Ah bon ? 100% des juifs ?Envoyé par GPPro
Ah bon ? 100% des juifs ?Envoyé par GPPro
manusdei, carte scolaire, c'est pourtant limpide comme terme. L'état a définit une carte qui définit la zone de chaque établissement scolaire.
Traditionnellement il existe quelques cas de dérogation :
- un enfant déjà scolarisé dans une autre école
- déménagement
- les options / langues en particulier mais pas que(musique pour ma part en seconde)
- la continuité dans un même établissement. (tu commande russe ancien en seconde et tu abandonne en première)
Ensuite est venu sarko qui a dit que c'était de la merde de forcer les gosses des électeurs bourgeois de se mélanger avec les pauvres et les mec pas très blancs... et ils a généraliser la dérogation en limitant les justifications. Ce n'est absolument pas la normalité et en aucun cas un mesure de mixité sociale. je n'ai jamais vu un parent envoyer son enfant dans une zep volontairement.
Je remet ce lien
http://www.education.gouv.fr/cid7175...-scolaire.html
Si vous voulez pas lire tant pis, après tout la carte scolaire ayant bénéficié aux enfants de cadres, ça nous arrange.
Ou sinon tu peux aller lire les divers documents qui sont en lien juste au dessus et constater qu'avec toutes les modifications depuis 1963 (et surtout depuis 2008) c'est plus du tout ce que tu décris.
PS : Franchement, au lieu de réfléchir sémantique et méditer sur ce que devrait être la carte scolaire, lisez les textes.
Attends, tu demande ce qu'est la carte scolaire, je te reponds.
Après si celle ci a été dévoyée pour permettre a ceux qui connaissent els exception de passer entre les mailles du filet et de ne pas la respecter, ca ne change pas sa définition pour autant.
La carte scolaire s'oppose au libre placement des enfants dans l'école choisie. Mais je suis d'accord qu'elle fournie pas mal d'exception pour sa mise en place.
Et la raison principale de sa mise en place était justement de mélanger les gens de divers horizons et de ne pas créer des ghettos. On l'a assouplie beaucoup, et on arrive aux ghettos. (mais on va pas la re-durcir, les électeurs du PS et de l'UMP sont bien trop content que ca soit comme c'est aujourd'hui, ceux du Fn et du front de gauche un peu moins bizarrement.)
Tient, je ne sais pas si vous êtes au courant, mais il existe en ce moment une réflexion sur le renouveau politique et l'apport du numérique.
"démocratie Mise a jour" ça s'appelle.
http://www.democratiemiseajour.fr/
On nous a demandé de participer pour J'ai une Idée, notre tribune est dans les "opinions". Il y a des ateliers dans toute la France si ça en intéressent quelques un.
Oui. Mais ça n'encourage la mixité sociale que si lesdits secteurs sont mixtes, et si les bons collèges et lycées, avec les bons profs, sont à peu près uniformément répartis sur tout le territoire.
La réalité, c'est que les bons lycées sont généralement dans des beaux quartiers, aux populations assez peu diverses, et qu'inversement, les établissements et collèges en "zones sensibles" sont l'endroit où l'on envoie les jeunes profs sans expérience, histoire qu'ils aient assez d'expérience et de points pour aller postuler dans les bons lycées. Et la carte scolaire aggrave ce phénomène: si tu habites ces quartiers mal desservis, et que tu fais partie des classes aisées, tu seras très vite tenté par le privé, ou alors tu déménageras près d'une meilleure école, accentuant le phénomène, ou au pire, tu utiliseras l'une des nombreuses exceptions que prévoit le système, l'option rare, la classe européenne, sa passion pour le chinois, ou le russe...
Et si tu laisses ce merveilleux système en place pendant quelques années, tu te retrouves avec des quartiers de plus en plus défavorisés, avec une éducation de plus en plus défaillante, et des profs qui veulent de moins en moins y aller, et inversement, des quartiers de plus en plus aisés, et homogènes, avec des lycées de plus en plus demandés, et des élus (de gauche) qui se battront pour défendre cette merveilleuse éducation égalitaire qui profite tant à LEURS enfants.
C'est bien pour cela. On parle d'élections départementales, parce que tous les pouvoirs sont au niveau du département, et que la "vraie" élection, c'est le "troisième tour". C'est exactement pareil qu'avant, avec les cantonales : on élisait des électeurs, qui nommaient le conseil général. Donc, si tu préfères, on a deux tours d'élections, servant à élire au scrutin majoritaire, des grands électeurs, qui éliront, toujours au scrutin majoritaire, le conseil départemental, qui aura des pouvoirs...
