d'autres pays.

    Au final, elle espère voir une entrée en vigueur de cette réforme d’ici la rentrée 2017 : « les échanges avec les organisations ont commencé fin mai. Les principales organisations ont été reçues. L'idée est de finaliser une proposition courant octobre avec les différents acteurs, qu'elle puisse être soumise à la communauté universitaire et ensuite, si on trouve l'accord que je souhaite, qu'on puisse enclencher en novembre le processus juridique - avec une loi et un décret - pour que la réforme se mette en œuvre à la rentrée 2017 ».

    Source : les Echos

    Voir aussi :

    Rentrée scolaire 2016 en France : le plan numérique est amorcé et apporte la programmation ainsi que ses enjeux dès le collège

    France : la réforme du doctorat entrera en application dès septembre 2016, quelle en est la portée pour l'Université française ?
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  2. #2
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    Je ne veux donc pas de cette solution simpliste qui serait à rebours des aspirations des jeunes et des besoins du pays
    .....
    On ne peut en effet pas abandonner les étudiants qui veulent continuer après la licence, alors que ce diplôme ne suffit pas à s'insérer dans le monde professionnel.
    Le bac+3 servant de moins en moins, il faut que tout le monde fasse un bac+5!
    Je trouve ça simpliste, mais comme elle ne veut pas de solution simpliste c'est que je dois pas être assez intelligent pour y voir toute les subtilités.
    Pour le moment, les critères de recrutement à l’entrée en master n’ont pas encore été définis mais la ministre souhaitent que soient mis en place des critères objectifs, transparents, fondés sur la motivation, le niveau pédagogique et le projet de l'étudiant.
    Il y a sélection ou il y a pas de sélection? Je suis bac+3 et je veux faire mon master, mais s'il y a une sélection je risque de pas être pris, j’espère que je serais pas abandonné. Ou alors on sélectionne tout le monde .

  3. #3
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    Citation Envoyé par micka132 Voir le message
    Le bac+3 servant de moins en moins, il faut que tout le monde fasse un bac+5!
    Je trouve ça simpliste, mais comme elle ne veut pas de solution simpliste c'est que je dois pas être assez intelligent pour y voir toute les subtilités.

    Il y a sélection ou il y a pas de sélection? Je suis bac+3 et je veux faire mon master, mais s'il y a une sélection je risque de pas être pris, j’espère que je serais pas abandonné. Ou alors on sélectionne tout le monde .
    Pour moi la majorité des M2 spécialisés et qualitatifs ont déjà une sélection... et pas que pour ceux qui viennent d'autres universités...

    Et on voit la réputation des facs dans les entreprises... Cette loi est, pour moi, assez inutile. Pour booster les compétences sans abandonner personne, il faut se concentrer sur l'apprentissage.

  4. #4
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    Citation Envoyé par Stéphane le calme Voir le message
    le fait d'avoir conservé cette barrière sélective entre M1 et M2 a empêché le LMD de se mettre en oeuvre, et freiné la construction de véritables formations de masters de qualité adossés à la recherche, professionnalisantes, et déployées sur quatre semestres.
    Mais bien-sûr, tous les problèmes viennent de là. Par contre la multiplication des écoles d'ingé à deux balles depuis la LRU, ça s'inscrit parfaitement dans un schéma LMD de qualité...

  5. #5
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    Mais y'a déjà une sélection naturel, en L1 on était 110, en M2 20...

    Je vois pas comment ils pourraient sélectionner plus

    Mais bien-sûr, tous les problèmes viennent de là. Par contre la multiplication des écoles d'ingé à deux balles depuis la LRU, ça s'inscrit parfaitement dans un schéma LMD de qualité...
    +1, j'ai surtout en tete l'Epitech qui est une vrai arnaque

  6. #6
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    Citation Envoyé par sazearte Voir le message
    Mais y'a déjà une sélection naturel, en L1 on était 110, en M2 20...

