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  1. #1
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    Avatar de Patrick Ruiz
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    Par défaut Le Vatican, IBM et Microsoft ensemble pour appeler à une réglementation de la reconnaissance faciale, de l'IA
    Le Vatican, IBM et Microsoft ensemble pour appeler à une réglementation de la reconnaissance faciale
    Et de façon générale, à une régulation de l'IA pour le bien de l’humanité

    L’effort se nomme Call For an AI Ethics et c’est le Vatican qui en est l’initiateur. Les responsables de l’Église Catholique romaine appellent à la mise sur pied de normes éthiques plus strictes en matière de développement d’intelligence artificielle. IBM et Microsoft sont les premières entreprises à s’arrimer à l’initiative à côté du gouvernement italien et de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture…

    En fait, ces différentes entités sont les premiers signataires du document support pour un usage éthique de l’intelligence artificielle. Le Rome Call For an AI Ethics énonce 6 grands principes : transparence, inclusion, responsabilité, impartialité, fiabilité, sécurité et respect de la vie privée. Grosso modo, ces derniers stipulent que la technologie (l’intelligence artificielle) doit être mise sur pied dans le but de protéger les personnes ; en particulier, les faibles et les défavorisés.

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    Le Vatican veut s'assurer que les entreprises n'utilisent pas l'intelligence artificielle comme un moyen de collecter des données sans le consentement des individus, puis de les utiliser à des fins commerciales ou politiques.

    « Sur le plan personnel, l'ère numérique modifie notre perception de l'espace, du temps et du corps, et sur le plan socio-économique, les utilisateurs sont souvent réduits à des "consommateurs", en proie à des intérêts privés concentrés dans les mains de quelques-uns. Les algorithmes extraient désormais des données qui permettent de contrôler les habitudes mentales et relationnelles à des fins commerciales ou politiques, ce, souvent à notre insu. L'asymétrie par laquelle un petit nombre d'élus savent tout de nous alors que nous ne savons rien d'eux ternit la pensée critique et l'exercice conscient de la liberté », a déclaré le Pape François absent à l’atelier, mais représenté. Ce dernier n’a pas manqué de déplorer les inégalités qui se creusent énormément avec le savoir et la richesse qui s'accumulent entre quelques mains avec de graves risques pour les sociétés démocratiques. Les cas pour illustrer les propos du Pape sont légion avec de nombreuses agences gouvernementales et entreprises privées qui usent de logiciels de la société Clearview AI pour extirper des données de reconnaissance faciale à l’insu de tiers. La base de données de cette société, qui contient plus de 3 milliards d'images extraites de divers sites en ligne, est utilisée par les forces de l'ordre pour mettre la main sur des individus dignes d'intérêt.

    Le Rome Call For an AI Ethics stipule en sus qu’un devoir d’explication doit faire l’objet d’instauration et que les algorithmes basés sur l'intelligence artificielle doivent fournir aux individus des informations sur la manière dont ces derniers ont abouti à leurs décisions afin de garantir qu'il n'y a pas de biais.

    Toutefois, le document ne va pas plus loin que la définition de ce qui reste de grands axes de réflexion tant les principes énoncés peuvent prêter à débat. En effet, sur la base de ces derniers l’on peut déboucher sur un ensemble de points susceptibles de faire l’objet d’examen par des gouvernements :

