Le principal aspect est la localisation des données... Un Office365 (donnée US) pose beaucoup plus de problèmes qu'un Office avec serveur hébergé on-premise (même SharePoint, quoique j'en pense). Mais effectivement, en libre, les backdoors sont plus "visibles", ce qui n'empêche rien (cf XZ utils backdoors).
S'il faut mettre l'accent sur la sélection des outils, ce sont avant tout les services Cloud (non on-Premise)... et une préférence pour des solutions françaises/européennes plutôt qu'américaine peut faire sens.







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Bravo à nos décideurs..






Qu’est-ce qui explique les échecs qui marquent en général les projets de passage des solutions Microsoft au libre ou à l’open source ? La supériorité des solutions Microsoft ? Le lobbying ? La résistance au changement ?








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