Il a à vivre sa vie comme ça et il est mûr sur ce mur se creusant la tête : peut–être qu'il peut être sûr, etc.
Oui, je milite pour l'orthographe et le respect du trait d'union à l'impératif.
Après avoir posté, relisez-vous ! Et en cas d'erreur ou d'oubli, il existe un bouton « Modifier », à utiliser sans modération
On a des lois pour protéger les remboursements aux faiseurs d’argent. On n’en a pas pour empêcher un être humain de mourir de misère.
Mes 2 cts,
--
jp
Une docteure ?
Voici ce qu'en dit l'OQLF : http://bdl.oqlf.gouv.qc.ca/bdl/gabarit_bdl.asp?id=3936
Désolé pour ma petite pointe provocante gratuite, c'est juste que je trouve la France si réfractaire au changement que ça en devient parfois schizophrène, surtout à une époque qui, elle, bouge vite.
Lecteur => Lectrice
Facteur => Factrice
Moteur => Motrice
Maintenant, Menteur => menteuse
Alors, Docteuse, ou Doctrice ?
Tatayo.
Étant entendu que des fois, le moteur se trouve dans la motrice et, non, il ne s'agit pas de pornographie, mais juste de technologie et de terminologie !
Je sens qu'on n'a pas fini de rigoler avec ces féminisations forcées, à outrance, imposées on dirait. C'était pas bien, avant ? Certains mots n'avaient pas de féminin et alors ? On n'est pas obligé de tout féminiser.
Parce qu'à ce compte-là, certains mots n'ont pas de masculin, on en invente ? J'habite dans une villa, et donc ? J'habite dans un pavillon ? Rien à voir !
Et, tiens, au passage, quel est le féminin de "pavillon" ? Ben y en a pas...
Déjà que les gens ne savent plus écrire correctement, voilà qu'on va s'amuser à compliquer les règles...
Il a à vivre sa vie comme ça et il est mûr sur ce mur se creusant la tête : peut–être qu'il peut être sûr, etc.
Oui, je milite pour l'orthographe et le respect du trait d'union à l'impératif.
Après avoir posté, relisez-vous ! Et en cas d'erreur ou d'oubli, il existe un bouton « Modifier », à utiliser sans modération
On a des lois pour protéger les remboursements aux faiseurs d’argent. On n’en a pas pour empêcher un être humain de mourir de misère.
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jp
Une doctoresse dixit le Larousse
- PDO++ : Une nouvelle façon d'utiliser PDO. Billet de blog || Code source
- PhpEcho : Un moteur de rendu en une seule classe ! Nouvelle version (release 2.3.2) publiée le 18/04/2020 : Billet de blog || Code source
Toujours dans l'exagération...
Car tu connais des pavillons avec un pénis, et d'autres avec un vagin ?
Bien sûr qu'on ne va pas avoir une version masculine et une version féminine pour TOUS les mots et objets car cela n'a pas lieu d'être dans la plupart des cas, maintenant, il ne faut pas abuser non plus, féminiser ou masculiniser des noms de professions, cela ne va tuer personne...
Il faut quand même essayer d'un peu faire la part des choses, et ne pas se braquer au moindre changement.
Il a à vivre sa vie comme ça et il est mûr sur ce mur se creusant la tête : peut–être qu'il peut être sûr, etc.
Oui, je milite pour l'orthographe et le respect du trait d'union à l'impératif.
Après avoir posté, relisez-vous ! Et en cas d'erreur ou d'oubli, il existe un bouton « Modifier », à utiliser sans modération
On a des lois pour protéger les remboursements aux faiseurs d’argent. On n’en a pas pour empêcher un être humain de mourir de misère.
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jp
Nous parlons une langue vivante, et non une langue morte, celle-ci est donc amenée à évoluer, à "muter", et si cela peut enlever certaines incohérences ou certains cas spécifiques qui rendent notre langue compliquée à apprendre, personnellement, cela ne me choque pas le moins du monde.
Pour énormément de mots, ceux-ci sont "transformés" lorsqu'il s'agit du féminin, même si parfois ce n'est que pour l'ajout de simple 'e' pour marquer le genre, alors qu'il n'y ait pas une version masculine ET une version féminine, pour des objets sensés être asexués, je rejoins effectivement Jipété, cela n'aurait aucun sens, donc c'est "normal de ne pas le faire", maintenant pour les noms de métiers, pourquoi le faire pour certains et non pour d'autres ?
Cela ne fait qu'ajouter de la complexité pour rien du tout.
Pourquoi cela vous semble si naturel de dire une avocate, une mécanicienne, une boulangère, etc. etc. et que cela devient une ignominie pour d'autres métiers, juste car vous n'avez pas l'habitude d'entendre / voir cette nouvelle graphie ?
Je ne suis pas pour la simplification à outrance (comme pour les accents et autres choses qui ont pu être proposées), mais il ne faut pas non plus tomber dans le conservatisme à tout prix, et garder une langue complètement figée.
J'étais tombé sur un blog intéressant qui démontait l'Académie Française mais j'ai eu beau chercher, je ne le retrouve plus.
Par contre je suis tombé sur 3 autres articles qui sont - je trouve - assez intéressants :
http://www.audreyalwett.com/auteur-auteure-ou-autrice/
http://sexes.blogs.liberation.fr/201...s-choque-t-il/
http://www.langue-fr.net/spip.php?article140
Là je ne suis pas du tout d'accord avec ce genre d'argument qui n'en est pas. Dans ce cas on pourrait penser l'inverse, comment se fait-il que des professions soient féminisées et pas toutes ? Ce n'est pas le langage qui évolue avec son temps ? On accepte bien de nouveaux mots anglais. Tiens je viens de voir qu'on a créé par exemple pour les hommes le terme de maïeuticien pour sage-femme.