    Je vois pas comment ils pourraient sélectionner plus
    Idem dans le même ordre de grandeur. Je comprend pas dans quel monde ils vivent les politiques.

    Et puis toute façon les études ça sert a rien, y'a pas de travail.

  7. #7
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    Citation Envoyé par sazearte Voir le message
    +1, j'ai surtout en tete l'Epitech qui est une vrai arnaque
    C'est pas une ecole d'inge. Pour le cote arnaque, c'est un autre debat qui n'a rien a faire ici.

  8. #8
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    Citation Envoyé par sazearte Voir le message
    Mais y'a déjà une sélection naturel, en L1 on était 110, en M2 20...

    Je vois pas comment ils pourraient sélectionner plus
    Pour ma part j'ai connu un parcours à 75% d'échec chaque année de la L1 à la L3, 50% en moyenne en M1.

    Les politiques sont conscients de cet état de fait, c'est bien pour ça que de plus en plus veulent sélectionner à l'entrée du parcours, pour en contrepartie pouvoir enfin accueillir les étudiants qui ont les qualifications requises dans des conditions décentes, avec des moyens pédagogiques, des véritables enseignements avec de véritables enseignants (et par corolaire des examens finaux qui correspondront donc enfin au contenu réel des enseignements). Tout l'inverse du cursus actuel de licence. Surtout que la sélection actuelle est plus ou moins violemment arbitraires, et s'apparente à un concours masqué sans spécifications connues à l'avance (genre il y a 350 étudiants en L1 - avant le boom de 2015/2016 - et 30 places en L3).

  9. #9
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    Ecrire qu'un master est équivalent à un DEA ou un DESS est un outrage aux titulaires de ces deux derniers diplômes. Le niveau L3 ne correspond maintenant qu'à l'ancien niveau DEUG avec mention Assez Bien et le master à une ancienne (petite) demi-maîtrise.

    Pour les sceptiques, les annales de sujets d'examens avant/après la réforme LMD sont consultables dans chaque bibliothèque universitaire : il suffit de comparer.

    Le système universitaire a su (trop bien) s'adapter à la baisse du niveau exigible au baccalauréat. Avant cette réforme, il était déjà difficile à un étudiant sortant de la fac de se faire reconnaître dans le monde de l'entreprise, aujourd'hui c'est quasiment mission impossible.

    Le pire est que ce n'est pas sa faute.

  10. #10
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    Citation Envoyé par Bruno PICART Voir le message
    Ecrire qu'un master est équivalent à un DEA ou un DESS est un outrage aux titulaires de ces deux derniers diplômes. Le niveau L3 ne correspond maintenant qu'à l'ancien niveau DEUG avec mention Assez Bien et le master à une ancienne (petite) demi-maîtrise.
    Ça faisait longtemps qu'on ne nous avait pas ressorti du "c'était mieux avant"...

    Citation Envoyé par Bruno PICART Voir le message
    Pour les sceptiques, les annales de sujets d'examens avant/après la réforme LMD sont consultables dans chaque bibliothèque universitaire : il suffit de comparer.
    Oui, il suffit juste de prendre les examens d'une formation informatique bac+4/bac+5 de 2005 à 2010 et de voir s'il y a une rupture de niveau au passage au LMD. Si on considère qu'il y a 15 modules (sur 2 ans, ça doit être à peu près ça), ça fait juste 75 sujets d'examen à éplucher... en supposant qu'évaluer la difficulté soit décorrélé de toute subjectivité ou évolution du domaine...

    Citation Envoyé par Bruno PICART Voir le message
    Le système universitaire a su (trop bien) s'adapter à la baisse du niveau exigible au baccalauréat. Avant cette réforme, il était déjà difficile à un étudiant sortant de la fac de se faire reconnaître dans le monde de l'entreprise, aujourd'hui c'est quasiment mission impossible.
    J'aimerais bien connaitre tes sources parce dans le master informatique à côté de chez moi, beaucoup d'étudiants sont embauchés avant même la fin du stage de fin d'études.

