On peut quand même résumer par "il n'avait pas la main mise dessus"
Stves Jobs a toujours detesté Adobe car il en dépendait et payait une fortune pour survivre...
On peut quand même résumer par "il n'avait pas la main mise dessus"
Stves Jobs a toujours detesté Adobe car il en dépendait et payait une fortune pour survivre...
Envoyé par deuche
La tu fais un résumé très partial, digne d’un Apple basheur de premier ordre, comme tu le revendique.
Mais tu oublie que cet amour / haine à peut-être commencé du coté d’Adobe…
John Warnock et Charles Geschke bossaient déjà sur l’idée d’un PostScript chez Xerox, mais leur boite n’en voulait pas.
Dans un premier temps ils on chercher une autre boite, pour continuer leurs travaux, mais personne n’y croyait.
Steve Jobs, lui, y croyait vraiment (ne pas oublier qu’il à suivi des cours de calligraphie) mais n’avait pas les moyen de financer leur projet.
J’ai pas tous les détails, car ces tractation sont en grandes partie confidentielles, mais cela c’est passé un peu ainsi :
S.Jobs a alors proposé à J.Warnock et C.Geschke de monter leur propre boite, en utilisant Apple comme caution auprès de leur Banque, car même les Banques ne croyaient pas à leur idée.
Il semble que J.Warnock et C.Geschke, ne l’aient pas vraiment bien pris, S.Jobs avait débauché une grande partie de l’équipe de Xerox qui bossaient sur Smalltalk (pour concevoir le futur Lisa).
Bref, étrangement, ils se sont senti exclu, alors que Finalement, sans l’aide de S.Jobs, Adobe n’aurait peut-être jamais vu le jour.
Par la suite S.Jobs à très mal vécu, les différents coups de griffe d’Adobe sur Apple, et leur leurs relation n’ont fait que se dégrader…
Alors, bien sur, tu peux écrire que S.Jobs regrettait de ne pas avoir de contrôle sur Adobe, mais en réalité, il à surtout regretté leur manque de coopération et de reconnaissance…
De son coté, S.Jobs à longtemps soutenu Adobe ; pour preuve : les machines Next ont sans doute été les seules machines à utiliser Display PostScript…
«La pluralité des voix n'est pas une preuve, pour les vérités malaisées à découvrir, tant il est bien plus vraisemblable qu'un homme seul les ait rencontrées que tout un peuple.» [ René Descartes ] - Discours de la méthode
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