Les garçons que nous étions en 68 avaient trouvé épatant les Tampax. On introduisait le tampon dans la bouteille d'essence, ne laissant que la petite ficelle dépasser, ça permettait donc de fermer la bouteille avec un bouchon en liège. Sur le théâtre des opérations il fallait rester serein dans les gaz chlorés et les grenades offensives, retirer le bouchon, tirer sur la ficelle pour faire remonter un peu le tampon, allumer et servir bien chaud.
"Lorsque s'allument les brasiers, il n'en faut voir que la lumière" (José Martí)
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