Bonjour,
Franchement il n'y a pas besoin de caméra ou autre dispositif espion pour savoir qui travaille ou non. Il suffit de regarder les livrables. De plus avec le versioning on peut savoir qui travaille bien ou non.
A+
Bonjour,
Franchement il n'y a pas besoin de caméra ou autre dispositif espion pour savoir qui travaille ou non. Il suffit de regarder les livrables. De plus avec le versioning on peut savoir qui travaille bien ou non.
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Donc c'est comme Teams mais avec une possibilité de surveillance vidéo continue sur la journée ?
C'est bien la peine de mettre ses salariés en télétravail - bon le virus est là, mais ne reviendra sans doute pas, car le prochain confinement sera comme la Bombe A sur Nagasaki; la première c'est le résultat du confinement actuel - pour les espionner ainsi à domicile, donc dans un lieu privé, mais qui devient par la force des choses un lieu d'exercice de leur profession : je serai curieux d'avoir l'avis d'avocats du travail sur ce sujet...
https://demarchesadministratives.fr/...s-des-salaries
La vidéosurveillance rassure tant les particuliers que les employeurs. Toutefois, dans le milieu professionnel, l’utilisation de ce dispositif est soumise à des règles très strictes dictées par la CNIL. Tout manquement pourrait entraîner des sanctions importantes.
Les salariés ne peuvent pas être filmés en continu
Le but de la vidéosurveillance n’est pas de contrôler les employés, mais d’assurer la sécurité des biens et des personnes. En ce sens, braquer une caméra en continu sur un salarié est formellement interdit par la loi, car cela est une entrave à la vie privée. Une entreprise utilisant ses caméras de vidéosurveillance pour surveiller son personnel peut coûter cher à l’employeur.
La Commission nationale de l’informatique et des libertés a fait savoir le 18 juin dernier, avoir sanctionné Uniontrad Compagny. Il s’agit d’une entreprise de 9 salariés, spécialisée dans la traduction de documents. En effet, entre 2013 et 2017, les employés de cette petite entreprise avaient porté plusieurs réclamations à la CNIL, car ils étaient filmés en continu sur leur poste de travail. Après deux rappels à l’ordre à l’amiable, Uniontrad Compagny n’avait toujours pas légalisé l’utilisation de sa vidéosurveillance. Son PDG a alors écopé de 20 000 euros d’amende.
Comment utiliser la vidéosurveillance en entreprise ?
Dès lors que le dispositif de vidéosurveillance est installé dans un environnement professionnel, les employés doivent être mis au courant. Cela se fait généralement par une note interne, mais également par l’affichage de panneaux indiquant la vidéosurveillance dans les bâtiments. Plusieurs données sont indispensables, comme :
l’installation des caméras et le nom de la personne en charge
le motif du recours à la vidéosurveillance
la durée de conservation des images
la possibilité de contacter la CNIL en cas de réclamation
la procédure à suivre pour obtenir l’accès aux enregistrements concernant les salariés
D’autre part, à aucun moment les caméras de vidéosurveillance ne doivent filmer un employé en particulier ou un poste de travail de façon continue. Elles sont généralement placées aux entrées et sorties des bâtiments, mais aussi sur les issues de secours, sur les voies de circulation, ou dans les entrepôts stockant de la marchandise.
Différentes formalités sont indispensables côté employeur, afin d’être en règle. Elles varient si l’entreprise reçoit du public ou pas, etc.
Les limites des caméras de vidéosurveillance dans le cadre professionnel
Installer une caméra de surveillance dans un bureau filmant sans interruption les employés est formellement interdit. Il en va de même sur les zones de pause ou de repos, les toilettes et les locaux des délégués syndicaux. Les caméras de vidéosurveillance ne peuvent filmer que des bureaux ou des machines, mais en aucun cas les employés.
L’entreprise de traduction filmait un bureau de 6 traducteurs en continu, sans afficher la présence de caméras de vidéosurveillance. D’autre part, les postes de travail n’avaient aucun mot de passe et les employés avaient accès à une messagerie professionnelle partagée, protégée par un seul et unique mot de passe.
