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  1. #1
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    Citation Envoyé par Ryu2000 Voir le message
    Les réseaux sociaux peuvent produire du positif comme du négatif.
    Le système adore ce genre d'histoire :
    - Comment Internet a fait les « printemps arabes »
    - A Hong Kong, « publier sur un réseau social peut désormais être considéré comme un crime »

    Perso moi j'ai préféré le mouvement des gilets jaunes, qui commence par 2 randoms sur Facebook qui ont eu l'idée de mettre en évidence leur gilet de sécurité dans leur voiture pour montrer qu'ils étaient insatisfait par la politique du gouvernement.

    Ce qui est triste c'est que les réseaux sont de plus en plus contrôlés, et qu'il est donc de plus en plus difficile de démarrer un gros mouvement social.
    Combien de suicidés par harcèlement, combien de personnes sous pressions, combien de licenciements, combien d'arrestations politiques ou autre pour un seul printemps arabe ?

    Est-ce qu'il faut nécessairement un réseau social pour une révolution et une prise de conscience politique d'un peuple ? Si oui, j'aimerai vraiment connaitre celui de la France en 1789.

    Non, les réseaux sociaux ne produisent rien de bon, quand quelque chose est positif, ils en ont été le vecteur mais jamais la source. À l'inverse, s'ils n'avaient pas été là, un facteur (et non un vecteur) de harcèlement et d'injustice aurait été évité.

  2. #2
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    Citation Envoyé par T3TR4 Voir le message
    Combien de suicidés par harcèlement, combien de personnes sous pressions, combien de licenciements, combien d'arrestations politiques ou autre pour un seul printemps arabe ?
    Ouais c'est vrai que les histoires de licenciements c'est pas cool.

    Par contre pour le harcèlement c'est simple, tu peux bloquer, signaler, ignorer. De toute façon rien ne t'oblige à utiliser un réseau social.
    Bien avant les réseaux sociaux il y avait déjà des adolescents qui se suicidaient parce qu'ils étaient harcelés, rien de neuf sous le soleil…

    Citation Envoyé par T3TR4 Voir le message
    Est-ce qu'il faut nécessairement un réseau social pour une révolution et une prise de conscience politique d'un peuple ?
    Non, mais ça a aidé le mouvement des gilets jaunes et ça c'est cool

    Un autre truc chouette sur les réseaux sociaux, c'est que quand une personne au pouvoir s'exprime, tout le monde peut aller se foutre de sa gueule et c'est primordial dans une démocratie de critiquer le pouvoir en place, c'est presque un devoir. (c'est le jeu, les politiciens font des promesses et n'en tiennent aucune quand ils sont au pouvoir, en contrepartie le peuple se moque de ceux qui le gouvernent)

    Par exemple le compte Twitter d'Emmanuel Macron publie le message : "Vacciner, vacciner, vacciner."
    https://twitter.com/EmmanuelMacron/s...36062230597632
    Tout le monde se fout de gueule et c'est très sain comme réaction.

  3. #3
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    Citation Envoyé par Ryu2000 Voir le message
    Ouais c'est vrai que les histoires de licenciements c'est pas cool.

    Par contre pour le harcèlement c'est simple, tu peux bloquer, signaler, ignorer. De toute façon rien ne t'oblige à utiliser un réseau social.
    Bien avant les réseaux sociaux il y avait déjà des adolescents qui se suicidaient parce qu'ils étaient harcelés, rien de neuf sous le soleil…


    Non, mais ça a aidé le mouvement des gilets jaunes et ça c'est cool

    Un autre truc chouette sur les réseaux sociaux, c'est que quand une personne au pouvoir s'exprime, tout le monde peut aller se foutre de sa gueule et c'est primordial dans une démocratie de critiquer le pouvoir en place, c'est presque un devoir. (c'est le jeu, les politiciens font des promesses et n'en tiennent aucune quand ils sont au pouvoir, en contrepartie le peuple se moque de ceux qui le gouvernent)

    Par exemple le compte Twitter d'Emmanuel Macron publie le message : "Vacciner, vacciner, vacciner."
    https://twitter.com/EmmanuelMacron/s...36062230597632
    Tout le monde se fout de gueule et c'est très sain comme réaction.
    Ça doit être bien de vivre avec des lunettes roses comme toi, la vie doit te sembler paisible...

    J'ai vécu le harcèlement, avant même les réseaux sociaux, je connais bien, et mieux je l'ai vécu aussi pendant. Je peux t'assurer que celui là est plus insidieux, parce que tu ne sais pas d'où ça vient. Pire encore, grâce à ces réseaux sociaux, on te créé un faux profil et on te fait vivre virtuellement. La sensation d'être une marionnette entre les doigts d'autres personnes te déshumanise, et c'est ce que les réseaux font, en réalité.

    Prend un cas simple : discute avec une personne dans la rue, puis discute avec une autre personne (avec le même ressenti affectif, donc prend un inconnu dans la rue pour avoir deux bases neutres) sur internet. Tu t'apercevras vite qu'à la fin de la journée, le ressenti n'est pas le même. L'un est déshumanisé, pas de visage, pas de nom, et tout aussi intéressante que soit la conversation, tu resteras sur une sorte de mysticisme cérébrale, alors qu'avec la personne dans la rue, ton coté social aura repris le dessus, et à la fin de ta journée, cette expérience sociale s'infusera en toi, justement en tant qu'expérience vécue.

    Oui, la satyre est importante, ce n'est pas mon propos encore une fois, oui, le rassemblement et l'union, la conscience politique émergente (puisque disparue après 1980, peu ou proue quand les français se sont rendu compte que Mitterrand, c'était la droite de la gauche..), tout ça c'est hyper important, mais il faut impérativement faire comprendre aux gens que le virtuel, c'est pas une extension du monde. C'est un peu une sorte de multivers, un univers parallèle ou tout peut être dupliqué, et presque à l'infini (tant qu'on peut produire de l'électricité)...

    En parlant d'électricité...

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    A gauche, tu as le monde réel et internet comme les gens le voient habituellement. C'est à dire qu'Internet est une continuité du monde et que dans l'esprit des gens, Internet ne fonctionne pas sans eux.

