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  1. #281
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    Bonjour à Tous. Oui tout à fait il y a bien longtemps que j'ai quitté wind'os... Quand Edge et Bing voulaient gérer mon PC ! Ni une ni deux et zzzooouuuu chez Linux avec Ubuntu.

  2. #282
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    Par défaut A propos de la censure du terrorisme
    Je lisais les critères de censure du post initial, et la notion de terrorisme m'as fait tiqué.

    D'après Wikipédia : "Le terrorisme est l'emploi de la terreur à des fins idéologiques, politiques ou religieuses."
    Si on suit cette définition, faire la promotion de la dissuasion nucléaire Française ou des résistants de la seconde guerre pourrait être qualifié de terrorisme.

    De plus, toujours d'après Wikipédia : "Le terme de terrorisme est fréquemment employé en droit international et par les institutions internationales, mais il ne donne pas lieu à une définition unique et universelle".

    Pour ces deux raisons, je considère que l'apologie du terrorisme n'est pas une raison suffisante pour être censurée.

  3. #283
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    Citation Envoyé par RICitoyenne Voir le message
    Je lisais les critères de censure du post initial, et la notion de terrorisme m'as fait tiqué.

    D'après Wikipédia : "Le terrorisme est l'emploi de la terreur à des fins idéologiques, politiques ou religieuses."
    Si on suit cette définition, faire la promotion de la dissuasion nucléaire Française ou des résistants de la seconde guerre pourrait être qualifié de terrorisme.

    De plus, toujours d'après Wikipédia : "Le terme de terrorisme est fréquemment employé en droit international et par les institutions internationales, mais il ne donne pas lieu à une définition unique et universelle".

    Pour ces deux raisons, je considère que l'apologie du terrorisme n'est pas une raison suffisante pour être censurée.
    Terroriste !

  4. #284
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    Par défaut Il y aurait encore des choses à rajouter...
    Juste détrôner Edge ne suffit pas. Windows s'est transformé beaucoup plus. Par exemple, sur un système professionnel, utilisé en entreprise, pourquoi y aurait-il des offres Xbox et tout type d'offres d'entertainment, qui n'ont rien à voir avec un envoronnement de travail ? C'est juste un exemple, quand je vois sur mon ordinateur au travail qu'il apparaît de nulle part une annonce avec publicité oe offre Xbox, c'est pour le moins inutile et m'occupe le processeur et consomme de l'énergie pour rien. Moi j'essaie de faire mon travail, et on m'importune avec des choses qui sont plutôt pour un utilisateur domestique, sur un ordinateur d'entreprise sur un ysstème soit-disant version professionnelle... BS.
    Beaucoup de choses devraient être désinstallables et non installées par défaut en fonction de la version du système qu'on veut installer. Windows se comporte de manière complètement non progessionnelle à cet égard et vous livre tout type de BS dont vous n'avez pas besoin. Et ensuite l'ordinateur devient lent et fonctionne de manière sous optimale pour les tâches qui sont à faire au travail, parce qu'il est noyé dans le spam que Windows installe à la con et qui roule dans le fundal. Si on supprimait tout ce spam y compris mécaismes de publicité online tout roulerait relax.
    Si vous regardez le fameux menu qu'ils ont fait revenir en W10, la moitié des choses là sont à raser. Ou à ne pas installer dès le début plutôt. En échange il ont "simplifié" le système comme si tous les utilisateurs étaient "simples" et enlevé des choses qui étaient vraiment bien ou ils ont rendu l'accès très compliqué à des choses utiles qu'ils ont gardées (pour le moment).

  5. #285
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    Par défaut Apple a supprimé le client torrent pour iPhone, iTorrent, de la boutique alternative iOS AltStore PAL
    Apple a supprimé le client torrent pour iPhone, iTorrent, de la boutique alternative iOS AltStore PAL dans l'UE, démontrant ainsi son contrôle en dehors de l'App Store officiel.

    En vertu de la législation européenne, Apple est tenu d'accorder à ses utilisateurs une plus grande liberté pour installer des applications qui ne sont pas répertoriées dans l'App Store officiel. Cela permet d'accéder plus facilement à des logiciels généralement interdits par Apple, notamment le célèbre client BitTorrent iTorrent. Le client iTorrent s'était constitué une base d'utilisateurs stable au cours de l'année écoulée, mais celle-ci a pris fin brutalement lorsque Apple a décidé de révoquer les droits de distribution alternatifs du développeur.