En juillet 2018, la CNIL a mis la société en demeure de respecter la loi du 6 janvier 1978 en modifiant l’angle de prise de vue de la caméra de vidéosurveillance. Elle a également imposé à la hiérarchie d’informer les salariés de la présence du dispositif sur site et d’attribuer un mot de passe par personne, tout comme un accès à une messagerie sécurisée personnalisé.
Pour autant, après un second contrôle trois mois plus tard, la CNIL n’a pu observer de changements satisfaisants et a engagé une procédure de sanction.
Il faut un peu se renseigner avant de raconter n'importe quoi...
Dans le cas du télétravail, ce qui est possible avec sneek.io, s'il était utilisé en France, serait de permettre à l'employeur de filmer - même si ce sont des captures d'écrans, mais répétées toutes les 5 mn, soit 96 pour une journée de 8h de travail (on arrondit) - dans un domicile privé, captures qui peuvent éventuellement assimilées par un Tribunal comme une vidéo-surveillance en continue...
Si un employeur ne peut pas quantifier le travail fourni par ses salariés au résultat obtenu, je me demande pourquoi il les a engagés...
Le système fonctionne ? Les mises à jour sont faites ? La sécurité contrôlée ? Les données à l'abri ? La redondance assurée dans les délais fixés ? La veille technologique assurée ? Les procédures explicites ? Les cas d'urgence documentés ? Les courts-circuits évoqués pour quand il faut faire vite ? Ben tu peux te rendormir, d'un œil... Je me fiche qu'il te faille un jour ou une heure pour assurer un certain niveau de service. Je ne tolérerais pas une panne ou défaillance prévisible.
C'est ça, ma métrique. Quand tu es malin, tu donnes un coup de collier pour mettre les choses d'équerre, puis tu peux jouer à Tetris toute la journée, le mois où l'année, le job est fait.
La question est : Pourquoi le travail ?
Si c'est juste pour assurer un revenu, par contrainte et obligation, une sorte de rituel social qui garantit une certaine disponibilité, une présence, contre des ressources, la question n'a pas de solution sous cette forme.
Si le travail est la participation de bonne volonté à une structure vivante destinée à long terme à pérenniser l'espèce en lui donnant de meilleurs moyens de survivre, la question est résolue dès lors que la fonction confiée au travailleur est remplie.
Personne n'empêche un travailleur de se poser plus de questions que celles de son cahier des charges, de s'impliquer plus avant. Si le système fonctionne, les résultats qu'il obtiendra seront pris en compte lors de sa rétribution.
Personnellement, je trouve consternant ces gens qui ne voient le "boulot" que comme une contrainte, une affliction, qui sépare leur naissance de leur retraite, ce moment où ils seront enfin libres d'exprimer pleinement tout le talent qu'ils auront soigneusement épargné pour surtout ne pas que quiconque d'autre "puisse en profiter" au long de leur vie active.
Si on n'arrive pas à établir une relation professionnelle patron-employé (ou cadre-subordonné) basée sur la confiance et le respect mutuels, on se prépare une vie bien frustrante.
Tu ne réponds pas à ma question.
Je dirais que ça dépend des boites. Dans certaines, faire plus sera considéré comme normal et le salarié ne sera même pas remercié. Et pire, la prise d'initiative ayant entrainé des tracasserie génèrera au mieux des remontrances. Dans ce cas de figure, la non prise d'initiative être compréhensible.Personne n'empêche un travailleur de se poser plus de questions que celles de son cahier des charges, de s'impliquer plus avant
Encore une fois, quand tu fais un boulot mal paye, sans perspective d’évolution, ou tu n'es pas considéré, je pense que le boulot est une contrainte.Personnellement, je trouve consternant ces gens qui ne voient le "boulot" que comme une contrainte, une affliction, qui sépare leur naissance de leur retraite
C'est effectivement le problème, regardes ce qui se dit d'Amazon.Si on n'arrive pas à établir une relation professionnelle patron-employé (ou cadre-subordonné) basée sur la confiance et le respect mutuels, on se prépare une vie bien frustrante.
