@Anselme45
Si, Trump est vraiment un incompétent, mais il ose et ça passe.
Tant que nos chères élites resteront soumises à cette grande gueule, on (nous les honêtes travailleurs) devra subir ses lubies.
Discussion :
@Anselme45
Si, Trump est vraiment un incompétent, mais il ose et ça passe.
Tant que nos chères élites resteront soumises à cette grande gueule, on (nous les honêtes travailleurs) devra subir ses lubies.
en attendant il a eu 15% de droit de douane avec l'ue, le royaume unis qui a quitté l'ue "qui allait s'éffondrer" d'apres tous les experts a eu 10%.
Et pour enfoncer le cercueil, je suis sur que la chine va avoir un deal plus intéressant que l'europe.
Et la bourse américaine monte, les valeurs de mes actions ont vite rattrapé la chute du début d'année.
Si Trump est incompétent, alors je ne saurais quoi dire du gouvernement francais. Il serais bien de balayer chez soit avant de critiquer les autres.
Il y'a des pays légitime, je pense a l’Italie et la Pologne par exemple qui gère bien leurs économies et peuvent se permette de donner des leçons, mais Macron ou Ursula....
Amusant vos critères "incompétent et grande gueule"... Comme cela décrit très exactement la classe politique européenne et plus précisément la classe française... Pourriez-vous nous expliquer, selon votre analyse, pourquoi "l'incompétent et grande gueule" américain réussit là où les européens se plantent depuis des décennies?
Pendant que Trump se fait respecter, on a le grand champion Macron qui sait se faire respecter à sa manière: Les pays du Maghreb, Algérie en premier, font des bras d'honneur à la France, les pays d'Afrique francophone ont expulsé l'armée française du continent à grand coup de pied au cul (Sénégal, Burkina Faso, Mali, Côte d'Ivoire, Tchad, Niger, etc.)... La grannndeur [à dire avec emphase!] de la France se résume à une base à Djibouti avec comme voisin... Les chinois! Chinois qui, après s'être imposé dans la plupart des pays du continent africain en remplaçant les pays européens, ont déployé une base militaire aussi à Djibouti
Trump réussi où l'Europe échoue? La guerre en Ukraine ou en Palestine
Pour le reste il est fort avec les faibles et faibles avec les fort. Stratégie qui ne demande aucune compétence.
Surtout quand les faibles (nous) arrivent à la table des négociations avec des concessions avant qu'il ai demandé quoi que ce soit.
Des choses vont bien chez lui? Cool, en quoi a-t-il influé la dessus?

trump ce génie connait 4 mots
woke
chatte
golf
hamburger
ses ad-pets en connaissent encore moins
woke même pour qualifier le sandwich à la salade
hamburger le jour de paye
golf c'est pas à leur portée donc on va dire 2 mots au vocabulaire
j'ai même lu un mec sur FB qui disait que les WOOKIE c'était pas bien (pas de l'humour)
ça devait être l’abruti des cavernes avec cornes de ta-tonka sur la tronche de cake
Chewie est allé lui dire deux mots et apparemment ça c'est pas bien passé![]()
@Anselme45Non, mais s'il avait l'habitude de se taire, il dirait tellement moins de conneries ! Mais là, pour une fois, il n'a pas dit une connerie : il connaissait pas Nvidia, alors pour une fois, saluons l'effort !!!Est-ce que quelqu'un croit ici qu'un politique connait tout, sait tout?![]()
https://www.developpez.net/forums/d2.../#post12090954
@Anselme45
Tu crois vraiment que le monde fonctionne comme ça. Détrompes toi ! Trump n'a plus de crédibilité encore moins dans les pays d'Afrique. À présent, chaque pays du monde a besoin de répondre aux besoins de sa population
et la chine aide aux moins certains pays à réaliser cela au lieu de piller. L'europe et les US (en parlant de leur gouvernement) ont montré qu'ils sont inhumains ces derniers temps en montrant un impérialisme arrogant.
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Trump est déconnecté de la réalité à cause de sa santé mentale ! Il connaissait très bien Nvidia, Nvidia fait des milliards en chiffre d'affaire, difficile à ne pas remarquer surtout quand on conscient de l'actualité. Si Trump ne s'avait pas l'existence, c'est que
soit il fait bien semblant pour anéantir Nvidia ou bien il est vraiment malade.