    Janvier 2024, Apple a été contraint de faire quelque chose qui aurait semblé impensable il y a quelques années : il a ouvert son App Store. Le fabricant de l’iPhone a modifié la façon dont la distribution des applications fonctionne sur les iPhones pour se conformer à une nouvelle loi de l’Union européenne. Une loi qui devrait être une victoire pour les développeurs, mais qui a rendu Apple très mécontent. Dans un communiqué annonçant les changements, Apple a déclaré que ce nouveau système sous le régime de la DMA « ouvre de nouvelles voies aux logiciels malveillants, à la fraude et aux escroqueries », ainsi qu’à d’autres contenus nuisibles.

    Puis dans l'affaire Epic Games, Apple a fait face à une décision de justice qui l'interdit de prélever une commission sur les achats effectués en dehors de l'App Store en raison de son comportement anticoncurrentiel permanent. La juge a déclaré qu'Apple était en "violation délibérée" de l'injonction qu'elle avait émise pour interdire les comportements et les prix anticoncurrentiels. Même si Apple a demandé à un tribunal américain de suspendre les modifications apportées aux règles de son App Store pendant qu'elle faisait appel, sa demande a été rejetée.

    Historiquement, Apple a toujours interdit les clients torrent sur ses appareils iOS. Dans l'UE, cependant, ce type d'applications est disponible depuis plus d'un an via des boutiques d'applications tierces. Cette avancée est le résultat direct de la loi européenne sur les marchés numériques (DMA) entrée en vigueur l'année dernière, qui oblige Apple à autoriser l'installation d'applications via des boutiques tierces.

    AltStore Pal est l'un des magasins alternatifs les plus populaires de l'UE. Peu après son lancement, deux clients torrent ont été mis à disposition : iTorrent et qBitControl. Il s'agissait d'une étape importante qu'AltStore a activement promue sur les réseaux sociaux. AltStore PAL a assuré à ses utilisateurs que ces applications avaient été soumises à un processus de vérification afin de garantir leur sécurité. Et en effet, au cours des mois qui ont suivi, de nombreuses personnes ont installé et utilisé les clients torrent sans problème.

    Bien que les boutiques d'applications alternatives fonctionnent de manière indépendante et soient requises par la législation européenne, Apple est toujours en mesure d'exercer un certain contrôle. Cela est devenu évident il y a quelques semaines, lorsque les utilisateurs d'iTorrent ont soudainement rencontré des difficultés lors de l'installation de l'application. En juillet, plusieurs utilisateurs se sont plaints de ne pas pouvoir télécharger iTorrent depuis AltStore PAL. Au départ, la cause du problème n'était pas claire, mais le développeur de l'application, XITRIX, a ensuite confirmé qu'Apple était intervenu.

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Taille : 38,9 Ko

    Apparemment, Apple avait révoqué le droit de « distribution alternative » du développeur, qui est nécessaire pour publier des applications dans des boutiques alternatives, y compris AltStore PAL. Compte tenu de la longue histoire d'Apple en matière d'interdiction des applications torrent dans sa propre boutique, il est tentant de conclure que la société est intervenue pour la même raison dans ce cas. Pour l'instant, cependant, rien ne permet de confirmer que c'est bien le cas.

    Cependant, le développeur d'iTorrent, Daniil Vinogradov (XITRIX), affirme qu'Apple ne l'a pas contacté au sujet de la révocation de ses droits de distribution alternative dans l'UE. Peu après l'apparition des problèmes, Vinogradov a envoyé une demande d'assistance à Apple pour obtenir des éclaircissements, mais cela n'a pas été utile non plus. Apple a plutôt répondu par un message générique lié aux problèmes de l'App Store.

    Après un nouveau suivi la semaine dernière, Apple a informé le développeur que son équipe d'escalade examinait la question, mais sans plus. « Je ne sais toujours pas si c'était ma faute ou celle d'Apple, et leurs réponses n'ont aucun sens », déclare Vinogradov.

    AltStore PAL n'est pas responsable des problèmes, mais il s'est également mobilisé. Le cofondateur Shane Gill informe TorrentFreak qu'ils ont demandé des éclaircissements à Apple, mais qu'ils ignorent toujours les raisons qui ont poussé l'entreprise à intervenir. « Je peux confirmer que nous sommes en communication avec Apple à ce sujet. Nous leur avons expliqué le problème, et ils ont dit qu'ils examinaient la question, mais nous n'avons pas encore reçu d'autres informations », déclare Gill.

    Pour l'instant, rien ne prouve que le lien « BitTorrent » soit à l'origine du problème. Selon Gill, Apple n'a jamais fourni à AltStore de directives ou d'avertissements concernant des catégories d'applications spécifiques.