On est d'accord, et dans l'idéal, c'est à ce moment qu'il faut changer et aller voir ailleurs.
La question était la quantification d'une activité, j'ai restreint le champ à ce que j'ai connu (30 ans...), à un domaine que j'ai contribué à développer en entreprise.
Il est clair que ça n'avait rien à voir avec une routine, un cahier des charges encyclopédique, des horaires fixes et des primes à la performance. A cette époque, de toutes façons, la rémunération était "suffisante" ! C'est aussi en partie ce point qui a permis l'explosion de l'informatique en général : Une bonne proportion des gens de l'info ne comptaient pas trop leurs heures, était très bien payés de toutes façons, étaient venus à l'info par hasard et s'y sont trouvés bien ensuite.
On était loin des parcours formatés actuels, où certains semblent caresser l'espoir que, parce qu'ils ont appris tel framework un jour, ils vont pouvoir partir à la retraite sans avoir rien vu d'autre...
Mais dans nos professions, je ne pense pas qu'il soit possible de quantifier raisonnablement l'activité. La seule mesure vraie est le comportement du système dans son ensemble, son adaptabilité, sa résilience. Ce qui implique que quelle que soit la forme du travail, il doit se faire en équipe puisque la défaillance d'un secteur impact le reste.
Alors que le gars en télétravail passe son temps à faire des réussites (ou la bringue) mais fournisse en temps, en heure et en qualité parce qu'il travaille extrêmement vite lorsqu'il s'y met (j'en ai connu un), ça me convient parfaitement. Je préfère nettement cela à cet autre, qui faisait ses 8h30 par jour ponctuellement en faisant semblant de tapoter sur son clavier mais qui, au final, n'a jamais produit que de la merde (et des dizaines de milliers de lignes) avant de se faire virer...
Arrêtez de rêver.
La quantité, tout le monde connait : exemple de la malbouffe en très grande quantité de production...
La qualité : vous ne semblez pas prendre l'importante de ce métrique.
Pourtant la valeur ajoutée est bien là : cela fonctionne correctement et réalise ce qu'on demande, alors même si le travail a été fait par une "fée" et d'un coup de "baguette magique", ce n'est pas grave.
Et puis si un employé fait un travail en 2 heures alors que tout le monde le fait en une journée (à qualité égale bien-sur), tant mieux : cela prouve que c'est un bon employé et qu'il faut le garder.
J'ai connu une situation un jour dans une société. J'étais le premier informaticien employé qui arrivait à tenir les délais (et oui cela m'est arrivé une fois dans ma vie). Quand mon responsable c'est aperçu de cela, il ne m'a pas félicité. Il a voulu me donner une partie de travail d'un collègue et m'a reproché de ne pas faire plus d'heures que mon contrat de travail prévoyait (en restant plus tard le soir). Je lui ai demandé donc de me payer plus, il a refusé. J'ai refusé de prendre le travail des autres (il faut savoir partager dans la vie et ne pas tout garder pour soi). Il n'a pas été content mais il m'a quand même gardé car j'étais encore en période d'essai. A la fin de la période d'essai, j'avais un autre job et j'ai quitté mon cher patron...
A+
Vous ne parlez pas la même langue.
TJ1985 a utilisé le mot quantifier dans le sens évaluer, pas forcément en chiffres.
Neckara a compris quantifier dans le sens évaluer et exprimer en chiffres, ce qui est d'ailleurs conforme à ce que dit le dictionnaire :
Source : https://www.cnrtl.fr/definition/quantifierQUANTIFIER, verbe trans.
A. − Attribuer une quantité, une valeur quantitative à (une chose concrète ou abstraite); évaluer et exprimer en chiffres.
Je vois aussi un malentendu sur l'usage du mot métrique. Ce n'est pas un simple synonyme de critère d'évaluation. Il y a aussi les idées de mesure, de quantité, de nombre.
