Puis il y a eu la réforme audiovisuelle (nomination du président notamment, sans compter suppression de la pub sur les chaînes publiques). Puis il y a eu Hadopi (que j'ai suivi de très près, dans les tribunes de l'assemblée parfois), où j'ai vu tous les mensonges assénés pour faire passer la loi coûte que coûte (quitte à dire quelque chose et son contraire à une journée d'intervalle). Où les médias n'ont quasiment jamais parlé des arguments contre la loi ; enfin, si, un peu avant le 9 avril, mais après, tous les médias étaient verrouillés, les journalistes subissaient des pressions et annulaient des contacts avec la quadrature du net. Où évidemment l'épisode du licenciement de TF1 a bien révélé les relations entre les médias et le gouvernement.
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