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Ce qui se passe à l'internationnal affecte beaucoup Trump, il n'arrive pas à tout gérer, en même temps il doit gérer la politique interne aux USA, autant dire que c'est le chaos pour gérer des affaires complexes pour Trump.
Nvidia affirme que les contrôles à l'exportation des puces H20 n'ont pas empêché la Chine de progresser dans le domaine de l'IA et qu'ils n'ont fait qu'étouffer le leadership économique et technologique des USA
Nvidia a publié un article d'opinion d'Aaron Ginn, cofondateur de la société Hydra Host, dans lequel l'entreprise affirme que les restrictions américaines à l'exportation de ses processeurs graphiques (GPU) H20 n'ont pas réussi à freiner le développement de l'intelligence artificielle (IA) en Chine. Selon Nvidia, ces contrôles sont néfastes et n'ont fait qu'étouffer le leadership économique et technologique américain.
Les critiques de Nvidia surviennent peu après que le géant des puces a obtenu l'autorisation de l'administration Trump de vendre ses puces d'IA H20 à la Chine. Jensen Huang a ensuite activement promu des initiatives en matière d'intelligence artificielle à Washington et à Pékin, prônant à la fois le leadership américain et une collaboration plus large.
Nvidia a partagé l'article sur les réflexions d'Aaron Ginn sur X (anciennement Twitter), affirmant que les interdictions de Washington ne faisaient que l'empêcher d'étendre son influence.
« Les contrôles à l'exportation des puces H20 n'ont pas ralenti la Chine - ils n'ont fait qu'étouffer le leadership économique et technologique des États-Unis », a déclaré Nvidia sur la plateforme de médias sociaux. « Pour que les États-Unis gagnent la course à l'IA, la plateforme complète américaine doit rester la norme mondiale. » Le site renvoie ensuite à l'article d'opinion d'Aaron Ginn dans le Wall Street Journal.
Aaron Ginn affirme dans son commentaire que « doubler les contrôles à l'exportation de GPU qui ont échoué ne tient pas la route en cas d'examen approfondi et de conditions réelles ». Il souligne tout d'abord que malgré l'interdiction par la Maison-Blanche des exportations de puces H20 d'avril à juillet de cette année, la Chine a continué à progresser dans le domaine des technologies de l'intelligence artificielle. En outre, il a été prouvé que la demande pour ces semi-conducteurs avancés est si forte que des entreprises chinoises ont fait passer en contrebande pour un milliard de dollars de GPU d'IA de Nvidia au cours des trois derniers mois seulement.
Si les puces haut de gamme de Nvidia sont effectivement essentielles pour fournir les performances nécessaires, le cofondateur d'Hydra Host affirme que la plateforme CUDA de l'entreprise - qui comprend des modèles de programmation et des boîtes à outils d'IA - est bien plus importante et ne peut pas être facilement reproduite par ses concurrents chinois. Il a même critiqué la règle de diffusion de l'IA de l'ancien président Joe Biden, affirmant qu'elle mettait dans le même sac des pays avancés comme le Portugal et la Suisse et des pays en difficulté comme le Yémen et l'Ukraine. Nvidia a également critiqué ce plan, avertissant qu'il pourrait se retourner contre les États-Unis, car il permettrait à des entreprises non américaines de fixer les normes mondiales en matière de technologie de l'IA.
Cet avis est assez proche de la position du PDG de Nvidia, Jensen Huang, sur le contrôle à l'exportation - à savoir qu'il s'agit d'un échec - et que les États-Unis devraient aller plus loin que d'empêcher leurs rivaux d'acquérir leurs technologies pour garder une longueur d'avance dans la course à l'IA. Toutefois, d'autres experts estiment que l'interdiction de l'IA devrait être maintenue, car elle est nécessaire pour compléter la stratégie de Washington visant à construire les puces d'IA les plus puissantes en Amérique.
Ce débat fait écho à des tensions antérieures, lorsque les autorités chinoises avaient accusé Nvidia d'avoir intégré des portes dérobées dans ses puces H20 destinées à la Chine, ce qui a suscité des craintes quant à un accès et un contrôle à distance. Les autorités ont insisté pour obtenir des éclaircissements, citant des déclarations antérieures d'experts américains selon lesquelles les processeurs de Nvidia intégraient des mécanismes de suivi et de désactivation. Nvidia avait alors fermement nié ces allégations, tout en tentant de se développer en Chine.