    A droite, tu as le monde réel et internet comme il est actuellement, c'est à dire que tant qu'il y a une source d'alimentation, Internet peut vivre sans le monde réel.

    Et ça, c'est un vrai problème éthique, moral et un domaine sur lequel il faut se pencher d'urgence.

    Citation Envoyé par pemmore Voir le message
    avaler tous les bobards possibles parce qu'un gros malin à envoyé ça sur internet et ensuite accuser internet, ces gens qui ont participé à cette émeute stupide doivent être mis en éxamen et directos la prison, fallait réfléchir avant et réaliser que c'étaient des mensonges inspirés de mr Trump du même acabit que napoléon, ,robespierre/danton, thiers, Clemenceau, Hitler, pétain et autres dictateurs élus les mains pleines de sang.
    Ces 7 criminels d'état n'ont pas eu besoin de Twitter pour faire leurs sanies. Le mal parler est consécutif de l'espèce humaine, le mal entendre aussi
    Vous allez me dire oui mais (l'un des 7)! Ben non, être un homme d'état n'autorise pas à sous-traiter le crime et de s'en laver les mains, alors Trump: petit bras! 8ème?
    Oui, je suis d'accord avec toi, et en même temps, s'il n'y avait pas ces vecteurs-poisons, probablement que cela n'aurait jamais existé...

  4. #4
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    Par défaut Donc ça vole pas haut chez les yankées
    avaler tous les bobards possibles parce qu'un gros malin à envoyé ça sur internet et ensuite accuser internet, ces gens qui ont participé à cette émeute stupide doivent être mis en éxamen et directos la prison, fallait réfléchir avant et réaliser que c'étaient des mensonges inspirés de mr Trump du même acabit que napoléon, ,robespierre/danton, thiers, Clemenceau, Hitler, pétain et autres dictateurs élus les mains pleines de sang.
    Ces 7 criminels d'état n'ont pas eu besoin de Twitter pour faire leurs sanies. Le mal parler est consécutif de l'espèce humaine, le mal entendre aussi
    Vous allez me dire oui mais (l'un des 7)! Ben non, être un homme d'état n'autorise pas à sous-traiter le crime et de s'en laver les mains, alors Trump: petit bras! 8ème?

  5. #5
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    Par défaut Trop c'est trop
    Que faire de cet embrouillamini "d'informations" ; c'est la pagaille mentale.

  6. #6
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    Par défaut Facebook et consort
    J’ai écrit un jour sur ce forum que les réseaux sociaux étaient « la nouvelle arme de destruction massive », et cela en a fait sourire plus d’un !
    A supposer que l'entreprise ait vraiement l'intention de contrôler, même une armée de développeurs et modérateurs sera impuissante au final, car elle agira toujours après coup, avec systématiquement un ou deux temps de retard.

  7. #7
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    Par défaut
    +1
    ..c'est pas la fonction qui définit son emploi, c'est l'inventivité du cerveau de l'utilisateur qui en détermine ses contextes et ses limites, en fonction des caractéristiques que présente l'objet. Les évolutions /corrections ont toujours au moins un cycle de retard quand il s'agit de contrer l'utilisateur.

    ex : un crayon de papier c'est pour écrire ...certain l'utiliseront comme poignard, d'autres comme enrouleur à cassette (oui, je suis vieux), d'autres encore, l'utiliseront comme anti-stress dans la main.

  8. #8
    Invité
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    Par défaut
    Bonjour,

    Qu'en pensez-vous ?
    Plusieurs points :

    1) Cela conforte l'idée qu'en mettant les moyens,(Facebook comme tout autres réseau social), peut torpiller un mouvement nocif , nuisible , politiquement / idélogiquement ...

    2) C'est la que le piège se referme . Car mettre les moyens sur un groupe, peut faire prendre à l'entreprise "parti pour" ... Donc assez sensible en terme d'image ou de ce que le politique peut décider. Si contre le gouv en place ou un allier > alors possibilité de faire couler l'entreprise.

    Ce type d'enquête approfondie nécessite du temps, une connaissance de la situation et un contexte dont nous ne disposons pas toujours. Quels types de signaux comportementaux pourrions-nous exploiter pour observer la coordination lorsque nous n'avons pas le temps ou le contexte pour mener des enquêtes approfondies ? Quels types d'analyses et de modèles pourrions-nous élaborer pour nous aider à identifier ces réseaux à l'avenir ?
    3) Devoir faire des suivis pointus demande de la ressource couteuse. On comprend mieux pourquoi la "censure" / "modération" automatique est tellement à chier ... On ne compte plus le nombre de personnes, qui se font supprimer leur tribunes de manière arbitraires ...

    Que faisons-nous lorsqu'un mouvement est authentique, coordonné par des moyens populaires ou authentiques, mais qu'il est intrinsèquement nuisible et viole l'esprit de notre politique ? Que faisons-nous lorsque ce mouvement authentique épouse la haine ou délégitime les élections libres ? Ce sont quelques-unes des questions auxquelles nous tentons de répondre par la recherche et la création d'outils au sein du groupe de travail sur la désagrégation des réseaux nuisibles, et auxquelles nous nous attaquons dans le cadre de la politique sur les réseaux nuisibles adverses.
    4) Cela tend à démontrer que la politique et la religion n'ont donc rien à faire sur Facebook. En se débarrassant de ces 2 sujets , les contenus sur Facebook seraient modérables plus facilement. Avec moins d'abus à la clef. Il y a toujours anguille sous roche. Comme les sujets politico-religieux drainent du monde, du trafic entre Facebook ou d'autres sites = $$$ pour Facebook.

    5) Ou comment faire du cosmétique, sans traiter les problèmes de fond.

  9. #9
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    Par défaut Liberté d'expression
    Je suis bien sûr opposé à l'incitation à la violence ou à la haine. Ce qui m'inquiète beaucoup plus c'est la censure que les réseaux sociaux (Youtube par exemple) mettent en place. Si vous voulez critiquer l'action gouvernementale sur la pandémie ou livrer votre propre analyse sur les traitements anti-covid vous êtes immédiatement censurés. Je trouve cela complètement anti-démocratique et très inquiétant pour l'avenir de notre société. Nous nous acheminons progressivement vers une dictature où seul le gouvernement peut s'exprimer.

