Oui, mais ce n'est pas le sujet ! Quelle est l'application pratique de cet état de fait dans la manière d'éduquer les enfants à l'école ?
Justement. On traite les enfants en fonction de leurs différences individuelles. Pas des spécificités de leur sexe. On ne peut pas traiter toutes les filles selon les spécificités psychologiques dominantes chez la femme. Donc, on met de côté les spécificités psychologiques dominantes chez la femme. Dans le cas contraire, on alimente à l'école la marginalisation des garçons qui ont des caractéristiques de filles et des filles qui ont des caractéristiques de garçons.
Ben non, là c'est l'inverse. Il s'agit de traiter de la même manière les garçons et les filles. Donc, de ne pas changer le barême en fonction du sexe (du moins, je le comprend comme ça).
Désolée de ressortir encore mes travers angéliques (je peux pas m'empêcher), mais non. Apprendre à mes enfants qu'ils ont les forces et les faiblesses de leur sexe, je ne trouve pas ça bien, et je trouve que c'est erronné. Mes enfants, comme tous les enfants, ont leurs propres forces et leurs propres faiblesses. Que ces caractéristiques soient dominantes ou non chez l'homme ou la femme, on s'en tape.
Marrant que tu ne puisses pas croire que les gars peuvent aimer changer la couche de poupons en plastique.
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