Bonjour,
Je vois ce que tu veux dire.
C'est pas à l'image de ce qui se fait avec la presse classique. La société qui vend son journal va vouloir faire, de la volumétrie sur les titres de presses .
Le réseau social comme Facebook ou Twitter, doit faire de la volumétrie sur le contenu qui est publié. Tout en sachant que celui ci, ne doit pas lui faire courir un risque/score d'amende/pénalité en cas de situation conflictuelle qui finirait devant un tribunal.
Le contenu dont le réseau social fait la promo, peut être : le dernier chanteur à la mode , la promo d'un évènement caritatif , une bonne cause, une voiture de sport , du vin, un service bancaire ...
Cela j'en ai bien conscience.
C'est vrai . Ce que j'essaye de faire comprendre comme message , c'est de montrer un genre de curseur / limite sur ce qui est conceptuellement mercantilisable.
Quand tu parles dans la rue , avec ta famille un voisin, des amis, des collègues ... Tu ne te retrouves pas à leur demander de l'argent si l'on de parle de du parti communisme ou du bouddhisme .
Vois tu la ou je vais en venir ? Dans une conversation standard les gens ne se facturent pas entre
J'utilise Facebook dans des cadres bien précis : groupe de personnes sur des sujets qui attrait aux loisirs, cultures, sports. Garder le contact avec la famille et les amis.
Pour ce qui attrait à la politique, religion, théologie, philosophie ... conceptuellement c'est des sujets qui sont de l'ordre des valeurs et de l'idéologie.
C'est aussi valable en Europe avec la sacro-saint valeur d’individualisme. Sous une autre forme.Justement, dans ce cas de figure la liberté d'expression des utilisateurs censurés s'oppose à la liberté d'expression de la ligne éditoriale du réseau social, d'où le rejet de la loi pour inconstitutionnalité. Il faut mettre le sujet dans le contexte, le 1er amendement protégeant la liberté d'expression est très important pour les américains, valable pour les entreprises aussi. Mais il a aussi ces limites : dont l’obscénité, la diffamation, l'incitation à l'émeute, le harcèlement. Rien que par ces limites, une bonne partie du contenu des réseaux sociaux pourraient être censurés.
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