Le Center for Countering Digital Hate, encore une ONG au nom partisan sortie dont on ne sait où, financée par on ne sait qui puisque basée à Londres, la loi locale ne semblant pas obliger à déclarer leurs donateurs. Comme c'est pratique, mais du coup on ne sait pas quels intérêts sont représentés. Cette liste d'ennemi semblant très politique, il s'agit peut-être de l'Iran ou de la Chine, ou des démocrates américains dont on connaît de mieux en mieux les liens mafieux avec Londres (cf RussiaGates).
Ajoutons que la mise en page est digne d'un collégien, même pas d'un stagiaire donc n'encourage pas à la lecture. Que ce que cela cache ?
Le Sénégal n'a publié pas ses données sur la montée des eaux mais le reportage nous montre en fait une longue bande de sable nommée la Langue de Barbarie, large ... de 200 mètres au maximum comme on peut la voir sur google Earth. Les habitants nous parlent de l'avancée des eaux, donc il s'agit d'érosion marine, la mer emportant le sable et la côte changeant de visage. En effet, les cotes sont changeantes et leurs aspects ont beaucoup varié depuis que Dieu a créé la terre et le ciel, si jamais il l'a fait.
Aussi les autochtones installent des digues en pierre pour briser les vagues, comme cela se pratique partout dans le monde, et non pas pour empêcher la montée des eaux : je peux vous garantir que les digues d'Etretat n'ont jamais empêché la mer de monter. Et pour cela, on déplace des centaines de personnes.
France 24 l'aurait su en interrogeant un géographe, mais ils sont plus occupé à faire de montages vidéo de 2 minutes avec de la musique de supermarché.
Dans le pacifique, de nombreux îlots disparaissent tous les ans des cartes, et de nombreux îlots apparaissent, ce que n'importe quel marin sait depuis le XVème siècle au moins. Ce n'est dû ni aux vagues, ni au soleil, ni au co2 ni aux pingouins, mais à l'action de la mer et aux mouvements de l'écorce terrestre.
La petite île de Naru est 95% à 5 mètres au dessus des eaux donc ne risque absolument rien avant plusieurs centaines d'années au moins, et les Maldives n'ont pas disparu de la carte comme promis il y a 30 ans.
Les pays bas ne sont pas confronté à la monte des eaux, ils ont gagné du territoire sur la mer en asséchant des zones marécageuses. On ne va pas construire de digue géante autour de la France, comme à New York où la municipalité envisage d'en créer une autour de la ville, pour la modique somme de 15 à 120 milliards de dollars, car rien n'est trop beau pour ces cassandres.
Bangkok est à 1.7m mètres au dessus de la mer, et s'enfonce de 16 mm/an selon la NOAA... un record, y a t'il un microclimat ou un kraken ? non, le problème est le même qu'à Jakarta, ou en Californie.
on a construit des villes géantes et très lourdes et vidé les nappes phréatiques par dessous. En conséquence, les nappes s'affaissent car elles sont peu profondes, le sol s'enfonce et la ville coule à pic .. mais ce n'est pas grave, il suffit de relocaliser la population et de revoir les règles d'urbanisme.
Bref, on se rend bien compte qu'on là dans le registre de la manipulation à grosse ficelle, digne d'Obama, le mec qui s'achète un manoir sur une île. Mais plus c'est gros et plus cela passe.
LE GiEc prévoit tout et son contraire, et si New York bat des record de froid, c'est aussi de la faute au réchauffement climatique.
On observe les eaux que depuis 1800, mais on sait pertinemment que la montée des eaux était bien plus rapide (18mm/an) pendant la dernière déglaciation. Et il n'y a aucune accélération, Brest est toujours à +1.03mm/an quoi qu'en disent les études prétendant noter une hausse, mais peut-être qu'on l'on pourra nous montrer où noter une accélération soudaine.
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