  11. #11
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    our les sceptiques, les annales de sujets d'examens avant/après la réforme LMD sont consultables dans chaque bibliothèque universitaire : il suffit de comparer.
    Alors que je sais si la formation ces simplifiés ou pas (c'est très subjectif), mais en tous cas elle arrive à s'adapter au monde d'aujourd'hui.
    L'informatique évolue, il vaut mieux proposer aux étudiants de faire des apps Android que de l'assembleur ou du PL/1.

  12. #12
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    Citation Envoyé par sazearte Voir le message
    (...)
    L'informatique évolue, il vaut mieux proposer aux étudiants de faire des apps Android que de l'assembleur ou du PL/1.
    Sûrement pas.

    L'Université doit enseigner ce que les étudiants n'apprendraient pas par eux-mêmes. Il faut qu'ils fassent (un peu) d'assembleur parce que c'est un bon "lien" entre les cours d'architecture et les cours de programmation, mais ils n'iraient pour rien au monde en faire par eux-mêmes. En revanche il est inutile de leur faire faire des apps Android car ils en font déjà bien assez tout seuls.

  13. #13
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    Je ne comprends pas du tout le sujet en fait. Le nombre d'étudiants diminue toujours d'une année à la suivante ; il y a une sélection de fait à chaque année. Où est le problème au juste ?

  14. #14
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    Citation Envoyé par zobal Voir le message
    Oui, il suffit juste de prendre les examens d'une formation informatique bac+4/bac+5 de 2005 à 2010 et de voir s'il y a une rupture de niveau au passage au LMD.
    La france n'est jamais passée au LMD. La norme c'est 2 ans de prépa/IUT suivi de 3 ans d'école d'ingé.

  15. #15
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    Citation Envoyé par Bruno PICART Voir le message
    Pour les sceptiques, les annales de sujets d'examens avant/après la réforme LMD sont consultables dans chaque bibliothèque universitaire : il suffit de comparer.
    J'sais pas trop, j'ai un master nouvelles technologies et les sujet d'examens d'aujourd'hui et d'il y a 10 ans c'est incomparable. (ou alors j'aurais étudié des nouvelles technologies datant de 10 ans )

    Les master 2 sont sensés être un équivalent, point (c'est comme dire que le bac d'aujourd'hui c'est le brevet d'hier, blabla, c'est pas le débat).
    C'était plus dur avant? Si tu trouves des sujets comparables, c'est clairement une mauvaise fac vu qu'elle n'a pas faire évoluer ses sujets.


    Citation Envoyé par yento Voir le message
    La france n'est jamais passée au LMD. La norme c'est 2 ans de prépa/IUT suivi de 3 ans d'école d'ingé.
    Dans mon IUT, sur 70 diplômés, il y a eu moins de 10 bifurcation en école d'ingé, 40 en licence G et le reste en licence pro/travail. (après c'est un IUT qui se trouve dans un campus universitaire et les profs IUT/fac sont les mêmes donc ça fausse peut être)

    Après c'est vrai que c'est pas du LMD pur vu que j'ai pas fait de L1, ni de L2

    Citation Envoyé par CodeurPlusPlus Voir le message
    Sûrement pas.

    L'Université doit enseigner ce que les étudiants n'apprendraient pas par eux-mêmes. Il faut qu'ils fassent (un peu) d'assembleur parce que c'est un bon "lien" entre les cours d'architecture et les cours de programmation, mais ils n'iraient pour rien au monde en faire par eux-mêmes. En revanche il est inutile de leur faire faire des apps Android car ils en font déjà bien assez tout seuls.
    C'est vrai et faux.