Pour ou contre les logiciels de surveillance des employés ? Un logiciel espion révèle qu’une employée ne travaillait pas autant qu’elle le prétendait
Et elle doit désormais rembourser son salaire
L’utilisation par les employeurs des logiciels de surveillance des employés en télétravail est destinée à s’assurer que ces derniers sont bien assis devant leur ordinateur à faire le boulot pour lequel ils sont payés. L’approche qui n’a rien de nouveau reprend un coup de neuf avec le cas Karlee Besse. La Canadienne a été condamnée par un tribunal civil à indemniser son ancien employeur pour « vol de temps » après avoir été prise en flagrant délit de fausse déclaration des heures passées à travailler par un logiciel de suivi. Des critiques sont néanmoins d’avis que ce type de surveillance équivaut à de l'espionnage et porte atteinte aux droits fondamentaux des employés.
Cette décision de justice constitue l'un des premiers cas qui s’appuient sur une telle technologie pour ordonner à un travailleur de rembourser son employeur en cas de manquement au travail. Besse travaillait à distance pour Reach CPA, un cabinet comptable basé en Colombie-Britannique, au Canada. Le conflit a commencé l'année dernière lorsque Besse a affirmé avoir été licenciée à tort et que son employeur lui devait 5000 $ en salaire et en indemnités de départ impayées.
Son employeur a fait valoir que Besse avait été licenciée à juste titre parce qu'elle avait commis un « vol de temps. » Reach CPA a déclaré avoir recueilli des preuves en utilisant TimeCamp, un logiciel de suivi du temps qui enregistre les accès aux fichiers et leur durée. Les dossiers ont montré un écart de 50 heures entre ce que Besse a déclaré comme temps de travail et ce que TimeCamp a enregistré comme activité professionnelle. C’est sur la base de ces données produites par le logiciel que le tribunal a décidé que l’employée doit rembourser 2600 $ de salaire.
Certains employeurs s’appuient sur des outils de travail collaboratifs comme Sneek qui leur permettent de photographier leurs employés toutes les 5 minutes grâce à un service vidéo en continu.
L'interface du logiciel permet à l'employeur de disposer d'un "mur de visages" (pour chaque bureau), qui reste actif tout au long de la journée de travail et présente des photos des travailleurs prises par leur ordinateur portable toutes les une à cinq minutes. En fait, ce qu’il faut dire est que l’application permet aux employés de régler leur webcam pour qu’elle les photographie de façon automatique toutes les une à cinq minutes, selon la fréquence à laquelle leur patron l’exige. En sus, l’employeur peut initier un appel vidéo en direct avec un travailleur en cliquant sur sa photo, ce, même si ce dernier n’a pas accepté. C’est un paramètre par défaut du logiciel qui peut être modifié pour conditionner la réception de l’appel à une action manuelle, à condition que cela fasse partie des règles que l’employeur approuve.
En matière d’intrusion, c’est un descriptif à l’opposé du nom même de l’application qui a à voir avec la notion d’action dans le secret. À ce propos, l’entreprise souligne justement que « Sneek n’a jamais été conçu pour espionner qui que ce soit. Sinon, nous serions la pire société d’espionnage surtout que nous avons baptisé notre application Sneek. Nous savons que beaucoup de gens trouveront que c'est une atteinte à la vie privée. Nous comprenons à 100 % que cette dernière ne soit pas la solution pour ceux qui regardent les choses de cette façon, mais il y a aussi beaucoup d’équipes désireuses de rester en contact lorsqu’elles travaillent. » Ainsi, d’après l’entreprise derrière l’application l’objectif poursuivi n’est pas l’intrusion à la vie privée, mais la culture de bureau.