Ces soupçons ont été ensuite amplifiés par les médias d'État chinois qui ont qualifié les GPU H20 de Nvidia de dangereux et d'obsolètes, exhortant les entreprises nationales à les éviter. Des rapports ont également affirmé que Nvidia avait obtenu des licences d'exportation en cédant 15 % de ses revenus à Washington. Ces allégations illustrent la méfiance géopolitique qui continue de peser sur les ambitions technologiques américaines dans la course à l'intelligence artificielle.
Source : The Wall Street Journal
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Voir aussi :
L'administration Trump abandonne les mesures de répression des exportations de puces d'IA H20 après que Nvidia a payé 1 million $ pour un repas à Mar-a-Lago
Nvidia affirme que ses puces IA ne sont pas équipées d'un « kill switch » après les accusations chinoises : "Les GPU NVIDIA ne sont pas et ne devraient pas être équipés de kill switches et de portes dérobées"
Nvidia a rejeté les demandes du gouvernement américain visant à inclure des portes dérobées et des dispositifs d'arrêt d'urgence dans ses puces IA, qualifiant ces mesures "d'invitation ouverte au désastre"
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Le gouvernement de Donald Trump saisit un fonds de recherche sur les semi-conducteurs de 7,4 milliards de $ créé sous l'administration Biden, le qualifiant d'« illégal »
Le département américain du Commerce a récemment déclaré qu'une de ses agences allait prendre en charge la responsabilité opérationnelle de superviser les 7,4 milliards de dollars de fonds de recherche sur les semi-conducteurs, affirmant que l'organisme privé à but non lucratif créé sous l'administration Biden pour remplir cette fonction « servait de caisse noire pour les semi-conducteurs ».
En 2024, l'administration Biden a annoncé un investissement de 5 milliards de dollars dans un consortium public-privé nouvellement créé pour soutenir la recherche et le développement de puces informatiques de pointe. Le National Semiconductor Technology Center (NSTC) est financé par le CHIPS and Science Act. Cette loi de 2022 vise à revigorer le secteur des puces informatiques aux États-Unis grâce à des dizaines de milliards de dollars d'aide gouvernementale ciblée.
Cependant, le département américain du Commerce a récemment déclaré qu'une de ses agences allait prendre en charge la responsabilité opérationnelle de superviser les 7,4 milliards de dollars de fonds de recherche sur les semi-conducteurs, affirmant que l'organisme privé à but non lucratif créé sous l'administration Biden pour remplir cette fonction « servait de caisse noire pour les semi-conducteurs ».
L'Institut national des normes et des technologies assumera la responsabilité opérationnelle du Centre national des technologies des semi-conducteurs, un consortium public-privé créé sous la présidence démocrate de Joe Biden, à la place du Centre national pour l'avancement des technologies des semi-conducteurs (Natcast). Le département a déclaré que l'administration Biden avait créé Natcast de manière illégale et que, par conséquent, l'accord accordant à l'organisation jusqu'à 7,4 milliards de dollars provenant des contribuables était invalide.
Le Natcast était une « tentative de contourner les restrictions légales claires interdisant aux agences gouvernementales de créer des sociétés », a déclaré lundi le département du Commerce dans un communiqué, ajoutant que l'administration Biden avait « rempli le Natcast d'anciens responsables de Biden ». « Dès le début, le Natcast a servi de caisse noire pour les semi-conducteurs, qui n'a fait que remplir les poches des fidèles de Biden avec l'argent des contribuables américains », a déclaré le secrétaire au Commerce Howard Lutnick dans le communiqué.
Natcast a été créé « pour gérer et distribuer jusqu'à 7,4 milliards de dollars provenant des contribuables », a déclaré Lutnick dans une lettre. Natcast et le département du Commerce n'ont pas immédiatement répondu à la question de savoir quelle part des fonds avait été dépensée. Le département du Commerce a déclaré que l'administration Biden avait agi « pour protéger Natcast de toute véritable surveillance ou responsabilité et pour lier les mains des futures administrations ».