    En licence 1 / licence 2, elles doivent former à l'informatique global. Donc potentiellement de l'assembleur, du système, du réseaux, etc. (j'ai fait de l'assembleur à l'iut et c'était pas fun mais c'est bon pour la culture)
    En licence 3, il faut commencer a spécialiser un peu donc beaucoup d'heure global et quelques heures de spé.
    En master, tu choisis une option, c'est normal d'avoir des cours qui collent à l'option. Si tu fais un master web, l'assembleur, tu peux oublier. Si tu fais un master admin système, le web tu peux oublier. Etc.




    Citation Envoyé par Stéphane le calme Voir le message
    Réforme du Master : Najat Vallaud-Belkacem envisage une sélection en entrée au Master pour la rentrée 2017,
    et promet une loi pour novembre

    Dans un entretien aux Echos ce lundi 12 septembre, la ministre de l'Éducation, Najat Vallaud-Belkacem, a expliqué les raisons qui l’ont motivée à envisager une réforme du master pour l’année 2017. Elle rappelle notamment que « depuis la mise en place du dispositif LMD (licence-master-doctorat) en 2002, le diplôme de master avait vocation à sanctionner une formation de deux ans et à remplacer les diplômes préexistants de maîtrise, de DEA et de DESS. Mais la sélection qui existait à bac+4, c'est-à-dire à l'entrée du DEA et du DESS, a été conservée.
    [...]
    Pour revenir sur la réforme en elle même, il déjà des sélections après la L3.
    En tout cas, il semblerait que mon université tournait déjà selon ce principe.

    Bon, déjà il y a la sélection aux notes, en dessous de certaines notes, ce n'est pas possible de continuer. (genre 10 voir 12 dans toute les UE, aucune matière en dessous de 8, etc.)
    Donc c'est déjà une sélection entre chaque classe et les règles deviennent de plus en plus dur avec l'avancement.

    Ensuite pour rentrer en Master 1, il y a un dossier et c'est recrutement sur dossiers (contrairement à la L1 où on accepte tout le monde).
    Toutes personnes acceptées en master et qui remplit les conditions de notes accède au master 2 sans repasser par la case sélection.
    Par contre pour ceux qui redouble/arrête au master 1 libère quelques places (moins de 10% vu que la sélection en master 1 est sensé garder les meilleurs). Pour ceux qui veulent arriver dans le master 2 en question en venant d'un autre master 1 (dossier + entretien) pour remplir les quelques places disponible.

    C'est encore une fois de l’énergie (voir de l'argent) gâché. C'est un système qui marche déjà et qui, a priori, ne nécessite pas de changement.

  16. #16
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    Citation Envoyé par Kearz Voir le message
    Pour revenir sur la réforme en elle même, il déjà des sélections après la L3.
    En tout cas, il semblerait que mon université tournait déjà selon ce principe.
    http://www.lemonde.fr/campus/article...7_4401467.html

    Mis à part ces probleme de "faut il ou non sélectionner". Le gros soucis, et la source de ces questions de sélection, c'est que TOUTE les universités (privé/publique) courent toute au statistiques, car leur financement dépend de plus en plus de leur résultat.
    Donc d'un coté il y a l'administratif des universités qui poussent a avoir de plus en plus d'élève qui réussissent (quitte a donner les diplomes), donc plus de financement.
    De l'autres, les profs qui ont du mal a surnoter les élèves. Car il faut savoir que baisser le niveau des L1, c'est avoir des élèves de bas niveau jusqu'au Master 2. Bah ouais, comment justifier qu'en L3, il y est 90% d'échec .... sauf en admettant qu'ils donnent les Licences.

    Le niveau baissent, c'est un fait, et pour compenser ca, le niveau d'étude requis augmente, ce qui met a la rue les anciens.

  17. #17
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    Citation Envoyé par Kearz Voir le message
    C'est encore une fois de l’énergie (voir de l'argent) gâché. C'est un système qui marche déjà et qui, a priori, ne nécessite pas de changement.
    Pas tant que cela, je pense

    (Si j'ai bien tout compris ) La volonté c'est de regrouper les 4 semestres: en gros tu rentres en M1 et tu n'as plus de problèmes.
    Actuellement, tu as une cassure entre le M1 et le M2.