    Récemment, Apple a informé que les droits de distribution (notarisation) avaient été révoqués en raison de règles liées aux sanctions. « La certification de cette application a été supprimée afin de se conformer aux règles gouvernementales relatives aux sanctions dans diverses juridictions. Nous en avons informé le développeur », nous a déclaré Apple. Aucun autre contexte n'a été fourni, mais le développeur aurait eu un compte développeur russe, bien qu'il réside à Malte.

    Cette annonce intervient alors que plusieurs applications iOS distribuées via l'Apple Store, qui s'adressent à la communauté LGBTQ+ et aux adeptes du sugar dating et du BDSM, ont fait l'objet de fuites de contenus très sensibles à grande échelle. Au total, près de 1,5 million de photos privées d'utilisateurs des applications BDSM People, Chica, Translove, Pink et Brish ont été compromises, rapporte l'équipe de recherche du portail lituanien Cybernews.

    Sources : iTorrent developer Daniil Vinogradov (XITRIX), Apple

    Et vous ?

    Pensez-vous que cette situation est crédible ou pertinente ?
    Quel est votre avis sur le sujet ?

    Voir aussi :

    Epic Games annonce un nouveau moyen pour les développeurs de contourner complètement la taxe d'Apple, afin d'éviter la commission illégale de 27 % d'Apple sur les achats effectués en dehors de l'App Store

    Apple a décidé de revoir les conditions d'utilisation de sa boutique d'applications dans l'UE afin d'éviter les amendes de plus en plus lourdes prévues par la réglementation sur la concurrence numérique

    Apple affirme qu'il gère cinq différents App Store et non un seul comme le prétend l'Union européenne. L'entreprise tente toujours d'échapper aux exigences de la loi sur les marchés numériques
    Publication de communiqués de presse en informatique. Contribuez au club : corrections, suggestions, critiques, ... Contactez le service news et Rédigez des actualités

  6. #286
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    Par défaut Les USA menacent de sanctionner les entreprises européennes suite aux amendes infligées par l'UE aux géants US
    Les USA menacent d'imposer des sanctions aux entreprises technologiques européennes en représailles aux amendes infligées par l'UE aux géants US comme Google, Apple et Meta en vertu de règles telles que la DMA

    Les États-Unis intensifient leurs pressions sur l'Union européenne (UE), menaçant de prendre des mesures de rétorsion contre les entreprises technologiques européennes, en réponse aux mesures coercitives agressives prises par Bruxelles à l'encontre des géants américains de la technologie. Dans une déclaration, le bureau du représentant américain au commerce (USTR) a accusé l'UE de réglementation discriminatoire dans le cadre de dispositifs tels que la loi sur les marchés numériques (DMA), laissant entendre que des entreprises telles que Siemens, Accenture ou Mistral pourraient se voir infliger des amendes ou subir des restrictions si les politiques actuelles de l'UE persistaient.

    Cette montée des tensions s'inscrit dans le prolongement d'un débat de longue date autour du Digital Markets Act, que Washington perçoit comme une menace pour les entreprises technologiques américaines. Dès décembre 2023, des législateurs américains avaient alerté la Maison-Blanche, estimant que la réglementation européenne ciblait injustement les entreprises américaines, alors que de nombreuses entreprises chinoises ou européennes n'étaient pas incluses. Le DMA a depuis désigné Alphabet, Amazon, Apple, Meta et Microsoft comme des fournisseurs de services « gardiens », les soumettant à des obligations plus strictes.

    Le mardi 16 décembre 2025, les États-Unis ont menacé de prendre des mesures de rétorsion contre l'UE en raison des efforts déployés par le bloc pour taxer les entreprises américaines, désignant les grandes entreprises européennes comme cibles potentielles.

    Dans un message publié sur les réseaux sociaux, l'USTR a critiqué l'Union européenne et certains États membres pour leur « politique continue de poursuites judiciaires, de taxes, d'amendes et de directives discriminatoires et harcelantes » à l'encontre des prestataires de services américains.

    Il a averti que si l'Union européenne et ses membres persistaient dans leurs actions jugées préjudiciables à la compétitivité des entreprises américaines, Washington « n'aurait d'autre choix que de commencer à utiliser tous les outils à sa disposition pour contrer ces mesures déraisonnables ».


    Le message indiquait également que des entreprises européennes clés pourraient être visées en représailles, citant notamment Accenture, DHL, Mistral, Siemens et Spotify.

    « Si des mesures de rétorsion s'avèrent nécessaires, la législation américaine autorise, entre autres, l'imposition de taxes ou de restrictions sur les services étrangers », a déclaré l'USTR. Il a ajouté que Washington adopterait une approche similaire à l'égard des autres pays qui poursuivent une « stratégie de type européen dans ce domaine ».