Le département du Commerce a déclaré que les activités du centre technologique des semi-conducteurs seraient réformées, comme l'exigeait la loi sur les subventions à la fabrication et à la recherche dans le domaine des semi-conducteurs, d'un montant de 52,7 milliards de dollars. Natcast a déclaré qu'il s'alignait étroitement sur les priorités de la Maison Blanche, affirmant qu'il était « un élément clé pour permettre aux États-Unis d'atteindre une position de leader plus prospère, plus compétitive et plus sûre ».
En janvier, l'administration Biden a annoncé son intention de construire un centre de recherche et développement à Tempe, en Arizona, qui devrait ouvrir ses portes d'ici 2028, tandis qu'un autre centre de recherche a ouvert à Albany, dans l'État de New York, en juillet.
Cette annonce est le dernier exemple en date de la manipulation de la loi CHIPS Act par l'administration Trump. Début août, l’administration américaine avait annoncé obtenir près de 10 % du capital d’Intel, l’un des fleurons de la micro-électronique mondiale. Derrière ce chiffre impressionnant, un détail change la perspective : ces fonds ne proviennent pas d’un nouveau plan d’investissement, mais de la conversion en actions de subventions déjà allouées dans le cadre de la loi CHIPS et du programme Secure Enclave.
En pratique, Washington transforme donc en participation financière des aides qui avaient été promises à Intel la présidence précédente, mais pas encore versées. La manœuvre permet de limiter la dépense budgétaire immédiate tout en affichant un soutien massif à la souveraineté technologique américaine.
Source : Secrétaire au Commerce Howard Lutnick
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Voir aussi :
« Vive le président du conseil Trump ! La république socialiste d'Amérique entre dans une nouvelle ère » : l'acquisition de 10 % d'Intel par l'administration Trump via le CHIPS Act se transforme en bataille
Trump tente de mettre fin au CHIPS Act et la Chine se positionne pour recruter les meilleurs scientifiques américains, l'innovation technologique aux États-Unis risque de stagner si le CHIPS Act est abrogé
L'appel de Trump à supprimer « l'horrible » CHIPS Act sème la panique : les fabricants de puces craignent que Trump annule le financement prévu par cette loi et tente de récupérer les fonds déjà débloqués
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2 conneries/ jour il améliore ses performances
bientot le record du monde
allez un petit effort donald, tu reprendras bien encore un peu de fast food pour alimenter ta thrombose veineuse et préparer à la suite ?
Prendre des participations dans des boîtes qu’il faut aider, est certainement plus intelligent qu’une aide donnée à fond perdu, il suffit de voir comment cela fonctionne en France pour apprécier la chose !
Non car tu achètes des capitaux, que tu va faire fructifier. l'aide de l'état si bien fait tu vas acheter des actions à une boite qui va mal (donc action basse), sauver la boite et remonter les actions, puis soit les garder et toucher des dividendes soit les revendres et faire une belle plus value.
c'est du capitalisme et c'est tres intelligent de faire, a condition que derrière Intel assure: production de puce national et répondre à un vrai besoin que ce soit de la commande privé ou publique.
Tant que les moyens de productions appartiennent au peuple et ses bénéfices lui sont reversé, c'est assimilable à du communisme. Point bonus si le peuple décide de comment utiliser les moyens de productions. A partir d'une certaine part dans les actions, c'est envisageable.
La façon d'atteindre l'objectif que le travail soit fait par le peuple, pour le peuple et dans l'intérêt du peuple n'est pas importante.
Pas besoin de Tutoriel pour apprendre à devenir stupide, Strumphe te le fait gratuitement.
L'autorité chinoise de régulation du marché déclare que Nvidia a enfreint la loi anti-monopole du pays dans le cadre de son acquisition de la société Mellanox en 2020
L'autorité chinoise de régulation du marché a déclaré que Nvidia avait enfreint la loi anti-monopole du pays dans le cadre de son acquisition de la société israélienne Mellanox. Les autorités chinoises n'ont pas divulgué les infractions spécifiques, mais ont confirmé que l'enquête était en cours. Cette décision met en évidence les efforts plus larges déployés par la Chine pour renforcer la surveillance des entreprises technologiques étrangères dans un contexte de tensions géopolitiques et économiques croissantes.