    À mon époque 2000, c'était comme cela - tu avais: 2 ans (BAC+1, BAC+2) dont les premiers mois c'est pour la réorientation, Licence BAC+3 une année plus ou moins forcée pour avoir BAC+3 et accéder à la maîtrise, et effectivement à BAC+4 (maîtrise+1) on te forçait à te spécifier (d'où cette cassure)

  18. #18
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    Citation Envoyé par yento Voir le message
    La france n'est jamais passée au LMD. La norme c'est 2 ans de prépa/IUT suivi de 3 ans d'école d'ingé.
    Que ce soit une école ou un master, tu aurais peut-être dû sécher moins de cours et tu saurais faire la différence entre une norme, un standard, une étude statistique et un ragot de comptoir.
    Maintenant, si tu connais une étude sérieuse sur le sujet, ça m'intéresse de la lire.

  19. #19
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    Citation Envoyé par zobal Voir le message
    Que ce soit une école ou un master, tu aurais peut-être dû sécher moins de cours et tu saurais faire la différence entre une norme, un standard, une étude statistique et un ragot de comptoir.
    Maintenant, si tu connais une étude sérieuse sur le sujet, ça m'intéresse de la lire.
    Va consulter les pages des écoles d'ingé: Grenoble INP, INSA...

    Elles recrutent [presque] exclusivement à bac+2, dans diverses sources (prépas sur concours, prépas intégrées, IUT, autres).
    Quelqu'un qui fait une licence la terminera à bac+3. Il a raté le coche. Les écoles d'ingés ne recrutent pas à bac+3. (à part 2 mecs qui étaient potes avec le directeurs et quelques étudiants étrangers qui viennent en échange).

    Le système LMD c'est de découper les études en une licence, PUIS un master, PUIS un doctorat.
    Le parcours en écoles d'ingés n'est tout simplement pas calé là dessus (note: on obtient quand même les équivalences apres coup).

  20. #20
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    Par défaut France : la sélection à l’entrée du master sera mise en place à la rentrée 2017
    France : la sélection à l’entrée du master sera mise en place à la rentrée 2017
    avec un « droit à la poursuite d’études » pour les étudiants

    Le ministère de l’enseignement supérieur, les organisations étudiantes et les présidents d'université ont finalement trouvé un accord dans l’après-midi du mardi 4 octobre, pour la mise en place de la sélection à l’entrée du master dès la rentrée 2017.

    Pour rappel, depuis la mise en place du dispositif LMD en 2002, le diplôme de master avait vocation à sanctionner une formation de deux ans et à remplacer les diplômes préexistants de maîtrise, de DEA et de DESS. Mais la sélection qui existait à l'entrée du DEA et du DESS a été conservée et se retrouve désormais au milieu du master. Cette incohérence ne permet pas de mettre en place une véritable réforme, et plusieurs tentatives de mettre en place une sélection à l’entrée du master ont échoué.

    Pour mener à bien son projet, la ministre de l’Éducation nationale Najat Vallaud-Belkacem a lancé le dialogue avec les différents acteurs. Ces négociations opposaient notamment la Conférence des présidents d’université (CPU) aux organisations étudiantes. Si les présidents d’université militaient pour la sélection pure et dure (où l’on se contente de prendre uniquement les meilleurs sans se soucier des candidats malheureux), les organisations étudiantes, quant à elles, voulaient que les universités donnent la chance à tous leurs membres de poursuivre des études en master, quitte à faire exploser leurs capacités d’accueil. Les différents protagonistes ont toutefois fini par trouver un terrain d’entente. Mais lequel ?