    Le président Donald Trump a déjà critiqué l'UE pour sa réglementation des entreprises technologiques américaines, et la déclaration de l'USTR marque une nouvelle tentative de pression sur Bruxelles.

    Donald Trump a menacé d'imposer des droits de douane de rétorsion en septembre 2025 après que l'Union européenne ait infligé à Google une amende antitrust de 3,47 milliards de dollars américains.


    Au début du mois de décembre, le dirigeant américain a également critiqué une amende « abusive » de 140 millions de dollars infligée par l'Union européenne au réseau social X du magnat de la technologie Elon Musk. Il a averti que « l'Europe devait faire très attention ».

    Les tensions devraient continuer à s'intensifier, Google, Microsoft et Amazon ayant également fait l'objet récemment d'un examen approfondi de la part des autorités bruxelloises.

    Mardi, l'USTR a fait valoir que les entreprises américaines avaient fourni des « services gratuits substantiels » aux citoyens de l'UE et des « services fiables aux entreprises ». Il a également déclaré que les prestataires de services de l'UE avaient, à leur tour, pu « opérer librement » aux États-Unis.

    La riposte de Donald Trump contre les pays qui, selon lui, ciblent les entreprises technologiques américaines a entraîné certains changements dans d'autres pays.

    En juin dernier, le Canada a annoncé qu'il allait supprimer sa taxe sur les services numériques – qui aurait touché les géants technologiques américains – après que Trump eut déclaré qu'il mettait fin aux négociations commerciales avec Ottawa.

    Cette escalade survient alors que Bruxelles affirme vouloir appliquer ses règles numériques de manière impartiale, quel que soit l'entreprise concernée. En avril 2025, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a réaffirmé cette position, malgré les critiques persistantes de Washington, qui estime que les règles de l'UE étouffent l'innovation et créent des obstacles inutiles pour les entreprises américaines. Ce bras de fer réglementaire illustre les divergences croissantes entre les deux blocs concernant la gouvernance du numérique mondial.

    Et vous ?

    Quel est votre avis sur le sujet ?
    Trouvez-vous cette réaction de Washington judicieuse ou pertinente ?

    Voir aussi :

    Après une amende de 120 millions d'euros pour violation de la DSA, X coupe l'accès publicitaire de la Commission européenne : un précédent lourd de conséquences pour les infrastructures numériques publiques

    Macron appelle l'UE à cibler les grandes entreprises américaines de la Tech après que Donald Trump a menacé d'imposer des droits de douane aux pays maintenant des taxes « hostiles » aux intérêts américains

    L'UE a reporté l'imposition d'une amende à Google pour pratiques anticoncurrentielles dans le domaine des technologies publicitaires, par crainte de représailles américaines sous Trump

    Apple et Meta furieux contre l'UE qui leur inflige des amendes d'un montant total de 700 millions d'euros, les États-Unis qualifient « d'extorsion économique » les amendes imposées par l'UE à Apple et Meta
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  7. #287
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    Bon... Ce coup ci... Van der Layen va faire quoi?

    Elle s'est déjà aplatie devient l'empereur Trump dans son golf écossais et a sacrifié les intérêts de l'UE sans avoir le moindre mandat pour le faire...

    Elle compte sur une danse du ventre en string panthère?

  8. #288
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    Par défaut Apple condamné à 98,6 Mns € d'amende en Italie pour abus de position dominante sur le marché des apps mobiles
    Apple condamné à une amende de 98,6 millions € en Italie pour abus de position dominante sur le marché des applications mobiles, l'App Store exerçant une « domination absolue » sur les développeurs tiers

    L'autorité italienne de la concurrence (AGCM) a infligé une amende de 98,6 millions d'euros à Apple pour abus de position dominante sur le marché des applications mobiles, invoquant la « domination absolue » de l'entreprise via l'App Store dans ses relations avec les développeurs tiers. Les régulateurs ont déclaré qu'Apple avait imposé de manière déloyale des règles de confidentialité plus strictes aux développeurs tiers via son cadre App Tracking Transparency, portant préjudice à ses partenaires commerciaux tout en ne respectant pas les exigences de conformité prévues par la réglementation européenne. Apple a rejeté ces conclusions, arguant que ces mesures étaient essentielles pour la confidentialité des utilisateurs, et a annoncé son intention de faire appel.

