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  1. #101
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    Citation Envoyé par calvaire Voir le message
    pour le coup ce problème on le retrouve avec du code.
    les dev silverlight par exemple doivent en savoir quelque chose
    Oui l'article parle de "low-code" donc il reste encore du code à faire. Je fais la distinction entre "no-code" et "low-code"

  2. #102
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    Je ne suis pas étonné... Et dans 5 ans cela sera la même chose pour l'IA devant supprimer les développeurs. Je ne sais pas ce qui motive autant de défiance envers les développeurs en voulant absolument les remplacer mais que ces gens là se disent bien que sans les développeurs : pas d'internet, pas de réseaux sociaux, pas de chatgpt, pas de plateforme nocode ou lowcode, pas de e-commerce, pas de smartphone, pas de jeux vidéos etc... Et puis ils devraient se dire que si c'est faisable par une plateforme lowcode c'est que cela ne mérite pas d'exister : une meilleure solution existe certainement déjà. Les développeurs ne sont pas là pour faire du CRUD basique, même sur un site d'e-commerce, mais pour implémenter une gestion de stock, des performances, du suivi ou des recommandations articles sur mesure. C'est ce qui fait la différence entre un site e-commerce vendant des milliers / millions d'articles et un site lent qui coulera en même pas 1 an.

  3. #103
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    Je pense qu'on est juste en train de réinventer la roue... Le "low-code" reste du code.

    Au début, on avait le langage machine.
    Puis ensuite, l'assembleur.
    Rapidement, les programmeurs se sont facilité la vie en faisant des "macros" en assembleur, ce qui a permis de créer le langage BASIC pour rendre la programmation accessible à tous.

    D'un certain point de vue, par rapport à l'assembleur, le BASIC c'est du "low code"

    Bien sûr, on va garder certaines routines critiques en 100% assembleur pour les optimiser.
    Sur Arduino on retrouve cette philosophie. On a du C++ "proche de l'humain" avec en même temps des routines critiques optimisées en assembleur pour exploiter le hardware au maximum.

    Toute l'histoire de l'informatique est jalonnée de nouveaux langages permettant de faire plus de choses avec moins de code, et en même temps, les logiciels sont de plus en plus complexe, ce qui finalement représente une charge de travail constante pour le develloppeur.
    Regardez VB.NET (ou C#) par rapport à VB6 (ou C++).
    En .NET, si vous potassez bien la documentation, on peut faire en une ligne de code ce qui demandait une page de code en VB6 ou en "vieux" C++.

    Pareil pour les jeux vidéos.
    Dans les années 1980, on avait des jeux 2D faits en C et en assembleur pour exploiter au maximum la faible puissance des machines de l'époque.
    Aujourd'hui on a des IDE comme UNITY qui permettent de faire "plus facilement" des choses plus jolies et réalistes, mais en même temps les jeux 3D actuels demandent beaucoup plus de travail. Par exemple Yandere Simulator est en dévellopement depuis bientôt 10 ans et il n'est pas terminé.

    Bref rien de nouveau...

    Avec le "low code" ou le "no code" il faudra toujours donner des instructions à un logiciel de devellopement pour obtenir une application...
    Et comment ça s'appelle, donner des intructions à un logiciel de devellopement pour obtenir une application ?
    Ca s'appelle... de la programmation

    Il s'est passé la même chose avec la mécanique.
    Avant, on avait des machines outils (tours, fraiseuses) conventionnelles (donc "manuelles)
    La commande numérique est arrivée, mais les pièces réalisées sont beaucoup plus complexes.
    Devinez quoi ?
    Avec la commande numérique, si le métier d'usineur a évolué, hé bien c'est resté un "vrai métier"

    Voilà
    Quand deux personnes échangent un euro, chacun repart avec un euro.
    Quand deux personnes échangent une idée, chacun repart avec deux idées.

  4. #104
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    Citation Envoyé par Nym4x Voir le message
    Et puis ils devraient se dire que si c'est faisable par une plateforme lowcode c'est que cela ne mérite pas d'exister : une meilleure solution existe certainement déjà.
    Oui mais ça ne le fait pas aussi bien que notre outil local.
    Il y a quelques années j'ai "développé" un outil sur excel, cet outil est aujourd'hui l'outil officiel de la société et utilisé par des centaines de personnes dans le monde. Ca fait 2-3 ans que je leur demande de remplacer ce mouton à 5 pattes par un système du marché mais je reçois toujours la même réponse : "on en trouve pas d'aussi bon" alors qu'ils sont tous meilleur. Je ne connais pas d'outil à large audience moins bon qu"un fichier excel avec du VBA partout.
    Prendre un outil du marché a un énorme interêt que les managers détestent : ça impose de remettre en cause nos méthodes de travail. Méthodes qui étaient identifiées à l'époque comme "pas saines" mais utilisées parce qu'on avait pas mieux et qu'on ne remet plus en cause parce que "Gérard, le dieu du truc, avait dit qu'il fallait faire comme ça donc il faut faire comme ça" jusqu'au jour où un stagiaire demande pourquoi dans le code Gérard a mis un commentaire "C'est mal mais on sait pas faire mieux pour l'instant".

