Entre 25 et 35 piges, enfin avant d'avoir une vie de famille oui clairement. T'as toutes les sorties que tu veux à porté de la main et t'as le pouvoir d'achat qui te permet de sortir.
En pleine pampa tu vas sortir où ? La province je connais merci j'en viens. Ya rien c'est la loose.
Quand tu commences à avoir des personnes à charge c'est un peu différent.
Et tu fais le marseillais sur les 2h30 de transports par jour. 1h30 maxi sinon tu te débrouilles vraiment très très mal.
Une maison mais pas le temps de s'en occuper, voiture obligatoire pour se déplacer et se ravitailler, patron qui peut te mettre la pression parce que du taf de dev en pleine pampa t'en a juste PAS. Donc horaires qui peuvent dévisser, pouvoir d'achat dégueux, pas de sorties, ...
Et désolé mais je préfère le RER même bondé à la voiture et c'est le pire des transports en commun, le métro le tram ou le bus c'est juste parfait.
C'est reposant et déstressant, on est plus près de la nature.
Peut-être que la ville est intéressant pour un jeune avec beaucoup d'argent qui aime sortir, mais sinon la campagne c'est mieux.
Pollution de l’air à Paris : nos tests alarmants
Il faudrait qu'un maximum d'entreprises quittent Paris pour aller un peu partout en France dans des villes à côtés des grandes villes (Strasbourg, Lyon, Grenoble, Bordeaux, Dijon, Montpellier, Rennes, etc).Dans le métro, le pire du pire
14h15. Le métro constituera-t-il un abri anti-particules fines ? Pas du tout. À Botzaris, sur la ligne 7 bis, le capteur passe au violet sur le quai. Pareil dans la rame. Pendant tout le trajet : « Pollution très élevée », « impact immédiat sur la santé ». Par rapport à la surface, les taux de PM 2,5 bondissent de 2 à 97 sur le quai et à 104 dans le wagon. En sous-sol, ces particules fines sont dix fois supérieures aux recommandations de l’OMS. Et quatre fois plus que les valeurs limites françaises plus tolérantes.
« On arrive à des niveaux chinois ou indien ! » remarque Jean-Baptiste Renard, physicien spécialiste des particules fines au CNRS. Le réseau parisien n’est pas un cas isolé, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) avait souligné la « toxicité accrue des particules » des réseaux enterrés à Lille, Lyon, Marseille, Rennes ou Rouen.
Les loyers et les salaires sont moins élevés en dehors de Paris, les entreprises ont donc intérêt à quitter cette ville.
À Paris tout est plus cher (surtout le loyer, mais même faire ses courses peut-être plus cher à Paris).
Donc le pouvoir d'achat n'est pas forcément inférieur pour les gens qui vivent à la campagne.
Mieux !
Dans les zones transfrontalières , genre Lille / Belgique , Strasbourg / Allemagne pourquoi pas développer des bassins d'emplois transfrontaliers ? A Lille c'est bien connu on enseigne l'espagnol ! Rien de logique ... On pourrait par exemple faire apprendre le néerlandais . Et oui en Flandres on manque de bras , même dans le secteur du tertiaire !
Courtrai, Roulers, Ypres, Brugges , Ostende ... le numérique recrute pour des salaires 1500 à 2500 € brutes annuels de plus qu'en France. La barrière ... la langue
En France tout est fait pour contraindre en mettant un nombre incalculable de normes et d'entraves pour faciliter la formation ... ou le retour à l'emploi.
Un informaticien Lillois qui gagne 40 k€ annuel peut facilement arriver à 42 voir 43 en Flandres.
Ce que toi tu n'as rien compris, c'est que pour que certains aient des serviteurs, ils faut ques les autres soient serviteurs. Et encore, ceux qui sont serviteurs au moins sont payés, il y en a qui crèvent de misère, d'autres qui vendent leurs filles comme "petites bonnes"....
Le Maroc, c'est un pays beaucoupl plus inégalitaire que la France. Si tu appartiens aux 10 ou 20% les plus riches, tu y vis mieux qu'en France. Sinon, c'est beaucoup pire.
En 6ième tu choisies Anglais parce que c'est utile (et il y a les séries, les films, la musique, etc).
En 4ième tu te dis "merde j'ai pas envie d'apprendre une LV2, mais j'ai pas le choix donc je vais prendre espagnol parce qu'allemand c'est beaucoup trop dur".
Je connais des zones frontalières France / Suisse et c'est complètement craqué.
Un gars à l'usine peut gagner 4000€/mois.
Donc un développeur peut faire encore plus !
