>Sans blague... tu es si mauvais que ca?
Aimable apostrophe...
>Pour comprendre un code, je lis le code.
Tout code n'est pas forcément écrit par un humain. Certains comptables ont aussi sévi, ils sont incroyablement dangereux et pervers.
>Puis je lis cppreference.com pour retrouver l'ordre des arguments que j'ai encore oublié (et que j'aurai aussi oublié en C)
Ça, tout le monde peut faire, si il y a le temps.
>Puis je lis la doc de la bibliothèque que le code manipule.
Là, le projet va déborder, la compta doit tourner ce soir sinon la boîte ferme (Une banque, c'est comme ça)
>Puis c'est tout.
Oui, donc un peu court, et ça marche bien quand on bosse dans un environnement stable et des projets structurés. On n'a pas tous cette chance.
>Quand je tombe sur stackoverflow, en général, c'est que je suis déjà en train de chercher à faire un truc bancal, et j'apprends pourquoi ne pas le faire, et quelle choix j'ai loupé.
>Parce que comme tout outil, il n'est correctement utilisé que par quelqu'un qui a appris à s'en servir. donc, au minimum, lu la documentation.
Combien de langages et d'environnements maîtrises-tu ? Là aussi, tu as peut-être de la chance, et je t'envie. Dans ma vie, si on passait plus d'un quart d'heure sur la doc, c'est qu'on était nul...
>Cela dit, au vu de la formation que je suis sur le point de donner, le gros apport du C++ au C, en toute circonstance, c'est le RAII.
>L'art de ne pas gérer
manuellement les problèmes, parce qu'ils sont géré automatiquement.
Je n'ai pas une grande pratique de C++ mais je lui avais trouvé bien d'autres agréments.
Et ca, ca ne demande que quatre choses: private, les constructeurs, le destructeur et la surcharge d'opérateur (pour l'opérateur =).
La partie couramment utilisée de la STL, c'est l'application du RAII: string, vector et map. et via C++11, les smart_ptr.
Autant dire que les bases sont enseignées en une heure, et que le reste, c'est prendre l'habitude.
Le reste du langage: template, lambda, move, etc, ca s'apprend après, et il convient surtout de savoir que ca existe, pour ne pas recréer la roue le moment venu.
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