    Nous sommes en train de changer un de nos outils structurant de la société, l'outil de base propose une foncitonnalité que nous essayons de mettre en place depuis 2 ans sans vraiment y arriver. Et bien un petit génie est arrivé a dit que nosu ne voulions pas remplir les données comme en standard, donc on paye des gens bien trop cher pour désactiver la fonction par défaut et la redévelopper d'une autre façon.
    Après une heure de discussion on se rend compte que la nouvelle demande ne couvre qu'une faible partie de nos besoins (mais l'entièreté pour le demandeur) et que pour tout prendre en compte on devrait reproduire le fonctionnement prévu par défaut. Et on se demande sérieusement si on ne redévelopperait pas exactement le même fonctionnement pour épargner l'ego du demandeur. (C'est bizarre parce qu'ils ne sont pas pret à payer pour épargner le mien)

  5. #105
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    Par défaut Ne doutez pas de l'intelligence de l'Homme.
    Bonjour,

    Dans le passé, on nous a déjà signalé la disparition du développeur à cause des plateformes de no-code. Maintenant, c'est par les IA !

    Hors, nous développons souvent des applications qui utilisent des spécificités dont les IA n'ont même pas conscience. Je ne parle pas d'un simple jeu de tir !

    N'oublions pas que les IA se basent sur nos codes sauvegardés dans des BDD. Mais elles n'apprennent pas véritablement comme les milliards de neurones d'un cerveau humain qui, lui, n'a pas besoin d'exemple pour créer un code unique.

    La preuve par l'exemple : Le codage DivX (https://fr.wikipedia.org/wiki/DivX). Avant, on disait qu'il était impossible de compacter un film sur un CDRom et 'ils' l'ont fait. Où donc une IA irait chercher l'idée que les programmeurs ont eu alors ?

    Le génie de l'homme est imbattable. La création demande plus qu'une énorme base de données et des circuits informatiques décisionnels.

  6. #106
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    Par défaut Créer des applis sans coder : fantasme ou réalité ? Amazon annonce la fermeture de sa plateforme Honeycode
    Citation Envoyé par Patrick Ruiz Voir le message
    Créer des applis sans coder : fantasme ou réalité ? Amazon annonce la fermeture de sa plateforme no code dénommée Honeycode
    Censée répondre à une pénurie annoncée de développeurs traditionnels
    Le jour où 10% de ceux qui se demandent comment ne pas coder ou quel est le langage le moins fatiguant se mettaient à coder avec les outils qu'ils maîtrisent une grande partie du problème des ressources serait résolu.

    Dans les années 1980 (si, si, j'y étais déjà) la solution absolue était le 4GL. Puis les systèmes experts (tu parles !) puis la programmation objet, pure et dure. Puis...

    Au final, quand il fallait livrer, c'était COBOL et où Delphi. Certains de mes trucs d'alors tournent encore aujourd'hui, 30 ans après.

    Bien sûr, les systèmes sont devenus des mondes complexes, il est bien préférable de réutiliser du code et/ou un savoir-faire existant. Mais il faut considérer les outils qui le permettent pour ce qu'ils sont : Une étape dans une longue histoire, une aide temporaire, jetable.

  7. #107
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    Avatar de Patrick Ruiz
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    Par défaut Low code : les patrons soulignent l’avantage de la diminution des coûts de gestion des projets
    Low code : les patrons soulignent l’avantage de la diminution des coûts de gestion des projets
    Mais des développeurs expliquent les raisons de leur scepticisme à propos de ces solutions

    Microsoft a prédit que 500 millions d’applications informatiques doivent être mises sur pied entre 2020 et 2025, soit beaucoup plus que ce qui a été réalisé en 40 ans par des travailleurs traditionnels de la filière. En toile de fond, c’est l’annonce d’une pénurie ; c’est-à-dire qu’il y aura plus de programmes informatiques à mettre sur pied que de personnes disponibles pour faire le travail. C’est dans cette mouvance que des acteurs de la filière se sont mis à lancer des plateformes low code. L’un des objectifs : répondre à la pénurie des développeurs traditionnels en ouvrant un peu plus la filière aux développeurs citoyens – des tiers qui ne sont pas des spécialistes de l’informatique – tout en cassant les coûts de gestion des projets. Certains développeurs expriment néanmoins leur scepticisme par rapport à ces solutions.

    Et l’un des motifs mis en avant par les sceptiques est celui de la dépendance à une plateforme dont les mises à jour peuvent mettre à mal des projets qui s’appuient sur une précédente version. Il y a en sus que la plateforme low code est susceptible de fermer avec les conséquences évidentes qui s’en suivraient. Cela s’est vu au troisième trimestre de l’année précédente avec l’annonce de la fermeture de la plateforme low code d’Amazon dénommée Honeycode, trois ans après son lancement. Le bide n’était pas sans faire penser à celui de Google avec la fermeture de sa plateforme low code App maker 4 ans après son lancement.