    Cette sanction s'inscrit dans un contexte de pressions réglementaires croissantes sur Apple en Europe, marqué notamment par l'obligation d'ouvrir l'App Store pour se conformer à la loi sur les marchés numériques (DMA) de l'Union européenne. Présentée comme une avancée pour la concurrence, cette évolution a toutefois suscité de vives critiques de la part des développeurs, qui jugent les changements apportés par l'entreprise de « déchets radioactifs ».

    L'autorité italienne de la concurrence a annoncé le 22 décembre 2025 avoir infligé une amende de 98,6 millions d'euros au géant américain Apple et à deux de ses divisions pour abus présumé de leur position dominante sur le marché des applications mobiles. Le régulateur a déclaré que le groupe avait enfreint la réglementation européenne avec l'App Store d'Apple, où il détient une « position dominante absolue » dans ses relations avec les développeurs tiers.


    L'organisme de surveillance a ouvert une enquête sur le géant technologique en mai 2023, affirmant que la société pénalisait les développeurs d'applications tiers en leur imposant « une politique de confidentialité plus restrictive » à partir d'avril 2021.

    Apple a déclaré dans un communiqué qu'il « désapprouvait fortement » cette décision qui, selon lui, « ne tient pas compte des importantes mesures de protection de la vie privée » fournies par la requête « App Tracking Transparency » (ATT, transparence en matière de suivi des applications) de la société.

    L'AGCM a déclaré qu'Apple exigeait des développeurs tiers qu'ils obtiennent un consentement spécifique pour la collecte et la mise en relation de données à des fins publicitaires via la politique ATT imposée par l'entreprise.

    « Les conditions de la politique ATT sont imposées de manière unilatérale, elles portent atteinte aux intérêts des partenaires commerciaux d'Apple et ne sont pas proportionnées à la réalisation de l'objectif de confidentialité, comme le prétend l'entreprise », a déclaré l'autorité de régulation dans un communiqué, ajoutant que le processus n'était pas conforme à la réglementation en matière de confidentialité.

    Les développeurs ont également été contraints de dupliquer les demandes de consentement pour le même objectif, a-t-il ajouté.

    L'ATT a été créé « afin de donner aux utilisateurs un moyen simple de contrôler si les entreprises peuvent suivre leur activité sur d'autres applications et sites web », a déclaré l'entreprise technologique, ajoutant que les règles s'appliquent de manière égale à tous les développeurs, y compris Apple.

    L'entreprise fera appel de la décision du régulateur et a réitéré son engagement à « défendre des mesures de protection strictes en matière de confidentialité ».

    L'AGCM a déclaré que son enquête avait été complexe et menée en coordination avec la Commission européenne et d'autres régulateurs antitrust internationaux.

    Le communiqué de l'AGCM est présenté ci-dessous :

    Citation Envoyé par Autorité italienne de la concurrence (AGCM)

    L'Autorité a estimé que la politique de transparence en matière de suivi des applications (« ATT ») restreignait la concurrence. Cette politique définit les règles de confidentialité imposées par l'entreprise aux développeurs tiers d'applications proposées sur l'App Store.

    L'Autorité italienne de la concurrence a infligé une amende de 98 635 416,67 euros à Apple Inc., Apple Distribution International Ltd et Apple Italia S.r.l. (ci-après « Apple ») pour abus de position dominante. Apple a enfreint l'article 102 du TFUE sur le marché de la fourniture aux développeurs de plateformes de distribution en ligne d'applications aux utilisateurs d'iOS. Sur ce marché, Apple détient une position très dominante grâce à son App Store.

    L'Autorité a mené une enquête complexe en coordination avec la Commission européenne, d'autres autorités nationales de concurrence et l'autorité italienne chargée de la protection des données. Les conclusions de l'Autorité ont confirmé le caractère restrictif, du point de vue du droit de la concurrence, de la politique de transparence en matière de suivi des applications (« ATT »), c'est-à-dire les règles de confidentialité imposées par Apple pour les appareils iOS, à compter d'avril 2021, aux développeurs tiers d'applications distribuées via l'App Store. En particulier, les développeurs d'applications tiers sont tenus d'obtenir un consentement spécifique pour la collecte et la mise en relation de données à des fins publicitaires par le biais de l'invite ATT d'Apple. Cependant, cette requête ne répond pas aux exigences de la législation en matière de confidentialité, obligeant les développeurs à doubler la demande de consentement pour le même objectif.