  10. #10
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    Citation Envoyé par lololapile Voir le message
    Je suis bien sûr opposé à l'incitation à la violence ou à la haine. Ce qui m'inquiète beaucoup plus c'est la censure que les réseaux sociaux (Youtube par exemple) mettent en place. Si vous voulez critiquer l'action gouvernementale sur la pandémie ou livrer votre propre analyse sur les traitements anti-covid vous êtes immédiatement censurés. Je trouve cela complètement anti-démocratique et très inquiétant pour l'avenir de notre société. Nous nous acheminons progressivement vers une dictature où seul le gouvernement peut s'exprimer.
    Vu le nombre de vidéos qui circulent sur ces sujets, pas convaincu que la censure soit si virulente que ça

    Ensuite, la quantité de messages / vidéos postée à le seconde est juste hallucinante.
    C'est matériellement impossible d'avoir une modération humaine pour traiter 100% des posts.
    Le traitement automatisé est obligatoire.
    Par contre, il est d'une complexité folle car doit tenir compte du contexte, de l'argo, de la culture, etc.
    Du coup, les entreprises comme Facebook, Youtube et consorts se protègent elles-mêmes car il est nettement moins préjudiciable de censurer à tord un post, qui pourra être republié après examen par un modérateur humain que de laisser un post litigieux trop longtemps.

    Y a régulièrement des hurluberlus qui postent des messages du style "boire de l'eau javel guéri de"
    Si Youtube tarde trop à supprimer cette vidéo et qu'un demeuré suive cette consigne et en meure...
    Certes, le gus l'aura bien cherché mais la responsabilité de Youtube pourrait être engagée.
    Du coup, Youtube a plutôt intérêt à muscler très fortement sa modération automatique dès que le mot Javel est présent, quitte à en à faire trop.

    Et c'est la même chose avec pas mal de sujets sensibles dont la COVID, la santé en général ou encore le terrorisme.

    Alors ça peut paraître absurde et salaud pour la ménagère qui donne ses tutos de nettoyage mais quand on se place du point de vue de ces plateformes, le principe de précaution se comprend plutôt bien.

    Pour finir, la liberté d'expression a tjrs été relative en tout temps et tout lieu.
    Va dans un club d'ultra de l'OM et chante une chanson à la gloire du PSG et tu pourras refaire un post sur ta liberté d'expression bafouée
    Faut savoir choisir le lieu pour exprimer certaines choses.
    C'est juste du bon sens.

    Si tu tiens vraiment à t'exprimer en totale liberté, créé ton propre site que tu héberges chez toi et tu pourras alors t'automodéré.
    Certes, ça sera un peu la même chose que d'aller seul au milieu du désert et d'hurler dans le vide mais au moins, y aura personne pour te limiter dans ton expression

  11. #11
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    Par défaut Le comité de surveillance de Facebook confirme la suspension des comptes Facebook et Instagram de Donald Trump
    Le comité de surveillance de Facebook confirme la suspension des comptes Facebook et Instagram de Donald Trump pour violation des normes communautaires
    Mais n'est pas d'accord avec sa durée indéfinie

    Donald Trump est sous le coup d’une suspension à durée indéterminée de ses comptes Facebook et Instagram. Le tableau soulève un certain nombre de questions : les réseaux sociaux ont-ils plus de pouvoir que les États ? Sont-ils à leur solde ? Sont-ils des États à part entière ? Quid de la liberté d’expression sur ces derniers ? Le comité de surveillance de Facebook vient de prendre position : il confirme la suspension desdits comptes, mais marque son désaccord sur sa durée indéfinie.

    « Le comité a confirmé la décision prise par Facebook le 7 janvier 2021 de restreindre l'accès de l'ex-président, Donald Trump, à ses comptes Facebook et Instagram.

    Cependant, il n'était pas approprié pour Facebook d'imposer la sanction indéterminée et sans norme d'une suspension indéfinie. Les sanctions normales de Facebook comprennent la suppression du contenu en infraction, l'imposition d'une période de suspension limitée dans le temps ou la désactivation permanente de la page et du compte.

    La Commission insiste pour que Facebook examine cette affaire afin de déterminer et de justifier une réponse proportionnée et cohérente avec les règles appliquées aux autres utilisateurs de sa plateforme. Facebook doit terminer son examen de cette question dans les six mois suivant la date de la présente décision. La Commission a également formulé des recommandations de politique générale que Facebook doit mettre en œuvre pour élaborer des politiques claires, nécessaires et proportionnées qui favorisent la sécurité publique et respectent la liberté d'expression », résume-t-il.

    Le comité de surveillance s'est appuyé sur l'évaluation des actions de Donald Trump menée par Facebook. Celle-ci s'est faite sur la base d'un test mondialement accepté pour distinguer l'incitation à la haine et à la violence de ce qui devrait être protégé comme un discours libre.

    Celui-ci prend en compte le contexte et l'intention du discours, l'orateur, le contenu lui-même, sa portée et l'imminence du préjudice. Trump, président à l'époque, a dit aux manifestants dans une vidéo Facebook qu'ils étaient « très spéciaux », ce, pendant que certains prenaient encore d'assaut le Capitole.

    La commission a conclu que Donald Trump a fait usage de l'autorité de communication de la présidence pour soutenir les assaillants et que sa violation des politiques de Facebook était grave en termes d'atteintes aux droits de l'Homme.

    Néanmoins, le comité a reproché à la plateforme de ne pas avoir mis en place une procédure permettant d'appliquer à nouveau ce test ou un autre pour déterminer quand les privilèges de Trump devraient être rétablis. Facebook dispose de six mois pour décider du statut de Donald Trump sur la plateforme. En sus, le comité exhorte l'entreprise à élaborer une politique permettant de gérer les crises pour lesquelles les options existantes ne permettent pas une gestion adéquate

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    Le comité de surveillance de Facebook vient donc de prolonger le bannissement de l’ancien président américain de Facebook et Instagram. Avec la prolongation viennent les questions de fond : comment veiller à ce que ces plateformes demeurent ouvertes à la liberté d’expression tout en évitant qu’elles ne soient des vecteurs de diffusion des discours haineux ou d’incitation à la violence ? Quelle solution au dilemme de gestion des droits de l’Homme en matière de discours politique ? C’est autant de questions sur lesquelles Facebook devra se pencher en sus de l’examen du cas de l’ex-président américain. « L’entreprise devra faire davantage pour se préparer à des situations politiques explosives », souligne le comité de surveillance.

