
Envoyé par
Matthieu Vergne
Il est très, très, très rare de pouvoir éradiquer un problème d'ordre naturel (la pédophilie n'est pas forcément choisie). Tu auras beau l'éradiquer un jour, rien ne garantie qu'il ne reviendra pas naturellement le lendemain.
Il faut, d'une part, réduire l'intérêt de s'y mettre pour ceux qui ont le choix et, d'autre part, diriger les actes pour minimiser les conséquences de ceux qui n'ont pas le choix. C'est pourquoi j'ai du mal à comprendre pourquoi il y a une telle énergie mise à l'encontre de la consommation d'oeuvres purement fictives, qui pourtant ne portent préjudice à personne a priori. Ou disons plutôt que je ne l'explique que par une position idéologique d'éradication, certainement vouée à l'échec et donc contre-productive car empêchant de réfléchir à des solutions plus mesurées de contrôle de ces comportements.
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