Pour moi, c'est le sommet de la politique politicienne. Le fait qu'il y a ait un niveau pour se maintenir transforme le premier tour en une bagarre pour le "vote utile", et encourage la multiplication des calculs (et des listes dissidentes). Et quand il y a une triangulaire, cette mécanique infâme se reproduit au second tour, où l'on ne vote plus pour un candidat, mais on calcule des reports.
Dans le cas des départementales, ça tourne au délire puisque le second tour sert à désigner les électeurs du troisième... On est dans la pure politicaillerie, ce qui fait que plus personne n'y comprend rien, que les taux d'abstention seront probablement énormes, et que toute cette campagne, normalement locale, a été prise en charge au niveau national.
Le canton n'a aucun pouvoir, pas plus maintenant qu'avant. C'est juste un mode de désignation des électeurs qui voteront pour l'élection départementale. A quoi sert, alors, la représentativité au niveau cantonal?
Oui. Ca ou un scrutin majoritaire avec une "dose de proportionnelle". C'est en gros ce qu'on a aux municipales, et je pense que c'est assez bon.
C'est en gros son poids actuel dans les sondages. Mais si tu veux on peut prendre 2012, ce qui nous donne 18% (son score de la présidentielle), à rapporter aux 2% d'Eva Joly... Ca ne change pas grand chose au raisonnement, je crois. (J'exclus volontairement les législatives du calcul : dans le système actuel c'est tellement majoritaire et couplé à la présidentielle que les scores n'ont pas beaucoup de sens.)
On a pourtant connu, sous la cinquième, des modes de scrutin intégrant de la proportionnelle. On pourrait avoir des circonscriptions un peu plus grosses, ayant plusieurs députés élus avec un scrutin mixte, façon municipales, ou même un système de listes, mais partiellement majoritaires (il n'y a plus, aujourd'hui, de réelle nécessité pour un député d'avoir une circonscription, en dehors de l'intérêt que cela présente pour cumuler mandats et rémunérations, et n'être à l'assemblée qu'un jour sur deux...). Ce que j'essaie de te dire, c'est que la proportionnelle intégrale n'est pas la seule alternative (comme tu le suggérais).
Quant au fait de représenter l'opinion nationale, je ne crois pas que ce soit l'objectif. On élit une assemblée pour qu'elle puisse gouverner, c'est tout l'intérêt du système majoritaire. Mais si l'assemblée ne représente pas du tout certaines tendances, et en surreprésente d'autres qui ne sont pourtant pas majoritaires (eg le Front de Gauche), la légitimité du système s'en trouvera affectée.
Dit autrement, je suis favorable à un système majoritaire, qui permet au parti au pouvoir de gouverner sans avoir d'aller à la soupe à chaque projet de loi. Mais pour que ce système majoritaire soit acceptable, il doit garantir à l'opposition une représentation suffisante, et en particulier garantir que cette représentation soit à peu près proportionnelle. Ce qui légitime le discours du FN sur l'UMPS, ce n'est pas tant le fait que le parti présidentiel ait la majorité, que le fait que les partis qui ne passent pas d'alliance électorale avec l'UMP ou le PS n'y sont pas représentés.
Francois
C'est dingue parce qu'à partir du même truc on peut dire carrément le contraireEnvoyé par fcharton2
Justement, le niveau pour se maintenir au second tour évite les situations de type "21 avril". En clair le discours sur le vote utile a moins de sens, puisque pour se maintenir il suffit de dépasser les 12.5% d'inscrits et non plus être dans les deux premiers. Difficile de faire pression sur les électeurs dans cette situation.
Et pour le second tour, le calcul des reports est aussi minimisé puisque si le candidat s'est maintenu, les gens n'ont pas à se reporter.
Ton système renforcerait la majorité en place. Si tu fais comme pour les municipales, le PS aurait 75% des sièges. A quoi sert une assemblée avec une telle majorité ?Envoyé par fcharton2
C'est bien pour cela qu'on continue à discuter sur ce fil...
Ca crée un rapport de force et des situations différentes. Par exemple, face au risque de triangulaire, il devient très intéressant de monter une liste dissidente dans l'idée de vendre cher son ralliement lors d'un second tour compliqué. Il y a également tout un exercice consistant à affaiblir le troisième, en encourageant des candidature dissidentes, ou l'inverse, pour tenter d'obtenir, ou au contraire d'éviter, une triangulaire. A mon sens, avec les triangulaires, le jeu des listes et des candidatures devient plus politicien. Et ceci a bien entendu une influence sur le discours électoral.
