Effectivement, sur Youtube, c'est + les nénettes expat qui racontent leur vie (des vlog)
C'est + assurance voiture
C'est pas non plus 5 jours à + de 30°C (hors sud) qu'on va dire que la France a 1 climat chaud et sec. C'est + nuageux, venteux, humide
Oui précisément : travailler dans le logiciel libre.
Cette enquête devrait t'ouvrir les yeux sur le fait que ton cas n'est pas une généralité et que travailler avant tout pour l'argent n'est pas une motivation triviale.
J'en profite pour remercier tous les participants de cette discussion qui restent cordiaux et intelligents et qui permettent d'enrichir le débat à travers des interventions constructives.
@ 7gyY9w1ZY6ySRgPeaefZ : C'est quoi selon toi la plus-value du cadre de vie québecois face au cadre de vie français ?
En quoi ça te donne le droit d'être condescendant ?
Non, pas de grosse différence. C'est sûr que si tu assures un F150, ça doit coûter un bras, mais c'est mérité !
Pour le travail, un respect au travail bien plus important qu'en France, bien moins de hiérarchie et une réelle influence sur les projets ainsi que sur l'avenir de tes chefs : j'en ai vu des boss méprisants se faire virer suite à trop de commentaires négatifs sur leur comportement et leurs résultats.
Des feuilles de paie compréhensibles qui tiennent sur une demi page.
Le Québec est petit alors ta réputation arrive quelques heures après ton cv. (ok je schématise beaucoup mais le monde est petit au Québec malgré la superficie)
C'est facile de changer d'employeur en 3 semaines (du premier entretien au début de contrat, incluant le préavis).
Le négatif, c'est facile de se faire virer en 30 minutes, moins de vacances (le minimum légal est de 2 semaines mais c'est à négocier), des semaines de travail de 40 heures à 35 heures, la majorité étant à 37.5 h/sem
Pour le reste, je parle essentiellement de Montréal: des shows pas chers dans des petites salles, des personnes au contact facile mais parfois superficiel, plein d'activité de plein air toute l'année, une ville cyclable relativement sécuritaire (je n'ai jamais eu de problèmes avec les autos mais je me suis pris quelques fois des vélos de faces).
etc...
Salut,
pour répondre à ta question, ayant évolué dans le domaine de la finance, très clairement tu grimpes plus facilement. En France, même au bout de 10 ou 15 ans d'XP, la premiere question reste : quel est ton diplôme. Et si la couleur du tien est identique à celle du patron, tu grimperas, alors qu'au Québec, à partir du moment ou tu montres que tu es capable, peu importe ton background (surtout que les écoles FR, ici ils s'en fichent pas mal que tu sortes de l'ECE ou de l'EPITA ^^), tu peux progresser...
Cycle de vie d'un bon programme :
1/ ça fonctionne 2/ ça s'optimise 3/ ça se refactorise
Pas de question technique par MP, je ne réponds pas
Mes ouvrages :
Apprendre à programmer avec Access 2016, Access 2019 et 2021
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Québécois avec la majuscule et le deuxième accent aiguë en français
Ces dernières années au Québec, il y avait une telle pénurie dans les TI que l'on y retrouvait énormément d'immigrants, ça fait que le racisme ordinaire et le conservatisme sont pas mal mis de côté face au besoin économique. Il reste aussi que l'Amérique du Nord est une terre d'immigration donc bien plus ouverte que la vieille Europe.
Dans mon équipe actuel, sur 9 personnes, il y a 4 Québécois « de souche », 3 Français « d'origine » et d'autres origines.
Donc, oui, les chances d'évoluer sont importantes, surtout que l'immigration choisi des personnes jeunes et diplômés.
Seul bémol, les femmes sont encore souvent mises de côté, même si c'est bien plus progressiste qu'en France, sauf chez Ubisoft Montréal qui a vraisemblablement une culture sexiste et misogyne particulièrement bien ancré. Et Mindgeek, le leader mondiale de la porn.
la méritocratie je pense que c'est un truc bien français...
de toute façon je pense que les personnes qui m'ont précédé ont tout dit, au Québec et en Amérique du Nord il faut montrer de quoi on est capable de faire notamment dans les pays-anglophones.
Dans une entreprise nord-américaine qu'importe le rang dans la hiérarchie si on n'est pas performant on peut se faire virer du jour au lendemain aussi bien cadre supérieur que salarié de base.
Ce que j'ai déjà écris c'est qu'un québecois préfère faire affaire avec un étasunien plutôt qu'un français même si un québecois et un français parlent globalement la même chose,c'est paradoxal.
Maintenant si vous voulez gagner de l'argent à tout prix il faut créer une entreprise et produire un bien pour la société de consommation que les gens veulent acheter...
Concernant le cadre de vie au Canada y'a pas photo qui hésiterait à vivre en région parisienne où les problèmes sociaux deviennent récurrents,les loyers exorbitants, les transports en commun bondés et à vivre au Canada ?
C'est là le gros malentendu : les Québécois, ce sont des Américains qui parlent français et non des Français d'Amérique.
La langue est la même mais les différences culturels sont très importantes.
Avec un Américain des US, l'affaire va se réglé rapidement, sans vague.
Avec le Français, ça va être la joute verbale interminable. Et ça, un américain (US ou CA) déteste la confrontation, surtout verbale.
Un Français est élevé avec un niveau de rhétorique et de vocabulaire que l'on n'a pas au Québec.
Un article intéressant ici : https://www.lefigaro.fr/langue-franc...s-francais.php
Je pense que tu retrouves aussi ces problèmes au Canada à Vancouver.