    « Le principal reproche que j'ai à adresser aux outils low code / no code est qu'ils sont en général adossés à une plateforme en ligne propriétaire et sur abonnement. Aussi longtemps qu'on a besoin de son application, on est captif du service et on doit payer », commente un intervenant sur les forums developpez à propos de la plateforme no code PowerApps de Microsoft.

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    Et ce n’est pas tout étant donné que certains développeurs soulignent les limitations au niveau des fonctionnalités et de l’interface utilisateur, ainsi que les difficultés de mise à l’échelle comme résultante du fait de dépendre des modèles fournis par la plateforme low code

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    L’utilisation des outils low cost divise dans la filière du développement d’applications étant donné que certains acteurs n’en mentionnent que les avantages.

    « Les avantages du low code sont nombreux. L'un des principaux est la rapidité avec laquelle les applications peuvent être mises sur pied en s’en servant. Les formulaires d'application low code sont constitués de blocs de code et d'interfaces intuitives aisées à utiliser, ce qui facilite le travail. Cela signifie que les organisations peuvent créer des applications commerciales en quelques semaines, voire quelques jours, au lieu de consacrer des mois, voire des années, au développement. Le développement d'applications se fait dans tous les services, et pas seulement dans ceux dédiés à l’informatique. Les employés ayant des compétences minimales en codage manuel peuvent produire des applications, ce qui permet d'économiser du temps et de l'argent et de réduire les retards dans le domaine informatique », commente l’éditeur de solutions Alpha Software.


    Le low-code est susceptible de remplacer le codage traditionnel. C’est ce qui ressort d’une étude de Mendix, un éditeur de solutions low-code. Dans les chiffres du sondage, 87 % d’un lot de 556 entreprises répondantes, basées aux USA, au Royaume-Uni, aux Pays-Bas, en France et en Allemagne, envisagent d’accélérer le rythme de leur développement logiciel en s’appuyant sur les outils low-code.

    Les chiffres font par contre montre d’un faible taux d’adoption de ces solutions par les développeurs traditionnels. Seuls 7 % des développeurs sont susceptibles d’utiliser des outils low-code ou no-code pour entamer un projet d’application we. C’est ce qui ressort d’un sondage sur un échantillon de 191 développeurs de 60 pays.

    La majorité des répondants est susceptible de mettre sur pied une application web en écrivant le code à la main. Le nombre de développeurs à même de s'appuyer uniquement sur les outils low-code ou no-code demeure très faible : un peu plus de 6 %. La majorité (66 %) préfère encore l'écriture classique du code. 22,3 % sont susceptibles de combiner les deux méthodes et 4,8 % ont recours à des services professionnels.

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    Toutefois, les développeurs débutants sont les plus susceptibles d'opter pour ces outils : seuls 45 % d'entre eux préférant écrire du code. Les ingénieurs ayant plus de 10 ans d'expérience ne sont que 2 % à préférer les outils low-code ou no-code.

    Ces chiffres tombent dans un contexte où le low-code ou no-code est chaque jour positionné par certains acteurs comme un danger pour les travailleurs de la filière du développement d’applications. En effet, d’après des données de Gartner, 80 % des produits et services technologiques seront construits par des personnes qui ne sont pas des professionnels de la technologie. Gartner s'attend également à voir davantage d'annonces de lancements de technologies par des entreprises non technologiques faire la une des médias au cours de cette année. Et d'ici 2042, plus d'un tiers des fournisseurs de technologies devraient être en concurrence avec des fournisseurs non technologiques.

    Sources : Twitter, alpha software

    Et vous ?

    Que pensez-vous des outils no-code et low code ? En avez-vous mis à contribution pour vos tâches de développement ? Partagez vos expériences en termes d’avantages et d’inconvénients.
    Quel avenir de la filière du développement d’applications entrevoyez-vous au vu de l’adoption annoncée de ces outils par les entreprises ?

    Voir aussi :

    80 % des technologies pourraient être créées par des professionnels extérieurs à l'informatique d'ici 2024, grâce aux outils low-code, selon Gartner

    Forrester : l'utilisation des plateformes de développement low-code gagne du terrain dans les processus de transformation numérique des entreprises

    Le marché mondial des technologies de développement low-code va augmenter de 23 % en 2021, selon les prévisions de Gartner

    Microsoft lance Power Fx, un nouveau langage de programmation low-code open source basé sur Excel
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  8. #108
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    pour de petite application cela peut être intéressant si le produit ne demande pas trop d'apprentissage, mais de ce que j'ai vu jusqu'à maintenant, pour parvenir a réaliser des applications plus complexe, il faut bien maitriser le produit et avoir une base logique qui est primordiale en développement.

    après pour l'aspect propriétaire, quand je vois des gens foncer vers le cloud de amazon, google, microsoft... tu arrives au même problème, tu t'envois avec divers produit propriétaire

    sinon afin d'éviter de devoir trop écrire d'écran, j'avais créer un système d'annotation a ajouter dans un dto et qui était utiliser pour générer une interface graphique. Des templates thymeleaf était utiliser, mais d'autre aurait pu être utiliser. Les relation parent enfant, validation formatage et ordre des champs était gérer. Cela a permis de mettre en place une centaine d'écran en quelques jours.

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