Nvidia Corporation est une entreprise technologique américaine dont le siège social est situé à Santa Clara, en Californie. Fondée en 1993 par Jensen Huang (président-directeur général), Chris Malachowsky et Curtis Priem, elle développe des processeurs graphiques (GPU), des systèmes sur puce (SoC) et des interfaces de programmation d'applications (API) pour la science des données, le calcul haute performance et les applications mobiles et automobiles. Nvidia est considérée comme faisant partie du groupe Big Tech, aux côtés de Microsoft, Apple, Alphabet, Amazon et Meta.
À la fin de l'année dernière, l'Administration d'État chinoise pour la régulation du marché (SAMR) a ouvert une enquête sur Nvidia pour violation de la loi anti-monopole du pays concernant l'acquisition de Mellanox et certains accords conclus lors de cette opération. Nvidia a racheté en 2020 la société technologique israélienne qui crée des solutions réseau pour les centres de données et les serveurs, dans le cadre d'un accord qui avait été approuvé par la Chine sous certaines conditions à l'époque.
Le lundi 15 septembre 2025, l'autorité chinoise de régulation du marché a déclaré que Nvidia avait enfreint la loi anti-monopole du pays, selon une enquête préliminaire, ajoutant que Pékin poursuivrait son enquête sur le géant américain des puces électroniques. Dans le cadre de cette enquête préliminaire, la SAMR a déclaré que l'entreprise américaine avait enfreint les lois anti-monopole chinoises en rapport avec l'acquisition de Mellanox et ses conditions. L'autorité chinoise de régulation du marché n'a pas précisé en quoi Nvidia aurait enfreint la loi, mais a promis de mener une enquête plus approfondie.
Les actions de Nvidia ont chuté d'environ 2 % avant l'ouverture des marchés.
Le mardi 16 septembre, Nvidia a déclaré qu'elle respectait toutes les lois en vigueur et qu'elle continuerait de coopérer avec les autorités concernées.
« Nous respectons la loi à tous égards », a déclaré un porte-parole de Nvidia dans un communiqué. « Nous continuerons à coopérer avec toutes les agences gouvernementales concernées dans le cadre de leur évaluation de l'impact des contrôles à l'exportation sur la concurrence sur les marchés commerciaux. »
La mise à jour de la SAMR risque de compliquer les négociations commerciales entre les responsables chinois et américains qui ont débuté le dimanche 14 septembre 2025 à Madrid, en Espagne.
Les tensions entre Pékin et Washington semblent s'intensifier sur le front technologique. La Chine a ouvert le 13 septembre deux enquêtes distinctes sur les semi-conducteurs : l'une est une enquête antidumping sur certaines puces importées des États-Unis, tandis que l'autre est un examen antidiscriminatoire des restrictions américaines sur l'industrie chinoise des puces.
Par ailleurs, Nvidia a connu une relation tumultueuse avec le marché chinois ces derniers mois, la société ayant été prise dans la tourmente géopolitique. Plus tôt cette année, le produit H20 de Nvidia, une puce spécialement conçue pour se conformer aux restrictions américaines en matière d'exportation, s'est vu interdire son exportation vers la Chine par Washington.
Le PDG de Nvidia, Jensen Huang, a publiquement appelé à autoriser les entreprises américaines à vendre leurs produits en Chine, affirmant que le marché local de l'IA devrait atteindre environ 50 milliards de dollars au cours des deux à trois prochaines années. Jensen Huang a déclaré que si les entreprises américaines ne sont pas présentes en Chine, des acteurs nationaux tels que Huawei combleront le vide.
Ce lobbying semble avoir porté ses fruits. Le mois dernier, Nvidia a conclu un accord avec Washington qui permettrait au géant technologique de reprendre ses ventes de puces IA à la Chine en échange de la cession de 15 % de ces revenus au gouvernement américain. Jensen Huang et le gouvernement américain ont discuté de la possibilité d'exporter une puce plus avancée vers la Chine.
Pékin a réagi en exprimant ses inquiétudes en matière de sécurité nationale concernant les puces Nvidia et en exhortant les entreprises chinoises à s'approvisionner auprès de fournisseurs locaux de semi-conducteurs.