Pour le second tour, les triangulaires compliquent les choses par le jeu des désistements. Le fait qu'un candidat arrivant au second tour, et en position de se maintenir, puisse se désister dans le cadre d'une logique partisane (et nationale), ne me parait pas très respectueux des électeurs. Ce que je veux dire, je crois, c'est qu'autant je comprends le scrutin à deux tours décidé à la majorité (donc avec deux candidats au second), même si au second tour on élimine au lieu de choisir, autant je ne vois pas ce qu'apporte le second tour dans un système avec maintien, sinon des possibilités supplémentaire de politicaillerie.
Quant au scrutin binominal paritaire à deux tours, avec maintien, pour élire des grands électeurs qui éliront les vrais élus, alors là... (et je pense que l'abstention va démontrer que je ne suis pas le seul à le penser)
A quoi sert l'assemblée actuelle, qui a encore plus de deux ans à faire, n'a pas de franche majorité, et qu'il serait suicidaire de dissoudre? Ca nous produit un pouvoir anémique, incapable de voter quoi que ce soit de sérieux, qui va donner dans la demi-mesure permanente (sachant que c'était déjà la tendance naturelle de notre bon président), qu'on tentera de compenser par de grandes phrases et de vertueuses indignations (et pour cela, on a Valls...), avec peut être quelques passages en force pour maintenir le suspense (mais sur des lois anecdotiques).
S'il fallait une preuve de la vertu d'un vrai système majoritaire, il me semble qu'elle serait là...
Le système des municipales est peut être un peu exagéré, mais on pourrait avoir quelque chose qui garantit au premier la majorité absolue (55%? 60%? des sièges), et répartit le reste à la proportionnelle. En 2012, on aurait ainsi eu un PS avec une majorité gérable (même en comptant quelques frondeurs), et le reste réparti proportionnellement. Donc un peu moins de tout, un peu plus de FN, beaucoup moins de politicaillerie.
Ah mais ça donne au PS les pleins pouvoirs? Ben oui, mais c'est un peu l'idée du quinquennat, qui fait des législatives une sorte de corollaire de la présidentielle. Soit dit en passant, dans cette optique, coupler les deux élections me paraîtrait une bonne idée. On gagnerait quelques mois de boulot, on éviterait quelques bricolages politiciens, et on serait davantage dans la logique du système.
Francois
Le quinquennat c'est Chirac, l'inversion du calendrier, c'est effectivement Jospin. Ensuite, les deux étaient d'accord sur le sujet, pour des bassement politiciennes, mais surtout parce qu'on sortait alors de trois cohabitations en trois septennats, et que tout le monde en avait assez... L'idée de l'inversion du calendrier, c'était de tuer la cohabitation.
La cinquième, avec l'élection du président au suffrage universel, est une sorte de monarchie élective, et c'est dans cet esprit que le système majoritaire a été mis en place : pour dégager des majorités claires, et en finir avec la situation précédente, où les petits partis faisaient et défaisaient les gouvernements. Ca ne fonctionne pas bien actuellement parce que Hollande est affligeant d'incompétence, mais le reste du temps, ça a plutôt bien fonctionné (même en temps de cohabitation, en fait).
Personne ne souhaite, en revanche, de supprimer le parlement, ce qui reviendrait à regrouper l'exécutif et le législatif.
Francois
Le quinquennat c'est Chirac, l'inversion de calendrier c'est Jospin.
Le changement de durée du mandat présidentiel c'est une modification constitutionnelle, (qui a été approuvée via référendum dans le cas précis) donc toujours, de facto, d'initiative présidentielle (*); en revanche la date des élections c'est du ressort du gouvernement et c'est fixé par une loi ordinaire - et en 2000, c'était le PS qui était au pouvoir.
(*)Si, en théorie, la constitution de la Vème permet une révision constitutionnelle d'initiative parlementaire, le président a un droit de veto de fait dessus, car au contraire de la révision d’origine présidentielle, celle d'origine parlementaire est toujours approuvée par référendum, jamais par le Congrès, et la décision de convocation d'un référendum est une prérogative présidentielle - cf. art. 89.
Le site Islamiste-new-info vient d’être censuré par le gouvernement.
Le site numérama publie aujourd’hui la lettre ouverte du créateur qui se défend de faire une quelconque apologie du terrorisme bien au contraire.
