Si l'on s'arrête à de pareils détails, il n'y a plus de limites ! Il y a un moment où il faut savoir s'arrêter (c'est valable pour moi ); on en revient encore à l'inconsistance de l'énoncé.Envoyé par tbc92
Si l'on dispose d'une équation, il faut se lancer dans le calcul d'une intégrale, simple ou double.Et si on n'est pas dans une succession de segments, a-t-on une équation de cette courbe, ou juste un dessin ?
Pour un dessin le seul recours est le maillage évoqué plus haut.
Mais alors, dans les 2 cas, je ne vois pas ce que viendrait faire une liste de N points.
On définit 3 barycentres non confondus, mais généralement relativement proches; leur superposition intervient lorsque la symétrie est suffisamment élevée, c'est en tous cas ce qui doit ce passer avec un polygone régulier, un parallélogramme, etc ... on parle ainsi sans problème DU centre d'un carré, d'un rectangle, d'un losange ...Envoyé par souviron34
Les barycentres des sommets (GP), des arêtes (GA) et de la surface interne (GS) sont définis par 3 combinaisons linéaires différentes des vecteurs position (Pj), et que l'on peut retrouver à partir des résultats précédemment donnés; le calcul se développe aisément sur le papier, mais il est vraiment trop lourd à reproduire par typographie.
Cela se voit dans le cas du polygone convexe suivant, comportant un sommet (M0 en (1, 0) et les (N-1) autres sommets régulièrement répartis sur la moitié gauche du cercle centré en (O), de rayon (h) très petit mais non-nul, entre les positions limites P1 = (0, h) et PN-1 = (0, -h) ; lorsque (h) tend vers 0, on trouve 3 position limites sur (Ox) pour les 3 barycentres:
- GP vient se placer en (1/N ; 0);
- GA en (1/2 ; 0);
- et GS en (1/3 ; 0) .
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