Dix ans après que Marissa Meyer se soit érigée contre le travail à distance, nous voilà à nouveau sur les starting blocks des débats de l’époque. En 2013, dans une note envoyée à ses employés, la PDG de Yahoo a annoncé qu'il ne sera plus possible pour ces derniers de travailler à distance. Expliquant sa décision, la patronne de Yahoo avait soutenu que « certaines des meilleures décisions et idées viennent de discussions de couloir et de cafétéria, en rencontrant de nouvelles personnes et dans des réunions d'équipe improvisées » avant d’ajouter que « la rapidité et la qualité sont souvent sacrifiées lorsque nous travaillons à la maison » et qu'avoir un Yahoo! uni « commence par être physiquement ensemble ». En 2017, IBM a mis en avant des arguments allant dans le même sens pour mettre fin au télétravail. Comme quoi, le présentiel (qu’il soit physique ou au finish virtuel via des applications comme Sneek) serait un plus dans la stimulation de la productivité des employés.
Dans bien de pays au monde, la journée de travail a une durée de 8 heures. Pour un employé de bureau, on arrive au lieu de service, s’installe sur un siège devant un ordinateur et se lance dans ses activités. Mais, lesquelles ? De quoi s’agit-il dans la réalité ? De « 8 heures de travail » ou « 8 heures au travail » ? En d’autres termes, pour combien de temps les travailleurs sont-ils productifs sur une journée de travail ? Dans une publication parue il y a 3 ans, Invitation Digital Ltd – une firme de marketing basée au Royaume-Uni – répond aux questions …
L’étude d’Invitation Digital Ltd a porté sur près de 2000 (1989 pour être exact) employés de bureau (à temps plein) âgés de plus de 18 ans et disséminés sur l’ensemble du territoire du Royaume-Uni. En réponse à la question de savoir s’ils se considèrent productifs tout au long d’une journée de travail, la grande majorité (soit 79 %) avait répondu non. D’après les résultats de l’étude, seul le cinquième (donc les 21 % restants) a répondu par l’affirmative. Le sondage avait ensuite révélé que la durée moyenne de productivité sur le lieu de service est de 2 h 53 min, soit moins de 3 h.
D’après l’enquête, si les travailleurs se retrouvaient avec moins de 3 h de productivité sur une journée de travail c’est parce qu’ils étaient la plupart du temps distraits par des activités comme : surfer sur les réseaux sociaux - 47 % (des répondants au sondage) ; lire les sites Web d'actualités - 45 % ; discuter des activités en dehors du travail avec des collègues - 38 % ; préparation de boissons chaudes - 31 % ; pauses cigarette - 28 % ; messagerie texte et messagerie instantanée – 27 % ; manger par petits bouts - 25 % ; faire de la nourriture au bureau - 24 % ; téléphoner à son partenaire/à ses amis - 24 % ; recherche d'un nouvel emploi – 19 %.
Source : Décision
Et vous ?
Pour ou contre les logiciels de surveillance des employés ?
Que pensez-vous de la décision de ce tribunal ? Les données issues de tels logiciels sont-elles suffisantes pour mesurer la productivité d’un employé en télétravail et tirer des conclusions fiables ?
Comment votre employeur fait-il pour vous contrôler alors que vous êtes en télétravail ?
Voir aussi :
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Dix ans après que Marissa Meyer se soit érigée contre le travail à distance, nous voilà à nouveau sur les starting blocks des débats de l’époque. En 2013, dans une note envoyée à ses employés, la PDG de Yahoo a annoncé qu'il ne sera plus possible pour ces derniers de travailler à distance. Expliquant sa décision, la patronne de Yahoo avait soutenu que « certaines des meilleures décisions et idées viennent de discussions de couloir et de cafétéria, en rencontrant de nouvelles personnes et dans des réunions d'équipe improvisées » avant d’ajouter que « la rapidité et la qualité sont souvent sacrifiées lorsque nous travaillons à la maison » et qu'avoir un Yahoo! uni « commence par être physiquement ensemble ».
Son RSSI de l'époque lui a envoyé une merveilleuse idée par mail : sécuriser la messagerie de 3 milliards d'êtres humains. La décision de la direction de ne pas donner suite a certainement été prise en télétravail.
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