    L'Autorité a établi que les conditions de la politique ATT sont imposées unilatéralement et nuisent aux intérêts des partenaires commerciaux d'Apple. Ces conditions ont également été jugées disproportionnées par rapport à la réalisation des objectifs déclarés de l'entreprise en matière de protection des données. Les données des utilisateurs étant un élément clé pour la publicité en ligne personnalisée, la double demande de consentement qui découle inévitablement de la politique ATT, telle qu'elle est mise en œuvre, restreint la collecte, la mise en relation et l'utilisation de ces données. En conséquence, cette double exigence de consentement nuit aux développeurs, dont le modèle économique repose sur la vente d'espaces publicitaires, ainsi qu'aux annonceurs et aux plateformes d'intermédiation publicitaire.

    La double demande de consentement rend la politique ATT disproportionnée, car Apple aurait dû garantir le même niveau de protection de la vie privée aux utilisateurs en permettant aux développeurs d'obtenir le consentement pour le profilage en une seule étape.
    Cette décision de l’AGCM intervient alors qu’Apple a déjà fait l'objet de plusieurs recours contestant les fondements économiques de l’App Store. Au Royaume-Uni, l'entreprise a fait l'objet d'une action collective anti-concurrentielle lancée en janvier 2025. Évaluée à 1,5 milliard de livres sterling, cette plainte antitrust affirme qu'Apple aurait abusé de sa position dominante pour facturer aux clients de l'App Store une commission « excessive et déloyale » de 30 %. L'entreprise a rejeté ces accusations, affirmant qu'elle n'occupait pas une position dominante sur les marchés plus vastes des transactions et des appareils numériques.

    En dehors de l'Europe, Apple a également été confronté à une offensive réglementaire majeure aux États-Unis. En mars 2024, le ministère de la Justice a engagé une vaste procédure antitrust contre Apple, l'accusant d'exploiter un monopole illégal sur le marché des smartphones en emprisonnant les utilisateurs dans l'écosystème fermé de l'iPhone. Selon la plainte, ces pratiques excluent les concurrents, freinent l’innovation et maintiennent artificiellement les prix à un niveau élevé, plaçant ainsi le modèle du « jardin clos » d’Apple au centre d’un examen mondial renforcé des géants de la technologie.

    Source : Autorité italienne de la concurrence (AGCM)

    Et vous ?

    Quel est votre avis sur le sujet ?
    Trouvez-vous cette initiative de l'AGCM justifiée ou pertinente ?

    Voir aussi :

    Apple a décidé de revoir les conditions d'utilisation de sa boutique d'applications dans l'UE afin d'éviter les amendes de plus en plus lourdes prévues par la réglementation sur la concurrence numérique

    Les développeurs doivent désormais communiquer leur numéro de téléphone et leur adresse sur l'App Store de l'UE, Apple retirera les applications qui ne seront pas en règle à partir du 17 février 2025

    L'App Store d'Apple n'est pas sûr : 1,5 million de photos privées explicites provenant d'applications de rencontres exposées en ligne, stockées sans protection par mot de passe
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  9. #289
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    Par défaut Apple règle un litige antitrust avec le régulateur brésilien CADE, autorisant les boutiques tierces sur iOS
    Apple a réglé un litige antitrust avec le régulateur brésilien CADE, acceptant d'autoriser les boutiques d'applications alternatives, le sideloading et les paiements externes sur iOS à partir d'avril 2026

    Apple a conclu un accord avec l'autorité anti-trust brésilienne, le CADE, acceptant d'autoriser les boutiques d'applications alternatives, le sideloading et les paiements externes sur son écosystème iOS dès le mois d'avril. Cet accord fait suite à une enquête de plusieurs années menée par le CADE sur les pratiques anticoncurrentielles de l'entreprise technologique, et permet au Brésil de se conformer à des mesures réglementaires similaires prises en Europe et en Asie. Ce changement devrait favoriser la concurrence, entraîner une baisse des prix des applications et stimuler l'économie numérique brésilienne.

    Dans le cadre d'une initiative qui fait écho aux changements mondiaux en matière de réglementation technologique, Apple Inc. a conclu un accord historique avec les autorités brésiliennes, modifiant fondamentalement le fonctionnement de son App Store dans le pays.

    Cet accord avec le Conseil administratif de défense économique (CADE) du Brésil s’inscrit dans un contexte de pressions réglementaires accrues sur Apple à l’échelle mondiale. En janvier 2024, le fabricant de l'iPhone avait déjà été contraint d’ouvrir son App Store dans l’Union européenne afin de se conformer au Digital Markets Act (DMA). Ces ajustements, censés favoriser les développeurs, avaient toutefois suscité de vives critiques sur la complexité et les limites des nouvelles règles imposées par Apple.

    L'accord, qui a été approuvé par le CADE, impose des changements, notamment l'autorisation d'autres boutiques d'applications, l'élargissement des options de paiement et la révision de la structure tarifaire. Cette évolution fait suite à une longue enquête antitrust sur l'écosystème iOS d'Apple, soulignant la surveillance internationale croissante sur le contrôle exercé par le géant technologique sur la distribution et la monétisation des applications.