    • L'application de la reconnaissance faciale par les forces de l'ordre devrait-elle faire l'objet d'une surveillance et de contrôles humains, y compris des restrictions sur l'utilisation de la technologie de reconnaissance faciale sans preuve de culpabilité ou d'innocence ?
    • De même, devrions-nous veiller à ce qu'il y ait une surveillance et une responsabilisation civiles pour l'utilisation de la reconnaissance faciale dans le cadre des pratiques gouvernementales en matière de technologie de sécurité nationale ?
    • Quels types de mesures juridiques peuvent empêcher l'utilisation de la reconnaissance faciale pour le profilage racial et d'autres violations des droits tout en permettant les utilisations bénéfiques de la technologie?
    • L'utilisation de la reconnaissance faciale par les autorités publiques ou d'autres personnes devrait-elle être soumise à des niveaux de performance minimum en matière de précision ?
    • La loi devrait-elle exiger que les détaillants affichent un avis visible de leur utilisation de la technologie de reconnaissance faciale dans les espaces publics ?
    • La loi devrait-elle exiger que les entreprises obtiennent un consentement préalable avant de recueillir des images d'individus pour la reconnaissance faciale ? Si oui, dans quelles situations et quels lieux cela devrait-il s'appliquer ? Et quelle est la manière appropriée de demander et d'obtenir un tel consentement ?
    • Devrions-nous nous assurer que les personnes ont le droit de savoir quelles photos ont été recueillies et stockées avec leurs noms et visages ?
    • Devrions-nous créer des processus qui accordent des droits légaux aux personnes qui croient avoir été mal identifiées par un système de reconnaissance faciale ?



    Le Vatican espère augmenter le nombre de signataires de son initiative en matière d’éthique sur l'intelligence artificielle dans les mois à venir. En sus, il espère également collaborer avec des universités du monde entier pour promouvoir davantage de recherches scientifiques sur les directives éthiques en matière d'IA.

    Sources : Vatican News, Academyforlife

    Et vous ?

    Que pensez-vous de cette initiative ?
    Peut-elle cacher une manœuvre de positionnement du Vatican ?

    Voir aussi :

    Des chercheurs australiens créent un nouveau modèle de reconnaissance faciale 3D capable de reconnaitre des sujets portant des lunettes ou grimaçant
    Des actionnaires demandent à Amazon d'arrêter de vendre son IA de reconnaissance faciale aux forces de l'ordre
    Chine : la police se sert de la reconnaissance faciale pour arrêter un fugitif, la fiction Big Brother de 1984 est-elle devenue une réalité en 2018 ?
    Londres : les tests d'une technologie de reconnaissance faciale ne mènent à aucune arrestation en raison du nombre élevé de faux positifs
    Paris : la reconnaissance faciale pour le contrôle automatisé des passeports n'arrivera pas ce printemps, sa mise en service prévue pour le 18 juillet
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  2. #2
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    Toute initiative contre un Etat policier gouverné par une IA de reconnaissance faciale reste bonne à prendre même si cela donne un bon coup de pub aux signataires. Espérons qu'elle soit rejoint en masse.
    Je pense que le Vatican sous l'impulsion de la ligne politique du Pape François se trouve sur la bonne voie.

    Rappelons les biais et le niveau de faux positifs de cette technologie pas fiable à 100% pour contester l'instauration de la reconnaissance faciale ou le "délit de sale gueule" automatisé.

  3. #3
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    Pour une fois je peux dire bravo au Vatican sans être ironique...
    Mais je trouve ça quand même que flippant que ce soit eux qui fasse le plus preuve de bon sens plutôt que les personnes qui travail sur le sujet -_- A croire que les v=billets de 500 font de bons oeillères.

  4. #4
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    Réglementer est une bonne idée, mais l'enfer est pavé de bonnes intentions.

    Il n'y a rien de pire qu'une mauvaise réglementation édictée par des personnes qui n'ont aucune idée de ce qu'ils font.

    Citation Envoyé par Patrick Ruiz Voir le message
    Grosso modo, ces derniers stipulent que la technologie (l’intelligence artificielle) doit être mise sur pied dans le but de protéger les personnes ; en particulier, les faibles et les défavorisés.
    Et voilà comment on va à l'encontre des droits de l'Homme alors même qu'un des buts initiaux était de les protéger.