La méritocratie ça marche plutôt facilement si t'es un prolo et qu'en faisant des études tu te retrouves classe moyenne comme des études justement d'IT ou de comptabilité par exemple. Tu seras jamais top 1% si tu prends pas le risque d'être entrepreneur ou gagner au loto. Être entrepreneur nécessite un bon réseau et c'est pas en étant issu d'une famille prolo que tu l'as. Donc en résumé facile de faire prolo classe moyenne, très difficile d'être classé supérieure sauf talent particulier comme sportif par exemple.
Il y aurait un sondage intéressant à faire sur le forum. Clairement cette question dépend beaucoup des personnes, mais de manière générale on passe beaucoup de temps au travail, il est donc important de s'y sentir bien, et cela ne dépend pas que de l'argent, mais aussi de l'intérêt de ce que l'on y fait, de l'environnement général (organisation de l'équipe, etc...), etc...Envoyé par yolle
En effet ce serait très intéressant un débat sur ce thème. Cependant ça demande une réflexion profonde,honnête et objective. Par exemple tu mets en avant "le bien être au travail" mais c'est un sentiment qui peut être obtenu autrement que par le travail (ce sentiment de bien être, d'accomplissement, d'utilité, de convivialité, etc... peut être obtenu dans une association sans rapport avec le travail associé à une rémunération)
Si on en revient à la définition et à l'origine même d'un contrat de travail, il est un échange de besoin. L'échange d'un travail (tâche à accomplir, le besoin) ou d'une force de travail si la tâche est complexe contre une rémunération (le besoin d'indépendance financière pour le salarié). C'est un deal qui doit être équilibré et ce n'est absolument pas une chance comme on essaye de nous faire croire en France, c'est juste normal.
D'ailleurs cette recherche d'équilibre, sinon l'une des parties se fait avoir, est le siège des revendications salariales. Si la tâche augmente, la rémunération doit augmenter pour atteindre l'équilibre.
Dans un tel débat, il ne faudrait pas confondre ; "pourquoi tu travailles" et "qu'est ce que tu recherches dans le travail".
ps : avis personnel mais à la vraie question "pourquoi on travaille", j'ai bien peur que la réponse soit unanime. En revanche à la question "qu'aime t-on, qu'attendons nous, ou de quoi avons nous besoin dans le travail", il doit y avoir de quoi débattre sans fin.
La science ne nous apprend rien : c'est l'expérience qui nous apprend quelque chose.
Richard Feynman
Pour l'anecdote, dans un précédent ministère où j'ai évolué, il y avait non pas une associate bien-être, mais une association mieux-être, ce que j'ai trouvé tellement plus ambitieux, toujours chercher à faire mieux
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bonjour à Vancouver j'y ai résidé plus de 4 mois et le système de transports en commun fonctionne très bien ; les appartements bien que plus chers qu'à Montréal sont grands et neufs et confortables.
La ville est très propre par contre il y a quelques quartiers peu recommandables comme East Hastings mais rien de bien méchant non plus...
le parc Stanley au bout de la ville est superbe et du côté de UBC il y a de très beaux quartiers, rien à voir avec Bobigny, Aubervilliers ou autre
Pareil. Les opportunités ont rares, mais elles existent. Quand j'ai changé de SSII à Paris en 2007, je suis passé de 10% en dessous du marché à 10% au dessus. En 2014, expérience aidant, ma valeur avait grimpé, et j'étais en gros au prix du marché. A Paris. J'ai négocié à Montpellier le même fixe.... plus une prime de fin d'année à plusieurs k€. Depuis, les gens qui me contactent sur Linkedin pour des postes à Montpellier raccrochent dès que je leur dit combien je touche, il savent qu'ils ne peuvent pas s'aligner.
Mais ça demande trois choses :
- Se construire un profil sexy
- Savoir se vendre
- Savoir identifier les opportunités
Le point 3 est plus inné qu'acquis. Le point 2 est clairement acquis (les SSII m'y ont formé, spécialement AUSY, que je ne remercierait jamais assez). Le point 1 demande de la patience et du jugement (et aussi un peu du point 3, savoir identifier les opportunités).
Aux USA ou à Dubai, ça passe. Ailleurs.....
Les 4 règles d'airain du développement informatique sont, d'après Michael C. Kasten :
1)on ne peut pas établir un chiffrage tant qu'on a pas finalisé la conception
2)on ne peut pas finaliser la conception tant qu'on a pas complètement compris toutes les exigences
3)le temps de comprendre toutes les exigences, le projet est terminé
4)le temps de terminer le projet, les exigences ont changé
Et le serment de non-allégiance :
Je promets de n’exclure aucune idée sur la base de sa source mais de donner toute la considération nécessaire aux idées de toutes les écoles ou lignes de pensées afin de trouver celle qui est la mieux adaptée à une situation donnée.
justement oui dans les pays asiatiques il est bien vu de réussir financièrement parlant ne serait-ce qu'en Chine ou en Malaisie ou à Singapour ...si vous n'affichez pas vos signes extérieurs de richesse c'est que vous avez raté votre vie, vous êtes un looser.
Et en Thaïlande le farang qui perd tout son argent il n' a plus qu'à revenir en Europe, personne ne viendra l'aider
Je ne peux pas me prononcer concernant la Chine car je n'y ai jamais mis les pieds mais je suppose que c'est comme à Singapour où le capitalisme est totalement débridé...
Les asiatiques font une séparation très franche et nette entre "l'existentiel" ,la spiritualité, la philosophie bref ce qui tient des idéaux de l'existence et avec la condition matérielle.
Ce qui n'est pas toujours flagrant dans les cultures occidentales...
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