    Si Najat Vallaud-Belkacem préfère utiliser le terme « recrutement », dans les faits, il s’agit toujours d’une sélection. Les universités vont « recruter » en première année de master leurs étudiants, selon des critères précis, en se fondant sur le dossier des candidats et leurs capacités d’accueil. Mais pour que cette réforme soit acceptée, les organisations étudiantes ont obtenu un « droit à la poursuite d’études », en vertu duquel les étudiants recalés devraient recevoir trois propositions alternatives pour poursuivre leur formation. L’idée est de veiller à ce que les étudiants qui le désirent ne se retrouvent pas sans formation après leur licence, car comme la dit la ministre le mois dernier, « on ne peut en effet pas abandonner les étudiants qui veulent continuer après la licence, alors que ce diplôme ne suffit pas à s'insérer dans le monde professionnel ».

    Il s’agit donc d’accompagner les étudiants qui ne seront pas sélectionnés à un master. Les universités seront donc tenues de faire trois propositions de formations à ces derniers, en tenant compte de leurs projets professionnels, afin d’assurer une certaine cohérence dans leur parcours universitaire. Il faut également noter qu’au moins une de ces trois formations doit être proposée dans l’université de l’étudiant recalé ou dans les environs, au sein de sa région académique.

    Dans le cas où l’étudiant recalé doit s’installer dans une autre région pour poursuivre un master, un fonds spécifique lui sera alloué sous forme de bourse ou prime d’installation en fonction de critères sociaux. Il s’agit donc d’une aide à la mobilité qui devrait servir à assurer ses frais de déménagement. Le site d’informations français Mediapart, qui a donné les détails de l’accord, ne précise pas cependant si cette aide à la mobilité concerne uniquement les étudiants recalés.

    Il faut également noter que le ministère de l’Éducation compte aider les étudiants recalés dans leur démarche d’orientation, à travers la mise en place d’une plateforme baptisée « trouvermonmaster.gouv.fr ». Il s’agira d’un site qui devrait fournir aux étudiants des informations sur des masters, entre autres la description des masters, les pièces administratives nécessaires à la constitution d’un dossier de candidature, le calendrier des procédures d’inscription et sa capacité d’accueil.

    Le texte intitulé « Réforme du cursus conduisant au diplôme national de master » a été signé par les différentes parties et sera transformé en un arrêté, un décret et une loi, qui devrait être publiée avant la fin de l’année. S'il donne aux établissements universitaires toute latitude pour fixer les modalités d’accès aux masters (concours ou examen de dossier par exemple), leurs capacités d’accueil doivent être établies à l’issue d’un « dialogue avec l’État ».

    Dans un souci de transparence, les décisions de rejet des candidatures à l’entrée au master devront être motivées et communiquées aux étudiants. Ce dernier point est particulièrement apprécié par Lilâ Le Bas, déléguée générale de l’Union nationale des étudiants de France (UNEF). « Il n’y a jamais eu aucune information sur les critères de refus d’accès à certains M2 », dit-elle. « Cela devrait changer et mettre fin à ce système de sélection élitiste et absurde. » Elle estime que « le droit à la poursuite d’études jusqu’à l’obtention du M2 reste la meilleure protection pour les étudiants » et « relance une étape de démocratisation de l’accès à l’enseignement supérieur ».

    Il faut toutefois noter que dans la réforme du master, des exceptions ont été autorisées pour certaines filières, comme la psychologie ou le droit. Ces filières continueront de fonctionner selon la procédure actuelle, à savoir une sélection entre la première et la seconde année de master.

    Source : Mediapart (l’accès au contenu complet est payant)

    Et vous ?

    Que pensez-vous de l’accord trouvé sur la réforme du master ?

    Voir aussi :

    Réforme du Master : Najat Vallaud-Belkacem envisage une sélection en entrée au Master pour la rentrée 2017 et promet une loi pour novembre
    France : la réforme du doctorat entrera en application dès septembre 2016, quelle en est la portée pour l'Université française ?
    Rentrée scolaire 2016 en France : le plan numérique est amorcé et apporte la programmation ainsi que ses enjeux dès le collège
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