    Les politiques de l'entreprise sur ces questions revêtent une importance considérable non seulement aux États-Unis, mais dans le reste du monde. Le cas Trump est une première en ceci que c’est la première fois que Facebook bloque un président, un Premier ministre ou un chef d'État en exercice. En mars, l'entreprise avait exclu le président du Venezuela, Nicolas Maduro, pour une durée de 30 jours. Motif : diffusion de fausses informations sur la pandémie de coronavirus. À date, les efforts de modération en lien aux publications des leaders politiques constituent l’un des pans sur lesquels la plateforme est le plus critiquée.

    Donald Trump répond aux bannissements en lançant sa propre plateforme de réseau social

    Après avoir promis pendant des mois la création de son propre réseau de médias sociaux, l'ancien président Donald Trump a lancé mardi une nouvelle section de son site Web qui n'est essentiellement qu'un blog WordPress. La « nouvelle plateforme » ressemble à une version générique de Twitter, mais est hébergée sous la forme d'un blog de commentaires de Trump. Les internautes peuvent s'inscrire pour recevoir des alertes sur la plateforme par le biais de leur adresse électronique et de leur numéro de téléphone et sont censés pouvoir les aimer, bien que cette fonction ne semble pas fonctionner pour le moment. Les utilisateurs sont également autorisés à partager les messages de Trump sur Facebook et Twitter. L'option de partage sur Twitter n’est pas encore, mais celle de Facebook permet aux gens de partager les publications de Trump.

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Taille : 77,5 Ko

    Indications sur l’orientation de la nouvelle « plateforme de réseau social »

    Au cours des quatre dernières années, mon administration a répondu aux besoins des Américains de toutes origines comme jamais auparavant. Sauver l'Amérique consiste à construire sur ces réalisations, à soutenir les conservateurs courageux qui définiront l'avenir du mouvement America First , l'avenir de notre parti et l'avenir de notre pays bien-aimé. Save America, c'est aussi s'assurer que nous gardons toujours l'Amérique en premier, dans notre politique étrangère et intérieure. Nous sommes fiers de notre pays, nous enseignons la vérité sur notre histoire, nous célébrons notre riche patrimoine et nos traditions nationales, et bien sûr, nous respectons notre grand drapeau américain.

    • Nous nous engageons à défendre la vie innocente et à faire respecter les valeurs judéo-chrétiennes de nos fondateurs.
    • Nous croyons en la promesse de la Déclaration d'indépendance, à savoir que nous sommes tous égaux aux yeux de notre Créateur et que nous devons tous être traités de la même manière par la loi.
    • Nous savons que nos droits ne viennent pas du gouvernement, mais de Dieu, et qu'aucune force terrestre ne pourra jamais nous les retirer. Cela inclut le droit à la liberté religieuse et le droit de détenir et de porter des armes.
    • Nous croyons qu'il faut reconstruire notre armée précédemment épuisée et mettre fin aux guerres sans fin dans lesquelles nos politiciens ratés du passé nous ont entraînés pendant des décennies.
    • Nous embrassons la libre pensée, nous accueillons les débats robustes et nous n'avons pas peur de nous opposer aux dictats oppressifs du politiquement correct.
    • Nous savons que l'État de droit est la sauvegarde ultime de nos libertés et nous affirmons que la Constitution signifie exactement ce qu'elle dit TEL QU'ÉCRIT.
    • Nous sommes en faveur d'un commerce équitable, de faibles taxes et de moins de réglementations néfastes pour l'emploi, et nous savons que l'Amérique doit toujours avoir l'armée la plus puissante de la planète.
    • Nous croyons en la loi et l'ordre, et nous croyons que les hommes et les femmes chargés de faire respecter la loi sont des HÉROS qui méritent notre soutien absolu.
    • Nous croyons en la LIBERTÉ DE PARLER et en des élections équitables. Nous devons garantir des élections justes, honnêtes, transparentes et sûres à l'avenir – où chaque VOTE LÉGAL compte.

    Source : comité de surveillance

    Et vous ?

    Que pensez-vous du positionnement du comité de surveillance de Facebook ?
    Comment veiller à ce que ces plateformes demeurent ouvertes à la liberté d’expression tout en évitant qu’elles ne soient des vecteurs de diffusion des discours haineux ou d’incitation à la violence ?
    Quelle solution au dilemme de gestion des droits de l’Homme en matière de discours politique ?
    Voyez-vous la plateforme de réseau social de Donald Trump comme un modèle en matière de modération des contenus dans le futur ?

    Voir aussi :

    Twitter suspend définitivement le compte de Donald Trump, le réseau social estime que les messages qu'il a publiés récemment représentent un risque d'incitation à la violence
    Voici le plan de Donald Trump pour réglementer les médias sociaux : une réécriture des dispositions fondamentales de l'article 230 de la Communications Decency Act (CDA)
    L'administration Trump propose de réduire les protections juridiques pour les grandes entreprises technologiques, via un projet de loi visant à réviser l'immunité offerte par l'article 230 de la CDA
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  12. #12
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    Parler d' "émeutes" du Capitole, c'est un grand mot. Il y a une victime certaine, c'est une manifestante, abattue par la police dans des circonstances qu'on n'a pas révélées au public. On a d'abord prétendu qu'un policier avait été tué par les manifestants, puis on a rétropédalé : le policier est devenu malade après être rentré chez lui et le rapport médical a conclu qu'il était impossible d'établir un lien entre le décès et la présence du policier au Capitole.
    Il y avait de fortes raisons de penser que les élections avaient été falsifiées (retards anormaux et jamais vus auparavant dans les décomptes et, simultanément à ces retards, énorme revirement au détriment de Trump et en faveur de Biden), c'est pourquoi Trump a appelé à manifester au Capitole, mais il n'a pas appelé à la violence.
    Le Time Magazine a raconté très sérieusement qu'une "campagne secrète" s'était organisée, longtemps avant les élections de novembre, pour "sauver" ces élections contre Trump. Cette "campagne secrète" a beaucoup prêché pour le vote par correspondance (interdit actuellement en France parce qu'il favorise la fraude). Toujours selon le Time magazine, quand des Noirs disaient à la "campagne secrète" qu'ils préféraient voter en personne, on leur répondait que le vote par correspondance était le plus sûr. Le Time magazine raconte aussi que la "campagne secrète" avait obtenu des GAFAM qu'ils musèleraient ceux qui voudraient contester les résultats des élections. Et le Time magazine raconte tout cela comme si c'était très bien.