A noter que l’auteur explique que le Nouvel observateur s’est basé sur son travail pour rédiger un article sur la Syrie et que wikipédia aurait indexé plusieurs de ses articles comme référence sérieuse.
Ce qui est cocasse, c'est qu'ils ont annoncé en avoir bloqué 5, sauf que pour 4 d'entre eux, le blocage ne marche visiblement pas. Le seul vraiment bloqué est ce site de news, tenu par une seule personne qui rédige tout ses articles, est hébergé chez OVH avec son vrai nom et paie avec son compte personnel.
http://ecrans.liberation.fr/ecrans/2...erieur_1222042
http://rue89.nouvelobs.com/2015/03/1...exemple-258242
Tout à fait. Cela fait penser que la lutte contre le terrorisme passe par l’obligation d’afficher de bons indicateurs.
Du coup il deviendra plus facile de fermer les sites inoffensifs sous prétexte que leurs positions vont à l’encontre de celles de l’occident en faisant l’amalgame que puisque vous être contre nous c’est que vous êtes avec l’EI.
En réalité, c’est bien la liberté d’expression qui en a pris un coup.
Et dans le thème "Liberté d'expression à géométrie variable" :
http://www.20minutes.fr/medias/15659...ope-fascisante
Et je cite :
Comme on dit, plus c'est gros plus ça passeSelon la 17e chambre du tribunal correctionnel de Paris, qui avait relaxé l’hebdomadaire et Nicolas Bedos en première instance, il est «parfaitement clair pour tout lecteur que la chronique en cause se situe dans un registre aux accents délibérément provocateurs et outranciers, revendiqué comme tel.»
Et, hasard du calendrier, le même jour, on avait ce jugement sur Dieudonné...
http://www.20minutes.fr/societe/1566...os-antisémites
Nos amis les juges se couvrent de gloire, décidément...
Et dans le même temps, on apprenait la reconversion d'Arnaud Montebourg, qui devient "vice président du conseil d'administration" d'Habitat. Conseil d'administration? Ne me dites pas qu'il s'agit d'un de ces postes où l'on touche de gros jetons de présence pour se réunir trois fois par an, et pour défendre les dividendes des gentils actionnaires...
En même temps, c'est logique, quand on y pense. Pendant quelques années Montebourg a eu l'impression d'être proche du peuple des campagnes, vu qu'il était élu de Saône et Loire. Ensuite, pendant deux ans, il s'est senti capitaine d'industrie, vu qu'il était ministre du redressement productif. Il n'est pas tout à fait étonnant qu'au moment de passer "du côté de l'entreprise", il se choisisse un poste dans un conseil d'administration... (après avoir suivi une formation à l'INSEAD, qui comme chacun sait forme de vrais industriels, et pas du tout des contrôleurs de gestion surpayés...)
Au fond, il n'est pas très différent de ces gens qui se croient prolétaires parce qu'ils habitent "près" d'une banlieue pauvre (mais envoient leurs gosses dans l'école privée du coin), ou qui se croient antiracistes parce qu'ils "ont des amis étrangers"... Et ça rappelle un peu l'époque capitaine d'industrie de Martine Aubry, quand papa l'avait bombardée directrice chez Péchiney...
Francois
En même temps, il ne l'insulte pas, il ne fait que dresser un constat...
Plus sérieusement, je l'aurais pas dit dans ces termes, en tout cas pas sur un média grand public, mais les termes sont assez exacts en fait:
(une) définition de salope: Femme débauchée, de mœurs dépravées, ou qui se prostitue. (source : http://www.cnrtl.fr/lexicographie/salope)
définition de fascisante : proche du fascisme, qui rappelle le fascisme (source : mon bon vieux Larousse)
Et donc, d'un côté, on a une Le Pen (enfin, le père, la fille et la nièce, depuis peu), qui clame que l'Europe c'est le mal absolu, tout en ayant engrangé pas loin de 2 millions d'euros en tant que parlementaires de l'UE... Par chez moi, ça s'appelle se prostituer...
Pis bon le discours fascisant de Le Pen fille, suffit de lire le programme : décupler nos forces armées, mettre tout les étrangers dehors, etc, etc...
Bref, il l'insulte pas vraiment, à moins que décrire quelqu'un s'apparente à l'insulter, auquel cas, on a pas le cul sorti du sable...
Le conseil de Michel Sapin aux entreprises ? Ne pas augmenter trop vite les salaires !.
Heu... c'est moi qui ne comprend pas bien les choses ou il y a vraiment un truc qui débloque chez ces gens-là ?
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