    Les Hommes naissent libres et égaux (aux yeux de la Loi). Vouloir protéger en particulier les "faibles" et "défavorisés", va à l'encontre de ce principe. De plus, on voit bien de quelle manière certaines personnes luttent pour défendre les "faibles" et "défavorisés", i.e. utiliser les "faibles" et "défavorisés" comme bouclier et prétexte pour faire n'importe quoi, jusqu'à tabasser ses opposants politiques.


    Citation Envoyé par Patrick Ruiz Voir le message
    Le Vatican veut s'assurer que les entreprises n'utilisent pas l'intelligence artificielle comme un moyen de collecter des données sans le consentement des individus, puis de les utiliser à des fins commerciales ou politiques.
    C'est pas comme si il existait un truc comme le RGPD… ainsi qu'un équivalant au Japon… et une tentative de projet de loi (je ne sais pas où cela en est) en Californie…

    Citation Envoyé par Patrick Ruiz Voir le message
    Les algorithmes extraient désormais des données qui permettent de contrôler les habitudes mentales et relationnelles à des fins commerciales ou politiques, ce, souvent à notre insu.
    Contrôler est un peu fort, "exploiter" serait plus juste, amha.

    Citation Envoyé par Patrick Ruiz Voir le message
    Le Rome Call For an AI Ethics stipule en sus qu’un devoir d’explication doit faire l’objet d’instauration et que les algorithmes basés sur l'intelligence artificielle doivent fournir aux individus des informations sur la manière dont ces derniers ont abouti à leurs décisions afin de garantir qu'il n'y a pas de biais.
    Mmmm… ça me rappelle un truc ça…


    Bref, ils arrivent 4 ans trop tard.

  5. #5
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    aveu d'impuissance. malheureusement les developpmenst IA sont inaretables

  6. #6
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    Par défaut Des responsables mondiaux d’organisations diverses appellent au bannissement des robots tueurs
    Des responsables mondiaux d’organisations diverses appellent au bannissement des robots tueurs et des armes pilotées par des IA :
    « C’est le tournant Oppenheimer de notre génération »

    La conférence avec pour thème « l’humanité à la croisée des chemins : systèmes d’armement autonomes et défis de la régulation » s’est tenue à Vienne en Autriche, les 29 et 30 avril 2024. Elle a rassemblé des États, des représentants des Nations unies, des organisations internationales et régionales, des universitaires, des organisations internationales et régionales, des industriels, des parlementaires, des représentants de la société civile, l'industrie et des parlementaires pour discuter des implications et des défis liés aux systèmes d'armes autonomes. Un dénominateur commun aux différentes interventions : « Aucune arme autonome ne devrait être conçue ou utilisée pour cibler un être humain, ni être utilisée pour faire la distinction entre des êtres humains. »

    Le ministre autrichien des affaires étrangères a comparé l'essor de l'intelligence artificielle militaire au tournant de la création de la première bombe atomique, et a appelé à l'interdiction des robots tueurs.

    « C'est, je crois, le moment Oppenheimer de notre génération », a déclaré Alexander Schallenberg au début de la conférence de Vienne. « Les systèmes d'armes autonomes envahiront bientôt les champs de bataille du monde entier. Nous le voyons déjà avec les drones pilotés par intelligence artificielle et la sélection des cibles basée sur l'IA », a-t-il ajouté.


    La sortie du ministre autrichien intervient quelques semaines seulement après que l'armée de l'air américaine et la DARPA ont fait part de leurs efforts pour mettre l'IA aux commandes de chars d'assaut et même d'un avion de chasse F-16. Grosso modo, des efforts sont déployés par plusieurs pays depuis des années pour accroître l'autonomie des plateformes d'armement.

    Le ministre autrichien considère l'IA comme la plus grande révolution dans le domaine de la guerre depuis l'invention de la poudre à canon, mais il estime qu'elle est bien plus dangereuse. La prochaine étape logique du développement de l'IA militaire consistant à éliminer les humains du processus décisionnel, il estime qu'il n'y a pas de temps à perdre.