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    Cet accord fait suite aux préoccupations soulevées par le CADE concernant les politiques restrictives d'Apple, jugées potentiellement anticoncurrentielles. Les enquêteurs ont fait valoir que le contrôle exclusif d'Apple sur les installations d'applications et les paiements intégrés aux applications étouffait la concurrence et l'innovation. En vertu des nouvelles conditions, les utilisateurs d'iPhone au Brésil pourront bientôt télécharger des applications provenant de boutiques tierces, une fonctionnalité déjà mise en œuvre dans des régions telles que l'Union européenne en raison de pressions réglementaires similaires. Ce changement devrait entrer en vigueur début avril 2026, coïncidant potentiellement avec une mise à jour iOS telle que la version 26.4.

    La réponse d'Apple à cette décision a été pragmatique, proposant un « engagement à cesser » qui décrit le plan de conformité de l'entreprise. Bien que les détails exacts de la nouvelle structure tarifaire restent quelque peu flous, certaines sources indiquent qu'Apple continuera à prélever des commissions sur les transactions, même celles traitées par des systèmes de paiement externes. Cette approche reflète les stratégies adoptées sur d'autres marchés, où Apple trouve un équilibre entre la conformité réglementaire et la protection de ses revenus.

    Répercussions réglementaires au-delà des frontières

    Le cas brésilien n'est pas isolé ; il s'inscrit dans un mouvement plus large d'actions antitrust contre Apple à l'échelle mondiale. Dans l'Union européenne, la loi sur les marchés numériques a contraint Apple à ouvrir sa plateforme à d'autres boutiques d'applications et prestataires de services de paiement. De même, le Japon et la Corée du Sud ont promulgué des lois imposant une plus grande flexibilité dans les écosystèmes d'applications. Selon certaines sources, les concessions accordées par Apple au Brésil comprennent l'autorisation pour les développeurs d'utiliser des systèmes de paiement externes, même si la société continuera d'imposer des frais sur ces transactions.

    Ce contexte mondial souligne les défis auxquels Apple est confronté pour maintenir son approche de jardin clos. Les analystes du secteur notent que si ces changements peuvent éroder les marges bénéficiaires d'Apple sur les ventes d'applications, ils pourraient favoriser l'émergence d'une communauté de développeurs plus dynamique. Au Brésil, où la pénétration des smartphones est élevée et où l'économie des applications est en plein essor, l'introduction de boutiques alternatives pourrait réduire les obstacles pour les développeurs locaux, ce qui pourrait conduire à des applications plus diversifiées et plus abordables pour les consommateurs.

    Cependant, la structure tarifaire d'Apple dans ce nouvel environnement est un sujet controversé. Même si les développeurs ont désormais la possibilité de contourner le système d'achat intégré à l'application d'Apple, la société prévoit de facturer des frais liés à la technologie de base ou des taxes similaires. Cette décision a suscité des critiques de la part de certains, les développeurs estimant qu'elle va à l'encontre de l'esprit des réformes réglementaires. Les sentiments des passionnés de technologie brésiliens sont toutefois mitigés, certains saluant la possibilité d'une tarification plus équitable tandis que d'autres s'inquiètent de la complexité de la mise en œuvre.

    Dynamique des développeurs et évolutions du marché

    Pour les développeurs d'applications, cet accord promet à la fois des opportunités et des obstacles. En autorisant le sideloading et les paiements externes, Apple réduit effectivement son rôle de gardien, ce qui pourrait permettre aux petits développeurs d'atteindre les utilisateurs sans payer la commission standard de 30 % sur les transactions de l'App Store. Cependant, la structure tarifaire révisée pourrait inclure un taux réduit ou des modèles alternatifs, tels qu'un tarif forfaitaire par installation, similaire à ce qui a été proposé en Europe.

    Selon les observateurs, à partir de l'année prochaine, les utilisateurs brésiliens auront accès au téléchargement parallèle d'applications et à des liens de paiement externes, ce qui aura un impact direct sur la manière dont les développeurs monétisent leurs produits. Cela pourrait déboucher sur des modèles commerciaux innovants, tels que des services d'abonnement gérés en dehors de l'écosystème Apple, ce qui pourrait augmenter les revenus des développeurs en supprimant les intermédiaires.