L'annonce de la SAMR survient après une deuxième journée de négociations commerciales très suivies entre des responsables de Pékin et de Washington à Madrid. À l'issue des discussions, les deux parties ont déclaré avoir conclu un accord « cadre » visant à résoudre un différend majeur concernant TikTok, qui prévoit le transfert de l'application chinoise à une entité contrôlée par les États-Unis.
Les hauts responsables diplomatiques et militaires des deux pays ont également eu plusieurs conversations téléphoniques consécutives la semaine du 8 septembre, ce qui, selon les analystes, pourrait marquer une avancée vers une rencontre entre les présidents Donald Trump et Xi Jinping.
L'enquête de la SAMR intervient par ailleurs dans un contexte de méfiance croissante envers la technologie de Nvidia en Chine. Le géant asiatique accuse Nvidia d'avoir intégré une porte dérobée dans sa puce H20 destinée au marché chinois, permettant d'accéder à la puce et de la contrôler à distance. Les autorités chinoises ont demandé à Nvidia de faire la lumière sur les problèmes de sécurité présumés de ses puces H20, mais l'entreprise a réfuté ces allégations.
Source : Administration d'État chinoise chargée de la réglementation du marché (SAMR)
Et vous ?
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Trouvez-vous les accusations portées par la Chine contre Nvidia crédibles ou pertinentes ?
Voir aussi :
Nvidia affirme que les contrôles à l'exportation des puces H20 n'ont pas empêché la Chine de progresser dans le domaine de l'IA et qu'ils n'ont fait qu'étouffer le leadership économique et technologique des USA
Un média d'État chinois allègue que les GPU Nvidia H20 sont dangereux et obsolètes, et exhortent les entreprises chinoises à les éviter, ajoutant que ces GPU ne sont « ni écologiques, ni avancés, ni sûrs »
Nvidia et AMD acceptent de verser au gouvernement US 15 % de leurs revenus chinois dans le cadre d'un accord « sans précédent » avec l'administration Trump pour obtenir des licences d'exportation vers la Chine
Le PDG de Nvidia, Jensen Huang, affirme que l'armée chinoise évitera les technologies US d'IA : « Ils n'ont pas besoin des puces de Nvidia ou des piles technologiques américaines pour construire leur armée »
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Le PDG de Nvidia, Jensen Huang, reproche à Donald Trump les contrôles à l'exportation américains et déclare que la société ne prévoit désormais plus aucun chiffre d'affaires en provenance de Chine
Les ventes de puces IA avancées de Nvidia à la Chine ont complètement cessé en raison des contrôles à l'exportation américains, faisant chuter sa part de marché à zéro, a révélé le PDG Jensen Huang. Cette exclusion, qui touche les modèles hautes performances, risque de céder du terrain à des concurrents nationaux tels que Huawei et pourrait entraver le développement mondial de l'IA. Huang a exprimé son espoir de voir la politique changer, soulignant l'interdépendance des marchés technologiques.
En août dernier, Nvidia a affirmé que les restrictions américaines à l'exportation de ses processeurs graphiques (GPU) H20 n'ont pas réussi à freiner le développement de l'intelligence artificielle (IA) en Chine. Selon Nvidia, ces contrôles sont néfastes et n'ont fait qu'étouffer le leadership économique et technologique américain. « Les contrôles à l'exportation des puces H20 n'ont pas ralenti la Chine - ils n'ont fait qu'étouffer le leadership économique et technologique des États-Unis », a déclaré Nvidia. « Pour que les États-Unis gagnent la course à l'IA, la plateforme complète américaine doit rester la norme mondiale. »
Récemment, Jensen Huang, PDG de Nvidia, a réitéré des commentaires similaires. A titre de rappel, Jensen Huang a lancé Nvidia en 1993 et en est resté le PDG depuis sa création. Il a sorti l'entreprise de la quasi-faillite dans les années 1990 et a supervisé son expansion dans la production de GPU, le calcul haute performance et l'intelligence artificielle (IA). Sous la direction de Huang, Nvidia a connu une croissance rapide pendant le boom de l'IA, devenant la première entreprise à atteindre une capitalisation boursière de plus de 4 000 milliards de dollars en juillet 2025.