  13. #13
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    Par défaut Le FBI a identifié les participants à l'attaque du Capitole à l'aide d'un logiciel de reconnaissance faciale
    Le FBI a identifié les participants à l'attaque du Capitole à l'aide d'un logiciel de reconnaissance faciale,
    de données de géolocalisation de leurs téléphones portables et de publications sur les réseaux sociaux

    Quatre mois après l'émeute du 6 janvier au Capitole des États-Unis, les agents du FBI maintiennent un rythme constant d'arrestation des personnes accusées d'avoir participé. Plus de 440 personnes ont été accusées d'avoir pris part au siège du Capitole, venant de tous les États sauf six (Mississippi, Dakota du Nord et du Sud, Rhode Island, Vermont et Wyoming). Le plus grand nombre provient du Texas, de la Pennsylvanie et de la Floride, dans cet ordre.

    Les hommes sont plus nombreux que les femmes parmi les personnes arrêtées par 7 contre 1, avec une moyenne d'âge de 39 ans, selon les chiffres compilés par le programme sur l'extrémisme de l'Université George Washington à Washington, D.C. Un total de 44 sont des vétérans militaires. Plus de 60 des personnes arrêtées à ce jour font face à certaines des accusations les plus graves, d'agression d'agents de la police du Capitole des États-Unis et des services de la police métropolitaine de Washington. Les responsables ont déclaré que 140 officiers avaient été blessés lors de l'émeute.

    Le rythme des arrestations est resté stable, alors que le FBI trie des centaines de milliers de comptes sur les réseaux sociaux. Dans près de 90 % des cas, les accusations ont été basées au moins en partie sur les propres comptes de médias sociaux d'une personne. Un homme de New York, Robert Chapman, s'est vanté sur l'application de rencontres Bumble d'avoir été au Capitole pendant l'émeute. La personne qu'il cherchait a informé le FBI.

    Le FBI a déclaré que Reed Christensen de l'Oregon, accusé d'avoir agressé des officiers sur la terrasse inférieure ouest du Capitole, avait été identifié avec l'aide de son fils.

    Les enquêteurs ont également utilisé un logiciel de reconnaissance faciale, comparant des images de caméras de surveillance et une vague de vidéos de médias sociaux et d'agences de presse avec des bases de données de photos du FBI et d'au moins une autre agence fédérale, les douanes et la protection des frontières, selon des documents judiciaires.

    Ils ont également assigné à comparaître des dossiers d'entreprises fournissant des services de téléphonie mobile, permettant aux agents de savoir si le téléphone d'une personne spécifique se trouvait à l'intérieur du Capitole pendant le siège. Avec au moins 500 affaires devant être classées, toutes dans un seul tribunal fédéral à Washington, les procureurs chercheront probablement à conclure des accords de plaidoyer, dans l'espoir de réduire le nombre d'affaires en procès complet.

    Dans une situation comme celle de l'émeute du Capitole, les données de géolocalisation plus précises sont importantes. Quelques mètres peuvent faire la différence entre un participant qui a commis un crime grave et un spectateur. Si certaines données de localisation sont précises à quelques mètres près, d'autres ne le sont pas. Les sociétés de localisation peuvent travailler avec des données provenant de capteurs GPS, de signaux Bluetooth et d'autres sources. La qualité dépend des paramètres du téléphone et du fait qu'il soit connecté à un réseau Wi-Fi ou à une tour de téléphonie mobile. Des questions telles que la population et la densité des bâtiments peuvent parfois jouer un rôle dans la qualité des données.

    Une source a fourni au New York Times un ensemble de données, suivant les smartphones de milliers de partisans de Trump, de manifestants et de passants à Washington, D.C., le 6 janvier, alors que le rassemblement politique de Donald Trump se transformait en une violente insurrection.

    « Ces données comprenaient des informations remarquables : un identifiant unique pour chaque utilisateur, lié à un smartphone. Cela a rendu encore plus facile la recherche de personnes, puisque l'identifiant prétendument anonyme pouvait être comparé avec d'autres bases de données contenant le même identifiant, ce qui nous permet de compléter en quelques secondes les vrais noms, adresses, numéros de téléphone, adresses e-mail et autres informations sur les propriétaires de smartphones ». Ces identifiants, expliquent les auteurs, sont appelés identifiants de publicité mobile, et ils permettent aux entreprises de suivre les personnes sur le web. « Ils sont censés être anonymes, et les propriétaires de smartphones peuvent les réinitialiser ou les désactiver complètement. Nos conclusions montrent que la promesse de l'anonymat est une farce », pouvait-on lire dans un article datant de février.

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    Un homme de l'Indiana accusé d'être un membre fondateur du groupe d'extrême droite les Oath Keepers, Jon Schaffer, a plaidé coupable d'être entré dans le Capitole alors qu'il portait un gilet tactique et était armé d'un spray anti-ours. Il a accepté de coopérer avec les enquêteurs.

    Les procureurs ont déclaré lors des audiences de la Cour la semaine dernière qu'ils proposeraient bientôt des accords de plaidoyer à quatre hommes accusés d'avoir agressé des policiers. L'un d'eux, Patrick McCaughey, a été accusé d'avoir utilisé un bouclier antiémeute de la police pour pousser le policier du Capitole Daniel Hodges et pour le coincer entre le bouclier et une porte de la terrasse inférieure ouest de l'immeuble.

    Dans une vidéo largement vue, Hodges semble crier de douleur. Mais lors de l'audience de la semaine dernière à Washington, le juge de district américain Trevor McFadden a déclaré que les procureurs n'avaient pas allégué que Hodges avait été blessé. Le juge a déclaré que les avocats de la défense ont cité une interview dans laquelle Hodges a déclaré qu'il criait pour signaler aux autres policiers qu'il était piégé.