    « Il est temps de se mettre d'accord sur des règles et des normes internationales pour garantir le contrôle humain. Au moins, assurons-nous que la décision de vie ou de mort reste entre les mains des humains et non des machines. », a-t-il déclaré.

    Il a souligné qu'il n'était pas opposé à l'utilisation de l'intelligence artificielle, un point de vue partagé par de nombreux participants à la conférence, mais qu'il était important de comprendre les implications de cette technologie en tant qu'arme de guerre.

    Faisant écho à ce sentiment, Hasan Mahmud, ministre des affaires étrangères du Bangladesh, a souligné que l'IA avait un énorme potentiel pour faire progresser la science et aider l'humanité, et a fait valoir que ces rôles devraient attirer plus d'efforts que l'automatisation de la violence.

    L'une des principales préoccupations soulevées par les panélistes concernait la responsabilité de l'utilisation de l'intelligence artificielle dans la guerre, si les humains ne sont plus impliqués dans la décision de recourir à la violence.

    « Nous ne pouvons plus garantir le respect du droit humanitaire international s'il n'y a plus de contrôle humain sur l'utilisation de ces armes », a déclaré Mirjana Spoljaric Egger, présidente du Comité international de la Croix-Rouge, avant d'insister sur la nécessité d'agir rapidement.

    « Aujourd'hui, même les modèles d'intelligence artificielle les plus sophistiqués ne sont pas parfaits et il a été démontré qu'ils commettent des erreurs et font preuve de partialité », a déclaré M. Schallenberg, soulignant les préoccupations de Mme Spoljaric Egger.

    « En fin de compte, qui est responsable si quelque chose tourne mal ? Le commandant ? L'opérateur ? Le développeur du logiciel ? »

    L'Ukraine par exemple déploie bel et bien des drones capables d'aller de façon autonome à la recherche de cibles et de les abattre

    Une vidéo du collecteur de fonds ukrainien Serhii Sternenko, publiée le 20 mars, présente un drone d'attaque doté d'un système de reconnaissance automatique de la cible qui vise un char d'assaut russe à longue distance. Même après la perte de la liaison vidéo, le drone réussit son attaque.

    Des développeurs ukrainiens confirment que leurs drones effectuent désormais des frappes autonomes sur les forces russes, sans opérateur humain. C'est en principe la première fois que de tels drones sont utilisés, les allégations de l'ONU concernant des attaques autonomes en Libye en 2020 n'ayant pas été prouvées.

    Les drones Saker Scout peuvent trouver, identifier et attaquer 64 types différents d'objets militaires russes de manière autonome, en opérant dans des zones où le brouillage radio bloque les communications et empêche les autres drones de fonctionner.

    Le quadcoptère Saker Scout est entré en service le mois dernier et peut transporter trois kilos de bombes. Les petits drones télécommandés se sont révélés extrêmement efficaces en tant que bombardiers équipés de grenades antichars RKG-3 modifiées ou d'ogives RPG et peuvent détruire même des chars lourds.

    Source : Federal Ministry Republic of Austria

    Et vous ?

    Êtes-vous surpris de la mise à contribution de l’intelligence artificielle sur les champs de bataille ?
    Que pensez-vous de l’absence d’accords contraignants en matière d’interdiction des armes autonomes ?

    Voir aussi :

    Des représentants de 150 entreprises de la tech plaident contre les robots tueurs autonomes, lors d'une conférence internationale sur l'IA
    USA : le sous-secrétaire à la défense soulève l'importance d'associer l'intelligence artificielle à l'armée, évoquant une future course aux armes
    Des experts en IA boycottent un projet de robots tueurs d'une université en Corée du Sud, en partenariat avec le fabricant d'armes Hanwha Systems
    Non, l'IA de Google ne doit pas être au service de la guerre ! Plus de 3000 employés de Google protestent contre la collaboration avec le Pentagone
    Robots militaires : les États-Unis testent l'efficacité de leurs prototypes dans le Pacifique, l'armée irakienne présente son robot mitrailleur
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