Selon Jensen Huang, le géant américain des semi-conducteurs Nvidia a vu sa domination sur le marché chinois des puces avancées s'effondrer, sa part de marché passant de 95 % à zéro en raison des contrôles stricts à l'exportation imposés par les États-Unis. S'exprimant lors d'un événement organisé par Citadel Securities à New York, Huang a révélé que Nvidia était totalement interdite de vendre ses puces IA hautes performances, notamment les modèles A100, H100 et H200, à des entreprises chinoises depuis l'entrée en vigueur des restrictions en 2022.
Huang a exprimé son espoir d'un changement de politique, déclarant : « Nous continuerons à expliquer, à informer et à garder espoir en un changement de politique. » Il a souligné que l'exclusion de Nvidia de la Chine nuit non seulement à l'entreprise, mais a également des implications plus larges pour la Chine et les États-Unis. « Ce qui nuit à la Chine peut souvent nuire également aux États-Unis, voire pire », a déclaré Huang. Il a en outre souligné le rôle important de la Chine dans le développement mondial de l'IA, qui compte environ 50 % des chercheurs en IA dans le monde.
Les remarques du PDG de Nvidia interviennent alors que la Chine poursuit ses efforts à l'échelle nationale pour atteindre l'autosuffisance en matière de semi-conducteurs. Les concurrents chinois dans le domaine de l'IA et des semi-conducteurs se sont empressés de lancer des alternatives nationales, érodant la part de marché autrefois dominante de Nvidia. Les progrès de Huawei, notamment les méthodes de clustering permettant de contourner la technologie de Nvidia et les techniques de fabrication de pointe, témoignent de la volonté agressive de la Chine d'atteindre l'autosuffisance en matière de semi-conducteurs.
Une situation qui rappelle une interview de Jensen Huang en mai 2025, où il a déclaré que les rivaux chinois comblent le vide laissé par les entreprises américaines contraintes d'abandonner ce marché en raison des restrictions commerciales imposées par les États-Unis. Il a notamment révélé que les restrictions américaines sur les exportations vers la Chine ont effectivement exclu Nvidia du pays, le plus grand marché pour les puces, et en conséquence, l'entreprise s'attend à perdre 8 milliards de dollars de ventes rien que pour le troisième trimestre 2025.
Bien qu'elle ait reçu l'autorisation des États-Unis de vendre une puce H20 moins puissante adaptée au marché chinois, Nvidia est confrontée à de nouveaux défis. Les autorités chinoises ont lancé une enquête de sécurité sur la H20 et ont conseillé aux clients locaux d'éviter ce produit, limitant encore davantage la présence de Nvidia. Huang a averti que l'exclusion de Nvidia de la Chine risquait de céder le marché à des concurrents nationaux tels que Huawei Technologies, qui a récemment dévoilé une feuille de route ambitieuse en matière de puces IA.
« C'est une erreur de ne pas laisser ces chercheurs développer l'IA à partir de la technologie américaine », a déclaré Huang, soulevant des inquiétudes quant à l'équilibre entre le leadership technologique américain et la collaboration mondiale. Alors que la Chine accélère le développement de ses propres puces, l'absence de Nvidia sur le marché pourrait redessiner le paysage mondial de l'IA et des semi-conducteurs.
Nvidia a récemment été exclue du marché chinois après que l'autorité chinoise de régulation de l'internet, l'Administration chinoise du cyberespace, aurait interdit aux entreprises technologiques nationales d'acheter des puces IA de Nvidia. L'agence chinoise aurait également demandé à des entreprises technologiques, notamment ByteDance, la société mère de TikTok, et Alibaba, de cesser de tester et de commander le serveur RTX Pro 6000D de Nvidia, un appareil spécialement conçu pour le marché chinois.
Et vous ?
Pensez-vous que ces déclarations sont crédibles ou pertinentes ?
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Voir aussi :
Trump a menacé de démanteler Nvidia, sans même savoir de quoi il s'agissait : « que diable est Nvidia ? Je n'en ai jamais entendu parler auparavant », ce qui remet en question sa connaissance du secteur Tech
Un média d'État chinois allègue que les GPU Nvidia H20 sont dangereux et obsolètes, et exhortent les entreprises chinoises à les éviter, ajoutant que ces GPU ne sont « ni écologiques, ni avancés, ni sûrs »
Nvidia a augmenté ses prix de 10 % sur les GPU de jeu et de 15 % sur les accélérateurs d'IA après que Donald Trump a imposé des droits de douane supplémentaires sur les importations chinoises
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