    « Il me semble que l'accusé essayait de se frayer un chemin à travers les officiers avec d'autres émeutiers pour entrer dans le Capitole, plutôt que d'essayer de blesser ou d'attaquer les officiers », a déclaré le juge.

    Lors d'une autre audience, des avocats du gouvernement ont déclaré avoir entamé des discussions de plaidoyer avec Kevin Seefried du Delaware, qui a été photographié à l'intérieur du Capitole tenant un drapeau confédéré, et son fils, Hunter.

    Le FBI a publié 353 images sur son site Web, sollicitant l'aide du public pour identifier les personnes au Capitole le 6 janvier, avec une priorité de trouver ceux qui ont attaqué des policiers. Les images 106 et 134 impliquent des attaques contre deux policiers de DC qui ont été traînés sur les marches du Capitole. L'un d'eux a été frappé avec une perche. Et l'image 300 montre une personne qui semble jeter un morceau de bois contre une fenêtre du Capitole.

    Les responsables du FBI à Washington recherchent toujours l'aide publique pour identifier la personne qui a posé deux bombes artisanales au siège séparé des partis nationaux républicain et démocrate. Les appareils ont été placés la nuit avant l'émeute.

    Ils n'ont pas explosé, mais les enquêteurs affirment qu'ils étaient tout à fait capables de causer des dégâts importants.

    Source : FBI
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  14. #14
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    Par défaut Facebook va mettre fin au traitement spécial réservé aux hommes politiques après l'interdiction de Trump.
    Facebook va mettre fin au traitement spécial réservé aux hommes politiques après l'interdiction de Trump,
    à l'avenir les politiciens seront traités comme tout le monde

    Facebook prévoit de mettre fin à sa politique controversée qui protège principalement les politiciens des règles de modération du contenu qui s'appliquent aux autres utilisateurs. Un revirement majeur qui pourrait avoir des ramifications mondiales sur la façon dont les élus utilisent le réseau social. Le changement annoncé intervient alors que Facebook doit annoncer sa réponse aux recommandations formulées par le conseil de surveillance indépendant de l'entreprise lorsqu'il a statué sur la suspension de l'ancien président américain Donald Trump. Le conseil de surveillance de Facebook, l'Oversight Board, a récemment confirmé la suspension de Trump par Facebook à la suite de l'émeute du 6 janvier au Capitole, mais a déclaré que le géant des médias sociaux avait eu tort de rendre la suspension indéfinie.

    Ces dernières années, les plateformes technologiques ont été confrontées à la question de savoir comment contrôler les dirigeants mondiaux et les politiciens qui violent leurs directives. Facebook et Twitter estiment depuis longtemps que les hommes politiques devraient bénéficier d'une plus grande latitude dans leurs propos sur les plateformes que les utilisateurs ordinaires.

    L’annonce que doit faire Facebook dès ce vendredi, intervient après que l'Oversight Board – un groupe indépendant financé par Facebook pour examiner ses décisions les plus épineuses en matière de contenu – a confirmé sa décision de suspendre l'ancien président Donald Trump mais a critiqué le traitement spécial accordé aux hommes politiques, déclarant que « les mêmes règles devraient s'appliquer à tous les utilisateurs ». Les sanctions normales de Facebook comprennent la suppression du contenu en infraction, l'imposition d'une période de suspension limitée dans le temps ou la désactivation permanente de la page et du compte. Le conseil d'administration a donné à Facebook jusqu'au 5 juin 2021 pour répondre à ses recommandations politiques.

    Nom : Screenshot_2021-06-04 Facebook to end special treatment for politicians after Trump ban.png
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    Facebook prévoit également de faire la lumière sur le système secret des sanctions qu'il attribue aux comptes qui enfreignent ses règles de contenu, d’après deux personnes au fait de ces changements qui souhaitent garder l’anonymat. Il s'agira notamment de permettre aux utilisateurs de savoir quand ils ont reçu un avertissement pour avoir enfreint ses règles, ce qui pourrait entraîner une suspension. Facebook doit également commencer à divulguer les cas où il a recours à une exemption spéciale d'actualité pour maintenir le contenu de politiciens et d'autres personnes qui violeraient autrement ses règles.

    Ces changements sont notables pour Facebook, car l'entreprise a toujours adopté une approche non interventionniste à l'égard de ce que les élus disent sur son service. Les dirigeants de l'entreprise, y compris le PDG Mark Zuckerberg, ont déclaré qu'ils ne devraient pas avoir pour mission de contrôler le discours des politiciens. Ils ont fait valoir le fait que ce discours est déjà le plus surveillé au monde et que les entreprises privées ne devraient pas censurer ce que les politiciens disent à leurs citoyens.

    Depuis quelques années, Facebook tient une liste de comptes politiques qui ne sont pas soumis aux mêmes processus de vérification des faits ou de modération du contenu que ceux qui s'appliquent aux autres utilisateurs. En 2019, un groupe d'employés a demandé la dissolution de cette liste, citant des recherches internes qui montraient que les gens étaient particulièrement susceptibles de croire des faussetés si elles étaient partagées par un élu.

    La même année, le vice-président des affaires mondiales de Facebook, Nick Clegg, a clarifié publiquement cette politique en déclarant que « nous traiterons les discours des politiciens comme des contenus dignes d'intérêt qui devraient, en règle générale, être vus et entendus ». Au-delà des contenus expressément illégaux tels que la pornographie enfantine, Facebook ne prendrait des mesures contre les commentaires des politiciens que s'ils pouvaient, de manière crédible, entraîner des dommages physiques ou décourager le vote.

    Le contenu provenant d'autres sources que les politiciens partagent, comme les liens d'actualité ou les vidéos, a déjà été soumis à une vérification des faits, une étape qui peut réduire considérablement la diffusion des messages. Dans le cadre des nouvelles politiques de Facebook, les publications faites directement par des politiciens ne seront toujours pas soumises à l'examen du réseau de vérificateurs de faits indépendants de l'entreprise. Mais, pour la première fois, ils pourront être soumis à des règles plus strictes, comme le harcèlement, que les modérateurs de Facebook appliquent aux autres utilisateurs.