    D'un autre côté, les questions de sécurité occupent une place importante. Apple soutient depuis longtemps que son système fermé protège les utilisateurs contre les logiciels malveillants et les atteintes à la vie privée. Avec l'ouverture d'iOS au Brésil, l'entreprise devra mettre en place des mesures de protection robustes, telles que des processus de certification pour les applications tierces, afin de conserver la confiance des utilisateurs. Les spécialistes du secteur pensent qu'Apple pourrait utiliser cet argument comme un atout commercial, en mettant l'accent sur la sécurité de son App Store officiel face aux nouvelles options disponibles.

    Implications économiques pour Apple et le Brésil

    Sur le plan économique, cette refonte pourrait remodeler les sources de revenus d'Apple sur l'un des plus grands marchés d'Amérique du Sud. Le Brésil compte plus de 200 millions d'utilisateurs mobiles, ce qui en fait un territoire important pour les revenus liés aux applications. La nouvelle structure tarifaire, bien que n'étant pas encore entièrement détaillée, devrait inclure des dispositions permettant à Apple de percevoir des paiements sur les applications distribuées par d'autres moyens, afin de garantir que l'entreprise ne subisse pas de pertes importantes.

    Les comparaisons avec d'autres régions fournissent des indices. Dans l'Union européenne, Apple a introduit une redevance technologique de base de 0,50 euro par installation après le premier million, un modèle qui a suscité un débat sur son équité. Les régulateurs brésiliens ont plaidé en faveur d'une structure définie qui favorise la concurrence sans nuire à l'innovation. Cela pourrait se traduire par des redevances échelonnées en fonction de la taille ou des revenus des applications, adaptées à la dynamique du marché local.

    De plus, cet accord met fin à une bataille juridique qui durait depuis trois ans. L'approbation par le CADE des engagements pris par Apple témoigne d'une résolution collaborative plutôt que conflictuelle, qui pourrait créer un précédent pour les futures négociations dans les marchés émergents.

    L'expérience utilisateur sous les projecteurs

    Du point de vue des consommateurs, ces changements pourraient démocratiser l'accès aux applications. Les propriétaires d'iPhone brésiliens, dont beaucoup utilisent des alternatives Android abordables, pourraient trouver iOS plus attrayant grâce à cette flexibilité supplémentaire. Les options de paiement externes pourraient entraîner une baisse des prix, les développeurs répercutant les économies réalisées grâce à la réduction des commissions. Cependant, cette transition pourrait entraîner certaines complexités, telles que la navigation entre plusieurs boutiques d'applications ou la compréhension des différents niveaux de sécurité.

    Le communiqué de presse d'Apple souligne que ces ajustements élargiront le choix sans compromettre l'expérience utilisateur. Cependant, les sceptiques soulignent que la fragmentation de la distribution des applications pourrait dérouter les utilisateurs moins avertis, ce qui pourrait conduire à un écosystème sous-optimal. Les publications qui circulent en ligne soulignent l'enthousiasme des développeurs à l'égard des ajustements de prix localisés, certains notant des baisses de prix des abonnements afin de rendre les services plus accessibles dans le contexte économique brésilien.

    De plus, le délai de mise en œuvre, fixé au mois d'avril, laisse peu de temps à Apple pour déployer ces fonctionnalités. Cela pourrait nécessiter des mises à jour logicielles permettant le sideloading, similaires à celles déployées dans l'Union européenne. Les observateurs du secteur surveillent de près si Apple utilisera le Brésil comme terrain d'essai pour des changements mondiaux plus importants, en particulier dans le contexte actuel d'enquête antitrust aux États-Unis.

    La récente décision du Brésil survient alors qu'Apple a dû assouplir sa position en Europe. En juin dernier, l'entreprise technologique a revu les conditions d'utilisation de l'App Store dans l'UE pour éviter des sanctions financières croissantes prévues par les règles de concurrence numérique de l'Europe. Ces changements ont élargi les possibilités pour les développeurs de rediriger les utilisateurs vers de meilleures offres de produits numériques et des options de paiement en dehors de l'App Store, ce qui illustre une remise en cause progressive du modèle fermé historique d'iOS.

    Source : Apple

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    Voir aussi :

    Apple condamné à une amende de 98,6 millions € en Italie pour abus de position dominante sur le marché des applications mobiles, l'App Store exerçant une « domination absolue » sur les développeurs tiers

    Un cadre d'Apple admet que la mise en œuvre des modifications de l'App Store exigées par une ordonnance de 2021 n'a pas réussi à stimuler la concurrence, car elle comporte des lacunes importantes

    Apple pourrait-il survivre s'il devait payer une taxe de 30 % sur son chiffre d'affaires ? Certains développeurs affirment que les frais appliqués par Apple dans l'App Store constituent une extorsion
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