Est-ce que les hommes accepteraient d'être avocate, infirmière, .... ?
La faiblesse humaine est d'avoir des curiosités d'apprendre ce qu'on ne voudrait pas savoir
La réponse dans mes liensAu XVIIe siècle, on disait auteur/autrice comme on dit aujourd’hui acteur/actrice. [...] Le Cardinal de Richelieu [...] a créé l’Académie Française et a ordonné à cette institution, composée uniquement d’hommes, d’effacer les femmes de la vie intellectuelle et politique.
[...]
À l’époque, on disait philosophesse, poétesse, autrice, mairesse, capitainesse, médecine, peintresse, etc. Tous ces mots ont été supprimés pour ne garder que leur masculin : philosophe, poète, auteur, maire, etc. C’est une façon de dire aux femmes qu’elles n’avaient pas de légitimité dans ces professions.
Et bien, ça ne tue pas en effet !C’est une façon de dire aux femmes qu’elles n’avaient pas de légitimité dans ces professions
La faiblesse humaine est d'avoir des curiosités d'apprendre ce qu'on ne voudrait pas savoir
L'usage des féminins à tout va, ne nous compliquera pas plus la vie que certains pluriels irréguliers :
- Un bocal ... des bocaux mais un chacal ... des chacals
- Un portail ... des portails, mais un ail ... des aulx
Voire même
- Un voleur ... des valises, mais un pain...des pisses et un bock des haltères !
Ah voilà, j'ai fini par retrouver l'article !
Je ne sais pas si ça intéressera des gens mais j'y ai appris certaines choses : https://www.revue-ballast.fr/maria-c...age-politique/
L’orthographe est historique, mais serait-elle aussi politique ?
Oui. Il y a toujours eu plusieurs variantes orthographiques en concurrence dans les usages, mais la tradition de l’Académie française a toujours été de choisir les variantes les plus difficiles. C’était un choix nettement politique et élitiste ; il s’agissait de choisir les variantes les plus éloignées de l’écriture « des ignorants et des simples femmes », qui avaient très peu accès à l’éducation scolaire et qui écrivaient de manière plus proche de la prononciation. Pourtant, le courant « phonétiste », qui plaidait pour une écriture proche de la prononciation, a existé dès le XVIIe siècle, y compris parmi les premiers académiciens, mais il n’a jamais réussi à s’imposer. Pendant longtemps, l’écriture a été dissociée de l’orthographe. On apprenait d’abord à écrire et puis ensuite, éventuellement, à « mettre l’orthographe » en lien avec l’étude du latin et du grec. À l’époque, jusqu’au XIXe-XXe, l’orthographe n’est vraiment pas destinée à tous : c’est une pratique de distinction sociale. Cela a posé beaucoup de problèmes quand, à la fin du XIXe, avec la démocratisation de l’enseignement, il s’est agi d’enseigner à tout le monde quelque chose qui avait justement été inventé pour ne pas être pour tout le monde. On souffre actuellement de cette situation-là dans l’enseignement, par rapport à d’autres langues romanes comme l’espagnol, dont l’orthographe respecte bien davantage la prononciation et non l’étymologie.
Article très intéressant, merci
Dommage qu'il manque un point de vue contradictoire d'un académicien en retour
Tous les académiciens ne sont pas des ronchons élitistes et grabataires, fort heureusement
Il y a d'ailleurs des informations très intéressantes sur le site de l'académie Française, à croiser avec d'autres sources linguistiques, c'est le principe de n'importe quelle recherche documentaire
Une doctrine ?Une docteure ?
Cheminées et portes ont eut-être une valeur symbolique ?Car tu connais des pavillons avec un pénis, et d'autres avec un vagin ?
[QUOTE]Nous parlons une langue vivante, et non une langue morte, celle-ci est donc amenée à évoluer, à "muter"
Et elle l'a déjà fait au fil des âges mais il semble que cela se doit fait par l'usage et non par les injonctions de cranes d’œuf grassement payés pour couper les poils de fion en 8 dans le sens de la longueur.
Tout dépend du montant de la paie.Est-ce que les hommes accepteraient d'être avocate, infirmière, .... ?
Parce-que pour de mystérieuses raisons ce genre de débat focalise l'attention du public ( Il suffit de lire cette suite de messages pour s'en convaincre ) et lui évite de se poser des questions bien plus fondamentales et pragmatiques. Ce n'est ni la manière d'écrire ou de s'exprimer qui va changer quoique ce soit.Je me permet d'intervenir pour retourner l'affirmation : Ne pas féminiser ou masculiniser des noms de professions, cela ne va tuer personne. Alors pourquoi ?
Prenons un exemple basique:
Quand on écrit à un organisme quelconque on ne sait pas qui va lire et la formule classique de départ était généralement:
"Monsieur, Madame"
Maintenant écrire ceci c'est courir le risque de castration par les féministes, alors on doit écrire:
"Madame, Monsieur"
Mais ici on ne fait que renverser les valeurs et ça reste inapproprié.
On pourrait donc dire:
"Cher indéterminé (e)"
Las! les personnes à la sexualité incertaine pourraient s'en offenser et une nouvelle fois le masculin prédomine.
Avec
"Cher inconnu(e)"
On se heurte encore à l'écueil du masculin prédominant et en plus comme il est peu coutume d'écrire à des inconnus on encourt le risque de passer pour un con.
J'en arrive donc à la seule conclusion possible: J'écrirai et m'exprimerai comme il me convient de le faire sans me soucier de l'académie et des thuriféraires du politiquement correct qui pourraient tout aussi bien tenter de jouer la toccata et fugue en soufflant dans un violon ( Ça ne marche pas mieux en pissant dedans ).
En fin de compte vaut mieux en rire...
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