    La politique de non-intervention dans les discours politiques a suscité de vives réactions lorsque Donald Trump a utilisé Facebook pour attiser la division après l'assassinat de George Floyd et a ensuite fait l'éloge de ses partisans lors de leur tentative d'insurrection violente au Capitole en janvier dernier. Et en Inde, le plus grand pays de Facebook en termes d'utilisateurs, l'entreprise a été critiquée pour ne pas avoir pris de mesures contre les commentaires violents des membres du parti au pouvoir. Dans le cadre de la nouvelle politique relative aux hommes politiques, Facebook pourra toujours utiliser l'exemption de l'obligation d'informer pour laisser en place une publication qui, autrement, serait supprimée. Mais l'entreprise s'engagera à divulguer les cas où elle le fera.

    Après l'attaque du Capitole par les partisans de Trump en janvier, Facebook a bloqué indéfiniment sa capacité à publier et a soumis la décision à l'Oversight Board, un groupe d'experts en droits de l'Homme mis en place pour juger de l'application de ses politiques. Le conseil a répondu que Facebook avait eu tort de prendre des mesures spéciales à l'égard du compte de Donald Trump, car ses politiques publiques n'expliquent pas quand il peut bloquer indéfiniment la capacité d'une personne à publier des messages. Dans sa réponse écrite à Facebook le 5 mai, le conseil d'administration a demandé à l'entreprise de « dissiper la confusion générale sur la façon dont les décisions relatives aux utilisateurs influents sont prises ». Facebook disposait de 30 jours pour répondre aux recommandations du conseil d'administration et de six mois pour achever l'examen du compte de Trump.

    Sources : Oversight Board, Facebook

    Et vous ?

    Que pensez-vous du positionnement du comité de surveillance de Facebook ?
    Comment veiller à ce que ces plateformes demeurent ouvertes à la liberté d’expression tout en évitant qu’elles ne soient des vecteurs de diffusion des discours haineux ou d’incitation à la violence ?
    Quelle solution au dilemme de gestion des droits de l’Homme en matière de discours politique ?

    Voir aussi :

    Facebook empêche à ses employés de lire un rapport interne qui examine le rôle et les manquements du réseau social ayant conduit à l'émeute du Capitole. Vous pouvez le lire ici

    Le comité de surveillance de Facebook confirme la suspension des comptes Facebook et Instagram de Donald Trump pour violation des normes communautaires, mais n'est pas d'accord avec sa durée indéfinie

    Twitter suspend définitivement le compte de Donald Trump, le réseau social estime que les messages qu'il a publiés récemment représentent un risque d'incitation à la violence

    Voici le plan de Donald Trump pour réglementer les médias sociaux : une réécriture des dispositions fondamentales de l'article 230 de la Communications Decency Act (CDA)

  15. #15
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    À l'avenir, les politiciens Libéraux qui pensent exactement comme nous seront traités mieux que tout le reste... Voila je crois que là ça se rapproche plus de la réalité 😎

  16. #16
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    Bonsoir,

    Que pensez-vous du positionnement du comité de surveillance de Facebook ?
    Belle affaire si les politiques sont maintenant logés à la même enseigne que les quidams moyens

    Quelle solution au dilemme de gestion des droits de l’Homme en matière de discours politique ?
    Créer des réseaux sociaux dédiés à la politique et à la religion . Ces 2 thématiques n'ont strictement rien à faire sur un réseau social lambda censé être orienté "loisir" .

  17. #17
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    Citation Envoyé par tanaka59 Voir le message
    Créer des réseaux sociaux dédiés à la politique et à la religion . Ces 2 thématiques n'ont strictement rien à faire sur un réseau social lambda censé être orienté "loisir" .
    Où as-tu vu que Facebook était un réseau orienté loisir ?
    Cela n'a jamais été dans l'ambition de FB, y compris lors de sa création.

    Et puis, comment comptes-tu séparer la politique de la religion de la société et de la vie quotidienne ?
    Quand tu as des sujets tels que la PMA, c'est autant sociétal que politique et religieux.

    De même, la plupart de nos loisirs ont également une portée politique et/ou religieuse.
    Quand on participe à une reconstitution d'une bataille napoléonienne, bien évidement que c'est ludique et historique mais cela a aussi une grande signification politique.
    Du coup, on communique dessus sur quel réseau ?

    Même chose avec la littérature où la plupart des œuvres ont une portée philosophique, politique et religieuse.
    Tolkien était un fervent catholique et on retrouve pas mal de références à la religion dans le Seigneur des Anneaux.
    Si on veut communiquer sur les livres, films et jeux autour de cet univers, on le fait sur quel canal ?

    A vouloir mettre chaque chose dans une case, c'est le meilleurs moyen pour ne jamais parler de rien dans son ensemble et surtout pas ensemble.

    Ce que tu proposes n'est ni plus ni moins que du communautarisme.

  18. #18
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    Il faudrait déja que facebook trait de manière égale tout le monde. C'est tres loin d'être le cas.

  19. #19
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    Par défaut Les comptes Facebook et Instagram de Donald Trump suspendus jusqu'au 7 janvier 2023
    Les comptes Facebook et Instagram de Donald Trump suspendus jusqu'au 7 janvier 2023,
    mais la sanction pourrait être prolongée

    Suite à l’invasion du Capitole par des partisans de Donald Trump le 6 janvier dernier, le compte de l’ancien président américain avait été banni de Facebook pour une durée indéterminée. Vendredi soir, Facebook a annoncé qu’il pourra revenir sur la plateforme, ainsi que sur Instagram, le 7 janvier 2023.

    Au début de l'année, Facebook a procédé au blocage des comptes Facebook et Instagram de Donald Trump sur une durée de 24 heures. Le lendemain, Facebook s'est ravisé en optant pour un blocage d'une durée indéterminée et pendant « au moins les deux prochaines semaines, jusqu'à ce que la transition pacifique du pouvoir soit terminée », selon les propos du PDG de Facebook, Mark Zuckerberg.