Oui et non pour le patron, car être dans la pampa c'est aussi avoir du mal à recruter des devs qui veulent venir dans ton coin paumé. Donc (sauf si c'est un gros con) il va éviter de mettre trop la pression.
Je prend l'exemple de ma boite, ça commençait à parler de démission pour pas mal de gens comme par hasard tout le monde a été augmenté lors des entretiens annuels. Pourquoi ? bin car ils ont du mal à trouver des devs qui veulent venir dans la région (Haute-Savoie) avec un salaire de province dans une région ou tu as des loyers comme sur Paris/Région parisienne donc pour ne pas perdre trop de gens ils font des "efforts".
Pour les sorties, selon la région y a aucun problème.
C'est exactement le raisonnement que j'ai eu :/ . Mon entourage familiale à l'époque m'a préconisé espagnol et non pas allemand ( car trop difficile ... ) . En France on bride à faire d'espagnole par "facilité". Détrompez vous ! C'est une langue difficile comme l'italien , le roumain ou le portugais .
J'ai 28 balais . Je me mord les doigts de ne pas avoir fait allemand (a minima sur Lille) ...
Je sais pas, dans mon collège il y en a pas mal qui ont pris Allemand LV1.
Moi j'ai pris Allemand LV2 et j'étais nul à chier, j'en ai un très mauvais souvenir.
J'aurais préféré que LV2 soit optionnelle
Il y a des entreprises allemandes qui recrutent des gens qui parlent anglais et qui vont apprendre l'allemand sur le tas.
J'ai forçé ma fille à en faire. A Montpellier. Mais bon, elle est déjà bilingue Polonais, et vu le salaire de son oncle /// C++ à Wrocław /// honnêtement, si elle part dans l'informatique dans 10/11 ans quand elle sera diplômée, elle aura tout à gagner(à part le soleil) à partir au pays de sa mère. Salaires quasi Allemands, vie beaucoup moins chère... Et langue qui ne lui pose aucun problème.
Personnellement, j'ai habité à Paris pendant longtemps, j'ai profité de la vie rythmée de la capitale étant plus jeune, et je suis parti en province à mes 35 ans. La qualité de vie est bien meilleure. Déjà, pour se loger et se nourrir c'est beaucoup moins cher et les salaires sont raisonnables malgré tout, donc en fin de compte le calcul financier est simple : je suis gagnant. Pour acheter, c'est bien plus accessible, et pour donner un ordre d'idée, j'habite près d'une ville de 120 000 habitants, la région urbaine accueille près de 300 000 habitants, et je paie 650€ pour un 110m² avec jardin. En comparaison, à Paris, je payais 1200€ pour un 53m², et je m'estimais chanceux de l'avoir trouvé car il était pas mal au calme.
Et puis passer mes journées à voir du béton à 360°, la pollution, j'ai dit stop; Maintenant, je travaille dans un environnement boisé, je respire un air frais, je n'entend plus toutes les 3 minutes le "tiiiiiiinnnnnnnnnn" du métro sur le point de partir, je ne suis pas autant agressé par des publicités à tout bout de champ, je n'ai plus la sensation d'étouffement des heures de pointe parisiennes où il faut parfois laisser passer plusieurs métros en faisant la queue sur le quai pour au final se caler tant bien que mal dans un coin comme une sardine.
Question horaires, en province les exigences sont moindres contrairement à ce qui est dit ici, je n'ai pas senti la même pression qu'à Paris en ce qui concerne le travail. Je rentre régulièrement chez moi avant 17h, car je peux commencer vers 8h. J'ai le privilège (nécessaire) de mon transport en commun personnel, une petite voiture dont la consommation est faible, je mets la musique que je veux sans avoir à me coller des écouteurs dans les conduits auditifs, et je tiens 1 mois avec un plein à 50€ en conduisant économiquement.
Alors en effet, question sorties du soir, c'est limité par rapport à Paris, sans pour autant que ce soit inexistant. Mais le week-end et la journée, il y a de nombreuses activités à faire. C'est bien plus adapté à une vie familiale. De toutes façons, je ne me voyais pas élever mes enfants à Paris, je préfère les voir évoluer dans un environnement où la nature n'est pas grillagée.
Je crois donc que la réflexion à avoir est la suivante : combien de temps est-on prêt à accepter le rythme parisien, tout en profitant réellement des bénéfices de la grande ville, et quel est le bon moment pour décider de vivre une vie plus paisible, plus agréable, moins oppressante, et fonder une famille dans un cadre propice à un développement sain de ses enfants. Il n'y a pas de "meilleur" endroit pour vivre, mais des choix à faire en fonction de ce qu'on désire.
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