    Ce dernier avait alors expliqué :

    « Les évènements choquants des dernières 24 heures démontrent clairement que le président Donald Trump a l'intention d'utiliser le temps qu'il lui reste pour saper la transition pacifique et légale du pouvoir à son successeur élu, Joe Biden.

    « Sa décision d'utiliser sa plateforme pour tolérer plutôt que condamner les actions de ses partisans au Capitole a à juste titre dérangé les gens aux États-Unis et dans le monde. Nous avons supprimé ces déclarations hier parce que nous avons estimé que leur effet – et probablement leur intention – serait de provoquer de nouvelles violences ».

    L'Oversight Board (un groupe indépendant financé par Facebook pour examiner ses décisions les plus épineuses en matière de contenu) a confirmé la sanction, estimant que les circonstances sans précédent justifiaient la mesure exceptionnelle qui a été prise. Cependant, il a précisé qu’elle ne pouvait pas être indéfinie. L'Oversight Board a critiqué la nature illimitée de la suspension, déclarant « qu'il n'était pas approprié que Facebook impose la peine indéterminée et sans norme de suspension indéfinie », rappelant que « dans les six mois suivant cette décision, Facebook doit réexaminer la sanction arbitraire qu'il a infligée le 7 janvier et décider de la sanction appropriée ».

    Le dossier a alors été réexaminé par Facebook à qui il a été demandé d'examiner la décision et de répondre d'une manière claire et proportionnée. Dans la foulée, l'Oversight Board a fait un certain nombre de recommandations sur la façon d'améliorer les politiques et les processus.

    Facebook a rendu son verdict

    « Nous annonçons aujourd'hui de nouveaux protocoles d'application à appliquer dans des cas exceptionnels comme celui-ci, et nous confirmons la sanction limitée dans le temps conformément à ces protocoles que nous appliquons aux comptes de M. Trump. Compte tenu de la gravité des circonstances qui ont conduit à la suspension de M. Trump, nous pensons que ses actions ont constitué une grave violation de nos règles qui méritent la sanction la plus élevée disponible en vertu des nouveaux protocoles d'application. Nous suspendons ses comptes pendant deux ans, à compter de la date de la suspension initiale le 7 janvier de cette année.

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    « À la fin de cette période, nous ferons appel à des experts pour évaluer si le risque pour la sécurité publique a diminué. Nous évaluerons les facteurs externes, y compris les cas de violence, les restrictions aux rassemblements pacifiques et d'autres marqueurs de troubles civils. Si nous déterminons qu'il existe toujours un risque grave pour la sécurité publique, nous prolongerons la restriction pour une période donnée et continuerons de réévaluer jusqu'à ce que ce risque disparaisse.

    « Lorsque la suspension sera finalement levée, il y aura un ensemble strict de sanctions à escalade rapide qui seront déclenchées si M. Trump commet de nouvelles violations à l'avenir, jusqu'à et y compris la suppression définitive de ses pages et comptes.

    « En établissant la sanction de deux ans pour les violations graves, nous avons estimé qu'elle devait être suffisamment longue pour permettre une période de sécurité après les actes d'incitation, suffisamment importante pour dissuader M. Trump et d'autres de commettre de tels actes, violations graves à l'avenir et proportionnées à la gravité de la violation elle-même.

    « Nous sommes reconnaissants que le Conseil de surveillance ait reconnu que notre décision initiale de suspendre M. Trump était juste et nécessaire, dans les circonstances exceptionnelles de l'époque. Nous reconnaissons que nous n'avions pas mis en place de protocoles d'application adéquats pour répondre à de tels événements inhabituels. Maintenant que nous les avons, nous espérons qu'elles ne seront applicables que dans les circonstances les plus rares.

    « Nous savons que toute sanction que nous appliquons – ou choisissons de ne pas appliquer – sera controversée. De nombreuses personnes pensent qu'il n'était pas approprié qu'une entreprise privée comme Facebook suspende un président sortant de sa plateforme, et beaucoup d'autres pensent que M. Trump aurait dû être immédiatement banni à vie. Nous savons que la décision d'aujourd'hui sera critiquée par de nombreuses personnes de part et d'autre du clivage politique, mais notre travail consiste à prendre une décision de la manière la plus proportionnée, équitable et transparente possible, conformément aux instructions que nous a données le Conseil de surveillance.

    « Bien entendu, cette pénalité ne s'applique qu'à nos services — M. Trump est et restera libre de s'exprimer publiquement par d'autres moyens. Notre approche reflète la façon dont nous essayons d'équilibrer les valeurs de liberté d'expression et de sécurité sur nos services, pour tous les utilisateurs, telles qu'elles sont inscrites dans nos normes communautaires. D'autres sociétés de médias sociaux ont adopté des approches différentes – soit en interdisant définitivement à M. Trump l'accès à leurs services, soit en confirmant qu'il sera libre de reprendre l'utilisation de leurs services lorsque les conditions le permettront ».

    Dans la foulée, Facebook s'est engagé à être plus transparent sur les décisions qu'il prend et leur impact sur ses utilisateurs. Aussi, en plus de ses protocoles d'application mis à jour, le numéro un des réseaux sociaux a également publié son système d'avertissement « afin que les gens sachent quelles mesures nos systèmes prendront s'ils enfreignent nos politiques ». Et plus tôt cette année, Facebook a lancé une fonctionnalité appelée « état du compte », afin que les gens puissent voir quand le contenu a été supprimé, pourquoi et quelle a été la pénalité.

    En réponse à une recommandation du Conseil de surveillance, Facebook fournit également plus d'informations dans son Centre de transparence sur son allocation de valeur médiatique et la façon dont il l'applique : « Nous permettons à certains contenus dignes d'intérêt ou importants pour l'intérêt public de rester sur notre plateforme, même s'ils pourraient autrement enfreindre nos normes communautaires. Nous pouvons également appliquer des sanctions, telles que les rétrogradations, lorsqu'il est dans l'intérêt public de le faire. Cependant, lors de ces décisions, nous supprimerons le contenu si le risque de préjudice l'emporte sur l'intérêt public ».

    Source : Facebook

    Et vous ?

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  20. #20
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    Qu'on aime trump ou pas, je trouve cette suspension scandaleuse.
    Elle démontre que les grands acteurs du numérique ne sont pas aussi neutres qu'ils le prétendent.

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